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La scène, filmée par les caméras de vidéosurveillance urbaine ce mardi vers 13 h à Besançon, a de quoi faire bouillir de rage et d’incompréhension. Alors qu’il déambulait paisiblement avec sa fille septuagénaire, un homme âgé de 101 ans a été agressé près de la place de la Révolution. L’assaillant était, visiblement, déterminé à lui voler le sac qu’il portait en bandoulière.
Qui sème le vent récolte la tempête. À propos de la Jeune Garde, on pourrait dire : qui sème la terreur récolte la dissolution. Le groupe antifa, qui s’était hissé jusqu’à l’Assemblée nationale par l'intermédiaire du député NFP de Vaucluse triple fiché S Raphaël Arnault (Archenaud), est désormais visé par une procédure de dissolution que le ministre de l’Intérieur a annoncée ce mardi 29 avril. Pour les collectifs militants de droite, l’annonce a été reçue comme une victoire... et un « réel soulagement ».
Ce premier mai déchire, entre ceux qui voudraient le maintenir férié et les autres, qui voudraient en faire un jour comme un autre, revendiquant le droit de travailler. Au RPF, le travail est l’une de nos valeurs fondamentales et profitons de ce jour pour dresser quelques constats. La valeur travail justement disparaît, travail au sens de « production de richesses ». Car c’est bien cette considération qu’il faut prendre en compte si nous voulons que la France retrouve à la fois du rayonnement et des finances. Il faut bien différencier ces emplois de ceux qui sont créés en masse actuellement : des gestionnaires et des contrôleurs. Nous pondons des normes, avec des gens pour les appliquer, des gens pour les contrôler, d’autres gens qui supervisent les contrôleurs, des conseilleurs pour que tout le monde se retrouve dans le fatras. Mais encore, des surveillants, puisque désormais tout est soumis à la délinquance galopante et qu’il est désormais impensable d’envisager le moindre travail sans système de contrôle des locaux, des employés, sans avoir de vigile… La charge sur le travail a augmenté sans limite, d’impôts, de normes, de taxes, de surveillance, de contrôle, fruits d’une politique qui a conduit à la perte de la conscience professionnelle et de la rigueur.
La salle Coluche, remplie à ras-bord, ne contenait pas assez de places assises pour accueillir tout le monde, ce mardi. (…) Ils étaient plus de 400, essentiellement des Loonois, à avoir fait le déplacement ce mardi pour une première réunion publique organisée par le maire de Loon-Plage en présence de représentants de l’État pour évoquer les problématiques soulevées par la présence de migrants dans la commune (…)
Malgré sa récente condamnation à 5 ans d’inéligibilité et 4 ans de prison dans l’affaire des assistants parlementaires, Marine Le Pen reste largement en tête au premier tour de la présidentielle 2027 avec 32 % des intentions de vote, selon un sondage Odoxa pour Public Sénat. Jordan Bardella obtiendrait des résultats similaires s’il la remplaçait.
C’est un désaveu cinglant infligé aux partisans de la transition écologique par le haut de la contrainte : d’après un sondage Ifop commandé par la Ligue de Défense des Conducteurs, la Fédération Française des Motards en Colère et le mouvement des #Gueux d’Alexandre Jardin, 78 % des Français souhaitent purement et simplement la suspension des ZFE, ces zones à faibles émissions imposées aux automobilistes dans les grandes agglomérations.
Depuis 1941 en France, la fête du Premier mai est supposée rendre hommage au Travail. Les disciples de Nathalie Arthaud et autres nostalgiques d'Arlette Laguiller contestent fortement cette interprétation légale, car elle remonte au gouvernement de l'État français. Elle leur paraît trahir la tradition des luttes syndicales ouvrières. C'est en 1856, en Australie, qu’est née, en effet, la revendication d’une journée ouvrière de repos, comme un moyen d’obtenir la journée de 8 heures. La date était alors fixée alors au 21 avril. Ce n'est qu'en 1889, que les socialistes de la IIe Internationale décidèrent de fixer leur mobilisation au 1er mai, en référence aux violences répressives lors des manifestations de 1886.
Manifestation d'étudiants en mai 68. (Photo by AFP)
La fameuse Génération Z, celle née entre 1995 et 2010, n’est pas aussi rétive au travail qu’on le dit, selon le rapport intitulé « Les jeunes et le travail : aspirations et désillusions des 16-30 ans ». Publié par le think tank Institut Montaigne, il a été réalisé par Yann Algan (HEC), Olivier Galland (CNRS) et Marc Lazar (Sciences Po). Apport marginal mais intéressant de ce rapport : être de gauche est souvent lié à un mal-être.
“Âgé de 48 ans, Fouad Benfatah avait été arrêté dans le quartier des Cannes après un refus d’obtempérer. Il aurait, selon les témoignages recueillis, abordé une jeune femme de 26 ans et trois mineures pour les faire monter dans son véhicule. Deux policiers, mobilisés lors de l’interpellation, ont porté plainte pour mise en danger de la vie d’autrui.”
Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.