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La Commission européenne admet que les vaccins contre le coronavirus ont été autorisés sans données complètes sur leur innocuité. Quelles sont les implications de cette décision en termes de responsabilité et de risques pour la population ?
Quand l’argument, « extrême droite », est l’ultime parade pour ternir la réputation d’honnêtes personnes, ou disqualifier une idée, c’est que le combat idéologique est sur le point de basculer dans le sectarisme. Il n’y a plus alors que l’intolérance vis-à-vis de ceux qui refusent de disparaître en temps que personne, avec une histoire et un passé qui peut être mis en avant. Des drapeaux qui sont brandis, une volonté de protéger sa patrie contre une submersion migratoire, il n’en faut pas plus pour être catalogué d’extrême droite. Le terme est choisi à desseins, pour faire peur et réclamer le rejet sans concession d’une pensée qui ramène « aux années noires de la guerre ». L’extrême est par définition dévitalisé de raison, du bons sens, de la mesure qui prévaut dans une situation, puisqu’il s’appuie sur la stigmatisation d’une population, d’une ethnie. Agiter un drapeau, comme c’est le cas au Royaume-Uni en ce moment, est donc un acte fasciste ! C’est d’ailleurs quasiment ainsi que les journalistes décrivent les manifestants. On se pince, mais c’est là le raccourci que la gauche n’hésite pas à employer pour dénigrer un mouvement patriotique et dénier au commun des mortels le droit d’aimer un pays, le sien, qu’il désire seulement le protéger d’une entrée illégale et massive d’étrangers.
Au programme de cette édition, retour sur cette mobilisation du 18 septembre. Après un échec relatif de l’opération “Bloquons tout”, cette journée de manifestation plus classique ne devrait pas avoir davantage d’impact sur la politique d’Emmanuel Macron. Une action basée sur un mépris total à l’égard des Français.
Le traditionnel clivage entre la Droite et la Gauche a longtemps fait partie de notre histoire politique pratiquement depuis la Révolution. Assez arbitraire dans ses débuts, il ne faisait que reprendre la composition et la répartition de l’assemblée du 28 août 1789.
Sans refaire toute l’histoire de l’évolution de la pensée de la gauche, on peut noter qu’elle s’est écartée au fil du temps de ses fondamentaux et particulièrement ces dernières décennies. L’un de ces changements les plus marquants réside dans son attitude par rapport à la nation.
La France va donner à nouveau, ce 18 septembre, pour la deuxième fois ce mois-ci, le spectacle d’un pays à l’arrêt, envahi par un million de manifestants aux revendications multiples alors que le pouvoir vacille comme jamais. Face aux revendications longues comme un jour sans pain, on verra un Premier ministre à peine nommé, isolé et précaire, appuyé sur un gouvernement démissionnaire et soutenu par un président de la République qui a depuis longtemps perdu le soutien populaire. Tandis que les Macron font leur valise pour une visite au grand-duché de Luxembourg, le macronisme sûr de lui et méprisant s’effondre et entraîne la France dans sa chute.
Donald Trump est délibérément induit en erreur sur l'état de la guerre entre la Russie et l'Ukraine. Nous le savons grâce aux récents propos du général à la retraite Keith Kellogg. Dimanche dernier, lors de la conférence de Yalta sur la stratégie européenne à Kiev, Keith Kellogg a déclaré que « la Russie est en train de perdre cette guerre ». Il a précisé : « Si Poutine gagnait, il serait à Odessa. S'il gagnait, il serait à l'ouest du Dniepr. S'il gagnait, il aurait changé de gouvernement. La Russie est en train de perdre cette guerre. » Kellogg a qualifié d'insignifiantes les avancées russes dans le Donbass, affirmant : « Si l'on considère une progression en mètres, et non en kilomètres, alors d'accord, c'est une réussite. Mais au prix qu'ils encourent, c'est énorme. »
Un nouveau scandale secoue l’Éducation nationale. À peine quelques jours après la rentrée, Mediapart a révélé qu’un conseiller pédagogique de Lozère, déjà condamné en 2011 pour détention d’images pédopornographiques, avait été désigné référent pour l’« éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle » (EVARS). Une affaire qui relance la colère des parents d’élèves et des associations familiales, et qui interroge sur la légèreté des rectorats dans la sélection de ceux qui interviennent auprès des enfants.
Ce dimanche, un individu a pris le volant à Vaulx-en-Velin (Rhône) mais devait à tout prix éviter la police. Manque de chance, ce sont bien les forces de l’ordre qu’il a croisées rue Pierre-Mendès en fin d’après-midi. Il a écopé de 10 mois de prison, auxquels se rajoutent six mois d’un précédent sursis révoqué. Il a été écroué à l’issue de l’audience.
Quand l’Occident signe un accord, c’est surtout pour mieux le plier, le tordre… puis le jeter – une réalité dont la Russie doit impérativement se souvenir à chaque table de négociation sur le conflit ukrainien, tant les précédents diplomatiques trahissent une constance dans le reniement stratégique.
Une robe Dior achetée 2800 euros le 21 mars 2024, une autre de la même marque de luxe acquise pour 3520 euros le 12 juin 2024. Quelques mois plus tôt, le 27 novembre 2023, 3067 euros sont déboursés pour l’acquisition d’un manteau Burberry. En 2022, un poncho Bompard était soigneusement emballé dans du papier de soie après un versement de 340 euros.