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religion - Page 227

  • M6 provoque la colère des fêtards de l'enfer

    Suite au festival Hellfest (Fête de l’enfer) à Clisson, une enquête critique de l’émission Zone interdite (M6) déchaîne les passions. Le reportage de Zone interdite est nuancé : il expose ouvertement les nuisances illégales des participants, leurs « provocations satanistes », l’étrange complicité des autorités et l'exaspération des habitants. Il met en évidence pour la première fois les incivilités et illégalités du hellfest avec en illustration des entretiens et des  témoignages édifiants, comme par exemple la scène avec les forces de police suite aux infractions de stationnement.

    Le reportage se déroule sur les plages 1'30 à 6'40 puis de 26' à 37' :

    • La plage 1'30 à 6'40 traite pour l'essentiel des nuisances sonores, sanitaires et de l'alcoolisation
    • 29'30 : une discussion surréaliste entre les forces de l'ordre et un riverain dont le terrain et le parking privatifs sont squattés
    • 32' : Un curieux dédommagement des riverains pour tenter de les amadouer
    • 33'50 : Des images du festival avec croix renversées en feu et groupes satanistes
    • 36' : L'illégalité par rapport au décibels et la réaction du maire divers gauche

    Ces faits sont dénoncés depuis quelques années par des opposants locaux : Provocs Hellfest, ça suffit.

    L’émission a provoqué la colère des « métalleux » qui ont lancé une pétition contre M6, exigeant des excuses publiques de la chaîne, pour « propos diffamatoires ». La violence des 'chansons' contre les chrétiens ne les a pourtant jamais choqués.

    Une contre-pétition lancée par le blog d'Hélène Bodenez "Raison garder" appelle à soutenir la chaîne.

    "Ce festival attaque les croyants, en particulier la croix des catholiques qui apparaît enflammée et renversée sur scène. Zone interdite offre au spectateur un reportage édifiant sur les pratiques en place : riverains obligés de partir de chez eux, agressés par les cris et les gestes des festivaliers, par le bruit des baffles, par des nuisances de tous ordres et que les images ont parfaitement montrés. Jusqu'aux gendarmes qui refusent de verbaliser."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Turquie : le réveil alévi

    Ils sont entre 10 et 15 millions et forment une minorité mystique singulière et sympathique. Les humiliations répétées qu'ils subissent, les provocations qu'ils endurent, expliquent leur mobilisation dans la vague de contestations récentes qui fait vaciller le pouvoir en place à Ankara.
    L'islam ayant régné en maître exclusif pendant plus de mille ans sur l'Anatolie, on aurait pu croire qu'il effacerait toutes les autres influences religieuses. Il n'en a rien été. Un certain nombre de descendants des tribus turques qui envahirent l'Empire romain d'orient (empire byzantin) ont conservé plus ou moins intacte la foi de leurs ancêtres. Ce sont les Alévis, des monothéistes qui n'observent aucun des cinq piliers officiels de l'islam. Enfin ils utilisent dans leur liturgie la langue turque et non l'arabe. Tout cela exaspère les bien-pensants et les heurts sont fréquents entre Alévis et sunnites.
    Peut-on considérer les Alévis comme des musulmans ?
    Les Alévis se démarquent nettement de l'islam officiel parce qu'ils ne vont pas à la mosquée, ni à La Mecque, ni ne respectent le sacro saint jeûne du ramadan. Les femmes Alévis ne se voilent pas, ces impudentes assistent au culte, assises à côté des hommes. Les Alévis ne respectent pas les ablutions prescrites par l'islam et ne voient aucun mal à consommer de l'alcool ou à avaler une tranche de jambon. Enfin, leur religion est mêlée d'innocentes pratiques animistes (danse de la pluie) ou superstitieuses (par exemple, donner à manger aux pauvres lorsqu'on rêve d'un mort).
    Outrés, les traditionalistes musulmans considèrent l'alévisme comme « immoral » et comme un obstacle à leur idéal de créer une société pieuse reposant sur le coran. Naturellement ces parangons de tolérance considèrent que les Alévis ne sont pas des musulmans, opinion que partagent certains Alévis quand, loin des oreilles sunnites, ils osent se confier. En un mot, en Turquie, ils sont, depuis toujours, un objet permanent de soupçon et de méfiance : le pouvoir central (ottoman autrefois, républicain aujourd'hui) s'identifie à la tradition sunnite et pour les accabler les accuse de former une cinquième colonne du chiisme.
    Les Alévis et Mustapha Kemal Ataturk
    Au XXe siècle, les Jeunes Turcs qui recherchent leurs racines redécouvrent les communautés rurales alévi. L'entreprise de réhabilitation de la langue turque démotique (par opposition à l'Osmanli officiel) conduite par Ataturk (photo) s'appuie en partie sur les patois alévi. Les coutumes des nomades dont certaines remontent au passé pré-islamique du peuple turc sont réhabilitées. La poésie traditionnelle alévi est portée aux nues par les intellectuels de la capitale. Après des siècles de persécution les Alévis, ces quasi parias de la société ottomane, ont à nouveau droit de cité.
    En pratique sa reconnaissance de la culture alévi s'est bornée à encourager le retour aux traditions antérieures aux Ottomans mais seulement dans la mesure où elles étaient susceptibles de contribuer à la construction d'un Etat authentiquement turc. Folkloriser les particularismes locaux et les mettre au service de son projet républicain et laie, est l'objectif d'Ataturk qui au fond préfère un islam sunnite soumis à son pouvoir, ou plus exactement par tradition soumis au pouvoir central, à un islam alévi réputé frondeur et indiscipliné. En choisissant la solution la plus confortable pour son régime il a peut-être laissé échapper une chance extraordinaire de changer les mentalités. Car le moment était favorable : les Turcs, marqués par les épreuves de la Grande Guerre et écœurés par la trahison arabe, l'auraient peut-être plus volontiers suivi sur la voie d'une véritable réforme religieuse inspirée des principes de « l'alévisme » que sur celle d'une occidentalisation à outrance.
    Une provocation d'Erdogan a mis le feu aux poudres
    Toujours est-il que les Alévis, même manipulés par un Ataturk uniquement soucieux de construire un État-nation fort, sont très attachés à l'héritage kémaliste et se méfient du parti AKP au pouvoir, à raison semble-t-il.
    Le 29 mai dernier (1), le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a posé en grandes pompes la première pierre du troisième pont sur le Bosphore qu'il a baptisé du nom de « Sultan Yavuz Selim ».
    Ce choix de Selim I (1512-1520) n'est pas anodin. Il est le petit-fils de Mehmet le conquérant et le père de Soliman le Magnifique, son surnom «Yavuz » signifie « le terrible ». Et pour cause, ses huit années de pouvoir furent marquées par une série de conquêtes suivies de massacres. Le résultat en fut la domination ottomane sur la Syrie, la Palestine, l’Égypte, et surtout sur les lieux saints de l'islam, les villes de Médine et La Mecque. C'est à cette époque que le sultan ottoman devient également calife, le chef religieux suprême de l'islam. Il le restera jusqu'à l'abolition du califat par Ataturk en 1924. Aux yeux de la communauté alévi, Selim I était un être sanguinaire, responsable d'épouvantables massacres, qui a tenté, sans y parvenir, d'éradiquer leur communauté, pour imposer partout l'islam sunnite.
    C'est donc très logiquement que deux jours après cette inauguration, des milliers de jeunes Alévis, républicains et laïques, apolitiques ou non, se sont joints aux manifestations contre le pouvoir, à Istanbul et dans tout le pays. Et ils y jouent un rôle clef. Leur mobilisation est révélatrice de la détermination de cette importante minorité de Turquie à défendre son identité face à l'islam sunnite.
    Henri Malfilatre monde & vie 2 juillet 2013
    1).Ce jour marque le 560e anniversaire de la conquête de Constantinople par le sultan Mehmet II, dont le nom officiel (« Fatih Sultan Mehmet », le conquérant) a été donné au deuxième pont. Certains y voient là un nouveau signe de « l'ottomania » des islamo-conservateurs de l'AKP qui dirigent la mairie d'Istanbul depuis 1994 et le gouvernement turc depuis 2002.

  • Que faire des islamistes ? par Manuel GOMEZ

    Les islamistes ne se posent pas la question : que faire du reste du monde ? Depuis que l’Islam existe ils savent qu’ils doivent soit le convertir, soit le combattre, soit le détruire. Ce n’est pas le reste du monde qui ne les accepte pas, ce sont eux qui sont incapables de l’accepter.
    Les islamistes ne veulent pas être uniquement des musulmans. Ils sont convaincus que la Terre entière doit devenir musulmane. Leur croyance impose que l’on change celle des autres, même si les autres n’en ont aucune. Leur objectif est d’imposer leur foi, par la force, par l’argent, ou par l’invasion migratoire. 
    PAR LA FORCE ?
    Ils savent que ce n’est plus possible. Ils ont compris la leçon. Et c’est nous, les Occidentaux, qui la leur avons donnée. Il y a 2000 ans nous pensions que la solution était facile : on partait en croisade pour les convertir ou pour les exterminer. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec. À leur tour ils ont fait le voyage inverse, leur but : conquérir l’Europe. Ils ont envahi l’Espagne et tenter de s’implanter en France. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec.
    PAR L’ARGENT ?
    Au XXIe siècle ils ne peuvent plus nous conquérir par la force alors ils nous séduisent par l’argent, nous convertissent par le terrorisme, attirent nos armées hors de nos frontières pour mieux les combattre et nous envahissent par leur immigration incontrôlée, leur polygamie et leur démographie galopante.
    Insidieusement et avec une patience toute Orientale, ils imposent leurs mœurs, leurs coutumes. Non pas dans le secret, mais au grand jour, profitant de la faiblesse, de la soi-disant compassion et surtout de la naïveté de cet Occident (dont une majorité de Français qui se moque totalement du devenir de notre pays. Celle qui a toujours collaboré avec nos ennemis, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui).
    Avant 1954 les Arabes (on ne disait pas alors « islamistes ») venaient « travailler » en métropole et s’intégraient obligatoirement, avant de reprendre le chemin inverse (vérifier auprès de la CGT, du Parti Communiste et du Patronat, qui avaient besoin de cette main d’œuvre et les aidaient), mais cela « c’était avant ».
    La guerre d’Algérie, le regroupement familial, l’accueil et l’assistanat offerts aux clandestins, la nationalité par le droit du sol, ont changé la donne.
    ALORS QUE FAIRE DES ISLAMISTES ?
    Les pays arabes eux-mêmes n’ont pas la solution. Les modérés ont renversé les dictateurs qui tenaient dans une main de fer les « salafistes » pour élire démocratiquement (paraît-il) des islamistes radicaux, tels les « Frères musulmans ».
    Il n’y aura jamais de république laïque dans un pays musulman puisque l’Islam est leur religion et leur civilisation. (Seul François Hollande veut y croire !).

    Si l’invasion se poursuit et s’amplifie les solutions s’imposeront d’elles-mêmes, dans la violence très certainement (chaque jour nous en apporte une nouvelle preuve), puisqu’elles ne peuvent être envisagées sereinement et avec lucidité par ceux qui nous gouvernent.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Trappes : que cache la mobilisation contre « l’islamophobie » ?

    TRAPPES (NOVOpress) – Les partisans de la femme voilée à Trappes (Yvelines), dont le contrôle par la police à déclenché de très violents affrontements le week-end dernier entre des centaines d’émeutiers et les forces de l’ordre, agitent le torchon de « l’islamophobie » pour défendre leur cause. Ainsi, mercredi, des membres du Collectif des citoyens de Trappes ont fait état d’une « islamophobie » en réclamant la tenue d’une table ronde avec le préfet, les élus et les citoyens afin de rétablir un « vrai » dialogue et « faire bouger les lignes ».

    Par ailleurs, le mari de la femme voilée, un converti à l’islam depuis cinq ans (photo), affirme n’avoir « jamais tenté d’étrangler » le policier, affirmant lui aussi avoir subi des « provocations » et fait l’objet d’« insultes ». Dès le 20 juillet, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a exploité ce filon, s’en prenant aux médias et à la police, accusés de mettre « en cause les protagonistes musulmans, en première intuition ». Pour voler aux secours de ces extrémistes musulmans, le CCIF a utilisé également la vulgate « antiraciste » : « Plusieurs témoins de la scène rapportent des déclarations racistes de la part des policiers et un abus de moyens physiques à l’encontre d’une personne qui coopérait ». Mais pour le CCIF, cette affaire est surtout le dernier acte en date d’une « vague islamophobe en France ». Cette stratégie révèle le vrai visage de la lutte contre « l’islamophobie » : un soutien idéologique à l’islamisme en France.

    http://fr.novopress.info/

  • Personne ne veut des trisomiques ? Le mensonge explosé

    P. Thomas Vander Woude

    Cette belle histoire nous vient des Etats-Unis : celle d’un enfant à naître diagnostiqué trisomique à l’occasion d’une amniocentèse, et que sa mère voulait éliminer par avortement. L’apprenant, le curé d’une paroisse catholique de Gaineswoode, Virginie proposa aux parents du petit un marché : elle mènerait la grossesse à terme, et lui se chargerait de trouver des parents adoptifs…

    Le P. Vander Woude posta un message sur Facebook un beau lundi matin.

    La réponse fut telle qu’il fallut mobiliser un séminariste en stage à la paroisse pour répondre aux messages, trier les propositions, bref, choisir parmi les près de l.000 propositions d’adoptions qui affluèrent, submergeant complètement le secrétariat. 

    En définitive, trois candidatures furent retenues, non sans consulter les parents de l’enfant à naître et une agence d’adoption sérieuse pour trouver le meilleur foyer possible pour lui. 

    Cette histoire émeut les Etats-Unis d’autant plus que le P. Vander Woude sait ce que c’est de sauver un enfant trisomique, fût-ce au prix de la vie.

    Tom Vander Woude avec ses garçons
    lors d’une cérémonie de fin d’études.

    Il est l’aîné d’une famille de 8 garçons, son plus jeune frère, Joseph, est trisomique. Lorsque ce dernier eut 20 ans, il s’activait auprès de son père autour de la ferme familiale où celui-ci s’était réinstallé après une carrière dans l’aviation. Soudain, Tom Vander Woude, le père, s’aperçut que son Joseph avait disparu. Voyant que le couvercle de la fosse septique de la maison était déplacé, il se précipita et vit que son fils y était tombé – sachant qu’il n’avait pas pied, le père appela les secours puis plongea résolument dans la fange pour maintenir le garçon hors du liquide. Joseph fut sauvé mais Tom succomba au moment de le pousser dans les bras des sauveteurs, asphyxié par les gaz auquel il fut trop longtemps exposé.

    Ce don de sa vie pour sauver le plus faible de ses enfants a fortement impressionné non seulement la famille de cet homme, mais toute la communauté catholique de la paroisse où il avait beaucoup œuvré avec son épouse. Dans une interview, le P. Vander Woude raconte qu’il était d’abord troublé par cette mort dans la saleté et les excréments – avant de prendre conscience du fait que Notre Seigneur, comme il dit, s’est abîmé dans une fange autrement plus révulsante en prenant tous les péchés du monde sur ses épaules pour offrir à chacun la chance du salut.

    Toute l’histoire est racontée sur l’excellent site pro-vie qcv.qc.ca, ici : cela vaut vraiment la peine de la lire.

    L’interview du lumineux P. Vander Woude par un franciscain de l’Immaculée, est visible ici en anglais.

    A la mort de Tom Vander Woude, aidée de ses belles-filles, sa femme retailla sa robe de mariée pour en garnir son simple cercueil en bois de pin, fabriqué et offert par un ami.

    http://www.riposte-catholique.fr

  • Italie : Des maghrébins pillent un patronage et défèquent sur l’autel de l’église

     

    Italie : Des maghrébins pillent un patronage et défèquent sur l’autel de l’église

    25/07/2013 – 12h00
    MANTOUE (NOVOpress) –
    C’est un nouveau coup dur pour la paroisse. Libiola appartient à la ville de Serravalle a Po, dans le Mantouan, en Lombardie. Elle a été durement frappée par le tremblement de terre de mai 2012 et l’église baroque est toujours fermée pour travaux. On se souvient que le séisme qui avait ravagé le Nord-Est de l’Italie avait aussi eu pour effet de faire éclater les problèmes de cohabitation avec les immigrés musulmans. Un plat avec de la sauce bolognaise, servi par erreur à une jeune musulmane dans un camp pour réfugiés, avait ainsi déclenché une véritable émeute.

     

    À Libiola, la vie, depuis, essaie de reprendre. Jeudi dernier, le curé et les deux religieuses qui animent le patronage avaient emmené les enfants pour une journée en montagne. Quatre jeunes Marocains (l’un habitant du quartier, les autres demeurant à côté) en ont profité pour s’introduire par effraction dans le presbytère. Ils ont forcé la porte de la chambre de la sœur supérieure et ont volé ce qu’ils ont pu y trouver comme argent, à savoir les cotisations des enfants et le bénéfice d’une soirée risotto récemment organisée par les parents : 80 euros en tout et pour tout.

    Les maghrébins ont ensuite, selon la formule de la Gazetta di Mantova, « voulu laisser un signe ». Ils ont découpé un pan de la tente en plastique qui sert d’église provisoire depuis le tremblement de terre. Et ils ont uriné et déféqué sur l’autel. Une voisine les a vus s’enfuir et a reconnu celui qui habite dans le quartier. Les carabiniers ont pu identifier les trois autres.

    Le curé, l’abbé Eugenio Ferrari, s’est finalement décidé à porter plainte. « S’ils étaient venus voler de l’argent parce qu’ils ont faim, explique-t-il, je n’aurais pas même porté plainte : je leur aurais pardonné. Mais ce qu’ils ont fait dans l’église est un geste sur lequel on ne peut pas passer, c’est inqualifiable ».

    « Je suis désolé, ajoute l’ecclésiastique, parce que, à ce qu’il semble, cet acte a été accompli par quatre jeunes Marocains. Ils ont montré leur mépris vis-à-vis de notre religion. Mais si moi je faisais la même chose dans une mosquée, ils me couperaient le cou, oui ou non ? »

    http://fr.novopress.info

  • Les Russes sont retournés à la foi chrétienne grâce au vide laissé par le leurre idéologique du communisme

     

    VpLu ici loin de tout laïcisme d'Etat :

     

    "Les Russes sont retournés à la foi chrétienne sans aucune pression de la part de l'Etat et même de l'Eglise, a déclaré le président russe Vladimir Poutine dans un documentaire baptisé "Second baptême de la Russie" réalisé par Mgr Hilarion Alfeyev et diffusé lundi dernier par la chaîne de télévision Rossia.

    "La société russe est retournée elle-même à ses racines, à la religion chrétienne et aux valeurs spirituelles, sans aucune pression de la part de l'Etat et même de l'Eglise… C'était une renaissance naturelle du peuple russe", a indiqué Vladimir Poutine.  "On se demande: pourquoi? Les gens de mon âge se souviennent du code des bâtisseurs du communisme qui était en fait un résumé simpliste des principes éthiques et religieux de toutes les religions modernes. Quand ce code a cessé d'exister, un vide moral s'est formé qu'on ne pouvait combler qu'en retournant aux valeurs authentiques", les valeurs religieuses, a-t-il expliqué.  L'adoption de la foi chrétienne orthodoxe a marqué l'apparition de la nation et de l'Etat centralisé russes. "La nation russe et l'Etat russe reposent sur les valeurs qui étaient communes pour les habitants d'un vaste territoire en Europe où se trouvent actuellement la Russie, l'Ukraine et la Biélorussie. 

    C'est un espace unique des valeurs spirituelles et un facteur sérieux de réunification des peuples", a ajouté le chef de l'Etat russe.  L'Eglise orthodoxe russe et l'Etat russe peuvent coopérer dans de nombreux domaines, ils peuvent notamment aider les handicapés et les détenus, éduquer les enfants et les jeunes, promouvoir les valeurs familiales. "L'Eglise est un partenaire naturel de l'Etat dans ces domaines", a noté Vladimir Poutine. La Russie, l'Ukraine et la Biélorussie célèbrent le 1025e anniversaire de la christianisation de l'ancienne Rus' fin juillet. Des festivités se déroulent dans les trois pays à cette occasion. Dans le même film documentaire, le président russe a révélé qu'il fut baptisé comme enfant. « Ma mère m’a fait baptiser, pour ainsi dire en secret de mon père, qui était membre du Parti communiste. Il n'était pas fonctionnaire, il travaillait à l'usine, mais il a été quand même un militant du parti soviétique. Donc cela m'a aussi touché personnellement et notre famille ».

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Un peu de jugeote, M. Le ministre de l’Intérieur, par Manuel GOMEZ

     

    Ne noyez pas le poisson, Manuel Valls, ce ne sont pas des « fondamentalistes » qui ont assiégé le commissariat de Trappes, qui ont créé une émeute, brûlé des voitures et des poubelles et jeté des cocktails Molotov, mais de jeunes musulmans qui refusent que les lois de la république leurs soient appliquées…

     

    Même si c’est un « fondamentaliste » qui a exposé sa femme entièrement voilée afin de provoquer justement cette réaction.

     

    Heureusement d’ailleurs car, dans le cas contraire, ce serait tous les musulmans qui seraient « fondamentalistes »… ce que je ne veux pas croire.

     

    Je suis d’ailleurs très étonné du silence de toutes ces associations communautaires qui se gardent bien de sanctionner cette mini-révolte, alors qu’elles s’empressent de s’émouvoir et d’intervenir auprès de tous les médias dès le moindre contrôle au « faciès » ou le plus petit propos qu’elles estiment « raciste ».

     

    Après tout, enfreindre les lois républicaines est-ce que c’est si grave ?

     

     

    On promène sa femme entièrement voilée, on tente d’étrangler un policier, on est à l’origine volontaire d’une agression massive contre les forces de l’ordre, et on est remis en liberté !!

     

     

    Alors qu’un simple manifestant contre le « mariage pour tous » a été maintenu, lui, en prison.

     

     

    Bizarre la justice en France, de nos jours… oui j’ai bien dit « bizarre ».
  • Laïcité sélective

    « Je suis toujours un peu surpris du double standard de nos élus laïcs. Voila des gens qui s'interdisent de souhaiter un 'Bon N oël' (remplacé par un très générique 'Bonnes Fêtes de Fin d'Année'), qui ignorent Pâques, et qui organisent ensuite une Nuit du Ramadan. À dire vrai je n'ai guère besoin d'eux pour fêter Noel, Pâques, et la Trinité (qui n'est pas qu'une station de métro), et je ne sais pas quel sens auraient leurs vœux.
    Et si j'étais musulman ? Si j'étais musulman je me méfierais de cette danse du ventre à laquelle on assiste depuis une demi-génération. On voit des politiques, des hauts fonctionnaires et des éditorialistes qui édictent que l'Islam est une religion de ceci ou de cela, qui fixent de leur propre autorité que « le véritable islam » ne demanderait pas telle ou telle chose. Ce discours constitue tout à la fois la carotte et le bâton : en échange du soutien parapublic à cet islam «véritable» (ou «républicain», ou « de France », ou «citoyen», ou comme on voudra), les musulmans sont priés de correspondre dans leurs pratiques à l'image attendue d'eux.
    Mais puisque je suis catholique, c'est autre chose qui me surprend : c'est la géométrie très variable de la notion même de laïcité chez ces élus. Voyez comme ils se fâchent quand les évêques et leurs prêtres, s'intéressent aux affaires de la Cité ; entendez leurs voix indignées (exemple récent) de ce que l'Eglise se prononce sur l'ouverture du mariage civil aux couples homos. Bien. En bonne logique ils devraient d'emblée rejeter par principe toute position papale sur l'immigration – par exemple quand il dit à Lampedusa : « nous regardons le frère à demi mort sur le bord de la route, peut-être pensons-nous 'le pauvre', et continuons notre route ». Mais... que nenni, que nenni! Ces élus laïcs applaudissent alors des deux mains.
    (...maintenant, évidemment, on peut réécrire mon texte « en miroir », aux dépens de certains catholiques conservateurs...)

     http://ab2t.blogspot.fr/

  • Valls a de l’affection pour l’islam, malgré les émeutes de Trappes

    Le 18 juillet dernier, Valls rompt le jeûne à la mosquée de Lyon

    La période du ramadan pour la plupart des hommes politiques français est un grand moment d’islamophilie. C’est à qui manifestera le plus, par les mots et par les actes, son amour pour cette religion, en ne perdant, naturellement, jamais de vue que les musulmans français sont aussi des électeurs et que les municipales se dérouleront dans quelques mois.

     

    Manuel Carlos Valls, né le 13 août 1962 à Barcelone (Espagne), naturalisé Français en 1982. Donc, Français depuis seulement 31 ans, ce « petit monsieur » a la prétention de transformer la France, son Histoire,   sa culture, ses Traditions. Au temps d’une juridiction plus saine, cela lui aurait valu la déchéance de nationalité et le bannissement. Et il ne serait pas le seul : aujourd’hui, accompagné de ses acolytes, cela ferait un peu de monde sur les routes. Une vraie transhumance !...

     

    La gauche pourrait être un peu moins dévote de l’islam puisque 90% des musulmans ont voté Hollande ; elle ne devrait donc point être trop inquiète.
    Le PS se borne à redouter, dans les banlieues, des listes communautaristes musulmanes qui, au premier tour, le priveraient de quelques voix.

     

    Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des cultes est le plus islamophile. Il va, vis-à-vis de cette communauté, bien au-delà de ce que réclament les devoirs de sa charge.

     

    Mercredi dernier, à la Mosquée de Lyon, il a voulu « adresser des regards d’affection aux musulmans de notre pays ». Il n’a évidemment pas à témoigner de l’affection pour une communauté religieuse ! Ou alors qu’il la manifeste pour tous. Mais jamais nous n’avons entendu ce « frère » dire son affection pour les Catholiques ; il a eu aussi des paroles louangeuses pour les Protestants, mais rien, non jamais rien pour les Catholiques. Il est vrai que c’est contre nature pour un franc-maçon d’aimer l’Église catholique.

     

     
    Un peu plus tôt, le recteur de la Mosquée de Paris avait été reçu par le président de la République, toujours pour célébrer l’ouverture du ramadan. Jamais, le chef de l’État n’a invité en son palais le président de la Conférence épiscopale au début du Carême. Le chef de l’État en a profité pour stigmatiser, une nouvelle fois, une islamophobie qui serait galopante.
    La vérité est qu’il y a plus d’églises et de cimetières chrétiens profanés que de mosquées ou de carrés musulmans, mais des premiers on ne parle jamais ! De même, la religion la plus persécutée dans le monde, aujourd’hui, comme elle l’était hier, c’est le catholicisme et plus particulièrement dans les pays musulmans.

     

     

    Mercredi soir, Manuel Valls a néanmoins renchéri en assurant « Le ramadan, comme les autres grandes fêtes religieuses, fait partie de notre calendrier commun. » Cela annonce-t-il que, comme nos fêtes catholiques (établies depuis des siècles, elles !) celles de l’islam seront fériées et chômées ? Car si elles font partie de « notre calendrier », ce serait logique, n’est-ce pas ? Ce que ne vont pas manquer de réclamer une nouvelle fois les dévots de Mahomet. Et d’ajouter : « C'est ma responsabilité de veiller à ce que les musulmans de France puissent vivre dans la sérénité ce grand moment de l'année. Islam et République peuvent et doivent avancer ensemble » ; d’ailleurs «s’attaquer à un musulman, c’est s’attaquer à la République.»

     

     

    Et les musulmans qui attaquent la République en la personne de ceux qui sont là pour faire respecter ses lois ? Qu’en dit Manuel Valls ?

     

     

    La nuit de vendredi à samedi dernier a été marquée par des manifestations violentes à Trappes dans les Yvelines. Entre 200 et 400 musulmans se sont rassemblées devant le commissariat. Ils « exigeaient » la libération d’un de leurs « frères » qui s’était opposé au contrôle d’identité de sa femme entièrement voilée ; l’homme avait tenté d’étrangler un des policiers. Pendant la nuit, les manifestants ont mis le feu à des poubelles et ont détruit des abribus.

     

     

    Sofiane, interviewé sur Itélé : « On ne peut pas accepter qu’un frère soit en garde-à-vue pour rien, surtout le mois du ramadan. C’est un petit avertissement. » En attendant un plus grand ?

     

     

    Ce qu’ils veulent, c’est que la loi islamique remplace celle de la République. Réaction de Manuel Valls qui s’est rendu sur place : « Il faut trouver des emplois pour ces jeunes désoeuvrés.»

     

     

    À l’évidence l’émeute n’a pas ôté chez lui un seul gramme d’affection pour l’islam…

     

     

    Le Bulletin d'André Noël http://www.francepresseinfos.com/