
Anne Hidalgo, l’immaculée conception sauvée par la justice administrative. Le Conseil d’État en protecteur des élus corrompus, ou des décisions arbitraires, s’est dressé pour voler au secours de l’élue socialiste, en très mauvaise posture suite à se notes de frais injustifiées et visiblement injustifiables . Voilà ce qu’est devenue cette noble institution, Long, Weil et Braibant doivent se retourner dans leur tombe. Voilà comment une dictature se met en place et contribue à sa survie, en protégeant les faquins, en validant ce qui ne devrait pas l’être en portant le sceau de la légalité à la forfanterie. Il n’y a même pas de procès, de maquillage de l’escroquerie, le CE décide que ce ne serait pas bien de devoir donner des explications, que la transparence est l’ennemi du bien donc de la justice. On ne rêve pas, conscient de la faute de Hidalgo et du sort qui serait le sien si une instruction s’ouvrait, on annule tout simplement la requête. Indéfendable, donc on supprime le conflit ! Bien entendu cette exception ne fonctionne qu’avec les gens de gauche, les autres doivent être hissés sur les bûchers de l’inquisition pour expier une vérité écrite par le camp autoproclamé du bien.






