religion - Page 85
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ZOOM - Olivier Landron : Tout sur les catholiques de tradition
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L’église polonaise défie gauchistes et musulmans !
Voilà une église qui ne parle pas la langue de bois , prête à en découdre avec les gauchistes et les musulmans.
Ce jeune prêtre harangue une foule qu’on aimerait bien voir en Europe de l’Ouest… Il est sûr que le salut viendra de l’Est, ils viendront épauler les patriotes contre l’invasion !
Pologne : une foi catholique inoxydable !
Un lecteur et ami (merci G. P. !) nous a signalé cette courte vidéo de prélude à la Marche pour l’Indépendance qui s’est déroulée à Varsovie le 11 novembre dernier. Une vidéo qui a été vue près de 400 000 fois et qui nous permet d’entendre le discours “tonique” d’un jeune prêtre polonais, le Père Jacek Międlar qui électrise littéralement une foule de patriotes catholiques polonais estimée à 170 000 personnes ! Cela vaut la peine d’être vu et écouté. C’est en polonais, bien sûr, mais ceux d’entre vous qui comprennent l’anglais peuvent suivre avec les sous-titres, sinon nous avons une traduction rapide depuis la version anglaise – sous la vidéo – des propos du prêtre. Décapant… Le prêtre a une page Facebook qui n’est pas mal non plus…
« La gloire soit à Jésus-Christ et à son saint Évangile.
Mes bienaimés, les ennemis de la patrie et les ennemis de l’Église sont furieux aujourd’hui parce qu’ils voient une énorme, une colossale armée de patriotes, une armée de nationalistes, une armée de soutiens qui ont dans le cœur [la devise nationale polonaise] “Dieu, Honneur, Patrie” et qu’ils sont prêts à leur offrir leurs vies. Mais je suis plus que convaincu que la propagande gauchiste fera de son mieux pour nous détruire, pour détruite l’Église, pour détruire la nation polonaise. Nous ne les laisserons pas faire. Nous sommes l’Église militante. Nous sommes les guerriers de la grande Pologne. Ils ne sont même pas conscients que plus ils nous attaquent, et plus notre fierté grandit !
Mes bienaimés, nous ne craignons pas les musulmans pacifiques, mais ils ne sont qu’une minorité. Nous craignons les fondamentalistes. Nous ne voulons pas de la violence, nous ne voulons pas d’agression au nom d’Allah… Nous devons nous y opposer. Nous ne voulons pas de la haine qu’il y a dans le Coran, dans la sourate 5 [contre les juifs et les chrétiens], mais nous voulons l’amour et la vérité de l’Évangile ! Nous voulons combattre avec le glaive de l’amour et de la vérité, un combat auquel nous appelle l’apôtre saint Paul au 6ème chapitre [de l’épître] aux Éphésiens [6, 14-17]. L’Évangile et pas le Coran !
L’agression gauchiste et musulmane contre tout ce qui est chrétien et national nous fait très peur… Mais nous avons peur aussi que notre frayeur se transforme en haine. Et nous, comme chrétiens, nous ne devons pas permettre que cela arrive. C’est pourquoi nous, les chrétiens, nous voulons le dialogue. Mais personne ne veut discuter avec nous, au lieu de cela on nous traite de fascistes, de racistes, de xénophobes et de chiens d’infidèles. Nous ne le tolérons pas. Nos ne voulons pas nous battre avec le marteau qu’ils essaient de nous mettre dans les mains. Nous voulons combattre avec le glaive de la vérité. Avec le glaive de l’amour ! Avec la parole de l’Évangile. Avec le glaive qui est Jésus-Christ, notre Seigneur et notre Dieu vivant ».
http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/video/pologne-une-foi-catholique-inoxydableLien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, islamisme, religion, tradition 0 commentaire -
Sainte Rita - action sur Nantes contre le groupe Lamotte
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L'enracinement
Lu sur Terre et famille :
"[...] Parler d’enracinement évoque immédiatement en nous l’image de l’arbre centenaire, aux racines profondes et à l’imposante ramure. Elevée en absolu, cette belle analogie de la famille naturelle peut cependant nous enfermer dans une forme de naturalisme diffus voire de paganisme déclaré (on se souviendra notamment du hêtre de la scierie dans Un roi sans divertissement). C’est peut-être une des raisons pour lesquelles le Christ, pour parler d’enracinement, ne recourt pas à cette image mais essentiellement à celle de la semence, du froment et de la moisson. En effet, contrairement à l’arbre, le blé n’est pas supposé « s’enraciner pour s’élever », dans le sens de lever pour lui-même, pour se complaire de façon durable dans la perfection de sa nature, aussi belle et féconde soit-elle. Le froment s’enracine pour s’élever et être moissonné : il donne le meilleur de lui-même et de la terre, il se donne lui-même à une œuvre qui le dépasse. Il s’accomplit dans le renoncement de soi pour un plus grand que soi. Le blé s’enracine pour être broyé et devenir hostie consacrée, pour devenir Dieu Lui-même. En cela, ce renoncement n’est pas une perte mais un gain qu’aucun bien de ce monde ne pourrait équivaloir (Philippiens, I, 21 : « le Christ est ma vie et mourir m’est un gain »).
Notre nature a bien sûr toutes les raisons de frémir devant cette forme sublime d’anéantissement et c’est pourquoi l’enracinement de l’arbre, symbole de force, d’épanouissement paisible et durable, nous parait plus accessible, plus raisonnable, plus confortable. Mais à quoi bon s’enraciner et s’élever, si la terre et le ciel viennent à passer ? De quelle utilité seront alors pour l’arbre ses racines et ses branches ? Il n’aura d’autres choix en définitive que de disparaître ou de transcender sa nature pour se maintenir dans l’existence, à l’instar du blé.
Nous avons oublié que l’homme n’a pas été créé pour la terre, pas même pour le Jardin d’Eden mais pour le Ciel. Hélas, depuis le péché originel, nous souffrons tous de la « nostalgie du Paradis terrestre » (Père Marie-Dominique Philippe) : nous sommes si déraisonnablement attachés à cette « vallée de larmes » que nous en venons à renoncer au Ciel. C’est pourquoi la considération de notre propre anéantissement ou de celui du monde peut être le dernier recours de Dieu pour nous inciter, comme un instinct de survie, à saisir la main qu’Il ne cesse de nous tendre à travers la mort.
Ce passage dans l’au-delà n’en relativise pas pour autant la profondeur et la pérennité de l’enracinement chrétien. En effet, la résurrection de la chair a pour conséquence d’entrainer dans l’éternité l’intégralité de notre humanité, non seulement notre âme mais aussi notre corps, ce corps par lequel nous avons aimé et souffert, ce corps issu d’une lignée, d’un peuple, nourri de la générosité d’une terre.
Le monde, l’Europe, la France ne sont pas éternels mais les hommes, les Européens, les Français le sont. Au nom de la « bio-diversité éternelle », nous devons défendre notre identité, notre pays, notre civilisation pour la variété des saints qu’ils suscitent, comme on défend une terre pour la qualité particulière de son blé ou de sa vigne. Ne redoutons pas la fin des nations que l’Ecriture nous annonce comme un signe de notre délivrance prochaine. Ne craignons pas même le martyre qui galvanise les pusillanimes, ébranle les sceptiques, assagit les téméraires : s’il éprouve l’Eglise militante sur le plan naturel, il la purifie sur le plan surnaturel et gonfle les rangs de l’Eglise triomphante. [...]"
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/lenracinement.html
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L'enracinement
Lu sur Terre et famille :
"[...] Parler d’enracinement évoque immédiatement en nous l’image de l’arbre centenaire, aux racines profondes et à l’imposante ramure. Elevée en absolu, cette belle analogie de la famille naturelle peut cependant nous enfermer dans une forme de naturalisme diffus voire de paganisme déclaré (on se souviendra notamment du hêtre de la scierie dans Un roi sans divertissement). C’est peut-être une des raisons pour lesquelles le Christ, pour parler d’enracinement, ne recourt pas à cette image mais essentiellement à celle de la semence, du froment et de la moisson. En effet, contrairement à l’arbre, le blé n’est pas supposé « s’enraciner pour s’élever », dans le sens de lever pour lui-même, pour se complaire de façon durable dans la perfection de sa nature, aussi belle et féconde soit-elle. Le froment s’enracine pour s’élever et être moissonné : il donne le meilleur de lui-même et de la terre, il se donne lui-même à une œuvre qui le dépasse. Il s’accomplit dans le renoncement de soi pour un plus grand que soi. Le blé s’enracine pour être broyé et devenir hostie consacrée, pour devenir Dieu Lui-même. En cela, ce renoncement n’est pas une perte mais un gain qu’aucun bien de ce monde ne pourrait équivaloir (Philippiens, I, 21 : « le Christ est ma vie et mourir m’est un gain »).
Notre nature a bien sûr toutes les raisons de frémir devant cette forme sublime d’anéantissement et c’est pourquoi l’enracinement de l’arbre, symbole de force, d’épanouissement paisible et durable, nous parait plus accessible, plus raisonnable, plus confortable. Mais à quoi bon s’enraciner et s’élever, si la terre et le ciel viennent à passer ? De quelle utilité seront alors pour l’arbre ses racines et ses branches ? Il n’aura d’autres choix en définitive que de disparaître ou de transcender sa nature pour se maintenir dans l’existence, à l’instar du blé.
Nous avons oublié que l’homme n’a pas été créé pour la terre, pas même pour le Jardin d’Eden mais pour le Ciel. Hélas, depuis le péché originel, nous souffrons tous de la « nostalgie du Paradis terrestre » (Père Marie-Dominique Philippe) : nous sommes si déraisonnablement attachés à cette « vallée de larmes » que nous en venons à renoncer au Ciel. C’est pourquoi la considération de notre propre anéantissement ou de celui du monde peut être le dernier recours de Dieu pour nous inciter, comme un instinct de survie, à saisir la main qu’Il ne cesse de nous tendre à travers la mort.
Ce passage dans l’au-delà n’en relativise pas pour autant la profondeur et la pérennité de l’enracinement chrétien. En effet, la résurrection de la chair a pour conséquence d’entrainer dans l’éternité l’intégralité de notre humanité, non seulement notre âme mais aussi notre corps, ce corps par lequel nous avons aimé et souffert, ce corps issu d’une lignée, d’un peuple, nourri de la générosité d’une terre.
Le monde, l’Europe, la France ne sont pas éternels mais les hommes, les Européens, les Français le sont. Au nom de la « bio-diversité éternelle », nous devons défendre notre identité, notre pays, notre civilisation pour la variété des saints qu’ils suscitent, comme on défend une terre pour la qualité particulière de son blé ou de sa vigne. Ne redoutons pas la fin des nations que l’Ecriture nous annonce comme un signe de notre délivrance prochaine. Ne craignons pas même le martyre qui galvanise les pusillanimes, ébranle les sceptiques, assagit les téméraires : s’il éprouve l’Eglise militante sur le plan naturel, il la purifie sur le plan surnaturel et gonfle les rangs de l’Eglise triomphante. [...]"
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A Longpont comme à Chartres, on priait déjà « la Vierge qui doit enfanter » avant même de connaître le Christ
On raconte qu’un jour, il y a très longtemps, des bûcherons gaulois auraient découvert, dans le creux d’un chêne à Longpont, près de Montlhéry (91), à 25 km au sud-ouest de Paris, une statue de bois représentant une femme avec un enfant dans les bras. L’effigie était accompagnée d’une inscription latine mystérieuse pour les païens : Virgini pariturae « À la Vierge qui va enfanter ». Les druides auraient alors commencé à vénérer cette image de la déesse mère.
Plus tard saint Denis (+ 272) et son compagnon saint Yon, seraient passés par Longpont.
Ils expliquèrent alors aux druides comment la prophétie sur la Vierge s’était enfin réalisée avec la naissance du Christ. Celle que les Gaulois du bord de l’Orge vénéraient sans la connaître était bien la Vierge Marie, mère du Sauveur. Saint Yon serait resté sur place, où il aurait annoncé l’Évangile. Il aurait été décapité vers 290. Avant de partir pour Paris, saint Denis aurait laissé à Longpont une précieuse relique : un morceau du voile de la Sainte Vierge.
Une statue et une relique seraient donc à l’origine du sanctuaire de Notre Dame de Longpont.
Depuis ces origines, présence chrétienne et dévotion mariale n’ont jamais été démenties en ce haut lieu. Le sanctuaire est même devenu une grande étape sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle (via Turonensis, ou chemin de Tours).
Au tournant du XIe siècle, Longpont connaît un essor prodigieux.
Guy Ier, comte de Montlhéry, (+ vers 1095) et son épouse Hodierne entreprend la construction d’une église en lieu et place de la chapelle originelle. La première pierre est posée en 1031 en la fête de l’Annonciation (25 mars), en présence du roi Robert le Pieux et de l’évêque de Paris, Humbert de Vergy. Le chantier va durer 150 ans.Dès 1040, Geoffroy, nouvel évêque de Paris, confirme que le sanctuaire est « bâti et dédié en l’honneur de la Mère de Dieu ». En 1061, Guy Ier et son épouse, Hodierne de Gometz, obtiennent du puissant abbé de Cluny, saint Hugues, l’implantation d’un prieuré à Longpont. Vingt-deux moines s’y installent.
Hodierne est une figure marquante de la sainteté féminine au Moyen Âge.
L’Église ne l’a pas canonisée, mais ce fut une sainte femme qui prêta assistance aux personnes démunies et aux ouvriers du chantier de l’église, en transportant eau et ciment. Un jour, un forgeron, mal inspiré par son épouse, lui donne une tige de métal brûlant en guise d’instrument servant à porter les récipients d’eau. Mais un miracle se produit : elle ne sent rien. Depuis 1931, la « Croix rouge feu » est conservée au fond de la basilique. En 1142, le roi Louis VII inaugure à Longpont une foire commerciale, fixée en septembre. En 1155, le pape Eugène III confie au prieuré le service religieux de paroisses avoisinantes. Le nombre des pèlerins croît. Les dons affluent. En 1200, un chroniqueur parle d’un « lieu de grande dévotion ». Un siècle plus tard, Longpont est devenu un centre spirituel majeur.
Au XIIe siècle, le clergé fonde une confrérie : les Frères de Notre-Dame de Longpont.
Leurs prérogatives et leurs devoirs sont étendus : secours aux pauvres, obsèques, etc. Au fil du temps, cette infrastructure devient une archiconfrérie et dépasse un millier de membres en 1747. Mise en sommeil en 1793, elle décline au XIXe siècle avant de ressusciter en 1851 sous le vocable de Confrérie de Notre-Dame de Bonne-Garde. Le Saint-Siège et l’épiscopat portent aussi un bel intérêt au site. En 1665, l’archevêque de Paris, Hardouin de Péréfixe, obtient du pape une bulle d’indulgence pour les pèlerins de Longpont. Le pape Alexandre VII accorde aussi la rémission des péchés aux fidèles qui entrent dans la confrérie après s’être confessés et avoir communié. Grégoire XVI puis Pie IX confirmeront toutes les indulgences antérieures.
Les XIIIe, XIVe et XVe siècles constituent l’époque glorieuse de Longpont.
Rois, princes, dignitaires de l’Église ou commun des mortels, tous s’y rendent en pèlerinage. Le futur saint Louis, sa sœur Isabelle de France, et leur mère Blanche de Castille, apprécient l’endroit. Les rois Louis VI, Louis VII, Philippe le Bel (1304 et 1308), Philippe VI, Charles VIII, François Ier s’y rendent aussi… Le fils de Philippe le Hardi, Louis de France, y effectue un séjour pieux. Saint Bernard y vient en 1131. Plus tard, Anne de Bretagne finance le chantier du portail de l’église. Quant à sainte Jeanne de Valois, fondatrice des Annonciades, elle place Longpont parmi les lieux spirituels majeurs. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, deux périodes de déclin sont suivies de deux restaurations de l’abbaye. Au XIXe siècle, le curé d’Ars n’eut pas le loisir de s’y rendre mais adhéra à la confrérie de Longpont. La princesse Eugénie de son côté offrit au sanctuaire une belle pièce d’étoffe.
Pendant la Révolution, les moines devront se disperser et les reliques seront cachées.
Le portail, déjà mutilé durant les guerres de religion, sera encore saccagé et la flèche de la croisée du transept abattue. Privée d’entretien, l’église de Longpont s’abîme terriblement dans les années qui suivent. Elle sera finalement amputée. Le chœur et le transept seront démolis en 1819. Seule la nef est laissée à la disposition des paroissiens.
A partir de 1843, un jeune et dynamique curé, l’abbé Auguste Arthaud, va réussir à relever l’église de ses ruines.
L’abside et le transept seront totalement reconstruits entre 1875 et 1878. L’église de Longpont redeviendra alors un des plus grands lieux de pèlerinage marial de l’Ile-de-France (40 000 personnes par an avant 1914).
L’église sera érigée au rang de basilique le 6 avril 1913 par le pape Saint Pie X
En 1969, Notre Dame de Bonne Garde est proclamée patronne du nouveau diocèse de Corbeil-Essonnes par Mgr Malbois, son premier évêque. Mgr Herbulot, son successeur veillera au rayonnement de Notre Dame de Longpont. La basilique est depuis le lieu de nombreux rassemblements diocésains et son reliquaire continue de se remplir.
Père Frédéric Gatineau, recteur de la Basilique de Longpont-sur-Orge (91)
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Le carême avec les 40 Days for Life
Une autre campagne se prépare aux Etats-Unis, moins médiatique, mais portant un fruit certain : les 40 Days for Life. 40 jours pour la vie, 40 jours de carême à prier devant les centres d'avortements. Comme à chaque campagne, Americatho invite à s'unir par la prière à cette formidable campagne :
"Lancées modestement par des catholiques au Texas en 2007, les campagnes des 40 Days for Life (40 Jours pour la Vie) ont connu un formidable développement avec des résultats tangibles : au moins 11 165 enfants à naître ont été sauvés depuis de l’avortement grâce à la mobilisation des vigiles de prières et au travail des ”conseillers de trottoir” se relayant 24 h sur 24 et 7 jours sur 7, pendant quarante jours, devant des avortoirs. Pour cette nouvelle campagne du Carême 2016, 273 villes dans 23 pays différents verront des vigiles des 40 Days for Life ! La campagne commencera ce mercredi des Cendres 10 février pour se terminer le dimanche des Rameaux 10 mars.
Comme pour chaque campagne, une “chaîne de prière de l’arrière” est constituée en France. Les adhérents à cet effort de prière de Carême s’engagent à prier chaque jour, et pendant les quarante jours de la campagne, une dizaine de chapelet (dix Je Vous salue Marie) aux intentions des 40 Days For Life. Les adhérents reçoivent la veille de chaque jour de cette pieuse quarantaine, un courriel leur indiquant les intentions de prière du lendemain, des citations de la Sainte Écriture destinées à aider leur prière ou leur méditation, les résultats obtenus jour après jour, et des photos des vigiles sitôt qu’elles sont transmises.
Si vous souhaitez rejoindre cette chaîne de prière, déjà forte de plusieurs centaines de personnes, signalez-le nous ici. En union de prière pour la Vie à naître !"
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Alep 2016 : Vivre avec les derniers chrétiens
Un reportage au plus près du terrain dans la ville d’Alep, assiégée par les sicaires de l’Etat Islamique. Les derniers chrétiens présents survivent dans des conditions difficiles avec le soutien d’ONG (Croix Rouge, SOS Chrétiens d’Orient). Un excellent document de nos confrères de Boulevard Voltaire.
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L'Assemblée du Conseil de l'Europe reconnait que l'Etat islamique a commis un génocide sur les minorités en Irak
L'Assemblée du Conseil de l'Europe reconnait, ce 27 janvier, que l'Etat islamique a commis un génocide sur les minorités en Irak. La campagne pour la reconnaissance du génocide se poursuit, pour obtenir cette même reconnaissance par le Parlement européen le 4 février. Une pétition a été initiée par l’ECLJ avec Grégor Puppinck, qui explique :
"Le 3 février 2016, le Parlement européen va débattre du « Massacre systématique des minorités religieuses par le groupe "État islamique" ». A cette occasion, des parlementaires vont demander au Parlement et à l’Union européenne de reconnaître que les crimes commis par « l’Etat islamique » sont constitutifs d’un « génocide ». Néanmoins, lors d’un récent débat sur ce texte, le Haut Représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères, Fréderica Mogherini, a refusé d’employer la qualification de génocide.
Le génocide a pourtant une définition précise en droit international. Il s’agit de crimes « commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux ». C’est l’intention spécifique de détruire un groupe en tout ou partie qui distingue le crime de génocide du crime contre l’humanité. Il est évident que c’est bien d’un génocide dont sont victimes les Chrétiens et les Yézidis iraquiens.
Ce n’est pas seulement le Pape François qui dénonce ce génocide, mais aussi le Président du Congrès Juif Mondial, Ronald S. Lauder, ou encore l’ancien procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo. Un récent rapport du Commissaire aux droits de l’homme des Nations Unies a détaillé les atrocités commises par « l’Etat islamique ». La France et les institutions européennes n’ont pourtant pas encore eu le courage de qualifier ces crimes de génocide.
Le droit international prévoit que sont punissables non seulement l’exécution en tant que telle de ce crime, mais aussi « l’entente en vue de commettre le génocide, l'incitation directe et publique, la tentative et la complicité ». Ainsi, tout individu, organisation ou État, où qu’ils se trouvent – y compris en Europe, dès lors qu’ils incitent publiquement à ces crimes ou en sont les complices, devraient aussi être poursuivis pénalement pour crime de génocide.
La reconnaissance d’un génocide impose aux États et à la communauté internationale l’obligation d’agir, pour prévenir le génocide autant que possible, pour défendre les communautés attaquées et pour juger et punir les responsables. Reconnaître le génocide, est donc la première étape fondamentale pour obtenir l’action de la communauté internationale.
Quelques gouvernements et parlements européens ont déjà reconnu ce génocide ; il est temps que la France et les institutions européennes le reconnaissent aussi.
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"Flash Mob" en Hongrie au profit des Chrétiens d'Orient
Cela s'est passé le 13 décembre dernier à Budapest sur un marché de Noël.