La direction de Science po Paris a conclu un accord avec les manifestants anti-Israël qui occupent et bloquent le fonctionnement de cette école depuis plusieurs semaines. Les termes de cet accord ne paraissent pas encore clairement connus : levée des sanctions, condamnation d’Israël, fin de certaines collaborations [à vérifier]… Voici donc un ancien fleuron de l’université française qui bascule en officine idéologique anti-Israël. L’école libre des sciences politiques a été créée après la défaite de 1870 pour renouveler les élites dirigeantes françaises, devenant l’Institut d’Etudes politiques (ou science po) à la Libération. La scolarité, pendant longtemps, était dominée par un concours d’entrée extrêmement sélectif, puis trois années d’études intenses qui s’accompagnaient souvent d’un cursus parallèle ou complémentaire (droit, histoire, science éco).
France et politique française - Page 216
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Science po, le désastre absolu
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Le salaire décent, une réponse à la question sociale ?
Illustration ci-dessus trouvée sur la toile, sur le site de Famille Chrétienne.
Dans un précédent article, je dénonçais l’hubris capitalistique de M. Tavares et des rémunérations peu raisonnables au regard de la décence sociale. Mais, que faire face à ces excès qui semblent devenus si naturels que l’on en oublie parfois ce que devraient être la mesure et, au-delà, la justice sociales ? Plutôt que d’évoquer, à nouveau, la politique d’État possible face à cette situation, il me semble intéressant, cette fois-ci, de regarder ce que les grandes entreprises elles-mêmes peuvent faire pour remettre un peu de social dans l’économie : le cas de Michelin peut servir d’exemple utile et inciter à réfléchir à un « autre modèle »…
Certains, à la lecture des lignes précédentes (cf article précédent sur l’indécence sociale), hausseront les épaules et me taxeront peut-être d’utopiste (version sympathique) ou de démagogue (version classique), voire de dangereux gauchiste (version stupide). Et pourtant ! Si M. Tavares est le symbole d’une indécence sociale qu’il convient de dénoncer, sans doute parce qu’il représente et incarne le capitalisme dans ce qu’il peut avoir de plus odieux (1), il est des patrons qui n’ont pas son cynisme et son avidité, preuve s’il en faut que c’est un système idéologique et son esprit dominant qu’il faut combattre et non les chefs d’entreprise ou les cadres de celle-ci qui n’en sont, trop souvent (mais pas toujours, heureusement !), que le reflet ou les exécutants rendus dociles par l’intérêt ou la peur de ne plus valoir (ou paraître ?) aux yeux de la société contemporaine.
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Monsieur Macron nous parle de son monde, mais pas du nôtre !
Et dans son monde, la France n’existe plus. Elle est d’ores et déjà remplacée par l’Europe.
Et ce mot d’Europe revient constamment dans ce discours technocratique. Par contre, aucune référence quant aux peuples européens. Ils ont purement et simplement été gommés, comme si, par magie, un unique peuple européen né de son imagination était apparu.
Il est frappant de voir que l’Europe, que l’on voulait bâtir sur les valeurs de la démocratie et la paix, se transforme aujourd’hui en une sorte d’État totalitaire dans lequel des personnalités non-élues donc non soumises à la souveraineté populaire, décideront seuls de notre façon de vivre.
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République et démocratie en France, une histoire trouble
Un bureau de vote en 1891 (tableau d’Alfred Bramtot).Quiconque a un peu de culture politique sait que « République » et « démocratie » ne sont pas des termes synonymes et interchangeables. La République populaire de Chine, la République de Cuba ne sont pas démocratiques. A contrario, le Royaume-Uni, l’Espagne, le Danemark sont des monarchies démocratiques. Il n’est même pas besoin d’aller chercher les exemples à l’étranger : la Première République ne fut pas démocratique (1) ; alors que le Second Empire fut démocratique (bien que les élections furent sévèrement encadrées). -
Face au « Pas de vague », c’est Mila la révoltée qui a raison
N’en déplaise à Caroline Fourest, figure solennelle de la « gauche républicaine », c’est Mila la révoltée qui a raison. Déboulant le 8 avril sur RMC, la jeune femme de 21 ans a lancé : « J’ai la haine, la rage », parlant de l’emprise islamiste grandissante sur la France. Ce jour-là, la résistance à la charia qui vient et à l’avachissement de la République a pris le visage de cette guerrière blonde et tatouée, qui vécut sous protection policière pour avoir traité l’islam de « religion de merde » il y a quatre ans. Or l’essayiste Fourest, qui batailla utilement contre Tariq Ramadan, reproche à Mila son manque de « nuances ».
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Débat Bardella-Hayer : cela aurait pu être pire…
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Paris : La mairie souhaite réquisitionner le lycée Brassai (désaffecté), qui doit servir pour les JO, pour loger les migrants occupant La maison des Métallos, depuis presqu’un mois empêchant la programmation du lieu culturel
«La Ville demande de l’aide à l’État. La mairie de Paris propose au gouvernement un lycée inoccupé, géré par la région, pour héberger les 100 à 200 migrants qui occupent un de ses établissements culturels, ou font l’objet d’évacuations régulières dans la capitale. Un sujet sensible à moins de trois mois des Jeux olympiques (26 juillet – 11 août). (…)
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La France silencieuse, ultime rempart face à la subversion islamiste
L’entrisme palestinien à Sciences-Po n’est pas le problème : depuis les années soixante-dix, l’Education nationale et l’Université sont les terrains privilégiés de l’agitation subversive de la gauche. (J’ai eu, à cette époque, ma part d’éducation marxiste à la faculté de droit de Nantes). Mais cette politisation restait jusqu’alors une anomalie contournable. Elle devient préoccupante quand elle ne rencontre plus d’obstacles. C’est ce qui s’est produit, vendredi soir, avec la capitulation de la direction de l’école parisienne, félicitée pour son attitude par Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur. Les deux autorités ont renoncé à sanctionner les bloqueurs du Comité Palestine, keffiehs et drapeaux palestiniens en emblèmes, et ont promis de réexaminer les « partenariats de l’école avec les universités et les organisations soutenant l’État d’Israël ».
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Saint-Chamond (42) : L’élue patriote Isabelle Surply victime d’une troisième série de menaces de mort en un mois (MàJ : Menaces explicites de la part des Loups Gris contre tous ceux qui s’opposent à eux)
01/05/2024
De la part d’Isabelle Surply sur Twitter :
INFO : Je viens de recevoir de nouvelles photos de la part de parents d’élèves totalement indignés et choqués… En réalité, les tags à Sainte Marie forment un menace/exhortation ultra ciblée : “ -
[ÉDITO] À Domrémy, Marion Maréchal relève le drapeau de Jeanne d’Arc