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religion - Page 38

  • Christianophobie en France : le mois de mars pire que celui de février

    Christianophobie en France : le mois de mars pire que celui de février

    Constat de Daniel Hamiche :

    Je pensais que l’horrible mois de février dernier resterait longtemps dans nos annales comme le pire que nous avons connu en nombre d’actes christianophobes en France. J’avais tort ! Le mois de mars qui vient de s’achever a été pire que le précédent puisque nous avons pu signaler et documenter 51 cas, un de plus qu’en février ce qui n’est pas une augmentation considérable, mais une augmentation tout de même…

    9 lieux de culte profanés, 11 vandalisés, 14 victimes de vols…

    Comparé au premier trimestre 2018, le premier trimestre 2019 enregistre une augmentation de plus de 53 % des actes christianophobes commis en France ! C’est énorme…

    Notre synthèse de la christianophobie de mars vient d’être rédigée. Elle est arrêtée à ce jour, c’est dire qu’elle pourrait être revue en hausse car il nous arrive fréquemment d’obtenir des signalements tardifs.

    Si vous souhaitez recevoir gratuitement cette synthèse au format PDF, avant qu’elle soit mise en ligne, n’hésitez pas à me la demander ici (en précisant bien : “synthèse mars 2019”).

    https://www.lesalonbeige.fr/christianophobie-en-france-le-mois-de-mars-pire-que-celui-de-fevrier/

  • Vandalisme à la basilique de Saint-Denis : le grand silence du gouvernement et des médias

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    Un communiqué du MNR :

    Dans la nuit du 2 au 3 mars derniers, l'un des vitraux de la basilique de Saint-Denis, près de Paris, a été cassé, les portes du buffet du grand orgue (l'un des plus beaux de France) ont été endommagées, ainsi que le moteur. On ignore l'identité et les mobiles du ou des malfaiteurs. Cependant, compte tenu du prestige de cet édifice (nécropole des rois de France), on est éberlué par le silence total des « grands » médias et de nos gouvernants, contrastant avec le battage effectué dès que les lieux de culte musulmans ou israélites sont touchés, si peu soit-il. Comment s'étonner d'une certaine désaffection du public à l'égard des médias ?
    Avec tous les défenseurs de notre civilisation, battons-nous pour que cesse le « deux poids, deux mesures » dont est victime le christianisme dans le traitement des (nombreux) faits divers le concernant.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/12/vandalisme-a-la-basilique-de-saint-denis-le-grand-silence-du-6135331.html

  • CEDH et liberté de critiquer l’islam

    CEDH et liberté de critiquer l’islam

    De Nicolas Bauer, chercheur associé à l’ECLJ, dans La Nef :

    La conférencière autrichienne du FPÖ, dont la condamnation avait été validée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) pour avoir « dénigré » Mahomet, a décidé de faire appel pour défendre son droit de critiquer la religion musulmane. Cette femme demande aujourd’hui à la Cour un renvoi de son affaire en Grande chambre, ce qui n’est accepté que dans des cas exceptionnels (5 % des demandes). Ce litige pourrait justement être considéré comme revêtant une importance particulière, car c’est la cohérence de la jurisprudence de la Cour sur la liberté d’expression qui est en cause. De plus, les juges de Strasbourg seront probablement attentifs au contexte actuel, marqué par l’abolition généralisée du délit de blasphème en Europe, les fortes critiques de la jurisprudence récente de la CEDH sur l’islam, la résolution européenne condamnant la charia ou encore une pétition de 60 000 signataires soutenant cette Autrichienne.

    En 2013, la Cour suprême d’Autriche a condamné la conférencière pour avoir assimilé la consommation du mariage de Mahomet avec la jeune Aïcha âgée de neuf ans à de la pédophilie. Cette femme avait déclaré entre autres que Mahomet « aimait le faire avec des enfants » et s’était interrogée en ces termes : « un homme de cinquante-six ans avec une fille de six ans (…) De quoi s’agit-il, si ce n’est de pédophilie ? ». L’intervention qui lui est reprochée était factuelle et visait à contribuer au débat public. Son objectif était notamment d’alerter sur la pratique du mariage de filles prépubères dans certains pays musulmans, suivant l’exemple du prophète de l’islam. Malgré cela, par un jugement en chambre d’octobre 2018, la CEDH a validé la condamnation de cette femme, estimant qu’elle n’avait pas tant cherché à informer le public qu’à démontrer que Mahomet « n’est pas digne d’être vénéré ». Les juges européens ont considéré que restreindre sa liberté d’expression était nécessaire à la préservation de la « paix religieuse » et de la « tolérance mutuelle ».

    Outre ces éléments, ce qui a le plus choqué l’opinion publique, dans cet arrêt, est l’analyse par la Cour des actes pédophiles de Mahomet. En effet, suivant le raisonnement des juridictions autrichiennes, les juges de Strasbourg ont reconnu la réalité historique de ces actes tout en minimisant leur gravité. La CEDH a ainsi considéré qu’insinuer que Mahomet serait « pédophile », alors même qu’il a épousé d’autres femmes majeures ou encore qu’il a continué à avoir des relations avec Aïcha par la suite, serait une « généralisation sans base factuelle ». De plus, l’anachronisme du mot « pédophilie » a également été souligné pour discréditer les paroles de la requérante autrichienne. Le fait que la CEDH relativise les actes pédophiles, sous prétexte de les contextualiser, est choquant. Selon la tradition sunnite, la petite Aïcha était l’épouse préférée de Mahomet. Or, la pédophilie est, selon l’OMS, une « préférence sexuelle pour les enfants, généralement d’âge prépubère ou au début de la puberté ». Serait-il interdit de faire un rapprochement, afin d’initier un débat sur la pertinence de choisir Mahomet comme modèle à « imiter » aujourd’hui ? Il semblerait que oui, d’après le jugement de la Cour.

    La Grande chambre, c’est-à-dire la formation la plus solennelle de la CEDH, a maintenant l’opportunité de revenir sur cette décision et de prendre une position juste et raisonnable. D’après son Règlement, la Cour accepte les demandes de renvoi lorsqu’est en jeu « une question grave relative à l’interprétation ou à l’application de la Convention [européenne des droits de l’homme] ou de ses Protocoles, ou encore une question grave de caractère général » : c’est clairement le cas dans l’affaire E.S. c. Autriche, pour plusieurs raisons. [Lire la suite]

    https://www.lesalonbeige.fr/cedh-et-liberte-de-critiquer-lislam/

  • La Terre est plate, la preuve: c’est écrit dans le Coran

    Une lecture littérale du Coran progresse en France et en Belgique

     
     

    Financée et encouragée par l’Arabie saoudite, la lecture littérale du Coran et son cortège d’absurdités scientifiques progressent. Ce mouvement appelé « concordisme » sévit en France et en Belgique. Enquête. 

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  • Critiquer Mahomet : un interdit inscrit dans la charia et la CEDH ?

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    La conférencière autrichienne Elisabeth Sabaditsch-Wolff, condamnée pour avoir blasphémé contre Mahomet, a demandé à la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l’homme le réexamen de son affaire. Une pétition en ligne signée par plus de 58.000 personnes soutient cette demande.

    Elle s’était contentée d’une question rhétorique. Elle avait pris soin de s’appuyer sur des faits historiques. Elle s’exprimait dans le cadre d’une conférence… Qu’importe : elle a osé vouloir rendre le « prophète de l’islam » indigne de « vénération », elle pouvait donc être condamnée.

    C’est, en substance, ce que la Cour européenne des droits de l’homme avait conclu dans un retentissant jugement en octobre 2018 : ces propos outrepassent la liberté d’expression car ils « ne pouvaient être compris que comme cherchant à démontrer que Mahomet n’était pas digne d’être vénéré ». Un zèle bien surprenant puisque les musulmans ne prétendent pas adorer ni même vénérer Mahomet.

    Il était reproché à la conférencière de ne pas avoir été « neutre » et « objective » dans ses remarques, mais malveillante. Son appartenance au FPÖ, le parti autrichien d’extrême droite, n’a certainement pas joué en sa faveur.

    Voici deux extraits de ce que la conférencière a effectivement dit : « Un des plus gros problèmes auquel nous faisons face aujourd’hui est que Mahomet est perçu comme l’idéal, l’être humain parfait, le parfait musulman. […] C’était un guerrier, il eut beaucoup de femmes, et pour ainsi dire, il aimait faire ça avec des enfants. Et selon nos valeurs, ce n’était pas l’homme parfait. » Et, un peu plus tard, tandis que la conférencière relatait une conversation qu’elle avait eue avec une autre personne, elle demanda : « Un homme de 56 ans avec une fille de 6 ans, comment appelles-tu cela ? Donne-moi un exemple ? Comment appeler cela autrement que de la pédophilie ? »

    Selon la Cour et les juridictions autrichiennes, ces propos ne reflètent pas des faits mais un « jugement de valeur » car la conférencière a « subjectivement attribué à Mahomet la pédophilie comme sa pratique sexuelle principale préférée et n’a pas informé de manière neutre son auditoire du contexte historique ».

    À l’encontre de la conférencière, la Cour souligne que « le mariage a perduré jusqu’à la mort du prophète, lorsque Aïcha venait d’avoir 18 ans et avait donc dépassé l’âge de la puberté ». Nous voilà rassurés, on ne peut pas dire comme cela que « le prophète » était un pédophile ; la preuve : il est resté avec Aïcha bien qu’elle fût pubère !

    Ainsi, sous prétexte d’imprécisions et de manque de neutralité, la Cour valide l’interdit de critiquer le comportement de Mahomet.

    Plus encore : au nom de la paix religieuse et de la tolérance, la liberté de critiquer l’islam est restreinte ; alors même que la Cour protège, simultanément, les attaques les plus offensantes contre les chrétiens en Europe.

    La Cour européenne accepte rarement les demandes de réexamen en Grande Chambre. Pourtant, ici, cela paraît essentiel, tant le jugement rendu est contraire aux propres principes de la Cour suivant lesquels, il faut le rappeler, la liberté d’expression « vaut non seulement pour les “informations” ou “idées” accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’État ou une fraction quelconque de la population ».

    Alors que la Cour européenne a récemment posé le cadre d’application de normes de la charia en Europe, va-t-elle accepter de réexaminer le blasphème contre Mahomet ? On en doute, mais on peut l’espérer.

    Christophe Foltzenlogel Juriste

    http://www.bvoltaire.fr/critiquer-mahomet-un-interdit-inscrit-dans-la-charia-et-la-cedh/

  • Des prêtres et des moines sont insultés presque tous les jours, et qui en parle ?

    Des prêtres et des moines sont insultés presque tous les jours, et qui en parle ?

    De Véronique Lévy – la sœur de BHL, convertie au catholicisme – sur Facebook :

    « Le parquet de Paris a ouvert une enquête, dimanche 17 février, pour injure publique “en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion” après les insultes antisémites dont a été victime le philosophe et écrivain, Alain Finkielkraut, samedi, en marge d’une mobilisation des gilets jaunes ». Dixit Le Monde. Mais des prêtres et des moines sont insultés, traités de pédophiles presque tous les jours, j’en ai été témoin, et qui en parle ? Qui s’en offusque ? Y aurait-il dans ce pays un double langage, une double justice? “L’infiltration antisémite” chez les gilets jaunes est une infiltration “anti sioniste” et elle est marginale : le soupçon d’une tête d’épingle dans l’immense population de ces manifestants. Il me semble que ce phénomène a été amplifié par tous les médias pour discréditer le mouvement qui perturbe depuis sa naissance, les rouages du système consumériste mondial… À cette menace planétaire, il fallait opposer une arme de destruction internationale : Sodoma traduit en vingt langues et relayé par tous les médias du monde. L’Église est la cible de toutes les profanations, de toutes les humiliations, de toutes les persécutions. Sanglantes ou insidieuses. De l’Orient à l’Occident et plus encore en Occident. Mais si les politiques se taisent, les pierres, elles, hurleront… celles de nos calvaires, de nos chapelles et de nos rues ! L’Église est le bouc émissaire des puissances politiques [et] financières mondiales… Pourquoi s’en étonner ? Sa vocation surnaturelle est le martyre. Signe de contradiction car Elle témoigne de l’Amour Qui est Vérité. Vie. La culture du néant, de l’indifférenciation et de la globalisation ne lui pardonnera jamais son combat pour la liberté de l’homme et pour sa dignité inaliénable car elle affirme qu’elle se reçoit par-delà la relativité de l’esprit des lois, de la Grâce : du Don et du Pardon. Les lobbies de la mort ne lui pardonneront jamais sa défense des plus petits d’entre nos frères; Car elle fait dérailler le système du maillage quadrillant l’absurde d’un monde s’érigeant en Réel et qui n’est qu’un mirage : le piège de Satan. Celui où interrompre une vie embryonnaire est un droit. Oui, les turpitudes de certains prélats sont amplifiées, et ciblées pour discréditer le combat pour la Vie, et l’irréductible joie de l’Évangile : la seule révolution qui rapatrie l’homme à sa Paternité originelle : l’Éternité.

    https://www.lesalonbeige.fr/des-pretres-et-des-moines-sont-insultes-presque-tous-les-jours-et-qui-en-parle/

  • Converti de l’islam, il raconte : « Mon père m’a dit, “Dégage !” »

    Converti de l’islam, il raconte : « Mon père m’a dit, “Dégage !” »

    Converti, Mohamed sera baptisé lors de la prochaine veillée pascale. L’aboutissement d’un cheminement semé d’embûches entamé en Afrique du Nord. L’homme raconte dans Famille chrétienne :

    « Lorsque ma conversion a été connue, mes voisins ont commencé à dire que “je fréquentais des chrétiens”. Du jour au lendemain, ils n’ont plus voulu que leurs enfants jouent avec ma fille. Ma femme et ma famille m’ont rejeté. Mon père m’a dit : “Dégage !” »

    Il se risque à suspendre un chapelet au rétroviseur de sa voiture. Il la retrouvera le lendemain le pare-brise en miettes. Il décide de porter plainte au poste de police du quartier, mais on lui fait comprendre qu’il est responsable des ennuis auxquels il est confronté.

    Mohamed choisit de fuir et arrive en 2017 en France.

    https://www.lesalonbeige.fr/converti-de-lislam-il-raconte-%e2%80%89mon-pere-ma-dit-degage%e2%80%89%e2%80%89/