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France et politique française - Page 2380

  • Rappelez-vous, en 1990 Jean-Marie Le Pen prenait une position audacieuse face à la coalition mondialiste contre l'Irak

    Un entretien avec Serge de Beketch

    Une belle leçon d'histoire

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Syrie: des snipers français arrêtés!

    Ils se seraient retrouvés au poste de contrôle syrien par erreur! Paumés mais groupés!

    Selon le site russe, Mail.ru, 60 militaires français auraient été arrêtés à un poste de contrôle dans le nord-est syrien. Cité par l’agence de presse iranienne Fars, le site russe affirme que c’est l’armée syrienne qui aurait mis la main sur ce groupe de militaires français au nombre desquels figurent des snipers.

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  • « Les Républicains et le FN sont des partis concurrents engagés dans une lutte à mort »

    Daoud Boughezala. Votre dernier livre Le nouveau clivage (Editions du Cerf, 2018) s’ouvre sur un constat : l’alliance du  libéralisme politique et économique est en crise un peu partout en Occident. Des Etats-Unis de Donald Trump à la Hongrie de Viktor Orban en passant par la France périphérique, vit-on la fin d’un monde ?

    Jérôme Fourquet. Je ne sais pas si le libéralisme est en crise, puisqu’il a toujours eu une grande capacité de rebond, mais les effets très profonds de la mondialisation sur les sociétés occidentales se traduisent aujourd’hui électoralement. Les derniers scrutins majeurs – référendum sur le Brexit, élections présidentielles en France, aux Etats-Unis, en Autriche, législatives italiennes – ont en effet été marqués par le succès ou la poussée des offres politiques populistes.  C’est la résultante et le prix à payer de trente ans d’ouverture des frontières et de délocalisations, de métropolisation des économies mais aussi d’immigration.

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  • La France vous souhaite un bon ramadan, par Caroline Parmentier

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    Le ramadan, considéré comme une « période délicate » par les services préfectoraux et la police, vient de commencer. Marqué par l’arrivée en pleine période d’attentats islamistes, de 300 imams étrangers (algériens et marocains) sur le sol français, accueillis par un gouvernement aux petits soins.

    Je sais que le ramadan a commencé quand ma fille m’annonce que plusieurs élèves de sa classe sont dispensés de sport parce qu’ils n’ont pas le droit de boire. Essayez d’empêcher vos enfants de boire par 30 degrés au soleil si vous êtes catholique ou Témoin de Jéhovah et vous serez dénoncé comme appartenant à une secte maltraitante. Essayez de sécher le cours de sport si vous n’êtes pas musulman et il vous faudra non pas seulement un motif religieux ou un mot des parents, mais un certificat médical certifiant votre incapacité après une visite chez un médecin.

    Après les attentats de Trèbes et de l’Opéra, la décision de faire venir 300 imams étrangers est totalement irresponsable. La Croix (mieux rencardée sur le ramadan que sur le carême) nous apprend que « les communautés musulmanes en ont besoin » : « Elles recherchent des religieux capables de réciter l’intégralité du Coran – appris par cœur – sur un mode psalmodique, une pratique connue sous le nom arabe de “tajwid” ». Des textes de fraternité et de paix comme chacun sait. Le vivre ensemble c’est bon pour les idiots utiles.

    Ce sont les « meilleurs imams », nous assure le président du CFCM, ceux de l’islam des Lumières sans doute, passés au crible des services antiterroristes (ce qui nous rassure beaucoup) au moment même où Macron dit travailler à un plan pour mieux contrôler le culte musulman en France et l’éloigner des influences étrangères. « Comment dans un Etat laïque, le ministre de l’Intérieur, certes ministre des Cultes, se préoccupe-t-il de faire venir des imams d’Algérie pour le ramadan ? », s’est indigné Jeannette Bougrab. « Imaginez un seul instant la réaction des médias si le ministre de l’Intérieur s’occupait de recruter des curés dans les campagnes où les offices ne peuvent plus être célébrés. » L’ancienne secrétaire d’Etat, fille de harki, rappelle que « la radicalisation est venue par des prédicateurs du Moyen-Orient, issus pour la plupart des Frères musulmans, mouvement fondé par le grand-père de Tariq Ramadan ».

    Et le ramadan des migrants ?

    Prêtes à se soumettre pour quelques milliards de plus, les grandes surfaces se mettent de plus en plus à l’heure du hallal, les rayons sont de plus en plus envahissants. Le chiffre d’affaires de ce marché communautaire est estimé à 7 milliards d’euros, presque autant que le marché du bio. Carrefour propose jusqu’au 28 mai des réductions spécifiques, Auchan met en avant un catalogue de produits « aux parfums de l’Orient » avec une réduction sur les pistaches, ou une remise sur les bonbons halal.

    Alors que pour Anne Hidalgo, « le ramadan fait partie du patrimoine culturel français », les migrants du camp du canal Saint-Denis et de la porte de la Chapelle se plaignent que les associations ne s’adaptent pas comme il faut et ne leur apportent pas assez d’aliments au moment de la rupture du jeûne… « C’est dans ces moments que notre foi est mise à l’épreuve et nous nous montrerons dignes de notre Prophète », déclare Mohammed car comme il le confie à Libération : « Le ramadan, ça nous rappelle un peu la maison ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 18 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • France : deux Égyptiens préparaient un attentat à l’explosif ou au poison

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    Mais puisqu’on vous dit qu’il n’y aucun lien de causalité entre terrorisme, islam et nationalité des jihadistes !

    Un nouvel attentat a été déjoué en France et deux frères d’origine égyptienne ont été arrêtés, a annoncé vendredi le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb sans préciser la date ni le lieu.

    « Il y avait deux jeunes gens d’origine égyptienne qui s’apprêtaient à commettre un attentat, avec soit de l’explosif soit à la ricine, ce poison […] très fort », a déclaré le ministre sur RMC et BFMTV. Selon lui, les deux hommes échangeaient sur la messagerie Telegram, où ils ont été repérés. Ils disposaient de « tutoriels » pour fabriquer des poisons à base de ricine.

    Selon une source proche de l’enquête interrogée par l’AFP, l’interpellation a eu lieu dans le XVIIIe arrondissement de Paris vendredi 11 mai, veille de l’attaque au couteau menée par le djihadiste d’origine tchétchène Khamzat Azimov.

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  • Entre libéralisme et étatisme, adopter les principes de régulation et de liberté

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    Texte proposé par Ligne Droite cliquez ici

    Toute politique doit reposer sur des principes clairs. En matière économique, Ligne droite fonde l’action de la droite nouvelle sur deux axes essentiels. L’un exige la suprématie du pouvoir politique sur les forces économiques internationales passant principalement par une régulation des échanges aux frontières de l’Europe et visant prioritairement les groupes transnationaux du cartel de Davos. L’autre affirme la nécessité de rendre aux acteurs petits et moyens du tissu économique national leurs libertés économiques par la baisse des charges et des impôts et la limitation des règlements. Ce faisant, la droite nouvelle, qui n’est ni libérale ni étatiste, se déclare exclusivement motivée par la défense pragmatique des intérêts de la France et de l’Europe.

    Le débat récurrent entre libéraux et étatistes

    La question économique a en effet de tout temps suscité de vifs affrontements sur la scène politique. Plusieurs clivages ont structuré le débat mais celui opposant les libéraux aux étatistes a été et demeure le plus significatif mais aussi le plus polémique et le plus confus. Car toute critique du libéralisme est interprétée par certains comme une justification de l’intervention de l’État et donc de la réglementation et du fiscalisme étouffant qui bride les initiatives dans notre pays. De même, toute mise en cause de l’économie étatisée est considérée par d’autres comme un plaidoyer pour le libre-échangisme international et la dérégulation générale voulue par les mondialistes. Il est vrai que la question n’est pas simple et qu’elle s’est considérablement complexifiée avec le processus de globalisation.

    La nécessité de principes simples et clairs

    C’est pourquoi la droite nouvelle n’a pas dans ce domaine une réponse tranchée car, si elle n’est pas adepte du libéralisme, elle n’est pas non plus pour l’étatisme. Son positionnement relève en effet d’une autre logique que l’on peut, au risque d’être accusé de simplisme, schématiser par deux principes simples et structurants.

    Premier principe : prééminence du pouvoir politique sur les forces économiques internationales

    Pour la droite nouvelle, le premier impératif est celui de la prééminence du pouvoir souverain sur le pouvoir économique. Cette hiérarchie est d’ailleurs conforme à la tradition des Européens dont les sociétés ont de tout temps respecté l’ordre trifonctionnel qui place le souverain devant le militaire, lequel l’emporte sur le marchand. Un ordre dont la rupture crée de graves dysfonctionnements car, si le marchand domine le politique, c’est la communauté toute entière qui perd ses valeurs et se dissout.

    Or, tel est précisément le cas dans la France et l’Europe d’aujourd’hui où les considérations économiques l’emportent sur toutes les autres. Plus grave encore, ce n’est pas un pouvoir économique national qui s’impose au gouvernement de la France, mais un pouvoir de dimension internationale. Dans le monde mondialisé du début du XXIe siècle, les grands groupes transnationaux ont en effet acquis un tel pouvoir qu’ils se sont affranchis du contrôle politique des États. Avec des chiffres d’affaires dépassant souvent le budget de nombreux pays, avec des implantations dans tous les États du monde, ces groupes cherchent de plus à faire prévaloir leurs normes et leurs exigences. Quant à leurs dirigeants constitués en une super classe mondiale (le cartel de Davos), ils œuvrent de concert pour imposer leur vision du monde et créer une gouvernance mondiale à leur convenance.

    Aussi, Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de replacer ces forces économiques internationales sous le contrôle des États et en l’occurrence de le faire grâce à la puissance politique que pourrait représenter l’Europe érigée en une vaste confédération. Cette Europe-là pourrait en effet retrouver l’indépendance et la puissance nécessaires pour rétablir la prééminence des peuples et des nations sur le monde marchand du capitalisme financier international.

    Deuxième principe : rétablissement des libertés économiques

    Pour autant, cette exigence de souveraineté du politique ne doit pas conduire à justifier le maintien dans notre pays d’une bureaucratie et d’un fiscalisme qui brident les initiatives et empêchent trop souvent les entreprises, notamment les PME, de se développer et de s’épanouir. C’est pourquoi Ligne droite entend appliquer comme second principe celui des libertés économiques. C’est en effet en libérant les acteurs productifs des contraintes et des charges souvent insupportables que leur impose l’État qu’ils pourront œuvrer à la croissance, à l’emploi et à la richesse de la nation.

    À chaque principe son domaine d’application

    Ces deux principes, suprématie du politique sur l’économie et libération de l’économie des contraintes étatiques, peuvent paraître a priori contradictoires. En réalité, il n’en est rien car Ligne droite entend les mettre en œuvre chacun dans un domaine différent.

    Le rétablissement de la souveraineté du politique sur les forces économiques mondialisée passe en effet principalement par la remise en cause du libre-échangisme mondial et donc par l’instauration d’une régulation des échanges économiques et financiers aux limites territoriales de l’Europe. En redressant les frontières économiques de l’Union, les nations européennes pourraient ainsi reprendre la main sur les grands groupes transnationaux conformément au premier principe de la droite nouvelle.

    Ensuite, à l’intérieur du marché européen désormais protégé de la concurrence sauvage et des initiatives incontrôlées des groupes du cartel de Davos, il serait possible de baisser tant les charges que les impôts et de limiter la réglementation pour stimuler l’initiative et la croissance intérieure en application du second principe proposé par Ligne droite.

    À, chaque principe sa cible d’intervention

    Ajoutons que les pouvoirs publics doivent par ailleurs faire clairement la distinction entre les grands groupes transnationaux et le tissu des entreprises souvent petites et moyennes de l’économie nationale. Les premiers qui ont tendance à échapper au contrôle notamment fiscal des États, doivent être soumis à nouveau à leur imperium. Les seconds, qui sont écrasés par les bureaucraties étatiques, doivent en être libérés.

    Une politique pragmatique mise en œuvre dans le cadre de la nouvelle Europe

    Si, dans la pratique, la politique à suivre devra être mise en œuvre avec les précautions qu’exige la prise en compte de toute réalité complexe, les principes de cette politique seront quant à eux à la fois simples et clairs et devront s’inscrire dans le cadre de l’Europe confédérale que Ligne droite appelle de ses vœux. Le pouvoir souverain de la nouvelle Europe doit reprendre l’ascendant sur les forces économiques internationales en assurant la régulation des échanges aux frontières. À l’intérieur, en revanche, les charges et les contraintes doivent être allégées par les États nationaux pour offrir aux acteurs économiques les libertés dont ils ont besoin.

    Régulation vis-à-vis de l’extérieur, liberté à l’intérieur, le pouvoir souverain, ni libéral ni étatiste, doit gérer les questions économiques avec la seule préoccupation de défendre au mieux les intérêts des nations d’Europe.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/05/18/entre-liberalisme-et-etatisme-adopter-les-principes-de-regul-6052522.html

  • Que faire ?

    Reprendre le titre d’un ouvrage de Lénine semble quelque peu présomptueux mais appelle surtout à une réflexion profonde. Que faire n’appelle pas ici à la révolution bolchévique mais à tout un ensemble de discussions que chacun a pu ou pourrait avoir dans le cadre de discussions politiques. 
    Sans énumérer tous les thèmes de combat et de participation à la vie publique qui sont nécessaires voire impérieux (immigration, Union européenne, délinquance, nucléaire etc…), le constat par les faits, les discours et la pratique montre bien l’ancrage profond des problèmes dans lequel nous sommes aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle de nombreux groupes et partis en France et en Navarre sont présents et militent par tous les moyens mis à leur disposition. C’est aussi la raison pour laquelle un parti comme le Front national bénéficie de scores électoraux encore jamais obtenus depuis sa création, et devenant la première mission du gouvernement : combattre ce parti, même si pour cela, on oublie l’immigration, le chômage, la dette, et tous les problèmes auquel un gouvernement « normal » devrait s’attacher, mais que veut dire normal aujourd’hui… 
    Que faire ? est un appel à notre sens des responsabilités, à notre devoir en tant que Français patriote. Aller dans la rue, manifester, coller, tracter, écrire des pamphlets ou encore pour d’autres prendre conscience des dangers se manifestant par la réalité des circonstances présentes. Cependant, notre plus grand ennemi, à partir du moment où la prise de conscience a été admise (ce qui est un long travail parfois, et qui est malheureusement encore minoritaire), notre plus grand ennemi donc est le défaitisme. Ce dernier se manifeste souvent via des raisons diverses, mais a toujours la même résultante : oui le monde est sale, oui la société est violente et bigarrée, oui les multinationales nous font avaler du poison quotidiennement, et alors, que pouvons-nous y faire ? 
    Très bien, mais alors, devons-nous attendre d’attraper diverses tumeurs pour nous rendre compte que la malbouffe et les OGM nous détruisent biologiquement ? Devons-nous attendre que les vagues (et déferlantes) de l’immigration massive soient une banalité ? Il est trop facile de rester dans son propre confort, de conclure sur une vision pessimiste de la société et de l’homme pour ne plus avoir à se dire que quoi que l’on fasse, il est trop tard
    C’est bien cet ennemi qu’est le défaitisme, souvent ancré au plus profond de nous qu’il faut combattre, comme peut l’être la peur, et qui peut paralyser ou stopper toute réflexion militante. Il est tard, mais il n’est pas trop tard, la situation appelle à l’urgence en effet, le feu se déclare, mais l’incendie peut être éteint. 
    C’est une réflexion naïve et idéaliste dirons certains, peut-être, mais l’ambition n’est pas de tout changer au niveau national, tout au moins dans le cadre d’une vision pragmatique, pourtant la solution est là devant vos yeux : que ce soit en observant les différents groupes politiques qui militent, ou en lisant les œuvres du Comité invisible (qui eux aussi l’ont prouvé par la pratique), le plus important est la constitution d’une commune, de communes si cela est possible (et cela peut l’être au cas par cas). 
    Cela est possible parce que la vision défaitiste est accompagnée d’une réflexion surannée de la société : oui cela serait trop tard si nous vivions dans un Etat proprement constitué : mais réveillez-vous ! Nous ne sommes plus dans un Etat constitué : nous sommes bien sur les papiers en démocratie, mais comme le remarquent la plupart des juristes, il n’y a plus d’Etat de droit en France, nos frontières sont avalées par des grands blocs (financiers ou politiques), et c’est aux membres de la Cité eux-mêmes de se défendre, le pouvoir régalien réservant sa police et son armée à se protéger et non plus à protéger
    Nous vivons aujourd’hui dans ce que Bernard Wicht nomme « les nouvelles féodalités » : ce sont des groupes constitués qui sont aptes à se défendre et à se financer qui représentent les nouvelles entités politiques : multinationales, criminalité souterraine et/ou organisée, groupes de citoyens très aisés. 
    C’est à partir de ce postulat qu’il faut répondre au défaitisme : la constitution des communes par des groupes politiques constitués : que ce soit via des associations, des groupes d’intérêts, via une grande famille, ou encore (et peut-être surtout) grâce à une vision politique commune permettant de garder et sauver ce qu’il est toujours possible de sauver. 
    L’exemple typique, par trop montré par les médias (car un journaliste en 2015 aime ce qui brille et faire de la caricature, bref, c’est un enfant qui a le droit de diffuser sur l’ensemble du territoire…), ce sont les « milices » (gilets jaunes, voisin vigilant etc.). Mais il ne montre pas les villages et villes qui mettent en place le troc et le SEL (système d’échange local), l’accroissement significatif des AMAP, le développement important des monnaies locales, une vision de plus en plus survivaliste parmi la population et la constitution de groupes politiques ou leur accroissement. 
    Tout n’est pas rose aujourd’hui, mais tout n’est pas noir non plus : c’est par l’initiative, l’esprit de vie en communauté, la résilience et l’organisation que ceux qui pourront s’en sortir, ou tout au moins ne pas déchoir en tant que consommateurs dépressifs cosmopolites, s’apercevront bien qu’un combat politique peut toujours est mené dans cette France si souvent malmenée.

  • ALAIN DE PERETTI : LES FINANCES DE L’ISLAM EN FRANCE SONT EXTRÊMEMENT IMPORTANTES GRÂCE AU HALAL. IL SERAIT BON QUE L’ÉTAT Y METTE SON NEZ

    En ce début de ramadan, les grandes surfaces multiplient les campagnes publicitaires en direction de ce marché en pleine expansion.

    Le docteur Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal, réagit à cette omniprésence commerciale.


    Les grandes surfaces ont compris que le ramadan était un marché rentable…

    Il serait difficile de « louper » le commencement du ramadan compte tenu de l’énorme campagne qui est faite autour de cet événement. Cela confirme ce que je dis d’une façon lapidaire : le halal est la conjonction du mercantilisme et de l’obscurantisme.
    Lénine disait que les capitalistes vendraient la corde pour les pendre. Nous n’avons rien changé depuis la fin du communisme. Il y a effectivement un marché en pleine expansion, il suffit de jouer sur l’obscurantisme d’un islam qui non seulement n’évolue pas, mais en plus régresse, car revient à ses origines du VIIe siècle. Nous ne sommes pas prêts de voir le bout dans ces conditions-là.

    Qu’est-ce qui vous dérange dans le principe du ramadan ?

    Je ne parlerai pas des reproches que l’on peut faire sur les impacts négatifs de la santé.
    Je rappelle que les dépenses de consommation et de nourriture augmentent de 44 % pendant cette période. C’est dire que ce n’est pas une période de jeûne ni de privation. C’est surtout la grande bourse. Mais ce n’est pas mon propos.
    Le ramadan, c’est le Hallal, c’est-à-dire, en terme musulman, ce qui est permis, autorisé et même obligatoire. Cela sort de cette sourate : «  vous êtes la meilleure des communautés que Dieu a faites parmi les hommes, vous ordonnez le licite et vous interdisez l’illicite ». Cela signifie qu’ils doivent donc obliger le halal et interdire le haram.
    Tout cela, c’est la charia, la loi islamique qui englobe la lapidation de la femme adultère, la peine de mort pour l’apostat et toutes sortes de joyeusetés. La charia est un ensemble juridique totalement incompatible avec nos règles de droit positif telles que nous les connaissons en Occident et plus particulièrement dans les pays européens.
    Dernièrement, Frédéric Saint Clair a écrit un livre nommé « La droite face à l’islam » qui parle de soft power islamique. Personnellement, je préférerais le terme de soft djihad, c’est-à-dire un djihad qui permet d’accoutumer peu à peu la population française non musulmane à la charia.
    Il y a tout cela derrière le ramadan, sans parler non plus des problèmes que cela pose en matière de sécurité au travail.

    Derrière ce marché très lucratif que représente la communauté musulmane par le biais des produits liés au ramadan, il y a toujours un problème de financement assez opaque ?

    C’est plus qu’opaque. Cela permet le financement de l’islam, même s’il y a au passage des poches particulières qui se remplissent, et aussi du terrorisme. Je rappelle en cela les enquêtes d’un journaliste canadien qui a démontré par l’entremise de sociétés de charité islamiques comment cet argent transitait. On peut également citer le procès Holy Land aux États-Unis.
    Dernièrement, j’ai eu le plaisir d’entendre Bariza khiari, une sénatrice La République En Marche d’origine musulmane, dire que les finances de l’islam en France étaient extrêmement importantes grâce au halal et qu’il serait bon que l’État y mette son nez.

    Dr vétérinaire Président de Vigilance Halal