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France et politique française - Page 3316

  • Les agriculteurs ne veulent pas l’aumône, mais une juste reconnaissance de leur labeur

    À nouveau, ils bloquent les voies et occupent les places bretonnes.

    Ras le bol d’être pris pour des imbéciles par des politiques aux paroles éphémères, qui ne trouvent comme seul remède à toute une filière en détresse qu’une énième rallonge à un plan de soutien de très court terme.

    Quand enfin, parmi les costards-cravates aux pompes bien cirées, quelqu’un comprendra-t-il qu’ils ne réclament pas l’aumône ?  

    Ce qu’ils veulent, ils ne cessent en vain de le dire : ils veulent une juste reconnaissance de leur labeur et un juste prix pour leur produit. « Les éleveurs français veulent pouvoir rivaliser à armes égales avec les autres producteurs européens », comme cela était écrit ce jeudi dans la presse locale. Rien de plus, rien de moins.
     
    De paysans, ils sont devenus des chefs d’exploitation croulant sous les contraintes et la paperasse. En permanence, ils doivent s’adapter à de nouvelles règles. La moindre mise aux normes les endette pour des années. La réforme 2013 de la PAC (politique agricole commune) favorisant les importations étrangères est venue compliquer un équilibre déjà précaire.

    Leurs charges n’ont cessé de croître, leurs marges de se réduire au point que la plupart ne peuvent plus en vivre. Ce drame montre une France démunie, livrée à elle-même, face à de cruelles distorsions de concurrence au sein de l’Union européenne, tant sociales et fiscales qu’environnementales.

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  • L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert - TOME 1

    Des dirigeants politiques et hauts fonctionnaires à la tête de l’État français soutiennent des criminels et terroristes. Hier, ils ont protégé certains d’entre eux des recherches d’Interpol, aujourd’hui ils en soutiennent d’autres pour renverser le gouvernement syrien. De la « génération Mitterrand » à la « république exemplaire » de François Hollande, en passant par celle de Nicolas Sarkozy, 56 d’entre eux sont impliqués.

    Avant-propos : Au cœur de l’État, ils protègent et arment des criminels

    Chapitre 1 : « Confidentiel. À l’usage exclusif de la police et de l’autorité judiciaire »
    De François Mitterrand à François Hollande en passant par Nicolas Sarkozy, les relations de dirigeants français avec des groupes criminels n’ont cessé de se développer.

    Chapitre 2 : Frères musulmans, des dirigeants néocolonialistes
    L’organisation criminelle des Frères musulmans soutenue par Paris est au cœur des conflits contre les pays arabes laïcs.

    Chapitre 3 : Les deux faces de l’« opposition » anti-syrienne
    La répartition des rôles au sein des organisations qualifiées d’« opposition » par les dirigeants français.

    Chapitre 4 : Une « opposition » façonnée par des tueurs
    Les principaux dirigeants de l’ « opposition » sont tous liés aux Frères et/ou aux milieux atlantistes et sionistes.

    Chapitre 5 : Les « modérés » du président Hollande
    Les activistes anti-syriens présentés comme « modérés » par les dirigeants français sont impliqués dans des activités délictuelles et criminelles. Portrait de famille.

    Chapitre 6 : D’Alger à Damas, le même plan de subversion
    La stratégie de destruction de l’État et de la société par les organisations des Frères musulmans.

    Chapitre 7 : L’Élysée arme la main de l’ennemi
    Chronologie du crime d’agression de la présidence et du gouvernement français contre la République arabe syrienne.

    Chapitre 8 : Président ou trafiquant ?
    François Hollande a décidé seul, avec l’état-major de l’Élysée, d’armer des organisations terroristes. Quid de la Constitution, du droit européen et international ?

    56 - Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels de Jean Loup Izambert
    2015 - IS Edition 2015
    prix : 20,00 €

    http://www.lepouvoirmondial.com/

  • L'Action Française Provence s'invite aux voeux de Jean-David Ciot - À BAS LES VOLEURS !

  • A Calais comme à Quimper : le double fiasco de la gauche collaborationniste

    Cette fin de semaine, ce qu'il reste de la gauche et de l'extrême gauche a tenté de mobiliser pour soutenir l'arrivée massive de populations étrangères sur notre sol. En effet deux manifestations étaient organisées par l'ensemble des partis de gauche, une dizaine de collectifs grassement subventionnés, les associations anti-racistes et les quelques groupuscules d'extrême gauche encore existants.
    Erreur

    Autant le dire tout de suite, ces mascarades qui devaient prouver au monde entier que la France "accueillante et généreuse" était toujours là ont tourné au fiasco total.
    A Calais la manifestation, essentiellement composée de migrants surexcités et d'islamistes belliqueux qui n'hésitèrent pas à agresser de paisibles riverains, ressemblait plus à un mauvais carnaval tropical qu'à autre chose. Nos observateurs locaux n'ont d'ailleurs pratiquement pas repéré de Calaisiens ou d'habitants de la région parmi les quelques blancs que l'on distinguait à peine au milieu du cortège bigarré.
    A Quimper, il en allait a peu près de même. Sauf que les quelques dizaines de manifestants afro-arabo-gauchistes étaient concurrencés par un magnifique rassemblement organisé par les nationalistes bretons du mouvement ADSAV. Ceux-ci montrèrent ainsi qu'il en était terminé avec l'image de région soumise aux diktats du politiquement correct qui caractérisait jusqu'à maintenant la Bretagne. Ils étaient en effet près de deux cents dans les rues de la capitale de la Cornouaille pour relever l'honneur de leur terre et défendre l'identité de leur peuple.
    Les 6 et 7 février prochains, dans plusieurs villes de France, des nouvelles manifestations patriotiques auront lieux. Et par la suite ce mouvement qui s'amorce un peu partout prendra une ampleur que nous souhaitons importante. Nous entrons dans une période de reconquête. Celle-ci n'a qu'une issue possible : la victoire totale des forces nationalistes et identitaires ou bien il en sera définitivement terminé avec notre liberté et notre civilisation européenne.
    Synthèse nationale apporte son soutien à toutes les initiatives qui sont prises dans ce sens par les uns et par les autres, même si nous ne partageons pas forcément toutes les positions des organisateurs de chacune d'entre elles. Il en va de notre avenir. Mobilisation générale !

    Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/24/a-calais-comme-a-quimper-le-double-fiasco-de-la-gauche-colla-5749666.html

  • Livre : Ordre Nouveau : Alain Renault

    Fondé en novembre 1969, il constitue pendant son existence la principale formation nationaliste de la période.
    Erreur

    Lors de son 2e Congrès des 10 & 11 juin 1972 et dans la perspective des élections législatives, il adopte une stratégie qui donne naissance au Front National dont Jean-Marie Le Pen deviendra le président.

    Son histoire revêt donc une importance plus grande que les affrontements avec les gauchistes qui ont assuré sa renommée médiatique. Le Mouvement Ordre Nouveau est dissous, en même temps que la Ligue Communiste, par décret du Conseil des ministres du 28 juin 1973.

    Son histoire, ses idées, son programme, ont fait l’objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement, en juin 1972 et en juin 1973 dont l’intérêt suscite cette réédition.

    Alain Renault : Adhérent d’Ordre Nouveau de janvier 1970 à la dissolution. Secrétaire de section, puis membre du Comité Exécutif « délégué à la Province » à partir de juin 1971, membre du Conseil National, puis du Secrétariat Permanent. Rejoint le Front National en 1974, membre du Comité Central, puis du Bureau Politique, Secrétaire général adjoint, puis Secrétaire général jusqu’en 1980. Adjoint de François Duprat aux Cahiers Européens de 1974 à 1978. Rédacteur à Militant et à Défense de l’Occident de 1978 à 1982. Collaborateur de la revue Synthèse nationale. A collaboré au National, Item, Écrits de Paris, Rivarol, Minute, Le Crapouillot, Le Guide de l’Opposition…
    Co-auteur des Fascismes Américains et de l’Album Le Pen.

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  • Au revoir Christiane, bonjour tristesse

    Les chiffres du chômage sont tombés : près de 3,7 millions de demandeurs d’emploi de catégorie A, plus de six millions toutes catégories confondues;  une évolution dramatique occultée mercredi par le départ du ministre de la Justice. «La démission de Christiane Taubira», notait hier Marine Le Pen, «est une bonne nouvelle pour la France, après une action publique à la tête du ministère de la Justice absolument désastreuse pour notre pays. Le laxisme inouï de sa politique pénale, notamment, a si fortement dégradé notre situation sécuritaire et affaibli l’autorité de l’Etat que cette démission apparaît aujourd’hui comme un soulagement.» Un soulagement partagé en  effet  par une très  grande majorité de Français qui ont constaté avec  effarement pendant trois ans et demi  les actions de cette ex militante indépendantiste,  symbole de toutes les dérives d’une gauche sociétale faisant primer l’idéologie sur le réel. Son remplaçant, le député PS du Finistère, Jean-Jacques Urvoas, s’en accommodait parfaitement  lorsqu’il  déclarait en août 2012 que « (Mme Taubira) a raison quand elle rappelle que si nos prisons sont pleines, elles sont vides de sens». Phrase ampoulée, bien dans le style de l’ex garde  des Sceaux,  mais  qu’il est  particulièrement mal à propos de reprendre à son compte quand on se drape dans le rôle du « Monsieur Sécurité» du PS. Si les prisons sont pleines (et nous manquons de places de prison)  malgré le laxisme pointé par Marine,  c’est parce que notre  pays est ravagé par une insécurité record qui  découle certes  du délitement des familles, des échecs dans l’éducation, de l’instruction de la jeunesse, mais aussi d’une échelle des peines incohérente, pas assez dissuasive, d’une  immigration anarchique et des échecs de l’assimilation. Des vérités qu’il serait bon de reconnaître.

    Fidèle de Manuel Valls et fan absolu de Mylène Farmer (et non pas l’inverse mais ça ne manque déjà pas d’inquiéter !) Jean-Jacques Urvoas, jusqu’alors  président de la commission des lois de l’Assemblée,  se signale depuis assez longtemps à notre attention. Il fut ainsi au nombre des zélés socialistes et autres officines dites antiracistes a vouloir que la justice  tape plus lourdement sur les élus coupables de soi-disant «dérapages» (suivez leur regard…), afin d’imposer une pensée normalisée,  le  politiquement  correct aux Français  dans le débat public.

    Avant de se voir refiler le bâton boueux de la formulation de la  loi sur la déchéance de la nationalité, le président de la commission des lois Urvoas fut  aussi le rapporteur  à l’Assemblée nationale de la loi sur le renseignement. Et notamment de la surveillance d’internet qui légitime un flicage généralisé des Français et évince le   juge et la justice en matière d’écoute.

     Adopté l’année dernière en surfant alors sur l’émotion suscitée par  les assassinats de janvier 2015 à Paris,  la dangerosité pour nos libertés de ce  texte législatif fut pointée à l’époque par  la présidente du FN.

     «A chaque fois qu’on est face à un danger terroriste, au lieu de se concentrer sur les gens qui sont dangereux, on considère qu’il faut surveiller l’intégralité des citoyens. Je pense que ça peut faire l’objet de dérives qui sont dangereuses et je crois surtout que c’est totalement inefficace. Marine avait implicitement relevé que «  cette loi de surveillance d’internet ne viserait pas à lutter contre le terrorisme mais en réalité à tenter d’empêcher la diffusion des idées » nationales et patriotiques  qui suscitent l’hostilité de la Caste au pouvoir.  Or, poursuivait-elle, « Je pense que nous sommes tous attachés à la démocratie et que nous devons tous défendre la liberté de la diffusion des idées » Bref,   Jean-Jacques Urvoas n’a pas  été choisi au hasard,  et il y a tout  lieu de penser qu’il partage , si ce n’est les  pulsions totalitaires, du moins  les obsessions  inquiétantes d’un Manuel Valls.

     Il s’agit de  trouver le bon équilibre entre  respect  des libertés et protection des Français, ce que Charles  Péguy relevait déjà  dans une célèbre formule reprise il y a peu par Eric Zemmour : « Si l’Etat est fort, il nous écrase. S’il est faible, nous périssons. »

    Or, force est de constater  le rejet par les Français de ceux qui incarnent ce  Système, mais un rejet couplé avec une forte demande d’autorité.   Le CEVIPOF a rendu public il y a quelques jours sa grande enquête annuelle sur « la confiance des Français », réalisée fin  décembre 2015 auprès d’un panel de  2.000 personnes.

    88% des personnes interrogées exprimaient de  la lassitude.  67% estiment que la démocratie ne fonctionne pas bien ; 81% font part de  leur désenchantement à l’égard des politiciens (54% de la déception, 20% du dégoût, 5% de la détestation. 88%  des sondés estiment que «les responsables politiques ne se préoccupent pas de ce que pensent les gens comme eux». 82% ont une vision négative de la politique (39% de la méfiance, 33% du dégoût, 8% de l‘ennui). Cette impuissance  des partis au pouvoir,   comme le rejet des combines politiciennes, se vérifient aussi par le fait que  47% des sondés souhaiteraient un «homme fort » à la tête de l’Etat  qui ne se préoccuperait « ni du Parlement ni des élus.»

    Amour du prochain plutôt que l’amour du lointain ? Ce rejet des politiques épargnent les élus, les autorités de proximité, à, commencer par  les maires (63% de confiance), et 93 % des sondés  font, à des degrés divers, confiance à la famille. Dans la liste des « organisations » auxquelles ils font confiance, les Français plébiscitent, et ce n’est pas non plus anodin,   les hôpitaux, l’armée (+ 5 pts en un an), les PME et la police (+ 6 pts).   A contrario,  seulement 11% de nos compatriotes  croient que les responsables politiques se préoccupent de leur avis,  12% ont confiance dans les partis politiques, 24% dans les médias et 27% dans les syndicats.

    Bruno Cautrès, chercheur CNRS au Cevipof et coresponsable de l’enquête expliquait dans le JDD qu’ «il y a le sentiment, qu’on est dans des problèmes dont personne n’arrive à sortir. Il faut que quelque chose se passe ». « Le rejet de la politique et des politiques (est)  d’une violence d’autant plus troublante que les Français (…)  sont un des peuples les plus politisés d’Europe. Cautrès parle d’une transformation profonde mais négative du rapport des Français à la politique. À l’approche de la présidentielle, c’est un ultime avertissement. Pour tous, sans exception » relevait encore le JDD.

    Pour tous ceux qui ont mené notre pays au déclin certainement note Bruno Gollnisch. Mais  encore  une fois,  la pire des erreurs pour les Français  lassés, dégoûtés  de ce Système  seraient  de croire que la grève du vote, ou, par habitude, la reconduction de  l’alternance LR-PS,   serait  un bras d’honneur qui a du sens ou la solution à leur  problème.  Les Français en ont marre, alors qu’ils le prouvent en 2017 !

    http://gollnisch.com/2016/01/28/au-revoir-christiane-bonjour-tristesse/

  • LE VRAI RACISME, C’EST LA GAUCHE, OUVRONS LUI LES YEUX ! (par l’Imprécateur)

    Clémentine Autain se revendique comme « femme de gauche » et prétendre le contraire serait l’insulter, elle porterait aussitôt plainte. Dans l’Obs, l’hebdo moribond de la boboïe, elle commente le viol de centaines de femmes, 516 plaintes ont été déposées sans compter les centaines d’autres femmes qui n’ont pas voulu, ou osé, porter plainte, à Cologne dans la nuit du 31 décembre dernier, violées par plus d’un millier de jeunes migrants dont la police et les renforts appelés en urgence n’ont pu maîtriser la folie sexuelle.

    Elle condamne le fait, bien sûr, elle n’a pas milité pour rien au PCF stalinien et dans toutes les associations du type « chiennes de gardes » de la féminitude nationale et internationale pour rien. Cependant, l’objet réel de sa colère n’est pas dans ce multi-viol collectif mais dans la dénonciation qui en est faite par la droite qui, selon elle, n’aurait pas fait autant de bruit si les femmes violées n’avaient pas été des allemandes blanches mais des africaines brunes ou noires.

    Seulement, avant de critiquer le comportement supposé répréhensible de la majorité (ne l’oublions pas) de la communauté française, ce peuple dont le deux tiers se disent de droite, il faut balayer devant sa porte et regarder dans une glace son œil pour voir s’il n’y aurait pas une poutre disgracieuse pour le barrer.

    Quel hebdo ou journal de gauche, en tout cas pas L’Obs semble-t-il, quelle association prétendue « humaniste », quelle personnalité soi-disant « féministe » a dénoncé comme elle le mériterait la bande d’Aubervilliers, et elle n’est pas la seule dans le département, qui agresse sexuellement et systématiquement les jeunes femmes asiatiques à proximité des stations de métro ? Ce n’est pas nous qui le disons mais la police, il s’agirait de jeunes maghrébins. Si c’est la raison pour laquelle presse de gauche et associations humanistes et féministes de la même obédience politique restent silencieuses, il faut bien admettre qu’il s’agit d’un comportement typiquement raciste puisqu’elles auraient bondi si les agresseurs avaient été soupçonnés d’être blancs.

    En effet, en quoi consiste le racisme ? Selon les définitions qu’en donnent les meilleurs dictionnaires, le racisme consiste à stigmatiser ou excuser les comportements en fonction de la couleur de la peau de ceux qui les pratiquent. Dire de la justice dans certains états américains qu’elle est raciste est justifié quand elle exonère de toute responsabilité le policier blanc américain qui abat sans sommation un jeune noir au comportement douteux (comme de brandir un pistolet ou une kalachnikov en plastique). Mais nier que les Noirs sud-africains qui tabassent et tuent les migrants zimbabwéens fuyant la tyrannie et la misère socialiste (il se vante dans sa presse d’être socialiste) de Robert Mugabe et se réfugient en Afrique du Sud, soit un acte raciste, est raciste. Le silence de la presse française de gauche sur ce sujet des ratonnades sud-africaines noires contre les migrants noirs d’Afrique du Sud-Est est typiquement raciste. Surtout si l’explication donnée pour justifier ce silence coupable est que les auteurs d’actes racistes sont des noirs et à ce titre ne peuvent être accusés de racisme.

    De même, excuser par le silence les viols de masse de Cologne sous prétexte que leurs auteurs étaient de jeunes mâles d’origine moyen-orientale et africaine et les victimes de jeunes et moins jeunes blanches, ne pas parler des attaques de jeunes femmes asiatiques par les jeunes maghrébins du 9-3 sont des comportements racistes caractérisés.

    Il n’y a rien de raciste à faire le constat de faits, ni à les rapporter. Or il est évident que les comportements sociaux collectifs sont liés à plusieurs facteurs, dont l’éducation, les coutumes culturelles et les origines ethniques. La gauche est la première à établir des liens souvent totalement injustifiés entre l’origine et l’action répréhensible supposée.

    Exemple : hiérarchie catholique – prêtre, évêque, pape – égale pédophilie.

    Pourtant c’est le personnel de l’éducation nationale, et notamment les éducateurs EPS, qui doivent répondre devant la justice, malgré les fortes pressions exercées par le ministère pour que les parents retirent leur plainte, du plus grand nombre d’inculpations pour pédophilie. Attaque contre une personne de couleur égale skinhead blanc aux cheveux rasés, or les rapports de police et de justice sont formels, ces derniers sont l’exception qui confirme la règle : la plupart des agressions commises contre des personnes de couleur sont le fait d’autres personnes de couleur.

    Rappeler une autre évidence, reconnue par Jack Lang, président de l’IMA, dans un courrier adressé au gouvernement et une étude de la direction du personnel des Armées sur les comportements délictueux des militaires, évidence selon laquelle la majorité des délits est commise par des musulmans, est passible de poursuites entreprises avec diligence par les officines largement subventionnées pour ce faire.
    Et même, mentionner le fait que la communauté asiatique immigrée a des comportements plus citoyens, plus responsables et plus civils que d’autres dans la même situation de méconnaissance de la langue, de précarité financière, de recherche d’emploi et de logement est passible de poursuites.

    Pourtant, c’est un fait : les Asiatiques savent « vivre ensemble » avec les Français, ne critiquent pas leurs comportements culturels, manifestent une forme de reconnaissance à leur pays d’accueil, font des efforts pour parler français le plus vite possible, cherchent et trouvent du travail, s’intègrent au quartier où ils vivent, paient leurs impôts et cotisations sociales, ne revendiquent pas à tout propos leur double nationalité chinoise, vietnamienne, cambodgienne, laotienne ou autre, bref, « sont » français.
    Ce qui ne les empêche pas de pratiquer leurs religions (bouddhisme, shintoïsme…), d’avoir leurs commerces et associations culturelles, de se regrouper dans certains quartiers qui deviennent souvent des zones d’attraction touristiques sûres pour les autres Français.

    C’est pourquoi nous pensons représenter une opinion très répandue chez les Français en disant qu’ils sont favorables à l’immigration pour les populations fuyant la guerre et la misère, du moment que ces dernières respectent et suivent les règles qui sont établies dans le pays qu’elles ont choisi pour les accueillir. Or il est évident que seule une partie des musulmans, majoritaire sans doute mais il est interdit de faire les enquêtes statistiques qui le démontreraient, accepte de bon gré les règles qui nous permettent de vivre ensemble, entre Français. Être français signifiant que l’on a la nationalité française quelle que soit la façon dont elle a été acquise.

    Ceux qui n’ont pas cette nationalité ou ne la reconnaissent pas en en refusant les règles sont des étrangers, touristes, migrants de passage ou autres, et c’est leur droit de les refuser puisqu’ils ont les leurs, mais alors ils ne doivent pas prétendre aux droits que leur nationalité donne aux Français. Ce serait une injustice sociale puisque ces droits sont acquis en échange de devoirs.

    Prendre les droits et refuser les devoirs est une forme d’escroquerie sociale dont on sait que la gauche internationaliste s’accommode aisément, mais cela reste une escroquerie sociale et une autre forme du racisme intrinsèque à la gauche.

    Comme le montre le fait que la gauche « officielle » accepte les comportements parfois criminels et en tous cas asociaux de migrants que leur nombre rend agressifs et incontrôlables comme l’a démontré le viol collectif de Cologne. Cette gauche a tort, moralement et socialement, de croire qu’elle est du côté du « bien » en prenant leur défense parce qu’ils sont « de couleur ». La couleur ne fait rien à l’affaire et conforte aussi bien les Français que les migrants anciens ou récents dans leur méfiance pour ces migrants majoritairement musulmans d’origines africaines et moyen-orientales qui affichent trop clairement par leur comportement asocial et indiscipliné qu’ils n’ont aucune envie de vivre avec nous, d’accepter nos règles de vie commune (le « vivre ensemble ») et « ne sont là que pour mettre le bordel sur leur passage » (1). Comme le leur ont recommandé ceux qui les manipulent avec pour objectif de convaincre les Français de droite comme de gauche que seule la charia permettrait de rétablir et maintenir l’ordre dans nos pays européens.

    (1) C’est le sentiment exprimé par beaucoup de migrants de première ou seconde génération d’origine asiatique, mais aussi maghrébine, qui souffrent des comportements asociaux et antifrançais des migrants récents.

    L’Imprécateur

    http://www.minurne.org/

  • Taubira prend ses distances

    Quand les bonnes nouvelles sont rares, on s'accroche comme on le peut aux annonces positives. Ce 27 janvier était-il à marquer d'une pierre blanche dans notre mémoire institutionnelle ? Pour m'en assurer j'ai acheté le journal officieux de la gauche molle dans son édition papier. Depuis plusieurs années les exemplaires du Monde sur papier qui me passaient par les mains ne me servaient plus guère qu'à allumer ma cheminée.

    Je n'ai pas totalement regretté cet achat. Car, pour 2,40 euros, j'ai pu comprendre le signal que l'ex indépendantiste guyanaise, recyclée par les radicaux de gauche, parvient à faire passer. C'est le gros titre du Monde, énorme, le principal message que l'on retiendra dans certains milieux : "Taubira claque la porte".

    Son propos de démission ne nous indique en rien quelle raison raisonnante est invoquée pour ce qui est présenté pour une décision unilatérale.

    En même temps elle s'arc-boute encore sur une sorte de position globale, répudiant l'ensemble de l'évolution du gouvernement où elle faisait figure de caution de gauche, d'un gauche absolue en quelque sorte. Elle mesure aussi sa popularité au sein d'un camp plus large que celui du parti socialiste auquel elle ne s'est jamais inféodée.

    Ce n'est donc pas son comportement qui est sanctionné, c'est Madame la Ministre qui se drape dans son hautain désaveu. Hollande une fois de plus, loin de passer pour l'homme d'État qu'il ne sera jamais, se trouve ravalé au rang du petit politicard budgétivore parachuté en Corrèze qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être. Bravo. Au lieu d'exclure celle qui se refusait à la solidarité gouvernementale, voilà que tous semblent d'accord pour encenser son bilan, son éloquence, son élégance, sa générosité, son apport à notre civilisation, que sais-je encore. "Ah qu'en termes galants ces choses-là sont dites".

    Celle qui par sa candidature de 2002 avait si brillamment contribué à empêcher la gauche d'être présente au second tour, lui permettra-t-elle en 2017 de ne pas se trouver en position marginale ? Un petit message approbateur de Montebourg vite diffusé sur Twitter dévoile désormais cette arrière-pensée, inquiétude des uns, ambition des autres : en faveur de qui la nouvelle diva fera-t-elle pencher la balance ?

    Or ceci intervient au moment même où l'équipe gouvernementale se déchire sur un autre dossier, celui de ce qu'elle appelle la "laïcité". Ce concept est assorti de l'insupportable déclinaison qui nous est récitée à l'envi : "valeurs de la république", "vivre ensemble", "pas d'amalgame", "ne pas stigmatiser", et patin et couffin comme on disait autrefois en Algérie.

    Il existe un point commun entre la "gauche Taubira" et la pseudo-laïcité. Celle-ci se veut faussement équilibrée entre mahométans et chrétiens, conçue par cette simple équivalence pour ménager les intérêts de l'islamisation de l'Europe. La convergence réside peut-être dans l'explication donnée par Françoise Laborde sénatrice radicale de gauche de Haute Garonne : "A la veille de chaque élection on fait les comptes en se demandant à qui les musulmans vont donner leurs voix en s’interdisant le débat d’idées."  (1)⇓

    De même Taubira n'est pas estimée en fonction de son bilan ministériel mais de son image en direction d'une frange de l'électorat.

    L’incapacité de la gauche à cerner le phénomène de l’islamisme n'a d'égale que la démission dans la lutte contre la délinquance et contre les réseaux islamo-terroristes en milieu carcéral.

    Cette femme reconnaît n'avoir pas voulu s'occuper de ses enfants. Et ceux-ci d'ailleurs semblent lucidement s'en féliciter. Mais elle met son inépuisable jactance à préconiser une semaine de "32 heures, afin de permettre aux salariés de s'investir dans des associations."  (2)⇓

    Comment ne pas voir en elle un vecteur de choix susceptible de rassembler demain autour de son nom les nuisances concurrentes, qui semblent aujourd'hui irréconciliables, de tous les visages blafards et sectaires de la "gauche de la gauche".

    Taubira prend ses distances avec un gouvernement en perdition. Bon vent, pense toute la droite. Mais n'oublions pas qu'elle peut revenir.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. conclusion d'un entretien donné au site de L'Obs le 21 janvier.
    2. cf. Le Monde.fr le 20 juin.2015.

    http://www.insolent.fr/2016/01/taubira-prend-ses-distances.html

     

  • Au siège LR, le SIEL dénonce la position de Nicolas Sarkozy sur le mariage

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    Michel Janva