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religion - Page 228

  • Le 19 janvier 2014, c'est la Marche pour la vie !

    Bloquez la date dès maitenant : 

    "Le Collectif "En marche pour la Vie" a la plaisir de vous annoncer officiellement que la prochaine grande marche nationale annuelle pour la Vie aura lieu le dimanche 19 janvier 2014 à Paris.

    Nous reviendrons plus longuement vers vous à ce sujet à partir de "la rentrée" mais vous demandons de bloquer  la date dans vos agendas dès maintenant !"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/


  • Argenteuil, Trappes… des futurs Kosovo ?

    « Dans vingt ans, Trappes, c’est la Tchétchénie ! » (déclaration d’un habitant de Trappes). Plutôt le Kosovo. La « masse critique » des musulmans y est suffisante pour qu’ils imposent leur loi. Pas d’amalgame, dit-on, entre une majorité de musulmans et quelques centaines d’islamistes. Sauf qu’on n’a pas vu les gentils musulmans défiler. Jamais.
    Les Frères musulmans et les salafistes multiplient les prétextes pour défier la France. Jusqu’à la faire plier.

     

    En mars 2004, les pogroms anti- Serbes au Kosovo avaient été déclenchés par la rumeur de la noyade de trois jeunes garçons albanais par des nationalistes serbes. Un rapport de l’ONG Human Rights Watch établit un bilan: « 33 émeutes au minimum ont éclaté au Kosovo sur une période de 48 heures […] Dix-neuf personnes ont perdu la vie au cours des violences. Au moins 550 maisons et 27 églises et monastères orthodoxes ont été incendiés. » Le rapport avec les événements d’Argenteuil (1) et ceux de Trappes ? Ils concernent des musulmans, avec des islamistes à la manœuvre, et semblent prendre racine dans de jolis bidonnages ou – a minima – d’énormes exagérations.

    Les jeunes de Trappes ont manifestement d’autres références que le Kosovo, mais tout aussi sympathiques… Ainsi, interrogé par « Le Monde », un habitant de Trappes déclare: « Ce qui va se passer ce soir n’est qu’un début. Dans vingt ans, Trappes, c’est la Tchétchénie! »

    Argenteuil, Trappes… des futurs Kosovo ?

    Un peu plus haut dans le même article, un autre reprochait aux « politiques » de vouloir « blanchiser » (sic) la ville. Ah, si seulement c’était le cas…

    L’« affection » de Valls pour les musulmans !

    Il faut dire que Trappes est une ville un peu particulière, que certains qualifient de « Roubaix de la région parisienne ». Et pour cause: en 2005, 61 % des jeunes de moins de 18 ans avaient au moins un parent immigré! Et puisqu’on est dans les chiffres, signalons que François Hollande y a recueilli l’excellent score de 77 % lors du second tour de l’élection présidentielle. Ceci expliquant sans doute cela.

    C’est donc en territoire conquis qu’il était venu, entouré de trois ministres – Vincent Peillon, George Pau-Langevin et Benoît Hamon –, en septembre 2012, prononcer un discours sur l’école républicaine. Bizarrement, il y a ces jours-ci moins de monde pour se presser à Trappes. Hollande est à Tulle, et on a aperçu Valls du côté du festival d’Avignon. Les policiers auraient pourtant bien eu besoin de leur ministre, car c’est un contrôle de femme voilée ayant mal tourné qui est à l’origine des émeutes de Trappes ayant démarré vendredi dernier.

    Le 17 juillet, Manuel Valls se rendait à la Grande Mosquée de Pa ris pour rompre le jeûne du ramadan et adresser « un signe d’affection à l’ensemble des musulmans », avant de dénoncer une « montée des violences à l’égard des musulmans de France ». Aux auteurs de ces actes « islamophobes », Valls a affirmé qu’il ferait preuve de la plus grande ferme té, cela sous le regard satisfait d’Abdallah Zekri, président de l’Observatoire contre l’islamophobie.

    Ce qui permet à Valls d’affirmer une telle recrudescence hormis les chiffres des associations islamiques? On ne le sait pas. Nous sommes de toute façon ici face à une déclaration politique et non réellement judiciaire. On l’a vu dans son traitement des opposants au « mariage pour tous », on l’a vu dans son traitement de faits divers impliquant des jeunes « d’extrême droite »: Valls est en croisade contre le Mal.

    Héritant d’un précédent ministre de l’intérieur ayant connu une certaine réussite par la suite le goût de la sur-communication, Valls en oublie peut-être que ses paroles peuvent avoir des conséquences. En parlant d’une montée de l’islamophobie (alors que tout laisse à penser que c’est à une montée de l’islamisme qu’il faudrait s’attaquer!), Valls a accrédité les thèses portées par plusieurs associations islamiques qui se cachent derrière la lutte contre une prétendue islamophobie pour couvrir leur prosélytisme.

    Un jour seulement après la visite de Manuel Valls à la Grande Mosquée de Paris, à Trappes, le contrôle par des policiers d’une femme portant le voile intégral dégénérait. L’accrochage se terminant par l’interpellation et le placement en garde à vue du mari ayant empêché le contrôle et étranglé l’un d’eux!

    De tels incidents deviennent récurrents, et sont montés en épingle et récupérés par des associations musulmanes (et carrément islamistes pour certaines, ne cachant pas leurs liens notamment avec les Frères musulmans ou le salafisme), qui n’ont jamais accepté la loi contre le port du voile de 2004 et celle contre le voile dit « intégral » de 2010. Les tensions aux abords des mosquées sont de plus en plus fréquentes (comme mercredi dernier à Toulouse, où la seule présence d’une voiture de police a été perçue comme une provocation et a donné lieu à des violences et dégradations pendant une soirée) et d’étranges histoires d’agressions de femmes voilées se répandent sur les réseaux sociaux. Sans heureusement avoir pour le moment les mêmes conséquences dramatiques qu’au Kosovo. Jusqu’à quand ?

    A Trappes – comme ce fut le cas à Argenteuil avec cette fameuse jeune fille voilée qui aurait été agressée par de bien mystérieux « skins » –, les incidents ne sont pas survenus après l’événement originel (c’est-à-dire, dans les deux cas, un jeudi) mais le lendemain, vendredi. Ce qui semble laisser à penser que l’information, puis la mobilisation, ont eu lieu pendant ou après la salât à la mosquée. « Les frères qui sont à la mosquée, ils sont rentrés avec nous, la police a dit il faut sortir. […] Après ils sont revenus pour faire ce qu’ils ont fait. » a déclaré sur iTélé la mère de la femme voilée, tandis que sur son site le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) écrivait: « Les personnes qui se sont rendues au commissariat, y compris l’imam de la mosquée de Trappes qui a tenté d’apaiser la situation, ont été congédiées sans ménagement. »

    « Islamistes racaillisés et racailles islamisées »

    De l’entretien avec la mère de la femme voilée contrôlée, on retiendra aussi qu’il s’agit manifestement d’une famille de convertis originaires des Antilles. Le mari interpellé est lui aussi un jeune converti. Le phénomène de conversion chez des Français originaires d’outre-mer devient de plus en plus important; c’était aussi le cas de l’islamiste ayant tenté d’égorger un militaire à la Défense ou encore d’une partie du groupe djihadiste de Cannes (et singulièrement de son leader Jérémie Sidney). Une conversion virulente comme en témoigne cette autre phrase de la mère de la femme voilée de Trappes: « On peut attaquer une autre personne, on peut attaquer un chrétien, mais on peut pas attaquer un frère musulman. »

    C’est, donc bien un groupe de musulmans rassemblés à la fin de la prière, mené par un imam, qui est allé demander des comptes et réclamer la libération d’un homme arrêté pour avoir tenté d’étrangler un policier. Et quand ceux-ci se font dégager du commissariat, c’est aussi de l’islamophobie? Suite à cet te première visite (pas franchement de courtoisie), un second rassemblement devant le commissariat – à 20h30 – s’est organisé via les réseaux sociaux. Et ce sont ainsi 250 à 400 personnes (selon l’AFP, évoquant un commissariat assiégé) qui se sont présentées au rendez-vous. Comme quoi Twitter et Facebook, ça ne fonctionne pas que pour la mobilisation contre la loi Taubira

    Même le rappeur « La Fouine », issu de Trappes tout comme Jamel Debbouze ou Omar Sy, a relayé l’appel (orthographe et ponctuation d’origine): « Suite à l’agression d’une femme voilée lors d’un contrôle de police à Trappes ayant refusé de retirer son voile elle s’est vu se le faire arracher par un agent. Son mari qui tenta de lui venir en aide s’est lui aussi vu interpeller! Ayant pris connaissance de cet acte les fréro de Trappes se sont réunis devant le commissariat pour manifester. Je les soutiens!!! »

    Des porteurs de casquettes, des cagoulés, des barbus… tout le mon de était au rendez-vous. Le vice-président du FN, Florian Philippot – qui semble muscler sa ligne actuellement –, a livré une description assez juste des émeutiers en évoquant « un mélange entre des islamistes racaillisés et des racailles islamisées ». Voitures brûlées, jets de pierre et d’engins incendiaires, et même des tirs d’armes à feu en l’air (d’après iTélé et plusieurs témoignages d’habitants) ont ainsi rythmé toute la nuit de vendredi, dans ce que plusieurs médias – abusant d’euphémismes – ont qualifié « d’échauffourées ».

    Le sympathique Sofiane, sur iTélé, s’est fait porte-parole des émeutiers: « On ne peut pas accepter qu’un frère soit en garde à vue pour rien, surtout le mois du ramadan. C’est un petit avertissement. »

    Si des habitants de Trappes n’hésitent pas à se réclamer des djihadistes tchétchènes, ils n’ont pas encore trouvé face à eux le Poutine français qui allait « les buter jusque dans les chiottes » (selon la célèbre phrase – moyennement poétique mais assez claire – du président russe). Le ministre de l’Intérieur s’est fourvoyé dans l’éternelle excuse sociale que le criminologue Xavier Raufer comme le géographe Christophe Guilluy ont battu en brèche depuis bien longtemps: « Je sais les difficultés que vivent nos concitoyens dans ces quartiers populaires, ce dont ils ont besoin c’est d’emploi, c’est d’un espoir, c’est d’une formation. […] Il n’y a que dans l’apaisement et dans le dialogue que l’on peut trouver des solutions aux problèmes de notre société: le chômage, le sentiment de discrimination, l’exclusion. »

    Explosion des contrôles ? Des niqabs ? Ou des rébellions ?

    En guise d’apaisement, le mari furieux accusé d’avoir agressé le policier a été relâché et sera convoqué devant la justice un de ces jours! On ne peut pas donner tort à Eric Ciotti, le « monsieur sécurité » de l’UMP, quand il déclare que « la libération donne raison aux émeutiers ». Un cran au-dessus, Marine Le Pen écrit dans un communiqué de presse « Il est plus que temps de taper du poing sur la table en organisant la reconquête par la loi et l’ordre de chaque mètre carré du territoire national. [...] La seule loi en France est la loi française, et non la loi islamiste ou la loi des racailles! »

    Allant dans le même sens et considérant qu’au vu de la réalité ethnoculturelle de Trappes et du motif de la flambée de violences, l’explication sociale ou l’angle sécuritaire ne sauraient suffire, l’identitaire Philippe Vardon écrit pour sa part: « Ce n’est pas une “guerre civile“, une guerre civile a lieu entre personnes du même peuple. Or là… » Un petit bémol tout de même: quid des Français convertis?

    Le fait étonnant reste tout de même la multiplication sensible non pas des faits d’islamophobie (sauf à considérer – comme de nombreux musulmans – la loi contre le voile intégral comme islamophobe) mais d’incidents lors de contrôles. Y aurait-il une explosion des contrôles de la part de policiers exaspérés ? Une augmentation du nombre de musulmanes arborant le niqab ou la burqa ? Ou bien une volonté délibérée de résister davantage aux contrôles pour faire monter la pression ?

    Le bras de fer est désormais clairement engagé. Avec comme objectif de culpabiliser (et criminaliser si possible, comme le démontrent les plaintes du CCIF contre Ivan Rioufol ou Marine Le Pen) toute critique de l’islam – et même de l’islamisme –, et comme objectif intermédiaire de forcer à abroger (au moins dans les faits, en ne l’appliquant plus) la loi « anti-burqa ».

    Qu’on ne s’y trompe pas, le bras de fer n’est pas engagé avec l’Etat, ou la République, mais bien avec la France comme vieille nation. Jaouad Alkhaliki, président de l’Union des musulmans de Trappes – proche des Frères musulmans – affirmait il y a quelques années: « Trappes est un exemple où il y a la “masse critique“ de musulmans qui permet au moins de faire réfléchir les politiques, si ce n’est de les faire plier. »

     Lionel Humbert

    1. Voir notre dossier dans « Minute » n° 2620 du 19 juin 2013.

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 24 juillet 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Argenteuil, Trappes… des futurs Kosovo ?http://fr.novopress.info

  • Immigration : un nécessaire renversement des perspectives politiques et idéologiques

    L’affaire est entendue : l’immigration en France et en Europe pose des problèmes économiques, sociaux, sécuritaires, culturels, civilisationnels de moins en moins admissibles. Il faut donc mettre un terme au processus migratoire. Mais comment ? Des réformettes à la marge ne régleront rien. Ce qu’il faut, c’est changer de paradigmes dominants. Polémia présente ici en douze points l’inventaire des bouleversements nécessaires pour inverser les flux migratoires.

     

    1 – Rétablir la liberté d’expression

     

    Depuis 1972, la loi Pleven, sous couvert de « lutter contre le racisme et l’antisémitisme », réprime la liberté d’expression. Une législation pénale de plus en plus extensive, appliquée lato sensu par des tribunaux politiquement corrects, rend de moins en moins facile la simple analyse de la réalité et a fortiori la possibilité de la faire connaître à l’opinion. Sans liberté d’expression, il n’y a pas de démocratie possible. Et sans diagnostic préalable, il n’y a pas de solution envisageable.

     

    2 – Supprimer le financement des associations immigrationnistes

     

    Les associations « antiracistes » et immigrationnistes vivent à 95% de subventions publiques. Elles se servent de cet argent pour encombrer les tribunaux : — devant les juridictions pénales pour réprimer la liberté d’expression de ceux qui ne pensent pas « bien » et pour exercer un chantage sur les autorités publiques nationales ou locales (« je ne te poursuis pas si tu me subventionnes »); une attitude en elle-même délictuelle; — devant les juridictions judiciaires et administratives pour défendre la cause des étrangers clandestins et des fraudeurs du droit d’asile ; en matière d’immigration, l’État n’a pas d’argent pour payer des avocats pour défendre la cause de la loi… mais il en donne à ceux qui la combattent !

     

    3 – Changer de paradigme moral : retrouver la fierté, rompre avec la repentance

     

    La France – comme l’Europe – souffre d’une idéologie culpabilisante. Jeunes générations et acteurs publics se voient constamment reprocher les malheurs de l’histoire : de la Seconde Guerre mondiale, de la colonisation ou de l’esclavage. Il faut en sortir : abroger les « lois mémorielles » et retrouver la fierté de notre passé.

     

    4 – Changer de paradigme juridique : renoncer à l’idéologie des droits de l’homme et recouvrer la souveraineté française sur les lois françaises

     

    Et pour cela dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme. Une Convention dont l’interprétation par la Cour européenne des droits de l’homme ne protège pas la liberté d’expression mais rend toutes nos lois de protection nationale inefficaces avant même d’être appliquées; une telle dénonciation est possible puisqu’elle est explicitement prévue par l’article 58 de la Convention (avec un préavis de six mois).

     

    5 – Sortir du mondialisme économique et du sans-frontiérisme, revenir au patriotisme économique

     

    L’immigration, c’est-à-dire « les délocalisations à domicile », est le pendant des délocalisations « offshore » : ce qui est à l’œuvre, c’est la même logique du mondialisme économique qui considère les hommes comme de simples marchandises. L’immigration, c’est aussi un moyen de faire baisser les salaires.

     

    La relocalisation, la préférence nationale à l’emploi, le patriotisme économique sont des concepts à faire entrer en résonance pour revitaliser notre économie : « fabriquer français avec des Français. » Le succès des produits « made in local », appuyé sur la notion de circuits courts inhérente au développement durable, illustre la popularité – et donc l’acceptation – potentielle de ce mouvement.

     

    6 – Rétablir de vraies frontières

     

    Les frontières de l’Union européenne sont des passoires. L’Union européenne ne sait d’ailleurs même pas où elle s’arrête.

     

    Or la frontière est une paroi protectrice : elle doit laisser passer ce qui est bon et maintenir à l’extérieur ce qui ne l’est pas. La France peut accueillir des étudiants étrangers à condition qu’ils soient en nombre limité et sérieusement sélectionnés. La France peut accueillir des réfugiés politiques à condition qu’il s’agisse de vrais réfugiés venant d’un tout petit nombre de pays. Pour le reste, la France doit drastiquement limiter les autorisations de séjour qu’elle accorde, ainsi que le nombre des visas attribués aux ressortissants des pays à risque. Il faut établir un contrôle préférentiel aux frontières pour les ressortissants de certains pays. Les pays d’émigration clandestine doivent figurer sur une liste noire. Il faut aussi comme les Suisses expulser tous les délinquants étrangers.

     

    Partout dans le monde, en dehors d’une « sphère occidentale » en repli depuis la crise financière de 2007 – 2008, on assiste à un retour en force de la notion de frontière : la France serait dans son rôle en assumant une fonction d’avant-garde dans le rétablissement, en Europe, de cette condition essentielle à l’exercice des libertés politiques et économiques.

     

    7 – Remettre en vigueur la liberté de préférence, abandonner la lutte contre les « discriminations »

     

    Il faut mettre un terme au racisme anti-français, anti-européen, antichrétien. Il faut aussi redonner vie au beau concept de préférence. C’est une liberté fondamentale que de pouvoir choisir librement ses collaborateurs, ses fournisseurs, ses aides à domicile, ses voisins, ses locataires, l’école de ses enfants. Y compris selon les critères de la nationalité, de la religion, de l’ethnie ou de la civilisation.

     

    8 – Adopter le principe de préférence nationale

     

    Les ressources financières de l’État sont rares, surtout dans un contexte budgétaire marqué par un fort endettement. Il faut donc fermer les robinets des déficits et par là même couper les pompes aspirantes de l’immigration : par la préférence nationale à l’emploi, aux prestations familiales et aux aides sociales.

     

    9 – Valoriser les principes de la civilisation française et refuser les mœurs étrangères

     

    Tout ne se vaut pas et le multiculturalisme est un échec reconnu. La sagesse est d’en revenir à l’identité française, celle des terroirs et des clochers. La France, ce n’est pas une abstraction, c’est une culture, c’est une civilisation, où les mosquées, les minarets, le voile islamique, l’abattage rituel banalisé, la viande de singe et le culte vaudou n’ont pas leur place. A fortiori dans l’espace public.

     

    10 – Réformer le droit de la nationalité

     

    Être français, cela s’hérite ou se mérite. Cela signifie en revenir au jus sanguinis, au droit de la filiation : est français l’enfant né de parents français; peut devenir français l’étranger qui appartient à la civilisation européenne d’expression française par les mœurs, par la culture, par la langue et par l’affectio societatis.

     

    11 – Mettre en œuvre la démocratie directe

     

    Ce n’est pas aux élites de dire ce qui convient au peuple. C’est au peuple de tracer les voies de son avenir : en s’exprimant directement sur les grands sujets par référendum; après des campagnes loyales partageant équitablement l’expression entre les thèses opposées.

     

    12 – Et en attendant ? Développer une attitude dissidente !

     

    Ne nous méprenons pas. Ces changements supposent un bouleversement du monde et le renversement des élites dirigeantes politiques, financières, médiatiques qui gouvernent. En attendant il faut développer une attitude dissidente : dans le choix de l’école de ses enfants, dans l’enseignement qui leur est délivré, dans la sélection de ses fournisseurs, dans l’achat local plutôt que dans l’achat global, dans l’affirmation sans complexes de ses convictions politiques, de sa foi religieuse ou de ses choix philosophiques, de ses préférences culturelles et gastronomiques.

     

    Polémia

     

    • Mis en ligne sur Polémia, le 9 décembre 2010.

  • La Russie est devenue une grande puissance grâce à la religion chrétienne

     

    La Russie est devenue une grande puissance grâce à la religion chrétienne
    La Russie est devenue une grande puissance grâce à l'adoption de la foi chrétienne, a déclaré jeudi le président russe Vladimir Poutine dans un message adressé au Patriarche de Moscou et de Toutes les Russies Cyrille pour le 1025e anniversaire de la Russie.

    "L'adoption de la foi chrétienne a marqué un tournant décisif dans l'histoire de notre pays qui est devenu une partie intégrante de la civilisation chrétienne et une grande puissance mondiale. C'est la foi chrétienne orthodoxe qui a donné une impulsion au développement de la culture et de l'enseignement en Russie. Elle a libéré des forces créatrices colossales, a encouragé le peuple russe et l'a soutenu pendant des périodes difficiles. L'Eglise orthodoxe russe a toujours été avec son peuple", est-il indiqué dans le message rendu public par le service de presse du Kremlin.

    Le président a également mis en valeur le rôle du Patriarcat de Moscou dans le renforcement de la coopération internationale et le développement du dialogue avec les Eglises orthodoxes d'autres pays.

    Des festivités consacrées au 1025e anniversaire de la christianisation de la Russie se déroulent sur l'ensemble du territoire canonique de l'Eglise orthodoxe russe, en Russie et à l'étranger. Y participent les chefs des Eglises orthodoxes du monde entier, y compris huit Patriarches. V. Poutine
  • La réciprocité : une boussole dans le choc des civilisations et des États ?

    Par-delà les continents et les frontières – des États ou des quartiers – le choc des civilisations provoque des incompréhensions. Les musulmans sont axés sur la défense de leur religion contre des propos ou des images qu’ils considèrent comme des « blasphèmes ». Les Européens et les Occidentaux sont, eux, davantage attachés à la défense de la liberté d’expression. Au-delà des tensions actuelles, il serait bon d’avoir une boussole dans les relations entre États, religions et civilisations. Une boussole aussi vieille que les relations en société : la réciprocité.
    Ainsi, il est étrange que les musulmans réclament – et obtiennent – la construction de grandes mosquées en Europe alors qu’aucune église nouvelle ne peut être construite aujourd’hui dans les pays musulmans, y compris et surtout dans les pays du Golfe arabo-persique qui accueillent de nombreux travailleurs catholiques (philippins notamment). Et dans les vieilles terres chrétiennes d’Irak, de Syrie (dans les zones rebelles) ou d’Égypte, la situation des chrétiens est de plus en plus délicate.
    De même, s’il est jugé normal que les femmes européennes se voilent dans les pays d’islam, il est alors inacceptable que le voile islamique crée des problèmes récurrents dans le fonctionnement des services publics européens (hôpitaux, écoles, administrations). Respecter les coutumes du pays qui vous accueille fait partie de la bonne éducation !
    Enfin la cohabitation sur les mêmes lieux (de vie ou de travail) d’hommes et de femmes de différentes religions débouche sur des mariages mixtes. Mais quand une chrétienne (ou une agnostique) épouse un musulman, elle doit devenir musulmane. Et quand un chrétien (ou un mécréant) épouse une musulmane, il doit lui aussi devenir musulman. La conversion est toujours à sens unique. C’est l’intolérance musulmane qui rend la réciprocité impossible.
    Dans un autre domaine, il est régulièrement demandé que la France reconnaisse des torts à l’égard de l’Algérie. Il est possible qu’il y en ait eu. Mais alors, que l’Algérie reconnaisse aussi ses fautes : l’enlèvement d’Européens transformés en esclaves par les barbaresques d’Alger, la disparition de 3.000 Européens à Oran en 1962 et les massacres de Harkis, le tout pour clôturer une guerre ouverte par l’assassinat d’un couple d’instituteurs (les Monnerot lors de la Toussaint 1954). S’il devait y avoir « repentance », celle-ci ne saurait être à sens unique.
    Le principe de réciprocité doit aussi régir les relations entre Etats et leurs ressortissants. Pourquoi envisager de donner le droit de vote en France à des ressortissants de pays où nos compatriotes qui y séjournent n’ont aucun droit équivalent ? Pourquoi accorder des services sociaux et médicaux à des étrangers sans contreparties ? Un Français qui voyage à l’étranger doit s’assurer avant de partir, ou payer sur place ses soins médicaux ; est-il équitable qu’il finance aussi par ses impôts les soins médicaux des étrangers présents en France lorsqu’ils sont sans ressources (CMU), voire clandestins (AME) ?
    Ce principe de réciprocité pourrait aussi être utilement rappelé dans la vie cultuelle française. Il est étrange d’adopter des attitudes différentes sur le blasphème selon que sa victime est catholique, musulmane ou juive. Le blasphème anticatholique (Piss Christ, Golgota Picnic) est soutenu par les autorités, protégé par la police et subventionné ! Le blasphème antimusulman est toléré mais condamné moralement. Le blasphème antijuif est vigoureusement condamné et fait l’objet de poursuites policières et judiciaires, au titre de la loi Gayssot (la « Shoah ») ou de la loi Pleven (l’antisémitisme). Ce « trois poids, trois mesures » ne facilite pas la bonne entente des uns et des autres et sert à nourrir la revendication musulmane. Ainsi Mahmoud Gozlan, porte-parole des Frères musulmans égyptiens, a-t-il déclaré : « Quiconque doute de l’Holocauste est emprisonné, mais si quelqu’un insulte le prophète, ses compagnons ou l’islam, le maximum que fasse (la France) est de présenter ses excuses en deux mots. Ce n’est ni juste ni logique. »
    Bien entendu, ce principe de réciprocité pourrait aussi servir à éclairer la vie politique française. A gauche, il fonctionne à plein : socialistes, communistes et Verts se soutiennent mutuellement et se désistent les uns pour les autres lors des élections. A droite, il n’en va pas de même ! Pour la gauche l’UMP ne doit jamais voter pour le Front national, ni accepter ses voix. Pour l’UMP, il est naturel que les électeurs FN votent pour ses candidats mais la réciproque est exclue. En ce domaine l’UMP entend recevoir sans jamais donner ; c’est nier le principe de réciprocité.
    La réciprocité doit aussi servir de ligne de conduite en matière de commerce international. Est–il raisonnable d’ouvrir les appels d’offres publics français au monde entier alors que, de la Chine à l’Allemagne, nos partenaires privilégient leurs propres entreprises nationales ?
    Le principe de réciprocité doit aussi conduire à se mettre à la place des autres. Posons-nous la question : trouverions-nous acceptables des ingérences militaires des pays arabes en Europe ou sur le continent américain ? Non ! Voilà qui devrait pousser les pays occidentaux à une certaine retenue dans leurs équipées guerrières au Proche-Orient ou au Machreck !
    Beaucoup des problèmes français et européens viennent d’une perte de discernement des dirigeants politiques et économiques. Le retour à des principes simples pourrait permettre d’éviter bien des difficultés et de rendre les choix plus cohérents et plus intelligents. Le principe de réciprocité est l’un d’entre eux !
    Jean-Yves Le Gallou http://www.polemia.com
    21/09/2012

  • M6 provoque la colère des fêtards de l'enfer

    Suite au festival Hellfest (Fête de l’enfer) à Clisson, une enquête critique de l’émission Zone interdite (M6) déchaîne les passions. Le reportage de Zone interdite est nuancé : il expose ouvertement les nuisances illégales des participants, leurs « provocations satanistes », l’étrange complicité des autorités et l'exaspération des habitants. Il met en évidence pour la première fois les incivilités et illégalités du hellfest avec en illustration des entretiens et des  témoignages édifiants, comme par exemple la scène avec les forces de police suite aux infractions de stationnement.

    Le reportage se déroule sur les plages 1'30 à 6'40 puis de 26' à 37' :

    • La plage 1'30 à 6'40 traite pour l'essentiel des nuisances sonores, sanitaires et de l'alcoolisation
    • 29'30 : une discussion surréaliste entre les forces de l'ordre et un riverain dont le terrain et le parking privatifs sont squattés
    • 32' : Un curieux dédommagement des riverains pour tenter de les amadouer
    • 33'50 : Des images du festival avec croix renversées en feu et groupes satanistes
    • 36' : L'illégalité par rapport au décibels et la réaction du maire divers gauche

    Ces faits sont dénoncés depuis quelques années par des opposants locaux : Provocs Hellfest, ça suffit.

    L’émission a provoqué la colère des « métalleux » qui ont lancé une pétition contre M6, exigeant des excuses publiques de la chaîne, pour « propos diffamatoires ». La violence des 'chansons' contre les chrétiens ne les a pourtant jamais choqués.

    Une contre-pétition lancée par le blog d'Hélène Bodenez "Raison garder" appelle à soutenir la chaîne.

    "Ce festival attaque les croyants, en particulier la croix des catholiques qui apparaît enflammée et renversée sur scène. Zone interdite offre au spectateur un reportage édifiant sur les pratiques en place : riverains obligés de partir de chez eux, agressés par les cris et les gestes des festivaliers, par le bruit des baffles, par des nuisances de tous ordres et que les images ont parfaitement montrés. Jusqu'aux gendarmes qui refusent de verbaliser."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Turquie : le réveil alévi

    Ils sont entre 10 et 15 millions et forment une minorité mystique singulière et sympathique. Les humiliations répétées qu'ils subissent, les provocations qu'ils endurent, expliquent leur mobilisation dans la vague de contestations récentes qui fait vaciller le pouvoir en place à Ankara.
    L'islam ayant régné en maître exclusif pendant plus de mille ans sur l'Anatolie, on aurait pu croire qu'il effacerait toutes les autres influences religieuses. Il n'en a rien été. Un certain nombre de descendants des tribus turques qui envahirent l'Empire romain d'orient (empire byzantin) ont conservé plus ou moins intacte la foi de leurs ancêtres. Ce sont les Alévis, des monothéistes qui n'observent aucun des cinq piliers officiels de l'islam. Enfin ils utilisent dans leur liturgie la langue turque et non l'arabe. Tout cela exaspère les bien-pensants et les heurts sont fréquents entre Alévis et sunnites.
    Peut-on considérer les Alévis comme des musulmans ?
    Les Alévis se démarquent nettement de l'islam officiel parce qu'ils ne vont pas à la mosquée, ni à La Mecque, ni ne respectent le sacro saint jeûne du ramadan. Les femmes Alévis ne se voilent pas, ces impudentes assistent au culte, assises à côté des hommes. Les Alévis ne respectent pas les ablutions prescrites par l'islam et ne voient aucun mal à consommer de l'alcool ou à avaler une tranche de jambon. Enfin, leur religion est mêlée d'innocentes pratiques animistes (danse de la pluie) ou superstitieuses (par exemple, donner à manger aux pauvres lorsqu'on rêve d'un mort).
    Outrés, les traditionalistes musulmans considèrent l'alévisme comme « immoral » et comme un obstacle à leur idéal de créer une société pieuse reposant sur le coran. Naturellement ces parangons de tolérance considèrent que les Alévis ne sont pas des musulmans, opinion que partagent certains Alévis quand, loin des oreilles sunnites, ils osent se confier. En un mot, en Turquie, ils sont, depuis toujours, un objet permanent de soupçon et de méfiance : le pouvoir central (ottoman autrefois, républicain aujourd'hui) s'identifie à la tradition sunnite et pour les accabler les accuse de former une cinquième colonne du chiisme.
    Les Alévis et Mustapha Kemal Ataturk
    Au XXe siècle, les Jeunes Turcs qui recherchent leurs racines redécouvrent les communautés rurales alévi. L'entreprise de réhabilitation de la langue turque démotique (par opposition à l'Osmanli officiel) conduite par Ataturk (photo) s'appuie en partie sur les patois alévi. Les coutumes des nomades dont certaines remontent au passé pré-islamique du peuple turc sont réhabilitées. La poésie traditionnelle alévi est portée aux nues par les intellectuels de la capitale. Après des siècles de persécution les Alévis, ces quasi parias de la société ottomane, ont à nouveau droit de cité.
    En pratique sa reconnaissance de la culture alévi s'est bornée à encourager le retour aux traditions antérieures aux Ottomans mais seulement dans la mesure où elles étaient susceptibles de contribuer à la construction d'un Etat authentiquement turc. Folkloriser les particularismes locaux et les mettre au service de son projet républicain et laie, est l'objectif d'Ataturk qui au fond préfère un islam sunnite soumis à son pouvoir, ou plus exactement par tradition soumis au pouvoir central, à un islam alévi réputé frondeur et indiscipliné. En choisissant la solution la plus confortable pour son régime il a peut-être laissé échapper une chance extraordinaire de changer les mentalités. Car le moment était favorable : les Turcs, marqués par les épreuves de la Grande Guerre et écœurés par la trahison arabe, l'auraient peut-être plus volontiers suivi sur la voie d'une véritable réforme religieuse inspirée des principes de « l'alévisme » que sur celle d'une occidentalisation à outrance.
    Une provocation d'Erdogan a mis le feu aux poudres
    Toujours est-il que les Alévis, même manipulés par un Ataturk uniquement soucieux de construire un État-nation fort, sont très attachés à l'héritage kémaliste et se méfient du parti AKP au pouvoir, à raison semble-t-il.
    Le 29 mai dernier (1), le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a posé en grandes pompes la première pierre du troisième pont sur le Bosphore qu'il a baptisé du nom de « Sultan Yavuz Selim ».
    Ce choix de Selim I (1512-1520) n'est pas anodin. Il est le petit-fils de Mehmet le conquérant et le père de Soliman le Magnifique, son surnom «Yavuz » signifie « le terrible ». Et pour cause, ses huit années de pouvoir furent marquées par une série de conquêtes suivies de massacres. Le résultat en fut la domination ottomane sur la Syrie, la Palestine, l’Égypte, et surtout sur les lieux saints de l'islam, les villes de Médine et La Mecque. C'est à cette époque que le sultan ottoman devient également calife, le chef religieux suprême de l'islam. Il le restera jusqu'à l'abolition du califat par Ataturk en 1924. Aux yeux de la communauté alévi, Selim I était un être sanguinaire, responsable d'épouvantables massacres, qui a tenté, sans y parvenir, d'éradiquer leur communauté, pour imposer partout l'islam sunnite.
    C'est donc très logiquement que deux jours après cette inauguration, des milliers de jeunes Alévis, républicains et laïques, apolitiques ou non, se sont joints aux manifestations contre le pouvoir, à Istanbul et dans tout le pays. Et ils y jouent un rôle clef. Leur mobilisation est révélatrice de la détermination de cette importante minorité de Turquie à défendre son identité face à l'islam sunnite.
    Henri Malfilatre monde & vie 2 juillet 2013
    1).Ce jour marque le 560e anniversaire de la conquête de Constantinople par le sultan Mehmet II, dont le nom officiel (« Fatih Sultan Mehmet », le conquérant) a été donné au deuxième pont. Certains y voient là un nouveau signe de « l'ottomania » des islamo-conservateurs de l'AKP qui dirigent la mairie d'Istanbul depuis 1994 et le gouvernement turc depuis 2002.

  • Que faire des islamistes ? par Manuel GOMEZ

    Les islamistes ne se posent pas la question : que faire du reste du monde ? Depuis que l’Islam existe ils savent qu’ils doivent soit le convertir, soit le combattre, soit le détruire. Ce n’est pas le reste du monde qui ne les accepte pas, ce sont eux qui sont incapables de l’accepter.
    Les islamistes ne veulent pas être uniquement des musulmans. Ils sont convaincus que la Terre entière doit devenir musulmane. Leur croyance impose que l’on change celle des autres, même si les autres n’en ont aucune. Leur objectif est d’imposer leur foi, par la force, par l’argent, ou par l’invasion migratoire. 
    PAR LA FORCE ?
    Ils savent que ce n’est plus possible. Ils ont compris la leçon. Et c’est nous, les Occidentaux, qui la leur avons donnée. Il y a 2000 ans nous pensions que la solution était facile : on partait en croisade pour les convertir ou pour les exterminer. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec. À leur tour ils ont fait le voyage inverse, leur but : conquérir l’Europe. Ils ont envahi l’Espagne et tenter de s’implanter en France. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec.
    PAR L’ARGENT ?
    Au XXIe siècle ils ne peuvent plus nous conquérir par la force alors ils nous séduisent par l’argent, nous convertissent par le terrorisme, attirent nos armées hors de nos frontières pour mieux les combattre et nous envahissent par leur immigration incontrôlée, leur polygamie et leur démographie galopante.
    Insidieusement et avec une patience toute Orientale, ils imposent leurs mœurs, leurs coutumes. Non pas dans le secret, mais au grand jour, profitant de la faiblesse, de la soi-disant compassion et surtout de la naïveté de cet Occident (dont une majorité de Français qui se moque totalement du devenir de notre pays. Celle qui a toujours collaboré avec nos ennemis, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui).
    Avant 1954 les Arabes (on ne disait pas alors « islamistes ») venaient « travailler » en métropole et s’intégraient obligatoirement, avant de reprendre le chemin inverse (vérifier auprès de la CGT, du Parti Communiste et du Patronat, qui avaient besoin de cette main d’œuvre et les aidaient), mais cela « c’était avant ».
    La guerre d’Algérie, le regroupement familial, l’accueil et l’assistanat offerts aux clandestins, la nationalité par le droit du sol, ont changé la donne.
    ALORS QUE FAIRE DES ISLAMISTES ?
    Les pays arabes eux-mêmes n’ont pas la solution. Les modérés ont renversé les dictateurs qui tenaient dans une main de fer les « salafistes » pour élire démocratiquement (paraît-il) des islamistes radicaux, tels les « Frères musulmans ».
    Il n’y aura jamais de république laïque dans un pays musulman puisque l’Islam est leur religion et leur civilisation. (Seul François Hollande veut y croire !).

    Si l’invasion se poursuit et s’amplifie les solutions s’imposeront d’elles-mêmes, dans la violence très certainement (chaque jour nous en apporte une nouvelle preuve), puisqu’elles ne peuvent être envisagées sereinement et avec lucidité par ceux qui nous gouvernent.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Trappes : que cache la mobilisation contre « l’islamophobie » ?

    TRAPPES (NOVOpress) – Les partisans de la femme voilée à Trappes (Yvelines), dont le contrôle par la police à déclenché de très violents affrontements le week-end dernier entre des centaines d’émeutiers et les forces de l’ordre, agitent le torchon de « l’islamophobie » pour défendre leur cause. Ainsi, mercredi, des membres du Collectif des citoyens de Trappes ont fait état d’une « islamophobie » en réclamant la tenue d’une table ronde avec le préfet, les élus et les citoyens afin de rétablir un « vrai » dialogue et « faire bouger les lignes ».

    Par ailleurs, le mari de la femme voilée, un converti à l’islam depuis cinq ans (photo), affirme n’avoir « jamais tenté d’étrangler » le policier, affirmant lui aussi avoir subi des « provocations » et fait l’objet d’« insultes ». Dès le 20 juillet, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a exploité ce filon, s’en prenant aux médias et à la police, accusés de mettre « en cause les protagonistes musulmans, en première intuition ». Pour voler aux secours de ces extrémistes musulmans, le CCIF a utilisé également la vulgate « antiraciste » : « Plusieurs témoins de la scène rapportent des déclarations racistes de la part des policiers et un abus de moyens physiques à l’encontre d’une personne qui coopérait ». Mais pour le CCIF, cette affaire est surtout le dernier acte en date d’une « vague islamophobe en France ». Cette stratégie révèle le vrai visage de la lutte contre « l’islamophobie » : un soutien idéologique à l’islamisme en France.

    http://fr.novopress.info/

  • Personne ne veut des trisomiques ? Le mensonge explosé

    P. Thomas Vander Woude

    Cette belle histoire nous vient des Etats-Unis : celle d’un enfant à naître diagnostiqué trisomique à l’occasion d’une amniocentèse, et que sa mère voulait éliminer par avortement. L’apprenant, le curé d’une paroisse catholique de Gaineswoode, Virginie proposa aux parents du petit un marché : elle mènerait la grossesse à terme, et lui se chargerait de trouver des parents adoptifs…

    Le P. Vander Woude posta un message sur Facebook un beau lundi matin.

    La réponse fut telle qu’il fallut mobiliser un séminariste en stage à la paroisse pour répondre aux messages, trier les propositions, bref, choisir parmi les près de l.000 propositions d’adoptions qui affluèrent, submergeant complètement le secrétariat. 

    En définitive, trois candidatures furent retenues, non sans consulter les parents de l’enfant à naître et une agence d’adoption sérieuse pour trouver le meilleur foyer possible pour lui. 

    Cette histoire émeut les Etats-Unis d’autant plus que le P. Vander Woude sait ce que c’est de sauver un enfant trisomique, fût-ce au prix de la vie.

    Tom Vander Woude avec ses garçons
    lors d’une cérémonie de fin d’études.

    Il est l’aîné d’une famille de 8 garçons, son plus jeune frère, Joseph, est trisomique. Lorsque ce dernier eut 20 ans, il s’activait auprès de son père autour de la ferme familiale où celui-ci s’était réinstallé après une carrière dans l’aviation. Soudain, Tom Vander Woude, le père, s’aperçut que son Joseph avait disparu. Voyant que le couvercle de la fosse septique de la maison était déplacé, il se précipita et vit que son fils y était tombé – sachant qu’il n’avait pas pied, le père appela les secours puis plongea résolument dans la fange pour maintenir le garçon hors du liquide. Joseph fut sauvé mais Tom succomba au moment de le pousser dans les bras des sauveteurs, asphyxié par les gaz auquel il fut trop longtemps exposé.

    Ce don de sa vie pour sauver le plus faible de ses enfants a fortement impressionné non seulement la famille de cet homme, mais toute la communauté catholique de la paroisse où il avait beaucoup œuvré avec son épouse. Dans une interview, le P. Vander Woude raconte qu’il était d’abord troublé par cette mort dans la saleté et les excréments – avant de prendre conscience du fait que Notre Seigneur, comme il dit, s’est abîmé dans une fange autrement plus révulsante en prenant tous les péchés du monde sur ses épaules pour offrir à chacun la chance du salut.

    Toute l’histoire est racontée sur l’excellent site pro-vie qcv.qc.ca, ici : cela vaut vraiment la peine de la lire.

    L’interview du lumineux P. Vander Woude par un franciscain de l’Immaculée, est visible ici en anglais.

    A la mort de Tom Vander Woude, aidée de ses belles-filles, sa femme retailla sa robe de mariée pour en garnir son simple cercueil en bois de pin, fabriqué et offert par un ami.

    http://www.riposte-catholique.fr