Souvenez-vous, Bayrou a écarté l’immigration, pourtant largement assistée, comme cause de la dette, alors qu’elle entraine une perte de PIB de 100 milliards par an selon l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. Faites le calcul sur des décennies. Ce monsieur soi-disant plein d’expérience, préfère faire porter le chapeau aux boomers, qui ont connu les semaines de 48 heures, la retraite à 65 ans et les trois semaines de congés payés.
France et politique française - Page 9
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40 ans de politique anti-FN et de front républicain, ça donne ça !
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2019 : quand Lecornu fermait Fessenheim… tout en se disant pro-nucléaire.
Sébastien Lecornu, secrétaire d‘État auprès du ministre de la Transition écologique, dresse le bilan de la première année de Nicolas Hulot au gouvernement, et s’attarde sur le dossier de la centrale de Fessenheim. « Je me suis rendu par deux fois, la troisième fois au mois de septembre à Fessenheim » indique-t-il avant de déclarer : « L’irréversibilité de la fermeture de cette centrale, c’était un commentaire politique sous le quinquennat précédent, aujourd’hui il y a un process qui est irréversible ».
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Et après Bayrou ??
Il aura tenu 9 mois, le temps d’une grossesse qui se termine par l’accouchement dans la douleur, d’un bébé mort-né. Bayrou est tombé assez largement, 363 voix contre lui, seulement 13 députés LR ont voté les autres se sont abstenus, marquant une fois de plus l’ambiguïté de leurs positions. Ce parti n’en finit pas de s’effriter au gré des échéances et les caciques ne s’en rendent pas compte, préférant jouer sur les deux tableaux au détriment d’une ligne claire et honnête envers leurs électeurs. Retailleau est désavoué, lui qui appelait à voter la confiance n’a pas été entendu et il aurait dû garder le silence au lieu de se précipiter devant le premier micro tendu, histoire de montrer qu’il existe encore. Sa seule préoccupation, que Macron nomme très vite un Premier ministre, avec lui à l’Intérieur,oui mais qui ? De quel rang ? On les sent arriver, avec un Lecornu ou une Vautrin en premier ministre, suivi des mêmes, façon chaises musicales… Et de poursuivre en excluant une démission du président de la République, tout en réaffirmant sa volonté de « travailler dans un futur gouvernement pour moins d’immigration », soulignant s’il en était besoin son allégeance à la Macronie et son impuissance à prendre de la hauteur.
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Les justiciers de France Inter dans la tourmente
C’est l’éternelle histoire de l’arroseur arrosé, du prêcheur puritain poissé au bordel, du donneur de leçons contraint de subir à son tour des leçons de morale. C’est celle de Patrick Cohen et Thomas Legrand, deux « autorités intellectuelles » de France Inter.
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[SATIRE A VUE] Sacrebleu, France 2 se met aux vieux français !
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Endettement. Pour le Wall Street Journal, le problème n’est pas la France… mais le Royaume-Uni !
Le Royaume-Uni un canari dans la mine (Source WSJ ici) selon la référence de la presse économique mondiale ! On s’attendait à ce que le Wall Street Journal soit inquiet de la situation économique de la France, mais ce qui semble alarmer outre Atlantique, c’est la situation de la perfide Albion, ce dont nous ne nous plaindrons pas ! Vive la diversion anglaise.
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Le Rassemblement national et ses alliés largement en tête des intentions de vote en cas de nouvelles législatives, selon un sondage
Un sondage Toluna Harris Interactive pour Challenges montre que le Rassemblement national et ses alliés atteindraient 33 % des intentions de vote en cas de nouvelles législatives, loin devant la gauche (19-26 %) et le camp présidentiel (15-16 %, contre 23 % en 2024).
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Vincent Lapierre diffuse la première manifestation des apostats de l’islam
Le 10 novembre 2012, Résistance républicaine et Riposte Laïque, soutenus par une vingtaine d’associations, organisaient dans les rues de Paris la première manifestation contre l’islam. Un an et demi plus tard, se tenait une autre marche, avec le Bloc Identitaire…
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Bayrou écarté, Macron acculé : vers le blocage complet ? - JT du lundi 8 septembre 2025
Au programme de cette édition, la chute en cours du premier ministre Bayrou. Après avoir tenté un coup de force en sollicitant la confiance des députés pour faire avancer son budget, le Béarnais locataire de Matignon semble avoir signé sa mort politique… ou sa résurrection.
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Gouvernement des juges, crise républicaine
Par Philippe Germain
Après l’impuissance républicaine, voire la trahison en Outre-Mer, de la Nouvelle-Calédonie à Mayotte, le pays réel s’effare du rôle croissant du Conseil constitutionnel dans le pouvoir. Prenant une place prépondérante dans l’élaboration des lois, il détourne l’État de droit pour imposer les préférences du pôle idéologique progressiste, c’est-à-dire des « élites » du « camp du bien » que sont l’Université et la classe médiatique… La formule « gouvernement des juges » désigne ainsi le transfert du pouvoir parlementaire. Par exemple, à travers l’intervention du Conseil constitutionnel dans le débat sur la loi sur la rétention des étrangers. Le Conseil constitutionnel, en censurant cette loi, se place en maître du pays légal parlementaire. Il interprète la loi de manière idéologique et non pas juridique.