En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Une nouvelle fois condamné pour une série de vols, il devra quitter la France
« Je voulais m’insérer, mais il n’y a rien pour moi en France », se plaint pour se défendre le prévenu, 45 ans… et 30 mentions au casier. Il a été condamné pour une série de vols et devra regagner l’Algérie.
Dans le dictionnaire des bien-pensants, le mot « submersion » n’existe pas. Comme Voldemort est le nom qu’on ne prononce jamais chez Harry Potter, il y a pour les policiers de la pensée des mots qui fâchent. Ils sentent le pas cadencé et le bras tendu.
La République des coquins et des faquins s’illustre une fois de plus, et devinez par quelle bouche elle s’exprime ? Macron bien entendu. Encore et toujours lui, le chantre de la provocation, l’habitué des turpitudes, le virtuose de l’indécence. Moqué à l’international, évité quand il n’est pas carrément remis vertement à sa place par des responsables étrangers, empêtré dans le feuilleton Owens qu’il aurait souhaité étouffer comme il le fait si facilement en France… revoilà l’enfant gâté en pleine crise d’autoritarisme, se contorsionnant comme il sait le faire lors de ses caprices, en annonçant qu’il veut remplacer Fabius par Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel. L’homme mis en cause avec son épouse pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des mutuelles de Bretagne, c’est moins bien que le sang contaminé, mais c’est tout de même un délit. Celui-là même dont les enquêteurs journalistes du Monde nous révèlent, dans leur dernier opus, « les juges et l’assassin » qu’il a docilement appris par cœur les éléments de langage pour mentir officiellement devant une commission parlementaire.
La République des coquins et des faquins s’illustre une fois de plus, et devinez par quelle bouche elle s’exprime ? Macron bien entendu. Encore et toujours lui, le chantre de la provocation, l’habitué des turpitudes, le virtuose de l’indécence. Moqué à l’international, évité quand il n’est pas carrément remis vertement à sa place par des responsables étrangers, empêtré dans le feuilleton Owens qu’il aurait souhaité étouffer comme il le fait si facilement en France… revoilà l’enfant gâté en pleine crise d’autoritarisme, se contorsionnant comme il sait le faire lors de ses caprices, en annonçant qu’il veut remplacer Fabius par Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel. L’homme mis en cause avec son épouse pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des mutuelles de Bretagne, c’est moins bien que le sang contaminé, mais c’est tout de même un délit. Celui-là même dont les enquêteurs journalistes du Monde nous révèlent, dans leur dernier opus, « les juges et l’assassin » qu’il a docilement appris par cœur les éléments de langage pour mentir officiellement devant une commission parlementaire.
Samedi matin 1er février, un policier de Chaumont a été violemment agressé dans l’exercice de ses missions. Dans un communiqué, le syndicat UNITÉ 52, relayé par UNITÉ ZONE EST, exige des réponses.
Samedi 1er février, une patrouille de policiers de Chaumont voit un individu lancer des pierres à hauteur de la Délégation militaire départementale, avenue de la République.
A la suite de la profanation de la tombe de Jean-Marie Le Pen et de sa famille à La Trinité-sur-Mer, Marion Maréchal, sa petite fille, a pris la plume pour répondre à cette ignominie dans le Journal du Dimanche.
Selon le JDC, plusieurs incendies et actes de vandalisme ont été commis dans le quartier de la Rotonde à Nevers dans la nuit du 1er au 2 février. Vers 22h30, un groupe d’individus a entrepris de détruire et dégrader plusieurs biens publics et privés. Les secours étaient toujours à l’œuvre à 0h15 pour maîtriser les feux qui se multipliaient.
400 ans avant J.-C., les savants Démocrite et Aristote s’opposent sur la notion de matière. Démocrite fait l'hypothèse que la matière est composée de particules élémentaires, indivisibles ; il nomme sa plus petite unité « atome » (du grec atomos : qu’on ne peut pas couper) ou noyau, d’où vient le terme « nucléaire ». Pour lui, les atomes sont éternels et immuables. Tandis qu’Aristote partage la matière en quatre éléments : l’eau, l’air, la terre et le feu. Cette dernière notion a perduré 2.000 ans.
Après avoir été un des animateurs du combat à Callac en Bretagne avec mes amis – notamment Pierre Cassen, Catherine Blein, Danielle Le Men – contre la venue de 537 Africains dans un bourg de 2200 habitants, j’ai écrit un livre (« Callac, la mère des batailles » – Synthèse Nationale) afin que les leçons du combat que nous avions mené ne soient pas perdues. Dans ce livre, il y avait un chapitre intitulé « Le business de l’immigration ». Il avait pour objet de dénoncer ce que nous avions commencé à voir, à savoir que des gens officiellement avec le cœur sur la main et voulant « accueillir des gens en grande précarité » (les migrants) étaient en fait des personnes qui agissaient pour des raisons bassement matérielles.
Ça suppute dur autour de l’armée et dans un récent discours, notre toujours hors-sol de président ne s’embarrasse pas de la moindre diplomatie avec les militaires, comme à son habitude. Il pose ouvertement la question « Notre armée est-elle au bout ? », sous entendu de ses possibilités. Le simple fait de poser la question signifie déjà qu’elle est justement au bout, la faute à qui, on se le demande. Entre serrages budgétaires, retards de développement, notamment dans le spatial, fin de l’approvisionnement national en munitions, faiblesse des stocks, porte avion unique, don de matériel à l’Ukraine, fin de la projection de nos forces avec les Antonov russes… notre armée n’est effectivement plus que l’ombre d’elle même et pour finir l’histoire, il faut ajouter la maintenance aléatoire de ce qui reste et cloue dans les hangars, une bonne partie des avions, hélicoptères, chars et navires… et une forme de défiance permanente entre Macron et l’institution.