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France et politique française - Page 1866

  • Energie éolienne, le vent de la colère

    Armel Joubert des Ouches

    Les projets d’implantation d’éoliennes se multiplient un peu partout en France. Parmi les derniers projets en cours, les Hautes-Alpes. Les Hautes-Alpes, c’est pourtant le lac de Serre-Ponçon, c’est un département à la nature préservée, c’est le parc naturel des Écrins, les parcs régionaux du Queyras, des Baronnies. Une centaine d’éoliennes sont prévues. Il y a les Pyrénées, le Maine-et-Loire, le Centre-Val de Loire.

    Il y a Chartres. Même le site emblématique de la cathédrale de Chartres, premier site classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est menacé d’encerclement par des éoliennes. De nombreuses associations appellent à une manifestation, le 21 septembre prochain, pour s’opposer au projet.

    Il y a l’Ille-et-Vilaine, en Bretagne, il y a aussi la Dordogne. Le 24 août 2019, près de 600 personnes ont défilé dans les rues de la commune de Saint-Aulaye. Dans le cortège, beaucoup d’élus. Des maires, des députés, des conseillers départementaux. Il y a aussi beaucoup d’associations de protection de l’environnement (la FED, la fédération Environnement durable, Association 3D, Forces Périgord 24, Stop Éolien 16, Vent du bocage). Il y a aussi l’association Chasse, pêche, nature et traditions. Le projet qui porte sur cinq éoliennes de 182 mètres de hauteur fait hurler une bonne partie de la population dispersées sur trois communes – 94 % des habitants concernés se sont prononcés contre.

    « Une affaire d’argent »

    Pour Jean-Louis Butré le président fondateur de la FED, l’association Environnement durable, « il s’agit d’une affaire d’argent. C’est subventionné ! À partir du moment où des promoteurs installent des éoliennes sur la France, ils gagent beaucoup d’argent qui est pompé sur la facture d’électricité des contribuables français. Les fonds financiers qui alimentent les sociétés éoliennes, il y en a partout ! Il y a des promoteurs d’éoliens qui sont partis avec un milliard d’euros ! »

    Pour Julien Aubert, député LR de Vaucluse et rapporteur spécial sur le budget de l’énergie, « il y a des promoteurs qui ont des attitudes de cow-boys et qui ne disent pas toute la vérité sur la manière dont les choses se déroulent. Certains m’ont raconté qu’on leur avait proposé de l’argent pour régler un problème sans avoir à passer par des tribunaux… »

    20.000 éoliennes prévues… pas aussi « propres » qu’ont le dit ?

    Avec la loi sur la transition énergique, l’État prévoit la mise en place de 20.000 éoliennes partout dans l’Hexagone. Il en existe 8.000, actuellement, dans le pays.

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  • Arabie Saoudite : vers un nouveau choc pétrolier ? – Journal du lundi 16 septembre 2019

     

    Arabie Saoudite : vers un nouveau choc pétrolier ?

    Une attaque de raffinerie en Arabie Saoudite fait monter le cours du brut ! Ce nouvel épisode de tension régional qui laisse envisager le pire en termes de possible conflit ouvert au Proche Orient mais aussi pour les économies européennes.

    Le Rassemblement National en ordre de bataille à Fréjus

    C’était la rentrée politique du Rassemblement National. A moins de 7 mois des élections municipales, le parti de Marine Le Pen lançait la bataille dans la ville de Fréjus, une des communes administrées par le parti depuis 2014.

    L’oubli patrimonial de Nicole Belloubet

    Le ministre de la justice, Nicole Belloubet, est accusé par Jean-Luc Mélenchon d’avoir oublié de mentionner trois biens immobiliers dans une déclaration de patrimoine en 2017. Simple oubli ou tentative de fraude? l’indépendance de l’appareil judiciaire est une nouvelle fois mise à mal.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/arabie-saoudite-vers-un-nouveau-choc-petrolier-journal-du-lundi-16-septembre-2019

  • Philippe Pascot : « Si on fait une seule grande manif par mois à Paris, le gouvernement saute »

    Après vingt-cinq ans de vie politique, Philippe Pascot, ancien adjoint de Manuel Valls à la Mairie d’Évry, est devenu l’une des mascottes des Gilets jaunes. À l’occasion de la sortie de son dernier livre, «Mensonges d’État», aux éditions Max Milo, Sputnik est allé à sa rencontre. Un entretien à l’image du personnage, entier.

    «Taire la Vérité, n’est-ce déjà pas mentir? Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité, se fait le complice des menteurs et des faussaires.» Cette citation de Charles Péguy s’applique à merveille au tonitruant Philippe Pascot, homme politique durant vingt-cinq ans, ancien dirigeant du Parti radical de Gauche, engagé dans de nombreux combats. Ce qui l’occupe désormais, ce sont les Gilets jaunes, pour lesquels il espère une convergence des luttes. Son dernier livre, Mensonges d’État (Éd. Max Milo), sorti en librairie le 26 septembre, il a reçu Sputnik chez lui.

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  • Âge de départ à la retraite, montant des pensions… trois questions sur le régime spécial de la RATP

    Tous les agents sous statut RATP, embauchés avant l’âge de 35 ans, soit environ 88 % des salariés, bénéficient de ce régime. STEPHANE DE SAKUTIN/AFP


    Les acquis sociaux obtenus en 1948 par les agents de la RATP risquent de disparaître avec la réforme du système de retraites.
    Ils savent leur statut en danger et comptent bien se battre pour le protéger.
    Les employés de la RATP ont paralysé les transports parisiens ce vendredi pour protester contre le projet de réforme des retraites, qui vise à créer un système universel.
    Et donc mettre fin à leur régime spécial.
    Alors qu'Edouard Philippe s'étonnait encore jeudi soir des différences existant entre leurs conditions de départs à la retraite et celles d'un chauffeur de bus au Havre ou à Bordeaux, salariés sous le statut du régime général, les syndicats en grève refusent la notion de « privilèges ».
    Il s'agit selon eux de simples « compensations » face à la pénibilité de leur travail (pollution, horaires décalés, travail le week-end…).
    Mais de quels avantages bénéficient exactement les 42 500 agents de la société de transports francilienne ?
    Et quels coûts cela représente-il pour l'Etat ?
    Voici quelques chiffres, qui révèlent également la diversité des situations dans l'entreprise.
    Quel âge de départ ?
    En 2017, l'âge moyen de départ à la retraite était de 55,7 ans à la RATP, contre 59,2 ans dans les hôpitaux ou 63 ans pour le régime général, selon un rapport de la Cour des comptes publié en juillet. Mais au sein de l'entreprise, tous les agents ne partent pas au même âge.
    Pour les métiers jugés pénibles (travail de nuit, efforts physiques importants, températures extrêmes, pollution souterraine…), des mesures abaissent l'âge d'ouverture des droits.
    Par exemple, début 2019, un conducteur pouvait devenir retraité à 50 ans et 8 mois, un agent affecté aux travaux à 55 ans et 8 mois.
    Un employé administratif, qui ne bénéficie pas de mesures particulières, pouvait lui partir à 60 ans et 8 mois.
    Pour rappel, dans le privé, c'est 62 ans.
    Mais dans les faits, ils sont moins de 4,8 % à la RATP à partir dès l'âge minimal car la durée de cotisations requises pour obtenir une retraite à taux plein s'est alignée au fur et à mesure des réformes sur celle des autres régimes, soit 41 ans.
    Même si un jeu de « bonifications métier » permet encore de faire baisser la durée de cotisations, en moyenne de quatre ans.
    « Un conducteur de bus par exemple part en moyenne à 56 ans à la retraite », précise par exemple Thierry Babec du syndicat Unsa.
    Avec la réforme de 2010, l'âge de départ des agents de la RATP doit ainsi augmenter de deux ans progressivement.
    Un relèvement démarré en 2017, qui doit s'achever en 2024.
    Quelle pension ?
    À l'heure actuelle, une pension complète à la RATP s'élève en moyenne à 3705 euros bruts par mois, contre 2206 pour les fonctionnaires civils, 1904 pour les agents hospitaliers, et 1605 au régime général.
    Chez les conducteurs en particulier, elle se situe entre 3057 et 4125 euros.
    En cas de carrière trop courte pour obtenir une retraite à taux plein, le système de décote est moins pénalisant que celui des fonctionnaires, relève la Cour des comptes.
    En revanche, le minima de pension est inférieur à celui de la fonction publique (963 euros).
     
    Âge de départ à la retraite, montant des pensions… trois questions sur le régime spécial de la RATP
     
    D'après les estimations de plusieurs syndicats, le passage à un système de retraite universel engendrera mécaniquement une baisse des pensions, de l'ordre de plus de 500 euros nets mensuels pour un machiniste, par exemple.
    Le Parisien a de son côté calculé qu'un conducteur de RER, qui peut espérer une retraite aux alentours de 2500 euros par mois en partant entre 55 et 57 ans, perdrait lui entre 20 et 30 % de sa pension si la réforme entrait en vigueur.
    Quel coût ?
    C'est une structure autonome, la Caisse de retraites du personnel de la RATP (CRP RATP), qui gère depuis 2005 les financements et verse les pensions de retraite.
    Mais des fonds publics viennent en réalité compenser le déséquilibre entre le nombre de retraités et le nombre d'actifs de la RATP, qui cotisent pour financer les pensions.
     Fin 2017, il y avait environ 42 300 cotisants, alors qu'on comptait plus de 34 900 retraités et presque 11 100 pensions de réversion.
    Au total, en 2017, les cotisations versées par les salariés et par l'entreprise ne représentaient que 41 % des ressources nécessaires.
    La CRP-RATP a reçu 681 millions d'euros de dotation publique pour équilibrer la balance.
  • Justice indépendante : le lapsus très révélateur de Nicole Belloubet …

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    Interrogée sur LCI, ce dimanche midi, Mme Belloubet a eu un lapsus très révélateur : « Je parle à mes procureurs… pardon, aux procureurs. » Elle évoquait l’indépendance du parquet… 

    Pour rappel, Mme Belloubet utilise couramment ce terme « mes procureurs », cas unique pour un garde des Sceaux, et elle s’est reprise en la circonstance, vu la question posée…
    Simple lapsus ? Jugez plutôt le reste de l’entretien.
    – Sur Balkany : « Il serait malvenu de changer de position quant à la remise en liberté du maire de Levallois. » Un garde des Sceaux qui donne son avis sur une affaire jugée et pour laquelle l’intéressé va faire appel. Qui plus est sur un dossier éminemment politique. Vous voyez les juges statuer en toute quiétude, après cela ? Rendre une décision contraire ?
    – Sur Richard Ferrand, dont il faut rappeler que les juges ont relancé le dossier après que le parquet de Brest l’avait enterré il y a deux ans : « Il est mis en examen, donc pas coupable définitivement, il n’a pas à démissionner. Un député, ce n’est pas comme un ministre. » Peu importe, donc, que les députés soient probes ou pas, leur implication judiciaire n’est pas de nature à nuire à leur image, donc à leur fonction… Allez comprendre ! En tout cas, chacun pourra apprécier cette réflexion au regard de l’assainissement de la vie politique, auquel le « nouveau monde » devait aboutir. Rappelons que, sur ce dossier, c’est Macron qui a directement pris position pour Richard Ferrand : que faudrait-il faire de plus si on voulait intimider les juges ? Mme Belloubet a juré ses grands dieux qu’il n’y a pas de justiciable privilégié.
    – Sur son oubli de mentionner une maison et deux appartements lors de sa déclaration de patrimoine : « C’est une omission, ce n’est pas volontaire et, d’ailleurs, la Haute Autorité a dit qu’il n’y avait rien de douteux. » Évidemment, la Haute Autorité est totalement indépendante, elle aussi, et cette décision en atteste formellement.
    – Au sujet du procès Fillon, qui sera audiencé juste avant les élections municipales, le ministre a affirmé qu’il fallait y voir une simple coïncidence de calendrier, rien de plus ! Comme le déclenchement des affaires Fillon et Marine Le Pen, en février 2017, devaient l’être aussi… Au vu de ce qui précède, si j’étais à la place de M. et Mme Fillon, je m’inquiéterais sérieusement…
    En réalité, jamais la Justice n’a été à ce point aux ordres, et les succès électoraux de Macron ne reposent que sur une instrumentalisation de la Justice contre l’opposition. Voila trois ans que Macron est apparu sur l’avant-scène du pays, l’actualité politique se résume, depuis, à une litanie d’affaires judiciaires, poussées à fond et surmédiatisées lorsqu’il s’agit d’opposants, absoutes ou euphémisées quand il s’agit des proches du pouvoir…
    Olivier Piacentini pour bvoltaire.fr
  • De Clermont-Ferrand aux Yvelines, la mobilisation se poursuit

    De Clermont-Ferrand aux Yvelines, la mobilisation se poursuit

  • Les Français contribuent, sans le savoir, au financement des bateaux de réfugiés

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    Ocean VikingOpen ArmsLifelineAlan KurdiMare JonioSea Watch 3… Vous connaissez sans doute le nom de certains de ces « navires humanitaires » qui aident les réfugiés à traverser la Méditerranée, mais savez-vous que vous participez tous à leur financement, bon gré mal gré ? C’est, du moins, la conclusion qu’on peut tirer d’une enquête du Figaro, intitulée « Que sait-on des bateaux qui aident les migrants en Méditerranée ? »

    On apprend ainsi que l’Ocean Viking, qui appartient à SOS Méditerranée, est financé par 98 % de dons privés, dont 59 % venant de particuliers et 39 % d’entreprises, fondations et associations (notamment Emmaüs et la fondation Abbé-Pierre). Restent 2 % de subventions publiques, parmi lesquelles se distinguent la Nouvelle-Aquitaine, l’Occitanie et la mairie de Paris, dirigées par des coalitions de gauche. Vérification faite, la région de Nouvelle-Aquitaine a bien voté une subvention de 50.000 euros à SOS Méditerranée, lors d’une commission permanente qui s’est tenue le vendredi 16 novembre 2018. Seuls les élus du Rassemblement national s’y sont résolument opposés.

    L’ensemble des contribuables de certaines régions, quelle que soit leur opinion sur l’arrivée massive de migrants, ont donc contribué, sans le savoir, à alimenter les caisses d’ONG dont ils n’approuvent pas nécessairement l’action. Le pouvoir politique a décidé pour eux. Mais la contribution des Français ne se limite pas aux régions concernées. Les dons aux associations humanitaires bénéficient de réductions d’impôt : un manque à gagner pour la collectivité nationale, ce qui revient, en quelque sorte, à faire supporter par l’ensemble des contribuables ce cadeau fiscal. Il est vrai que ce n’est pas le seul domaine où l’État engage des dépenses sans demander l’avis des simples citoyens.

    On apprend aussi que le bateau Alan Kurdi (du nom du petit garçon mort noyé, dont la photographie avait fait le tour du monde), affrété par l’ONG allemande Sea Eve, est entièrement financé par des dons. Parmi les sponsors publics, plusieurs communautés chrétiennes allemandes, principalement protestantes, ainsi qu’un groupe de rock alternatif. De même, les missions du Sea Watch 3, qui a défrayé la chronique ces derniers mois, étaient financées à 100 % par des dons de particuliers et d’entreprises, avec l’appui de l’Église protestante d’Allemagne et de plusieurs personnalités de gauche ou des Verts.

    Toutes ces ONG et associations n’ont apparemment guère de peine à trouver des fonds. Carola Rackete, qui était entrée de force dans le port de Lampedusa, a trouvé en moins d’une semaine plus d’1,4 million d’euros pour payer ses frais de justice et poursuivre les activités de son ONG. On a le sentiment, sans sombrer dans le complotisme, que des réseaux politiques, économiques, voire religieux soutiennent ces actions. On ne sache pas que le pape François, fervent défenseur des migrants, en fasse partie. En tout cas, l’Aquarius, privé de pavillon, n’avait pas exclu de naviguer sous pavillon… du Saint-Siège.

    Tout se passe comme si les subventions accordées allaient de soi et n’étaient pas discutables. Le bien est défini par la pensée unique. Au diable ceux qui s’en détournent et s’interrogent sur le bien-fondé d’une politique migratoire laxiste ! En connaissant les dessous de ces financements, au moins ne mourra-t-on pas idiot.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/les-francais-contribuent-sans-le-savoir-au-financement-des-bateaux-de-refugies/

  • Liberté de la presse : RT France toujours blacklistée dans de nombreux établissements de l’administration

    16/09/2019 – FRANCE (NOVOpress)
    Le 9 septembre, lors de sa conférence de presse à Moscou, Jean-Yves Le Drian a enfin déclaré que le mot «journalisme» s’appliquait à RT.

    Comment expliquer dans ce cas que nos journalistes ne puissent accéder à de nombreux établissements de l’administration française ?

    «Une vision du CSA», justifiait alors le ministre des Affaires étrangères. Pas très convainquant…

    https://fr.novopress.info/

  • D'accord avec... Ivan Rioufol. Le "Système" français et l'URSS, c'est... du pareil au même !

    (Tiré du Bloc-Notes d'Ivan Rioufol, Le Figaro du vendredi 30 août dernier)

    "...L'avenir d'une nation ne peut se réduire à des chiffres, des courbes et des taux de CO2, comme s'en persuadent les tenants du tout économique et de l'homme planétaire. Emmanuel Macron se trompait dès 2017, quand il assurait : "La force de notre économie, quand nous l'aurons pleinement retrouvée, c'est le socle même de notre projet de société."

    Ce discours est de ceux que produisait le Gosplan soviétique. Il est d'ailleurs troublant de constater les similitudes entre la pauvreté intellectuelle produite en URSS par l'indépassable communisme et la glaciation imposée aux sociétés libérales, surtout en France, par les gardes-chiourmes du politiquement correct.

    Certes l'expression y est plus libre et les goulags n'existent pas. Mais quiconque ne récite pas les mérites de la diversité, de la non-discrimination, du "soi-mêmisme" ou de la contrition occidentale a droit au même statut de dissident.

    Le pays s'est habitué à vivre dans une prison intellectuelle. Un projet de société ne peut s'épanouir derrière des barreaux..."

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La fête du cochon grillé de la Fédération bretonne du Parti de la France a remporté un vif succès...

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    Jean-Marie Lebraud, Carl Lang et Roland Hélie.

    Dimanche 15 septembre se déroulait près de Rennes la traditionnelle fête du cochon grillé organisée par la Fédération bretonne du Parti de la France cliquez ici. Sous un soleil splendide, près d'une centaine de militants et de sympathisants se sont donc retrouvés dans une ambiance festive pour accueillir chaleureusement Carl Lang, président du parti, qui prononça, comme on pouvait s'y attendre, un discours incisif et argumenté contre la politique mondialiste menée par le gouvernement.

    Autre intervenant, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, venu en voisin. Après avoir remercié Carl Lang pour le combat courageux qu'il mène depuis dix ans à la tête du PdF, il appela les Bretons à venir en nombre samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains à Rungis, près de Paris, au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge organisé dans le cadre des 13e Journées de Synthèse nationale cliquez là. L'appel a semble-t-il été entendu puisque plusieurs voitures en partance de toute l'Armorique sont dores et déjà prévues.

    Enfin l'après-midi se termina par un récital du talentueux chanteur breton Christophe BZH qui emballa l'assistance. Christophe BZH, qui avait chanté il y a deux ans lors de la Journée de Synthèse nationale, nous a annoncé qu'il allait bientôt sortir un nouvel album.

    Notons parmi les convives la présence de Philippe Randa, écrivain et éditeur, directeur du site EuroLibertés, ainsi que celle de plusieurs élus bretons.

    Félicitations à Jean-Marie Lebraud, délégué régional du Parti de la France, et à toute son équipe pour l'organisation et la réussite de cette sympathique journée. 

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    Un public nombreux et attentif.

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    Carl Lang, le chanteur breton Christophe BZH et Roland Hélie.

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    Parmi les convives, Philippe Randa (à gauche).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/15/la-fete-du-cochon-grille-de-la-federation-bretonne-du-parti-de-la-france-a.html