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France et politique française - Page 2354

  • Et Manu, tu (re)descends

    rodin-le-penseur.jpgLe président turc sortant Recep Tayyip Erdogan et son parti islamiste AKP n’ont pas vraiment  la cote en Europe mais ont remporté largement les élections présidentielle et législatives de cette fin de semaine en Turquie. M. Erdogan a été réélu dés le premier tour, promettant de se doter au passage de pouvoirs (encore) renforcés et l’AKP est assuré de rafler la majorité au Parlement. Il parait pourtant que l’opposition croyait en ses chances…  Résultats électoraux qui coïncident  avec le tenue dimanche d’un mini-sommet européen sur la crise migratoire visant à déminer le terrain avant le Conseil européen de jeudi et vendredi. Comme il fallait s’y attendre,  les positions entre gouvernements européens sont trop dissemblables pour que ce mini-sommet ait pu accoucher d’un quelconque résultat. La veille, le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini  dénonçait « l’arrogant président français ». Un  donneur de  leçons, hypocrite, incapable d’appréhender la catastrophe économique, sociale,   identitaire que  représente pour l’Italie l’arrivée massive de  clandestins.  Invité de france info hier, François Gemenne, chercheur à l’université de Liège et à Science Po Paris, spécialiste des flux migratoires, actait lui aussi par avance  l’échec de ce mini-sommet « convoqué par Jean-Claude Juncker pour essayer de sauver Angela Merkel, en grande difficulté en Allemagne du fait de sa mise sous pression par le parti bavarois CSU, qui lui intime de trouver une solution (à la crise migratoire) .»  « De plus, plusieurs pays, notamment d’Europe centrale et de l’Est, membre du groupe de Visegrad, ont annoncé qu’ils ne viendront pas. Il y a une sorte de fuite en avant. Plus personne ne sait que faire face à cette question, face à une crise montée en épingle, qui menace le projet européen lui-même.»

    Un climat général, couplé à l’absence de résultats tangibles de ce gouvernement sur le front de l’emploi, la poursuite de la dégradation  du niveau et de la qualité de vie des classes moyennes et populaires,  qui expliquent la nouvelle érosion de la cote de popularité d’Emmanuel Macron. Celle-ci a atteint selon  un sondage Ifop paru hier  dans le Journal du Dimanche  son plus bas niveau depuis un an,   avec  seulement 40% de sondés satisfaits de l’action du président contre 64% en juin 2017; une courbe descendante que suit dans les mêmes proportions le Premier ministre Edouard Philippe.

    Mais la politique se nourrit et s’incarne aussi par des symboles, aussi,  il y a  fort à parier que la fête de la musique organisée  par Emmanuel Macron dans la cour de l’Elysée le 21 juin laissera  des traces.  Elle vient télescoper, saborder les efforts qu’avaient entrepris le chef de l’Etat pour restaurer la dignité d’une fonction présidentielle qui   avait  très abîmée par Nicolas Sarkozy et François Hollande.

    RT l’a relevé « la fête de la musique 2018 de l’Elysée  avait été annoncée en grandes pompes comme un événement extraordinaire : pour la première fois, la musique électronique ferait son entrée dans la cour du palais présidentiel le 21 juin (…). Mais c’est la prestation de Kiddy Smile qui aura fait le plus couler d’encre  (…) : il a amené avec lui un aréopage d’exubérants danseurs pratiquant le voguing (danse développée par la communauté LGBT afro-américaine) (…). D’autres ont simplement noté le message sous-jacent du t-shirt du DJ Kiddy Smile : Une fête de la musique à l’Elysée politique : Kiddy Smile dénonce la loi Asile et Immigration en portant un t-shirt Fils d’immigrés, noir et PD sur scène.»

    « Sur son compte Facebook, le musicien a explicité sa démarche en ces termes le 20 juin : Je sais ce que représente l’Elysee en terme d’oppression et d’histoire pour QPOC / POC (queer people of color) et la communauté LGBTQIA+ ainsi que la répression des migrants mais je crois fermement au high jacking du pouvoir en place de l’intérieur et a la création du discours la où il n’y en a plus/pas : cette invitation à mixer dans la demeure temporaire de Macron se présente à moi comme une opportunité de pouvoir faire passer mes messages : moi fils d’immigrés noir pédé va pouvoir aller au cœur du système et provoquer du discours de par ma présence.»

    « Le portrait pour lequel le couple présidentiel a pris la pose avec les danseurs de Kiddy Smile a également fait réagir la presse.» Albert Zennou rédacteur en chef du service politique du Figaro ou  encore sa collègue journaliste Eugénie Bastié   ont eu beau  jeu comme d’autres d’établir un parallèle entre un Macron  recadrant (avec raison)   un collégien  qui l’avait interpellé irrespectueusement le 18 juin en marge des commémorations  au Mont-Valérien  « parce que ça porte atteinte à la fonction présidentielle et (qui)  en même temps (transforme) l’Elysée en boite de Nuit».

    Cette photo  surréaliste ou Emmanuel et Brigitte Macron  sont cernés  par des créatures LGBT a été particulièrement mal vécue par  beaucoup de Français expatriés  (ils sont officiellement  1,8 millions) dans des nations où la tenue est encore de mise. Certains d’entre eux nous ont écrit   pour nous faire part de leur honte pour  l’image de la France  devant  la consternation incrédule de nos amis étrangers, mais aussi devant la  risée et les quolibets dont notre pays est l’objet  depuis que cette photo notamment  s’est répandue sur les réseaux sociaux…

    Alors,  nous sommes en effet ici dans le  «en  même temps » macronien  qui confine peut-être  au dédoublement de personnalité. Nous notions vendredi sur ce blogue cette réflexion de  Brice Couturier, chroniqueur sur France Culture,  qui expliquait  que « Macron est hanté par l’idée que la France est victime d’une crise civilisationnelle et culturelle, autant sociale et économique. Il faut donc réconcilier les mémoires nationales et restaurer une fierté nationale. »

    L’inénarrable militant-journaliste  anti-national Bruno Roger-Petit, aujourd’hui porte-parole de l’Elysée,  confiait au Monde en mai dernier que M. Macron, tout  fédéraliste européiste qu’il est,  se voyait comme le successeur  des 40 rois qui ont fait la France. Un Macron qui comme nos rois sanctifiés le jour du sacre par la Sainte Ampoule,  serait un  représentant de Dieu sur terre, et dont il explique l’appétence  pour les bains de foule en référence aux rois thaumaturges qui guérissaient  les écrouelles: « Pour lui (E. Macron), le toucher est fondamental, c’est un deuxième langage. C’est un toucher performatif : Le roi te touche, Dieu te guérit. Il y a là une forme de transcendance.»

    Bref, Emmanuel Macron aurait compris les deux dimensions de la politique, la sacrée et la profane,  l’importance de ne pas désacraliser le pouvoir, en lecteur peut-être  de l’historien Ernst Kantorowicz qui,  dans Les deux corps du Roi, avait montré en quoi le monarque médiéval possédait un double corps : le corps naturel, mortel, et le corps surnaturel, celui qui incarne le principe dynastique et ne meurt pas…

    Autant dire note Bruno Gollnisch,  que cette fête de la musique élyséenne nous replonge dans la vulgarité la plus crasse et  que ce solstice d’été 2018  écornera durablement  l’image solaire,  jupitérienne de notre  monarque républicain.  Certes, certains pourraient nous rétorquer que nous  étions le 21 juin  dans l’exceptionnel  et non pas dans la règle… Un peu à l’image  des Saturnales de la Rome Antique, dont le carnaval moderne est le dérivé, ces fêtes ou les serviteurs commandaient aux maîtres et ceux-ci les servaient.  Un monde renversé l’espace d’un instant, ou tout se faisait à rebours de l’ordre normal… qui n’est pas  de faire danser des travelos en résille sur le perron de l’Elysée pendant que Manu frappe dans ses mains et que Brigitte tape du pied…

    Le problème c’est que nous sommes rentrés depuis longtemps dans le règne du carnaval permanent, de  l’inversion dans tous les domaines.  Au risque  de passer pour des pisse-froids,  ce type de spectacle au cœur d’un lieu symbolisant le pouvoir Français est consternant.  Mais nous assumons nos répugnances, un homme sain doit en avoir,  et comme le soulignait  Jiddu Krishnamurti, « ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade. »

    https://gollnisch.com/2018/06/25/et-manu-tu-redescends/

  • Nicolas Dupont-Aignan: « J’estime que notre pays est colonisé (…) économiquement, religieusement et migratoirement »

    Nicolas Dupont-Aignan était l'invité de Laurent Ruquier sur le plateau d’On n’est pas couché ce samedi 23 juin :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La liberté d'expression n'existe plus sur le net

  • EMMANUEL MACRON : HARO SUR LE NATIONALISME

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    La presse nous informe : en déplacement dans le Finistère, Emmanuel Macron a comparé la progression du nationalisme à « la lèpre qui monte ». Dans un salmigondis approximatif, le brillant énarque a déclaré : « Je vous le dis avec beaucoup de gravité. Beaucoup la détestent, mais ils la détestent depuis longtemps et vous les voyez monter, comme une lèpre, un peu partout en Europe, dans des pays où nous pensions que c’était impossible de la voir réapparaître. Et des amis voisins, ils disent le pire et nous nous y habituons », a déclaré le président de la République, ce jeudi 21 juin .

    Voilà, tout est dit : quand l’immigration devient un problème social, sanitaire, économique, géopolitique, quand elle pose la question de la souveraineté nationale, aussi bien des pays dont sont issues les vagues de migrants que ceux qui les accueillent, ce sont bien sûr les « nationalistes » les fauteurs de troubles…

    Pourtant, pour reprendre l’élégante métaphore, le sentiment partagé de la lèpre montante de toute part, ce ne serait pas la montée du nationalisme qui viendrait en tête de la liste.

    D’ailleurs, le nationalisme, en France, n’est-il pas une invention de la république ? Laquelle a hérité du « pré carré » capétien constitué en huit siècles. La France était encore dans la logique du « nous », celui de la solidarité nationale inaliénable face aux impérialismes qui se dressaient à nos frontières.

    Un déjà ancien rapport de Gilles Kepel, publié à l’automne 2011 par l’Institut Montaigne – Banlieue de la République -, révélait que la République, qui s’est toujours historiquement adossée au patriotisme pour protéger sa légitimité, a commencé à scier la branche sur laquelle elle était assise dès lors qu’elle a choisi de rejoindre le camp du libéralisme supranational en abandonnant notre souveraineté à Bruxelles et à Washington.

    Le discours sur la laïcité et les valeurs républicaines a, dès lors, perdu de sa crédibilité.

    Depuis les traités de Rome, de Maastricht et de Lisbonne, l’accord de Schengen ou l’abandon du franc, ou encore le retour de la France dans le commandement intégré de l’OYAN, il est clair que la République se dépouille de ses oripeaux nationaux, et du premier d’entre eux, à savoir une « souveraineté nationale » à laquelle elle s’identifiait.

    Pourtant, le cri de « Vive la nation » et même la notion ambiguë de « sang impur » sont bien des inventions de la Révolution.

    Mais d’après Macron, ce nationalisme, hier encensé, aujourd’hui détestable – à cause, je suppose, des guerres mondiales notamment, lesquelles ne furent pas des entreprises nationalistes mais en réalité impérialistes (encore un héritage de notre Révolution qui a « métastasé » le peuple allemand grâce aux talents de Fichte en particulier, le père du pangermanisme) -, serait la cause des malheurs que nous vivons.

    Admettons qu’il soit de bon ton de fustiger le nationalisme, ce mot-valise qui permet facilement de désigner le mal absolu, la bête immonde, savamment tenue en éveil par nos élites orwelliennes, pour nous donner les chocottes et nous faire accepter servilement l’enfer qu’elles organisent par ailleurs… Mais quand même, on est en admiration devant ce culot arrogant qui consiste à installer le chaos et à stigmatiser, avec cette violence idéologique rappelant les belles années de 1917 en Union soviétique, ceux qui réagissent à bon droit.

    Pourtant, il peut y avoir une forme de nationalisme intelligent, le « nationalisme intégral » (année Maurras oblige) qui promeut (en France) l’indépendance et la continuité de l’État et la souveraineté pacifique de la nation, la solidarité historique des peuples de France, et, à l’extérieur, un interlocuteur libre et stable, capable de nouer des alliances multilatérales dans l’intérêt de son peuple, sans subir les pressions de la finance internationale. Nous appelons cela « la monarchie ».

     Membre du comité directeur de l'Action Française
  • JEUDI PROCHAIN, 28 JUIN, SERGE AYOUB INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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  • Le Samedi Politique : Industrie, énergie et scandales, 40 ans dans les coulisses du pouvoir avec Loïk Le Floch-Prigent

    Edition Spéciale du Samedi Politique : Après 40 ans dans les coulisses de la République, Loïk Le Floch-Prigent a dirigé quelques unes des plus grandes entreprises françaises telles que Elf et la SNCF. Pris dans un des plus célèbres scandales français, il connaît les rouages les plus secrets du fonctionnement de l’Etat profond. Avec nous, il revient sur l’évolution catastrophique de l’industrie française, et sur son parcours unique, du jeune breton marqué à jamais par son identité régionale rythmée par les marées à son ascension fulgurante jusqu’à la tour Elf.
    Avec son dernier ouvrage, En finir avec les idées reçues, il dresse un constat accablant de la gestion de l’industrie et livre sa vision : une vision pragmatique, scientifique et empirique.

    https://www.tvlibertes.com/2018/06/23/23734/samedi-politique-industrie-energie-scandales-40-ans-coulisses-pouvoir-loik-floch-prigent-2

  • Macron veut des sanctions financières pour les pays qui refusent d’accueillir des migrants

    Lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, Emmanuel Macron s’en est pris aux pays “qui revendiquent massivement leur égoïsme national”.

    Le président français Emmanuel Macron s’est prononcé samedi en faveur de sanctions financières envers les pays de l’Union européenne qui refuseraient d’accueillir des migrants.

    Au cours d’une conférence de presse avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, il a affirmé qu'”on ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires”.

    “Je suis favorable à ce qu’il y ait des sanctions qui existent en cas de non solidarité (…), à ce que des conditions sur ce sujet soient mises au financement d’aides structurelles”, a-t-il précisé. “Je suis résolument favorable à ce qu’il y aient des mécanismes qui prennent en compte cela. C’est un débat qui viendra en temps voulu.”

    France et Espagne veulent des centres fermés sur le sol européen. La France et l’Espagne ont également proposé la mise en place de “centres fermés sur le sol européen dès le débarquement” des migrants, Emmanuel Macron, prônant une “solution différente et complémentaire” à une crise qui divise l’Europe.

    “Une fois débarqués sur le sol européen, nous sommes favorables à mettre en place des centres fermés conformément au HCR, avec des moyens européens qui permettent (…) une solidarité financière immédiate, une instruction rapide des dossiers, une solidarité européenne pour que chaque pays prenne de manière organisée les personnes qui ont droit à l’asile”, a souligné le chef de l’État.

    “Nous devons tenir nos principes”. Pour les migrants qui n’ont pas droit à l’asile, Emmanuel Macron a souligné la nécessité d’avoir “une solidarité européenne et une efficacité pour raccompagner” ces personnes “vers leur pays d’origine” et “en aucun cas vers des pays de transit”. “C’est une solution qui est coopérative et respectueuse du droit. Nous devons tenir nos principes et ne pas nous laisser bousculer par les extrêmes”, a-t-il ajouté à la veille d’un mini-sommet européen sur la question.

    Source Europe1

    https://www.patriote.info/actualite/union-europeenne-actualite/macron-veut-des-sanctions-financieres-pour-les-pays-qui-refusent-daccueillir-des-migrants/

  • Grand Président, il a raison

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    Bernard Plouvier

    Passant par la Bretagne, Grand Président, qui semble succomber à la magie de la musique noire, a évoqué la « lèpre populiste ». Et comme à son habitude, Grand Président se moque de la Nation.

    Il est exact que dans le continent d’un Vivaldi, d’un Mozart, d’un Brahms ou d’un Wagner, nous avons besoin de recevoir des leçons de joueurs de tam-tam. Il en faut pour tous les goûts, même pour le mauvais.

    Grand Président n’aime pas les populistes. Il oublie qu’on peut être populiste sans être raciste (mais pour un môssieur sorti de l’ENA, Antonio Salazar ou Juan Péron doivent être des inconnus).

    De fait, nos merveilleux immigrationnistes oublient qu’en favorisant l’afflux d’une délirante quantité d’individus provenant d’autres continents, ils importent du racisme antiblancs, celui là même que les citadins Français de souche doivent affronter quotidiennement depuis les années 1980… qui a passé sa jeunesse à Roubaix, puis exercé à Lille et à Douai en connait un rayon en matière de racisme antiblancs. Mais Grand Président et sa suite ne sont jamais qu’au contact de « gentils z’immigrés », qui brossent les puissants dans le sens du poil.

    Car Grand Président, s’il se penchait trois minutes sur les réalités triviales de la vie quotidienne des Blancs de la région parisienne, ou de la région de Marseille, de la Lyonnaise, ou du triangle Lille-Roubaix-Tourcoing, saurait que le « Bon Peuple » est quelque peu excédé.

    Si Grand Président a peur de la lèpre (il a tort : dans une société comme la nôtre, c’est une maladie qui se diagnostique tôt et se traite bien ; la lèpre mutilante, ça n’existe plus que chez les sous-évolués, les populations à la traîne), la Nation française, elle, ne veut pas mourir du cancer aux noms multiples : substitution de population (rappelez-vous ce que les Britanniques ont fait en Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande), métissage universel, islam djihadiste, violences urbaines quotidiennes.

    La vie en France, dans les années qui ont précédé le décret de regroupement familial des Giscard et Chirac, n’était peut-être pas idyllique – dans ce que les théologiens juifs et chrétiens nomment une « vallée de larmes », on aimerait savoir où et quand la vie a été une idylle entre doux humains et bonne nature -, mais nous étions chez nous et entre nous.

    Pour changer de statut, c’est-à-dire pour passer d’un pays d’Europe occidentale à un gourbi africain ou proche-oriental, il faut au moins consulter le bon peuple. Il est possible qu’une majorité de Français veuillent vivre dans un État régi par la Charî’a et se fondre dans une espèce de race globale, mais il faut au moins, Grand Président, leur demander leur avis. C’est cela que l’on nomme démocratie.

    Et il est probable que le bon peuple de France ne puisse connaitre de démocratie que grâce au Populisme.

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