
De l’interdiction de l’aumônerie à la propagande libertaire de la direction en passant par les railleries voire les intimidations envers les élèves catholiques, Léa explique :
[…] L’aumônerie a été interdite au seul motif qu’elle représentait une « organisation politique ou religieuse ». On est en mesure de se poser des questions sur la bonne foi de ceux qui ont pris cette décision quand on voit des associations telles que « ArcENSiel » (militants LGBT) ou encore « les Salopettes » (militantes féministes) qui œuvrent en toute tranquillité alors qu’elles ne se cachent même pas de faire de la politique… Maintenant que l’aumônerie est interdite, elle est clandestine et formellement interdite de publication au sein de l’école. On se croirait revenus à l’époque du comité de salut public.
Sous-entendez-vous que la direction pourrait être partie prenante d’une forme de terrorisme intellectuel ?