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France et politique française - Page 3302

  • L'état des principaux camps qualifiés de « jungle » montre que la France n'a pas les moyens d'accueillir les clandestins

    Jacques Bompard attire l'attention du ministre de l'intérieur sur la dégradation de la situation des camps d'immigrés en France :

    "Le mardi 26 janvier 2016 a éclaté une fusillade au sein du camp de Grande-Synthe, aux portes de Dunkerque. Le bilan de la rixe fait état de cinq blessés, trois par balles et deux autres à l'arme blanche. Ce camp d'immigrés regroupe 2 500 personnes, dont 95 % de Kurdes. Comment alors s'étonner de la situation lorsque l'on constate l'état de ce camp situé sur un terrain boisé et marécageux rendant difficile, voire impossible, l'action des forces de l'ordre : une équipe du Raid, une brigade de gendarmerie mobile, un escadron de CRS et deux équipes cynophiles : il n'en a pas fallu moins pour opérer une perquisition dans le camp de Grande-Synthe. Des armes ont été retrouvées, confirmant le problème sécuritaire que représentent les immigrés et qui inquiète les Français depuis des mois. La « jungle de Calais », « le camp de la honte » portent ces noms pour une raison. Ils reflètent l'inquiétude des Français. Le réalisme impose la solution à la question des clandestins illégaux qui doit bénéficier d'une réponse faisant appel au bon sens. L'état des principaux camps qualifiés de « jungle » démontre que la France n'a pas les moyens d'accueillir les clandestins tout en assurant la sécurité de sa population. L'état de ces camps représente un danger pour les immigrés eux-mêmes. Les minorités chrétiennes de ces camps subissent les majorités musulmanes. Au camp de Grande-Synthe l'objectif à peine dissimulé des populations musulmanes est l'expulsion des chrétiens iraniens du camp, en témoigne le responsable syndical sur place : « il existe un réel problème entre les musulmans et les non musulmans » (Le figaro, 27 janvier 2016). Le constat est indiscutable : le problème vient de l'Islam majoritaire et toujours grandissant pour qui la cohabitation n'est pas envisageable. Des réseaux d'extorsion sont mis en place par ces islamistes qui négocient les passages en Angleterre et font payer l'accès aux douches installées par la municipalité (le bon combat, l'horreur au camp de réfugiés de Grande-Synthe). Le Gouvernement tourne encore une fois le dos à ses responsabilités et les grands médias se gardent bien de relayer ce type d'exactions. Dans cette perspective il est demandé au ministre de l'intérieur si la politique migratoire du Gouvernement compte changer radicalement d'orientation afin de remédier aux problèmes sécuritaires que posent les immigrés pour eux-mêmes et pour les populations françaises. Il s'interroge également sur le fait de savoir jusqu'à quand les ressources de forces de l'ordre seront gaspillées dans des missions que le Gouvernement ne leur permet pas d'exercer efficacement."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Interdiction de manifestations à géométrie variable : l’état d’urgence finira-t-il en quasi dictature ?

    L’état d’urgence est une parfaite illustration de la façon dont les démocraties finissent : par glissements quotidiens, à coup de dénis et de protestations officielles de bonne foi et de forfaitures ahurissantes. La réaction des pouvoirs publics, aux abois sur un plan politique, face à des manifestations d’opposants, constitue une étape sur ce chemin de la dictature. 

    Là encore, il ne s’agit pas de défendre l’Action Française, mais de constater le glissement par lequel l’état d’urgence est désormais invoquer pour justifier de sévères entailles à la liberté de manifester.

    Ce week-end, la préfète du département avait interdit la manifestation de Pegida qui a tout de même rassemblé quelques dizaines de personnes. Crédit Reuters

    L’état d’urgence à Calais

    Alors que les pouvoirs publics, obsédés par les problèmes parisiens et totalement indifférents aux difficultés des Français ordinaires, ont laissé s’installer une situation de non-droit à Calais, l’état d’urgence est désormais mobilisé pour mater les oppositions. Le 23 janvier, la préfecture autorisait une manifestation de migrants, qui a dégénéré. Voici ce qu’en disait la maire de Calais :

    Le 23 janvier, lors d’une manifestation qui n’aurait jamais dû être autorisée, un groupe important de migrants a pu envahir le port et une partie d’entre eux ont même accédé à un ferry. Cet événement a montré la fragilité du dispositif de sécurisation du port, et démontré que la lande était hors de contrôle. Comme je ne peux accepter qu’une partie du territoire de ma ville ne soit pas sous contrôle, je demande au ministre de l’intérieur qu’on en sorte les gens qui n’ont rien à y faire et qui incitent les migrants à ce type d’action.

    La maire faisait évidemment allusion aux militants no-borders qui ont infiltré les camps de réfugiés et y incitent à l’agitation. L’Etat ne cherche manifestement pas à les contrôler.

    Ce week-end, la préfète du département avait en revanche interdit la manifestation de Pegida qui a rassemblé quelques dizaines de manifestants. Le leader du groupe, le général de la Légion Etrangère Piquemal, y a été arrêté et sera jugé en urgence ce lundi.

    Il ne s’agit pas ici de défendre Pegida France, mais de pointer du doigt la partialité de l’Etat dans cette affaire, dont il ne sortira rien de bon.

    L’état d’urgence à Marseille

    Vendredi, une autre manifestation était interdite. Il s’agissait du rassemblement de l’Action Française sur la tombe de Charles Maurras dans le village de Roquevaire. On le voit : on est loin, ici, des logiques de manifestation dans des zones sensibles. Malgré tout, la préfète locale a invoqué l’état d’urgence pour restreindre la liberté de manifester :

    « Ce rassemblement a suscité un appel à la contre- manifestation lancé par plusieurs associations et fédérations locales », précise la préfecture de police dans un communiqué.

    Elle souligne que la « proximité des deux rassemblements » et une « récente série de heurts et agressions » impliquant des individus se réclamant de l’Action française font courir un « risque avéré de confrontation ».

    Éric Verhaeghe

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Interdiction-de-manifestations-a

  • Anciens combattants : l’Algérie dicte sa loi à la France !

    « L’Algérie dicte sa loi à la France sur les… anciens combattants ! Paris refuse le titre de « prisonniers » aux harkis victimes du FLN car, dixit un ministère, ce« serait très mal interprété par les autorités algériennes » !

    Quel scandale, ce mépris pour nos harkis ! Mais l’État français – de De Gaulle à l’actuel villégiateur de l’Élysée en passant par tous les intermédiaires intérimaires – n’a jamais voulu rendre l’hommage dû à ces soldats musulmans ayant, pour la France, combattu les terroristes du FLN, responsables de la mort d’enfants, de femmes, de vieillards désarmés, européens ou arabes… Terroristes devenus dès l’indépendance d’« honorables élus » d’un inique parti unique mais choyés par tous nos chefs d’État : serrer la main d’un de ces… « as », ça symbolisait la tache honteuse au fronton de la République française, celle en 1962 de l’abandon de nos harkis ayant eu le tort d’aimer la France… Tache qu’aucun Élyséen n’effaça ni n’atténua ! Et ce n’est pas l’expulsable en fin de bail qui le fera… La preuve : ce document rejetant la demande du président d’une association d’anciens combattants connus sous l’appellation de harkis.

    Samedi (6 février), à L’Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne), lors de l’assemblée annuelle de l’Association nationale des anciens supplétifs d’Algérie, Boulevard Voltaire s’est procuré un document prouvant l’allégeance du gouvernement français au FLN au mépris de Français : Les Harkis. Le document émane du secrétariat d’État aux Anciens combattants et à la Mémoire (sélective ?), dépendant du ministère de la Défense de M. Le Drian.

    Qu’y lit-on ? Que, lors d’une réunion, les harkis avaient abordé un « sujet qui lui tient à cœur : la modification de l’intitulé du statut des porteurs de la carte de victime de la captivité en Algérie ». Les harkis souhaitent simplement que ce charabia si inepte, si abject soit changé en « prisonnier de guerre » ou « prisonnier du FLN » à l’image de l’Indochine avec le statut de « prisonnier du Viêt-Minh » ! Refus catégorique ministériel. La raison ? Parce que la dénomination « prisonnier du FLN », lisez bien, « ne peut être envisagée du fait du contexte politique bilatéral entre la France et l’Algérie. En effet, à l’heure actuelle, la priorité est de préserver les relations avec ce pays et le titre sollicité de “prisonnier du FLN” serait très mal interprété par les autorités algériennes. » On rêve ? Non, c’est dit ! Mieux : c’est écrit ! Les autorités « très démocratiques » algériennes tiennent toujours – sinon dans une main de fer, du moins sur un fauteuil du même métal – l’État français en vue de décisions concernant des… Français !

    Réponse des harkis, furieux, au gouvernement : « Nous sommes particulièrement choqués d’apprendre que les autorités algériennes dirigent d’une certaine façon la France et qu’il est plus important de satisfaire des gens qui ont fait des milliers de morts plutôt que de rendre justice à ceux qui ont combattu à ses côtés. » Une missive en forme de missile… »

    Jacques Martinez sur Boulevard Voltaire

    http://www.contre-info.com/anciens-combattants-quand-lalgerie-dicte-sa-loi-a-la-france#more-40888

  • L'Action française répond à la désinformation médiatique

    Suite aux nombreux articles de presse (voir ici), l'AF réplique :

    "Plus d’une vingtaine d’articles sont parus dans La Provence et La Marseillaise, de Mariannejusqu’au Huffington Post. Les mêmes poncifs : « extrême-droite », « racisme », « antisémitisme » reviennent dans beaucoup de ces articles. Ils ont pour unique objectif de disqualifier une école de pensée de plus d’un siècle qui a marqué profondément la vie intellectuelle française. Les procédures que nous entamerons dans les jours prochains contre des journaux sans déontologie pratiquant amalgame et diffamation ne nous empêchent pas d’éclaircir dès maintenant le positionnement de notre mouvement pour écarter tout malentendu.

    L’Action française est un mouvement royaliste qui se rattache à la pensée d’Aristote et de Thomas d’Aquin. Nous nous donnons pour objectif de « militer pour la restauration d’un État souverain exerçant pleinement ses fonctions régaliennes. Seul l’établissement d’une monarchie décentralisée et représentative garantira [à nos yeux] le juste exercice d’une puissance durable ». Notre ADN consiste à « défendre en toutes circonstances l’intérêt national et à instaurer la monarchie ».

    L’Action française et Maurras, par leur influence dans les années 20 ont permis de juguler le développement du fascisme en France. Dans ses Abeilles de Delphes, Pierre Boutang a raconté comment il a réussi à détourner Maurice Clavel du fascisme en le conduisant à l’idée monarchique. Des historiens comme François Furet, Pierre Chaunu et Pierre Milza ont récusé les amalgames à notre sujet, ceux-ci ne procédant que d’une intention diffamatoire.

    De nombreux maurrassiens et royalistes comme le Colonel Rémy, le Général de Bénouville, le Maréchal Leclerc, Jacques Renouvin, se sont retrouvés autour du Général de Gaulle dans la résistance, et ont contribué à la libération du territoire. Charles Maurras considérait que l’Allemagne était l’ennemi numéro 1 et que la collaboration était une trahison comme le montrent ses propos sur Pierre Laval ou sur la Milice. Sa position en faveur de Pétain, courante à l’époque, reprenait l’idée de l’Union sacrée de 1914 et n’impliquait pas d’adhésion sur la politique de collaboration de Vichy. Dès sa fondation, l’Action française refusa de s’en prendre aux personnes et aux biens : Léon Daudet fustigea la « horde barbare d’Hitler ». Maurras écrivait en 1939 : « Le racisme est notre plus vieil ennemi intellectuel  ». Aujourd’hui, l’Action française rappelle qu’elle condamne fermement le racisme et l’antisémitisme ainsi que les comportements haineux de certains mouvements « anti-racistes ». Jacques Bainville, le grand historien de l’Action française enseigne dans sa magistrale Histoire de France : « Le peuple français est un composé. C’est mieux qu’une race. C’est une nation. »

    Nous nous battons pour l’idée royale, principe d’unité à l’origine de l’existence et de la conservation de notre pays. Il est indigne de nous confondre avec des courants, des positions ou des sentiments que nous récusons, et cela sans même avoir pris le soin de dialoguer auparavant avec nous. L’Action française, pour laquelle la nation est avant tout une amitié, ne se laissera jamais confondre avec ceux qu’elle a toujours combattus et qui enseignent le racisme, la haine et le mensonge.

    Alors que la défiance monte dangereusement dans la société, que les conditions sociales s’aggravent, que des attentats barbares viennent de secouer notre pays, les maîtres du système devraient rapidement s’interroger sur le manque de déontologie journalistique et analyser en profondeur les raisons de la fracture de plus en plus béante qui éloigne le pays légal du pays réel."

    Michel Janva

  • [AF Provence] NOUS, LES SOUS-HOMMES

    Les journalistes à la petite semaine et autres vendeurs de papier font leurs choux gras de notre militantisme exigeant, de loin plus rigoureux que leur hypothétique probité. Les masques d’une presse supposée d’information tombent à mesure que les erreurs et mensonges s’accumulent

    Il est néanmoins lassant de découvrir le récit de nos exploits, une fois passée sous le hachoir de plumitifs plus militants les uns que les autres. Le Parti Communiste est hissé au rang de source d’information privilégiée, jamais mise en doute ni confrontée à la source contradictoire que nous devrions être. En effet, tout au long du procès médiatique qui nous est mené, nous avons été forcés d’enfiler le costume du condamné avant même celui de l’accusé, nous n’avons pas non plus été contactés, tout était écrit d’avance. Une simple formalité en somme, avant que ne tombe le couperet.

    L’anathème pour chef d’accusation. Un exemple ? Le racisme. Les républicains nous reprochent leurs propres turpitudes. Voltaire, Jules Ferry et Léon Blum sont racistes, pas le maréchal Lyautey et Charles Maurras. Cette vérité éternelle, ils nous en donnent une illustration quotidienne, tant et si bien que la pensée qui affleure leurs discours et leurs réflexes bolcheviques surannés, est celle du sous-homme. Si nous avons perturbé les évènements de nos adversaires, jamais nous n’avons cherché à les empêcher. Eux veulent nous interdire, nous réduire au silence, nous imposer comme vérité le fiel de leur imagination. Ils ne nous considèrent pas comme leur adversaire, mais leur ennemi. L’ennemi du genre humain. Pour la plupart, ils désirent notre mort sociale et œuvrent en ce sens. Ils s’étonnent que leurs plaintes infondées, leurs déclarations calomnieuses ne soient pas des preuves suffisantes pour nous embastiller sans délai. Pour d’autres, l’objectif est notre mort physique, avec la complicité des premiers : qui a fait l’écho de la grenade déposée devant notre local marseillais ? Personne. Mais tous auront été les relais parfaits d’une propagande inique, inventant selon les besoins du moment des tentatives d’incendie et des agressions à répétition. Qu’il nous soit permis d’affirmer que seule leur désinformation est en cascade. Une cascade aussi putride que les boues rouges de la fosse de Cassidaigne. Ils peuvent nous retarder, ils ne nous arrêteront pas. Ils peuvent nous salir, ce sont nos succès futurs qu’ils préparent. Les sous-hommes d’aujourd’hui seront les héros de demain.

    Illustration : Exemple parmi tant d’autres, un article de La Marseillaise passé au détecteur de plagiat. Résultat : près de la moitié tirée du site des communistes bucco-rhodaniens.

     

  • Leurs méthodes !



    Écoutez cette émission remarquable menée par Christine  Deviers-Joncour, la soit-disant "Putain de la République", et ses propos sur l'ignoble Eva Joly, une sacrée belle pute, la binoclarde pour daltoniens verte et rouge ! Voyez leurs méthodes de corruption, et d'élimination entre  Cancers foudroyants, Crises cardiaques fulgurantes, chutes de balcon,
     ...
    Nombreuses morts d'état, de Bérégovoy à Coluche...  Soucis de Dumas lié à son antisionisme, l'Otan,  à la politique d'Israël. L'horreur d'un Fabius...  Affaires Thomson, Crédit Lyonnais... payés  par nous, les contribuables.  etc.


    Il est quasiment certain que Emmanuel Ratier, suite à son ouvrage sur la saloperie de Valls, a été éliminé par une crise cardiaque provoquée.
    Cette interview de Christine rappelle celle de Marie Laforêt, et je rajouterais aussi le blog de Nicole Guilhaumé. 
    Même nous sommes "aspiré" par la NSA, voir sur la carte des visites en bas du blogue,  le petit point rouge au large de la petite île au large  de l'Afrique qui apparait à mi-journée : la trace de leur visite quotidienne, voir point  dans le carré !
     

    Le Marty, par contre, nous joue le stupide sketch de l'extrême-droaaate et du repli sur soaaa... Reprenant les termes de la Doxa. Ridicule. 

     

  • La France surtaxée

    L'institut économique COE-Rexecode a examiné la question de la surtaxation du capital. Dans une étude à paraître ce jour, et dont Le Figaro dévoile en exclusivité les principaux résultats, l'institut montre tous les méfaits sur l'économie de la surfiscalisation des revenus du patrimoine et du capital. Non seulement elle provoque des «anomalies majeures» entre contribuables -à situation identique des traitements différents- maiselle mine également l'activité économique, en pesant sur la croissance, l'investissement et l'emploi.

    La fiscalité du capital a fortement augmenté au cours des vingt dernières années, passant de 7,3% du PIB en 1995 à 10 % en 2014, soit l'un des niveaux les plus élevés au sein des grands pays européens. C'est notamment la fiscalité sur les ménages qui explique l'essentiel de cette explosion. Son poids atteint plus de 65% du total des revenus du capital des ménages en 2014, contre 38% en 1995. Il est supérieur de plus de 40 milliards à celui constaté en Allemagne. La facture a été alourdie en 1997, puis entre 2011 et 2013, avec «en point d'orgue» l'alignement en 2013 par François Hollande de la fiscalité du capital sur celle du travail.

    Le problème, selon COE-Rexecode, c'est qu'à ces prélèvements se superpose un autre impôt progressif calculé sur le capital (l'ISF) que les autres pays (à l'exception de l'Espagne) n'ont pas. Dans certains cas, cela conduit donc à des «taux marginaux largement supérieurs à 100%», autrement dit confiscatoires. Concrètement, un contribuable aisé, soumis à la tranche de l'IR à 41% et à l'ISF à 1%, peut voir ses revenus d'épargne davantage taxés que ce qu'ils rapportent.

     

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JOURNAL DU MARDI 9 FÉVRIER 2016 : IMMIGRATION / JOURNÉE EUROPÉENNE

  • Calais: Prison ferme pour les prévenus et deux interviews-vidéo du général Piquemal

    Soutien dvt Palais de Justice Boulogne

    En Photo le comité de soutien aux prévenus de la manifestation de Pégida devant le tribunal de Boulogne-sur-Mer lundi. Plusieurs peines fermes ont été prononcées contre les quatre prévenus:

    – Trois mois de prison ferme, mais aménageable, pour «Arnaud»

    – Deux mois de prison ferme pour «Cédric

    – Deux mois de prison avec sursis pour «Romain». (Source)

    Cela semble bien lourd au regard de la mansuétude dont bénéficie les gauchistes pour leurs exactions, alors qu’ici les prévenus n’avaient même pas eu le temps de rejoindre la manifestation et n’ont donc rien pu faire, hormis d’avoir subi une fouille préalable qui a révélé qu’ils détenaient des objets suspects. Ils étaient venus protester contre l’envahissement de Calais par des clandestins qui y font régner leur loi.

    Le général passera au tribunal le 12 mai. Ainsi aura-t-il le temps de préparer sa défense. Un temps que les quatre prévenus qui ont été arrêtés en même temps que lui n’ont pas eu. L’avocat du général se plaignait de ne pas avoir eu accès au dossier, il serait étonnant que les avocats des autres prévenus aient été mieux lotis. Cette justice expéditive qui aboutit à des peines de prison ferme est très inquiétante. 

    Deux interviews du Général Piquemal 

    Par ailleurs le général Christian Piquemal a donné deux interviews aujourd’hui qui semblent contradictoires; l’une à BFMTV qui laisse perplexe. Peut-être le général qui sortait de l’hôpital était-il un peu déboussolé ? Et l’autre à TVLiberté:  bien dans la ligne de son attitude avant et durant la manifestation. 

    Voir la suite

  • ZOOM - Jean-Marie Le Pen :"En matière d'immigration, notre pays est "full up"." (plein)