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France et politique française - Page 3317

  • L’état d’urgence borné ?

    Après avoir laissé entendre qu’il pourrait durer aussi longtemps que la menace de l’État islamique, Valls a tenu à préciser que l’état d’urgence serait nécessairement « borné ». Venant de lui… pourtant, il peine à convaincre.

    On appelle ça un ballon d’essai. Lors d’une interview à la BBC, Valls a répondu « Jusqu’à ce qu’on puisse, évidemment, en finir avec Daech » à la journaliste qui lui demandait si l’état d’urgence pouvait durer « éternellement ». Si le propos n’avait pas suscité trop de réactions, il aurait tenté de pousser le bouchon un peu plus loin…
    Heureusement, c’est une levée de boucliers qui a accueilli les propos du Premier ministre, l’ancienne ministre écologiste Cécile Duflot y voyant par exemple « la fin de l’état de droit ». Il faut dire que l’inscription de ce régime exceptionnel dans la Constitution et sa prolongation programmée suscitent bien des craintes, alors que le pouvoir est aux abois et pourrait être tenté de détourner les pouvoirs qu’il lui donne pour défendre l’ordre « républicain » (c’est-à-dire leurs intérêts politiciens et leur idéologie, par opposition à la démocratie, terme qu’ils n’emploient plus, et pas par hasard).

    Aussi, alors le « président » Hollande a officialisé sa volonté de prolonger jusqu’à fin mai l’état d’urgence instauré en France, Valls a tenu à préciser qu’il restera un « régime d’exception » qui sera « nécessairement borné dans le temps ». Il a aussi soutenu l’amendement consistant à mettre dans la Constitution le contrôle parlementaire de l’application de l’état d’urgence.

    Pour autant, le Premier ministre a pris soin de ne prendre aucun engagement quant à la durée dudit état d’exception, se laissant une grande porte ouverte en déclarant que « Personne ne peut préjuger des événements à venir et nous voyons bien l’état de la menace avec la diffusion de la vidéo de l’État islamique, de Daech. » Il s’est aussi montré plus que réservé sur l’éventuelle interdiction, dans la Constitution, de la dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République pendant l’état d’urgence. Donc selon lui, l’assemblée pourrait contrôler l’application de l’état d’urgence… sous la menace d’une éventuelle dissolution. Visiblement, Valls pense à l’avenir et à se laisser les mains aussi libres que possible… Déjà que comme Premier ministre, il fait frémir, comme président de a République…

    C.D.

    http://fr.novopress.info/

  • A propos du racisme…

    Les Français sont-ils racistes ?

    Si on se réfère aux « indigènes de la République » et autres organisations qui font profession de lutter contre le racisme, comme la LICRA ou SOS racisme, dans notre pays, il n’y a aucun doute.

    Outre le fait que la notion de race ait disparu depuis quelques décennies du lexique scientifique, suite probablement à des recherches poussées et totalement dépourvues de motivations idéologiques, le petit blanc franchouillard est montré du doigt par nos élites pour la seule raison qu’il est blanc et franchouillard, voire catholique, ce qui constitue bien sûr une circonstance aggravante. Une analyse psychosociologique montrerait vraisemblablement que le phénomène est une conséquence du démantèlement du vaste empire colonial constitué essentiellement durant le 19ème et au début du 20ème. « Vae victis » avait dit Brennus qui rançonnait Rome, les vaincus ont en effet toujours tord. La société, selon une bonne partie de nos élites, celle qui est la plus en vue, se diviserait donc entre racistes et antiracistes. Pourtant Pierre-André Taguieff, homme de gauche qui a voué sa vie à l’étude de ce phénomène , notamment dans son ouvrage « la force des préjugés » a bien montré que « l’antiracisme » fonctionnait sur le même mode et parfois avec les mêmes arguments que le racisme et par là même, pouvait faire naitre du racisme là ou il n’existait pas. Si j’affirme que je suis Français, blanc et catholique et que de surcroit je n’en éprouve aucune honte, est-ce que je me déclare en haine de ceux qui ne le sont pas ? C’est bien là que se trouve le problème et c’est là que le discours antiraciste devient souvent ambigu et exclusif d’une forme d’être, d’un mode de vie, d’un attachement à des racines et des valeurs. [....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?A-propos-du-racisme

  • Scandale en Île-de-France : Valérie Pécresse tient ses engagements de campagne !

    La région présidée par Valérie Pécresse a voté le 21 janvier, par 131 voix pour et 64 contre, la suppression de la réduction de 75 % dans les transports pour les étrangers en situation irrégulière et leur famille. « Une mesure sociale qui applique un principe républicain : une personne en situation irrégulière n’a pas lieu d’être mieux traitée que celui qui respecte la loi », peut-on lire sur son site. Scandale dans les rangs de la gauche, qui dénonce une « mesure injuste » visant à « stigmatiser »les étrangers ! Pire : elle a été soutenue par le groupe du Front national. N’est-ce pas la preuve que c’est une mauvaise mesure ?

    Décidément, l’opposition de gauche au conseil régional réagit par réflexe conditionné : ce n’est pas aujourd’hui qu’elle changera. Car, enfin, est-il scandaleux que Valérie Pécresse tienne un engagement de sa campagne ? C’est le contraire qui eût été scandaleux ! Et ce n’est pas parce que le Front national avait fait la même proposition que cette mesure est entachée d’illégitimité. Si le FN dit qu’il fait soleil, faut-il systématiquement prétendre qu’il pleut pour s’en différencier ?

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  • Démission de Taubira : c'est d'abord Hollande qui porte la responsabilité de la destruction de la famille

    Albéric Dumont, vice-président de La Manif Pour Tous, invite à "rester vigilant :

    "[...] Le peuple français ne pouvait plus supporter le mépris et la condescendance avec lequel elle le traitait depuis le début. Le pays portera encore longtemps les stigmates du dédain de Mme Taubira et de son idéologie. Comment pourrait-il en être autrement ? Rappelons qu’en plein débat sur le mariage pour tous, alors que l’ensemble du gouvernement nous assurait la main sur le cœur que ce projet de loi n’ouvrirait pas le droit à la PMA pour les couples de femmes, ni le droit à la GPA, Mme Taubira sortait sa fameuse circulaire enjoignant les fonctionnaires de l’état civil de reconnaître les enfants nés de GPA à l’étranger. C’est un « bouleversement de civilisation », selon ses propres termes, que la Garde des Sceaux a fait subir à notre pays, sans se soucier de la réalité et en n’accordant que son mépris aux millions de citoyens français descendus dans la rue pour manifester leur désaccord. Son entêtement a creusé le sillon de la fracture entre le peuple français et ses élus, comme le montre tristement les taux d’abstentions à tous les scrutins depuis 2012.

    Il serait cependant injuste de ne dresser qu’un bilan négatif de ces années passées par Mme Taubira place Vendôme. Car elle restera dans l’Histoire, mais bien malgré elle. Elle restera comme celle qui a réussi à provoquer le plus grand réveil des consciences que notre pays ait connu depuis des années. Son dédain a construit notre mobilisation et a réveillé le peuple français que tous croyait endormi et manœuvrable à l’envie. Et cela a dû être cruel, pour elle et sa famille politique, de découvrir avec stupeur qu’ils n’avaient pas le monopole du peuple. Cette « génération manif’ pour tous » refuse de voir piétiner les racines de la filiation et de son identité. Elle s’est levée pour défendre une civilisation où le corps n’est pas une marchandise. Elle rassemble des millions d’hommes et de femmes qui se battent chaque jour pour protéger la famille et préserver le mariage homme-femme et la filiation père-mère-enfant.

    Alors, ce mercredi 27 janvier, nous ne pouvons que confirmer une nouvelle fois à Christiane Taubira que nous ne lâcherons rien, jamais ! Ne soyons pas dupes. Christiane Taubira n’était que l’exécutrice des basses œuvres de François Hollande. C’est en effet lui qui porte avant tout et avant elle la responsabilité de son entreprise de destruction de la famille, cellule de base de la société. C’est pourquoi nous pouvons assurer le Président de la République que nous continuerons notre combat avec la même constance que celle qu’elle a connu Christiane Taubira. Jean-Jacques Urvoas, nouveau Garde des Sceaux, est prévenu. Tout comme Manuel Valls qui nous a lui-aussi éclaboussés de son mépris depuis trois ans. Après le départ de l’ex-ministre de l’injustice, nous devons, plus que jamais, rester vigilants. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/d%C3%A9mission-de-taubira-cest-dabord-hollande-qui-porte-la-responsabilit%C3%A9-de-la-destruction-de-la-famill.html

  • Loi Taubira : qui reste-t-il chez LR pour soutenir une position claire ?

    Sarkozy vient de se discréditer totalement et définitivement. La primaire n’est même plus utile, il est certain de ne pas passer.

    Nicolas Sarkozy voulait réécrire de fond en comble la loi Taubira. Sous la pression plutôt amicale des adhérents et sympathisants de Sens commun (j’y étais), il finit par lâcher : « Oui, il faudra l’abroger. »

    Aujourd’hui, il revient, par un acte de contrition opportuniste, sur cette « conviction ». Mais Monsieur Sarkozy, quand on a de vraies convictions, elles ne changent pas au gré des événements politiques ! Bien sûr, on peut changer d’avis. Mais un avis n’est pas une conviction : on peut avoir un avis sur des sujets dont on peut évaluer les avantages et inconvénients, mesurer le pour et le contre. On peut avoir un avis pour décider s’il vaut mieux augmenter ou non le SMIC, si telle ou telle taxe sera efficace ou non, mais une conviction s’appuie sur des ancrages profonds, des valeurs pérennes. Considérer, par exemple, qu’un être humain vaut plus qu’un animal n’est pas un avis, c’est une conviction.

    Nicolas Sarkozy nous inflige un camouflet terrible. En se dédisant ainsi, ce n’est pas un acte de contrition qu’il effectue – ce qui pourrait avoir un certain panache -, il nous crache son mensonge à la figure, ce qui est de la plus infamante vulgarité. Il se joue de notre naïveté, nous qui avons applaudi quand nous avons cru qu’il nous avait entendus… Il se rit de nous qui, pendant les cinq années de son mandat, avons espéré qu’il nous mènerait vers une société plus honnête, qui prenions ses écarts de comportement pour de nécessaires petites pauses dans la grande tension et la grande ébullition de son quotidien de chef d’État.

    Nous avons espéré et voilà que, par cette simple phrase (« J’ai changé d’avis »), il nous révèle le pire : il n’a jamais cru en rien et nous a toujours menti. C’est extrêmement grave. Sarkozy vient de se discréditer totalement et définitivement. La primaire n’est même plus utile, il est certain de ne pas passer. Quelle mouche l’a donc piqué ? Quel calcul subtil se cache derrière ce besoin de sortir un livre pour jeter sur lui un tel opprobre ?

    Madeleine de Jessey avait écrit un article très juste sur la position de Bruno Le Maire, qui se déclarait fier d’avoir été hué pour avoir soutenu ses convictions. Madeleine lui démontrait, avec une intelligence superbe, que c’est son absence de conviction qui l’avait fait huer.

    Il ne reste plus que François Fillon pour soutenir une position claire sur ce sujet, Alain Juppé ayant depuis longtemps fait la démonstration qu’il n’était même pas capable de comprendre le problème. Il en est resté à l’argument : « On ne peut refuser aux homosexuels ce que l’on accepte pour les hétérosexuels » ou bien « Un enfant peut être plus heureux au sein d’un couple homosexuel qu’auprès de parents naturels qui se déchirent… »

    Fillon aura-t-il l’énergie et les soutiens nécessaires pour aller jusqu’au bout de son projet ? Sera-t-il apte à respecter ses engagements ? Il affirme qu’il a des convictions, lui…

    Béatrice Sergent
    Consultante en gestion de PME, 23/01/2016

    Source : Boulevard Voltaire.fr

    http://www.polemia.com/loi-taubira-qui-reste-t-il-chez-lr-pour-soutenir-une-position-claire/

  • Calais – Interview exclusive : Ils veulent nos maisons !

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    (Présent 8532)
    La vidéo tourne depuis samedi après-midi sur les réseaux sociaux : une famille de Calaisiens aux prises avec une bande de migrants et d’activistes de l’extrême-gauche, devant chez elle, presque dans son jardin. David R., le courageux père de famille, nous raconte cet incident violent pour lequel son fils et lui se sont retrouvés en garde à vue !

    — Comment en êtes-vous venu aux mains avec les manifestants, une bande de migrants et de sympathisants « No Borders » ?
    — Je n’en sais rien, en fait. J’étais chez moi, j’avais vu qu’il y avait encore une manifestation. Mon fils de 21 ans me dit : « Ils arrivent. » Je lui réponds que je le sais. Il me dit : « Non, ils arrivent sur nous. » Je sors. Là, je n’ai pas appelé la police, car elle était en face. J’ai voulu discuter avec les migrants, mais ça a dégénéré. Avec ma femme, on a fait rentrer mon fils qui s’énervait et qui était sorti avec un fusil. Les jets de pierre ont commencé. J’en ai reçu une au menton, puis on m’a cassé un bâton sur le bras, j’en ai pris un bout et leur ai lancé dessus. Après j’ai reçu un pneu, que je leur ai renvoyé aussi vite. C’était chaud, mais la police n’est pas venue tout de suite. Elle est venue après, pour me mettre en garde à vue, mais sur quelles bases ? Ce fusil n’était pas chargé, c’était juste pour faire peur : ils allaient entrer dans ma cour. Mon fils, lui, a été emmené lundi en garde à vue, pendant quelques heures. Je suis très en colère, j’ai vu ma femme et ma fille très choquées.

    8532P1.jpg— Vous sentez-vous en sécurité ?
    — Non, pas du tout. Depuis samedi, des gens passent devant chez moi en rigolant, en se moquant. Où est-on ? Je suis né à Calais, mais je ne me sens plus chez moi. Douze ans que j’habite cette maison. À Calais, honnêtement, c’est tout du bren ! Les migrants nous dévisagent avec mépris, comme si on était de la m…, en se foutant bien de notre gueule. Pourtant ils n’ont pas à se plaindre, ils ont tout ce qu’ils veulent ici : ils sont nourris, logés, l’État leur donne de l’argent. On me dit qu’ils sont malheureux, mais pas du tout. En fait, ils veulent juste qu’on leur laisse nos maisons… Et c’est nous qui devons dégager ? C’est ce qui s’est passé aux abords du camp Jules Ferry [un des centres d’accueil de la ville, NDLR] : les Calaisiens en ont eu tellement marre qu’ils sont partis vivre ailleurs. Ils avaient acheté une maison, ils étaient contents, et les voilà emm… par les migrants et forcés de s’en aller : c’est honteux.

    — Pensez-vous déménager ?
    — Oui, pas forcément loin, mais partir d’ici. Il faut vivre à Calais pour comprendre ce qui s’y passe, avant de raconter je ne sais pas quoi sur Facebook. Lundi matin j’ai rencontré un photographe, journaliste. Il ne croyait pas du tout ce que je lui racontais. Je lui ai proposé qu’on échange de maison : qu’il me prête la sienne à Lille, et qu’il s’installe dans la mienne quelque temps à Calais. Il n’a pas voulu…

    — Comment voyez-vous les choses évoluer ?
    — Le gouvernement ne fait rien. Cela va se terminer par la révolution, ici.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/197474/calais-interview-exclusive-veulent-maisons/

  • JT du Mercredi 27 janvier 2016 : Politique / La Guyanaise retrouve son indépendance

  • Taubira démissionne !

    Selon un communiqué de l'Elysée :

    "Madame Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a remis ce 27 janvier 2016, sa démission au Président de la République, qui l’a acceptée.

    Ils ont convenu de la nécessité de mettre fin à ses fonctions au moment où le débat sur la révision constitutionnelle s’ouvre à l’Assemblée nationale, aujourd’hui, en Commission des Lois.

    Le Président de la République a exprimé à Christiane TAUBIRA, sa reconnaissance pour son action. Elle aura mené avec conviction, détermination et talent la réforme de la Justice et joué un rôle majeur dans l’adoption du mariage pour tous.

    Le Président de la République a nommé ce jour Jean-Jacques URVOAS, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice. Il portera, aux côtés du Premier Ministre, la révision constitutionnelle et préparera le projet de loi renforçant la lutte contre le crime organisé et la réforme de la procédure pénale."

    Il reste à espérer qu'elle ne soit pas nommée au Conseil constitutionnel...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html