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France et politique française - Page 3304

  • Hollande vient prendre les consignes à Strasbourg

    Le « président » Hollande et la chancelière Merkel ont échangé lors d’un dîner sur les réfugiés en Europe et le « Brexit », à l’invitation du président du Parlement européen Martin Schulz.

    Quand on connaît le suivisme de notre « président » à l’égard de l’Allemagne et de l’Union Européenne, on ne peut s’empêcher de penser que le dîner informel dimanche à Strasbourg entre Merkel, Hollande et Schulz ressemblait fort à une prise de consignes.
    D’ailleurs, sans surprise, ce dîner et cette séance de travail hier à Strasbourg entre la chancelière allemande et le « président » français à l’invitation du président du Parlement européen a été l’occasion d’un bel unanimisme des protagonistes et pas seulement sur la qualité du « winstub », restaurant typique alsacien, qui les hébergeait.

    Les dirigeants français et allemand ont évoqué la situation en Syrie, en particulier à Alep, exprimant « une vive préoccupation partagée », a-t-on indiqué dans l’entourage du « chef » de l’État. Ils se sont déclarés « pleinement d’accord » sur les moyens de résorber les flux de réfugiés, pour faire de la mise en œuvre du plan d’action européen une « priorité ». Normal, puisque c’est la nouvelle priorité de Merkel, en butte à une opposition croissante à sa folle politique migratoire. D’ailleurs, ils sont aussi d’accord pour s’inquiéter de la « montée des populismes en Europe », en clair de la grogne que suscite ladite politique migratoire.
    Enfin, ils ont exprimé « une appréciation commune sur le projet d’accord avec le Royaume-Uni dans la perspective du prochain conseil européen », selon des sources proches de l’Élysée. Décryptage : Hollande et Merkel souhaitent que l’Angleterre reste dans l’UE, mais sans nouvelles concessions qui pourraient donner un fâcheux exemple à tous les pays mécontents du fonctionnement ubuesque des instances européennes.

    C.D.

    http://fr.novopress.info/197954/hollande-vient-prendre-les-consignes-a-strasbourg/

  • JT du Lundi 8 février 2016 : Edition spéciale / Manifestations anti-immigration

  • A Rungis hier, les patriotes sont venus nombreux assister à la réunion de Riposte laïque et de Résistance républicaine

    L'intervention de Hugues Bouchu

    Malgré les menaces des petits laquais du Système mondialisé que sont les "antifas", Riposte laïque et Résistance républicaine ont marqué un point hier à Rungis en réunissant plus de 600 personnes dans le cadre des journées européennes contre l'islamisation.

    Pierre Cassen, Président de RL, ouvrit la séance dès dix heures et donna la parole à notre ami Hugues Bouchu, Président de la Ligue Francilienne. Puis douze autres orateurs se succédèrent à la tribune. Parmi eux, notons l'intervention très émouvante d'une habitante de Calais.

    Vous pourrez visionner toutes ces interventions en consultant le site de Riposte laïque cliquez ici

    La revue Synthèse nationale était bien sûr présente à cette réunion et de nombreux livres, parmi lesquels notre numéro hors série cliquez làconsacré à la Rencontre Charles Martel qui s'est tenue à Poiiters en juin dernier, furent diffusés à cette occasion.

    IMG_2460.JPG

    Roland Hélie au stand de Synthèse nationale à côté de l'écrivain Renaud Camus

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Front National : Abrogation de la loi Taubira et amélioration du Pacs

    Dimanche soir, Nicolas Bay a confirmé les engagements du FN à propos de la loi Taubira :

    "Nicolas Bay, secrétaire général du Front national, a assuré dimanche qu'en cas de victoire à la présidentielle en 2017, son parti abrogerait la loi Taubira sur le mariage pour tous, accusant au passage Nicolas Sarkozy d'avoir « renié ses promesses » sur cette question.

    « Contrairement à Nicolas Sarkozy, qui a renié ses promesses de campagne, en 2017, le Front national abrogera la loi Taubira et améliorera le pacs pour régler notamment toutes les questions fiscales ou patrimoniales pour les couples du même sexe » (...) Nous sommes attachés à l’état de droit, donc il n’est pas question de démarier les gens qui ont été mariés."

    Philippe Carhon

  • Calais ou la république dans ses oeuvres

    C'est un livre inexplicable, écrit il y a presque quarante ans, alors que le problème de l'immigration n'existait pas encore. J'ignore ce qui m'est passé par la tête. La question s'est posée soudain : « Et s'ils arrivaient ? » Parce que c'était inéluctable. Le récit est sorti d'un trait. Lorsque je terminais le soir, je ne savais pas comment j'allais poursuivre le lendemain. Les personnages ont surgi, inventés au fur et à mesure. De même pour les multiples intrigues.

    Jean Raspail à propos du Camp des Saints.

    Avec les interventions verbales des Républicains sur le chaos calaisien qui ne cesse de s'amplifier, le sujet des migrants en France semble ne plus pouvoir être contourné par l'ensemble de la classe politique française. C'est d'abord Nicolas Sarkozy qui a voulu se refaire une petite santé droitière en déclarant le 26 janvier dernier à Strasbourg que « l'Etat doit faire le travail qui est le sien en évitant la chienlit ». Terme très connoté faisant écho au tag stupide, « Nik (sic) la France » gribouillé par un No Border sur une statue de De Gaulle à Calais lors d'une manifestation (autorisée) pro-migrants dans la ville envahie samedi 23 janvier. Le lendemain, l'ancien Premier ministre Alain Juppé, actuellement porté par des sondages favorables, se rendait à la sous-préfecture du Pas-de-Calais avec ses gardes du corps et une floppée de journaleux. et certainement sous antibiotiques (la police refuse d'assurer une présence régulière au sein des campements tant les miasmes mortifères pullulent comme celui de la tuberculose) afin de communiquer sur un thème qui apparaît d'ores et déjà comme un enjeu électoral pour les Présidentielles de 2017.

    Le 27 janvier, « le meilleur » d'entre eux a donc produit un discours remettant en cause le traité du Touquet (entre Paris et Londres) qui ne correspond plus, en effet, à la réalité migratoire d'aujourd'hui. Pour le mondialiste Juppé, qui est devenu subitement un défenseur de l’État régalien et intransigeant, le problème ne pourra être résolu que par un réel effort britannique en matière d'ouverture, bref avec une Grande-Bretagne qui accepte son statut d'eldorado aux yeux des migrants. Juppé demande à ce que les Anglais s'organisent pour recevoir leur lot de "rôdeurs". Un Juppé, sur place avec ses bottes en caoutchouc, peut bien serrer les mâchoires devant le tas de boue de la Jungle calaisienne, les ""solutions" qu'il préconise ne sont que des traitements cosmétiques, des pansements vanillés sur une jambe sévèrement gangrenée. Car la seule question qui importe, la seule question qui a trait à la survie durable du dernier cercle français, c'est celle-ci : quand refoulerons-nous le fléau ? Quant à savoir si nous devons éjecter ces hordes ténébreuses, prémunir notre peuple de leur venin, la question ne se pose pas. Ces envahisseurs doivent partir. Ils doivent partir car ils sont une masse, car ils sont dangereux, car ils sont doublement dangereux.

    Des bisons pas très futés

    Doublement dangereux, disons-nous, parce qu'ils se comportent en conquérants chez nous et parce qu'ils servent de supplétifs à ces faux anarchistes abjects appelés No Borders qui ne sont mus que par la haine qu'ils éprouvent à rencontre des nations, de l'homme blanc et de Dieu. Le 23 janvier a ainsi été l'occasion pour ces démons de montrer toute l'étendue de leurs capacités malveillantes. Cornaqués par de jeunes antinationalistes en provenance des Pays-Bas, d'Allemagne et de France, les clandestins, en ce samedi, s'excitent, crient des slogans absurdes ou hurlent leur désir de gagner l'Angleterre et son Londonistan : « UK ! UK ! UK ! » crient-ils en chœur Puis environ 2000 migrants et No Borders absurdes débutent leur marche afin de protester sous les couleurs des vendus de la NPA de la potiche Besancenot et des crasseux de la CNT contre les mauvaises conditions de vie dans leur bidonville excrémentiel. Tous bombent le torse dans la ville, vocifèrent. On emmène de grands Noirs apparemment bien nourris à travers des rues secondaires, on leur désigne l'ennemi, on cible la tannière de l'ennemi, on profite du nombre et de l'encadrement pour régler des comptes et pourquoi pas se faire du fasciste. C'était le moment pour les chiens de punir les Calaisiens repérés pour leur résistance.

    Une vidéo où l’on peut voir une famille française provoquée et agressée par une meute d'étrangers qui ne tolèrent pas que les autochtones puissent ne pas apprécier leur présence anormale sur notre territoire, circule sur le net. Les petits enfants de bourgeois lâchent leurs Blacks sur une famille se sentant prise au piège. Le fils de ce foyer pris pour cible, inquiet pour la sécurité de ses parents, sort une carabine, quelques secondes seulement, en espérant faire fuir la meute. Peine perdue, la horde est pleine d'énergie, elle est survitaminée et lance sur nos innocents divers objets sales et rouilles. Peut-être s'agissait-il là d'un avertissement. La prochaine fois, car il y aura une prochaine fois, les petits Gaulois se feront-ils saigner comme des phacochères d'Afrique ? On peut craindre le pire avec ces faux anars toujours impunis et avec leurs pigeons voyageurs toujours partants pour découper un grillage, escalader un mur, insulter et menacer celui qui ne baisse pas les yeux devant eux. Nous pouvons visionner une myriade de vidéos (sur le net) sur le sujet de l'invasion à Calais. On y voit des migrants sur les quatre chemins, toujours en train de bavarder, de crier, de menacer des automobilistes, de cracher des gerbes tuberculeuses dans les airs. Les témoignages de policiers (diffusés sur des média conformes) sont toujours plus alarmants. Alors que l'autorité de la police s'est évaporée (les CRS ne sont plus ni respectés ni craints), le nombre des envahisseurs augmente d'une manière inquiétante ; ils seraient plus de 12 500 à Calais et à l'ouest de Dunkerque. Aussi est-il de plus en plus facile pour les No Borders de recruter des petits téméraires pour des expéditions spectaculaires et promotionnelles comme celle du 23 janvier quand vers 17h30, au crépuscule, 350 migrants et faux anars se sont introduits dans l'enceinte du port de la ville. Puis 35 d'entres eux ont réussi à embarquer sur un ferry qui venait d'amarrer. Mais, après tout, l'on ne sait si on ne devrait pas remercier les dégénérés prétendument anars pour avoir attiré tant de journalistes, photographes et vidéastes amateurs et permis un bon coup de projecteur sur les singeries calaisiennes et les véritables haines de la Jungle cultivées par toutes les fractions de l'Anti-France que l'on peut imaginer. Un policier qui témoignait sur RMC il y a deux semaines évoquait bien sûr ces prétendus anars mais également la présence d'islamistes qui fanatiseraient nos pauvres migrants. Ce n'est guère surprenant. Ceci dit, nous devons nous pencher de plus près sur cette mouvance prétendument anarchiste se faisant appeler No Border. Ses motivations paraissent pour le moins équivoques.

    Les no borders agents du nouvel ordre mondial

    Ces militants ont toutes les caractéristiques des décérébrés de notre temps, bourrés de préjugés conformes sur la politique, la nation, la patrie, le catholicisme. Aussi n'est-il pas étonnant que ces foutriquets se précipitent sur des nomades apatrides, déserteurs, vagabonds, abandonnant femme et enfants en crachant sur toutes les "normes" pour venir les câliner. Ces bousiers viennent rouler leurs boules. Mais ce qui est le plus surprenant, c'est cette volonté d'aider tous ces allogènes à rejoindre l'Angleterre néo-capitaliste où ils finiront dans de vieilles cuisines à travailler 10 heures par jour, au noir évidemment. Les grosses allocations dévolues aux réfugiés ne dureront pas éternellement mais suffisamment pour que nos rôdeurs prennent goût à la grosse ville, au sexe underground, à la drogue, à la fête. Ils travailleront pour la mafia dans les cuisines ou dans la rue en vendant tout ce qu'il faut bien écouler pour remplir les caisses noires de nos élites politiques et économiques. C'est comme cela, après tout, avec cette huile dans les rouages, que le Système fonctionne et nos No Borders ont un rôle à jouer dans sa perpétuation. Plusieurs blogueurs ont par ailleurs montré en fouillant les sites affidés aux No Borders que ces derniers étaient financés (et les donateurs ne sont pas pingres !) non seulement par des institutions publiques et l'Union Européenne, mais également par des ONG mondialistes et des officines subversives antinationales et antiblanches comme celles pilotées par le trop célèbre Georges Soros.

    Voici la liste des commanditaires qui attendent « du concret en retour » : la Commission européenne, le Conseil de l'Europe, le Conseil œcuménique des Eglises, la Rothschild Fondation, le Jewish Humanitarian Fund, l’Open Society de George Soros, l'OSCE, le patronat et le gouvernement fédéral allemand (Foundation Remembrance, EVZ), le Home Office Britannique... Et la liste n'est pas exhaustive. Il est donc désormais difficile de croire que les No Borders sont dans le collimateur des autorités comme l'affirme et le réaffirme (dans chaque article consacré à ce sujet) La Voix du Nord, le premier journal régional du Nord-Pas-de-Calais. Et puis, si ces crétins corrompus étaient vraiment considérés comme des individus dangereux pour le pouvoir et le Système, pourquoi leurs manifestations seraient-elles autorisées et non interdites comme tous les rassemblements réellement nationalistes ? Cependant, nous ne pouvons nous empêcher de penser que s'il fallait exaspérer la population locale et française (de plus en plus inquiète par ces nuées d'étrangers), nous ne nous y prendrions pas autrement. Insultes, dégradations, violences, excitation, affrontements, saletés, menaces, intimidations, et le tout filmé mille et une fois. Comment ne pas s'interroger sur cette extraordinaire permissivité alors que les migrants sont déjà, sans ces moucherons énervants, très excités envers les indigènes et également à rencontre d'autres migrants d'autres cultures ? Pourquoi inoculer en eux une dose supplémentaire de virus rabique ? La tension doit monter, c'est certain. Cette tension sert les intérêts du Système.

    À propos de la violence des migrants, on évoquera ici la brutale expédition de migrants forcenés attaquant le campement de réfugiés qui ont la particularité d'être chrétiens, un christianisme inacceptable, élément intolérable de l'identité selon leurs assaillants musulmans. Cette scène de guerre s'est déroulée dans les Grandes Synthes à l'ouest de Dunkerque où les migrants s'entassent désormais par milliers. Néanmoins, cette tension-là constitue pour le pouvoir en place un épiphénomène qui ne devrait pas contrarier (après tout les chrétiens sont une infime minorité qui se dissipera ou disparaîtra...) son projet de faire de tous ces "réfugiés" de la main d'oeuvre bon marché, d'abord en Allemagne puis en Angleterre et en France quand les coûts de la main d'oeuvre auront baissé car ils baisseront nécessairement dans la configuration de la mondialisation que le pouvoir veut inéluctable. Le Fonds monétaire international n'a-t-il pas plaidé lors du dernier forum de Davos pour une intégration rapide des migrants sur le marché du travail ? L'idée du FMI et de la grande sauterelle Christine Lagarde n'est-elle pas de fournir à ces masses frustes du travail « pas cher » et ainsi de faire pression sur le niveau moyen des salaires en Europe ?

    Une pourriture européenne

    Pourtant la situation est en train de pourrir, et partout en Europe des affaires aussi glauques qu'emblématiques deviennent virales sur la toile et écœurent les autochtones jusqu'à la nausée chronique. En Italie, à Vintimille, une pauvre fille ayant appartenu brièvement à la mouvance stipendiée des No Borders a été férocement violée par un grand Noir clandestin avec qui elle faisait la fête dans le campement il y a environ un mois. (Pour anecdote, la pauvre violée a dû subir les pressions de ses camarades immigrationnistes qui la supplièrent de ne rien dire de son calvaire afin de ne pas nuire à l'image de leurs petits protégés clandestins. À bout, la malheureuse, trompée par l'idéologie cosmopolite, trompée par l'image fantasmatique des migrants, trompée par ses "amis" a craqué).

    En Suède, horreur parmi les horreurs, la police a échoué à sauver un garçonnet de 10 ans que les migrants ont violé les uns après les autres. La police suédoise a été tout simplement obligée de s'enfuir pour sauver la vie de ses agents lors d'une attaque par des migrants. Les policiers essayaient d'extraire cet enfant martyr suite à des accusations de viol dans un centre pour "réfugiés". Voici la version traduite lue dans le journal suédois Vestmanlands Lans Tidning : « Les agents sont entrés dans le centre pour demandeurs d'asile de Västeras pour sauver le jeune garçon qui avait été violé de façon répétée par les "migrants" ».

    Peu avant leur arrivée, les équipes du centre avaient essayé de sauver le garçon mais ont été stoppées par la foule des migrants. Elles ont alors appelé la police.

    Un des officiers a déclaré : « Toujours plus de gens apparaissaient derrière nous. J'étais prêt mentalement à me battre pour rester en vie. » Puis le 25 janvier, une jeune femme qui travaillait dans un centre venant en aide aux clandestins a été assassinée par un migrant. C'en est trop. Et le vieux sang Viking qui coule dans les veines des Suédois jusqu'ici endormis s'est mis à bouillir, la rage se mêlant au dégoût profond inspiré par cette monstruosité qui s'ajoute à tant d'autres. Le 30 janvier (samedi) dernier, des descendants de vikings cagoules ont bousculé des migrants un peu trop "tactiles" avec les femmes du pays. On dirait bien que les exigences sexuelles des migrants, qui fuient l'on ne sait plus trop quoi (ils proviennent, ceux-là, d'Afrique du Nord), leur font perdre la boule. Si les peuples de notre continent pouvaient enfin voir dans cette lubricité brutale l'aveu de leur atavisme irréductible, nous ferions un grand pas en avant vers notre délivrance.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 4 février 2016

  • Arrestation du Général Piquemal à Calais : L'heure du réveil est venue

  • Comment Jean-Lin Lacapelle veut remettre le FN en ordre de marche

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    Nouvel homme fort du Front national, Jean-Lin Lacapelle livre à « Minute » son premier grand entretien. Le secrétaire national aux fédérations et à l’implantation – c’est son titre –qui est aussi vice-président du groupe FN au conseil régional d’Ile-de-France, détaille ici la façon dont il entend faire du FN un appareil performant au service de Marine Le Pen. En filigrane se dessinent l’état actuel du parti mais aussi les ambitions pour la présidentielle et les législatives de 2017, et les évolutions qui pourraient advenir.

    « Minute » : On vous avait annoncé, y compris au sein du FN, arrivant comme secrétaire général adjoint. Finalement, vous avez été nommé secrétaire national aux fédérations et à l’implantation. Quelle est exactement votre mission ?

    Jean-Lin Lacapelle : J’ai été nommé en effet secrétaire national aux fédérations et à l’implantation. Cela signifie que je vais avoir une triple casquette.
    D’une part, je disposerai, dans mon périmètre d’intervention, du secrétariat national aux fédérations, piloté par Nathalie Pigeot, et du secrétariat national aux élections, dirigé par Louis-Armand de Béjarry. D’autre part, et c’est la troisième casquette que Marine a souhaité que j’endosse, j’aurai un rôle de coordinateur sur la formation, entre la vice-présidence à la formation, celle de Louis Aliot, et le secrétariat général, sous la responsabilité de Nicolas Bay.
    Vaste mission…

    En effet…

    Parlez-nous d’abord du travail que vous comptez mener sur les fédérations.

    Il y a là un travail managérial à mener, et c’est probablement mon expérience dans le privé qui conduit Marine à me proposer une mission comme celle-là. L’idée est d’optimiser les structures déjà en place, afin de nous assurer que nous ayons « les bons hommes aux bons endroits ». Très concrètement, je vais détecter les talents pour essayer d’apporter du sang neuf et renouveler les cadres là où c’est nécessaire. Le but est de faire en sorte que nous ayons des structures départementales qui soient efficaces, qualitativement et quantitativement.
    Je vais pour cela me déplacer dans les fédérations – j’ai commencé par

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  • Comment Jean-Lin Lacapelle veut remettre le FN en ordre de marche

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    Nouvel homme fort du Front national, Jean-Lin Lacapelle livre à « Minute » son premier grand entretien. Le secrétaire national aux fédérations et à l’implantation – c’est son titre –qui est aussi vice-président du groupe FN au conseil régional d’Ile-de-France, détaille ici la façon dont il entend faire du FN un appareil performant au service de Marine Le Pen. En filigrane se dessinent l’état actuel du parti mais aussi les ambitions pour la présidentielle et les législatives de 2017, et les évolutions qui pourraient advenir.

    « Minute » : On vous avait annoncé, y compris au sein du FN, arrivant comme secrétaire général adjoint. Finalement, vous avez été nommé secrétaire national aux fédérations et à l’implantation. Quelle est exactement votre mission ?

    Jean-Lin Lacapelle : J’ai été nommé en effet secrétaire national aux fédérations et à l’implantation. Cela signifie que je vais avoir une triple casquette.
    D’une part, je disposerai, dans mon périmètre d’intervention, du secrétariat national aux fédérations, piloté par Nathalie Pigeot, et du secrétariat national aux élections, dirigé par Louis-Armand de Béjarry. D’autre part, et c’est la troisième casquette que Marine a souhaité que j’endosse, j’aurai un rôle de coordinateur sur la formation, entre la vice-présidence à la formation, celle de Louis Aliot, et le secrétariat général, sous la responsabilité de Nicolas Bay.
    Vaste mission…

    En effet…

    Parlez-nous d’abord du travail que vous comptez mener sur les fédérations.

    Il y a là un travail managérial à mener, et c’est probablement mon expérience dans le privé qui conduit Marine à me proposer une mission comme celle-là. L’idée est d’optimiser les structures déjà en place, afin de nous assurer que nous ayons « les bons hommes aux bons endroits ». Très concrètement, je vais détecter les talents pour essayer d’apporter du sang neuf et renouveler les cadres là où c’est nécessaire. Le but est de faire en sorte que nous ayons des structures départementales qui soient efficaces, qualitativement et quantitativement.
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  • Merci, mon général !

    « Un pays multiculturel, multiracial, métissé, ne peut l’être que si les personnes qui constituent la France depuis l’origine ne deviennent pas minoritaires. Nous sommes en train d’évoluer vers cette France ouverte à tous. Notre pays a peur de son passé, de son histoire. On recule devant tout, nous sommes dans un état de repentance permanente. La fierté disparaît au profit de la génuflexion. Les repères ont disparu, la société est déliquescente et les médias qui font l’opinion arrivent à conditionner le pays et à orienter la politique de nos dirigeants. Le pouvoir médiatique façonne les esprits, les mentalités, et les plus hautes autorités de l’Etat sont dépendantes de la presse. »

    Général Piquemal

    Présent du 13 juillet 2010 

    Nous savions, certes, que l’ordre public était gravement troublé à Calais par ces milliers de « migrants », chaque jour plus violents dans une « jungle » où l’on vole, tue, rackette. L’ordre public est violé aussi lorsqu’ils envahissent les maisons des particuliers ou quand les casseurs de No Borders les excitent et les arment pour en découdre avec la police. Et cela dans l’impunité face à une justice débordée et impuissante. Alors, lorsque nous avons appris que la préfète, obéissant au ministre Cazeneuve, avait décidé de mobiliser la police et la gendarmerie pour prévenir « des troubles à l’ordre public » le samedi 6 février, nous avions une bonne raison de nous réjouir. Las ! Ce n’est pas ces milliers d’individus qui pourrissent la vie des Calaisiens que les forces de l’ordre ont chargés, mais quelques centaines de patriotes qui protestaient contre cette situation scandaleuse.

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