Pleven, Gayssot, Avia, la peur qu’éprouvent certaines minorités et la peur qu’elles diffusent autour d’elles conspirent à élaborer un véritable cadenas judiciaire à travers lequel la liberté de penser trouve de moins en moins son compte et où la simple justice est oubliée. Police de la pensée et insincérité obligatoire : l’espace public devient un enfer. GT
Depuis le 28 septembre, la chasse est ouverte. Presse, pouvoirs publics, justice, firmes italiennes de pâte à tartiner à la grande conscience, tout le monde veut la peau de celui qui a osé prendre la défense du mâle blanc hétérosexuel catholique, et dénoncer l'Islam comme religion d'occupation. Faites-le taire ! Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! Le pilori serait encore une peine trop douce. Le système veut la tête, la mise à mort sociale d'Eric Zemmour. La Justice s’associe pour son déshonneur à cette odieuse et pernicieuse censure. Elle poursuit le paysan du Danube, celui qui, avec des mots tranchants et désagréables, a le courage de désigner les plaies à vif de sa patrie blessée. Le polémiste qui nomme le mal provoque à la guerre civile : il est donc poursuivi pour incitation à la haine, et diffamation raciale.