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Au moins 65 personnes sont mortes, dimanche 27 mars, lors d’un attentat suicide qui a touché la ville de Lahore dans l’est du Pakistan. Près de 340 autres ont été blessées par l’explosion qui a touché un parc très fréquenté où des chrétiens célébraient Pâques.
« Le kamikaze a réussi à entrer dans le parc et s’est fait exploser près de l’aire de jeux pour enfants, où ils faisaient de la balançoire. C’est pour cela que la plupart des victimes sont des enfants et des femmes », a déclaré un haut responsable administratif de la ville de Lahore, Mohammad Usman. « C’était une explosion très forte et des explosifs très puissants ont été utilisés », a détaillé pour sa part un responsable de police, Haider Ashraf. « Le parc était bondé », a-t-il ajouté, soulignant que des billes métalliques ont été retrouvées sur place.
La responsabilité de l’attentat a été revendiquée par les taliban de la faction Jamaat-ul-Ahrar qui précisent avoir « ciblé les chrétiens ». Au Pakistan, des groupes islamistes armés ciblent parfois la minorité chrétienne qui représente environ 2 % de la population de ce pays majoritairement musulman sunnite de 200 millions d’habitants. Au cours des dernières années, des églises ont ainsi été la cible d’attaques à Lahore, qui est aussi le fief du premier ministre, Nawaz Sharif.
La suite sur Le Monde.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pakistan-un-attentat-suicide-fait
Chers Camarades,
Chaque année, pour la Pentecôte, Notre-Dame de Chrétienté organise un Pèlerinage de Notre-Dame de Paris jusqu’à Notre-Dame de Chartres dans un esprit traditionnel français.
Comme chaque année, l’Action Française propose à ses membres animés par la Foi Catholique de participer au Pèlerinage au sein du Chapitre Sainte Jehanne de France(seconde fille de Louis XI et fondatrice de l’Ordre de l’Annonciation de la Vierge Marie). Ce Chapitre est l’un des plus anciens du Pèlerinage de Chartres et est entièrement géré par l’AF.
Le pèlerinage se déroulera du samedi 14 au lundi 16 mai (semaine juste après la fête de Sainte Jeanne d’Arc).
INSCRIPTIONS :
Ouverture aujourd’hui (20 mars)
Région "PARIS EST +77"
Chapitre "SAINTE JEHANNE DE FRANCE"
LIEN INSCRIPTION
PRIX :
Entre 54€ et 38€ jusqu’au 15 avril (en fonction de votre lieu de résidence)
Entre 68€ et 50€ après cette date (en fonction de votre lieu de résidence) S’inscrire en famille permet de limiter les frais (tarifs dégressifs)
INFOS PRATIQUES :
Départ le samedi 14 très tôt en matinée (arrivée à Paris conseillée le vendredi 13 au soir)
Possibilité de rejoindre le pèlerinage en cours de route le samedi et le dimanche.
Arrivée à Chartres le lundi 16 en fin d’après midi.
Retour à Paris le lundi 16 vers 20h
SECRÉTARIAT DU CHAPITRE :
Antoine Berth - chapitresaintejehanne@gmail.com - https://twitter.com/berth_antoine
Amitiés d’AF,
Luigi Chef de Chapitre & Antoine
Que cela plaise ou non à nos élites éclairées, le Coran possède un grand nombre d'incitations à la haine. Or, tant que ces textes ne seront pas formellement désapprouvés par ceux-là même qui y souscrivent, il ne pourra y avoir de paix durable en Occident et en Orient, ce que prouve les innombrables actes terroristes de ces vingt dernières années. Car, à la différence de la plupart des autres écrits religieux, la religion de Mahomet s'appuie sur un corpus très belliqueux, pour ne pas dire plus, radicalement contraire aux préceptes chrétiens ou aux écrits bouddhistes, par exemple. En conséquence, même si une majorité de musulmans ne suivent pas les ordres écrits du Coran - le monde serait alors à feu et à sang sur toute la planète - il y a aura toujours une frange d'exaltés pour les appliquer au pied de la lettre, ce qui constitue un problème politique presque insoluble à l'heure ou l'islam radical ne cesse de croître, et où les pays encore à peu près stables (Tunisie, Jordanie) vascillent.
Que trouvons-nous dans le Coran ? La supériorité des musulmans sur les non-musulmans y est proclamée urbi et orbi, si Ton peut dire : « Il (Allah) a envoyé la religion de vérité pour la faire prévaloir sur toutes les religions et ce, en dépit des réactions des païens » (S9, v33). L'ouvrage, dont plusieurs centaines de versets sont consacrés à l'exaltation de la torture, de la guerre et du meurtre, incite son lecteur à nourrir des sentiments fort mitigés à l'endroit des non adeptes de l'Islam : « Et tuez ceux-là [les "mécréants"], où que vous les rencontrez » (2,191). Le Coran réclame en outre l'obéissance, une foi aveugle, et une soumission totale. « Qu'on le saisisse [le grand pécheur] et qu'on remporte en plein dans la fournaise ; qu'on verse ensuite sur sa tête de l'eau bouillante comme châtiment » (S44, v47-48). Les musulmans pieux forment une sorte d'élite, et les sceptiques sont relégués au fond de la classe près du radiateur ; leur destin est peu enviable : « Ô vous qui croyez ! Les infidèles ne sont qu'impureté » (S 9, v28). « Ils demeureront éternellement dans l'enfer. Le feu brûlera leurs visages et ils auront les lèvres crispées. » (S3, v!03-104). « Ils seront abreuvés d'une source bouillante. Il n'y aura pour eux d'autre nourriture que des plantes épineuses. » (S88, v5-7). Le musulman, sur la base du Coran, a-t-il le droit et l'obligation d'appliquer les châtiments de l'inventif Allah ? Ce dernier promet en tout cas des récompenses variées à ceux qui appliquent ses médications, et se montre peu mystérieux sur ses intentions : « Tuez les polythéistes là où vous les trouvez ! » (S 9, V5). » Par surcroît, vous n'êtes nullement responsables, en réalité, des bains de sang que vous commettez : « Ce n'est pas vous qui avez tué mais c'est Allah qui les a tués (8,17). » « Combattez-les. Allah, par vos mains, les châtiera, les couvrira d'ignominie, vous donnera la victoire sur eux et guérira les poitrines d'un peuple croyant » (9,14). Mieux, vous recevez des bonus : « Que ceux qui tronquent la vie présente contre la vie future combattent dans le chemin d'Allah. Nous accorderons une récompense sans limite à celui qui combat dans le chemin d'Allah, qu'il soit tué ou qu'il soit victorieux ». (4,74). « Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus. » (3,169). « Nous les aurons mariés à des houris (vierges) aux grands yeux » (44,54) « Et quiconque émigré dans le sentier d'Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance » (4,100). Par ailleurs, pour apaiser l'ire de notre sévère divinité, la simple mort du non musulman semble insuffisante : « Nous leur ferons subir le tournant du feu de l'enfer. Chaque fois que leur peau sera cuite à point, nous la remplacerons par une peau neuve afin qu'ils goûtent le tourment » (4,56.) « Des vêtements de feu seront taillés pour les incrédules. On versera sur leur tête de l'eau bouillante qui brûlera leurs entrailles et leur peau. Des fouets de fer sont préparés à leur intention » (22,19-21) « Je vais jeter l’effroi dans le cœur des incrédules : frappez-leur le cou ; faites-leur sauter les doigts ». (8,12).
Les menaces, la destruction, la torture, l'assassinat, les massacres etc., constituent donc des châtiments évoqués à maints endroits dans le Livre de référence de nos immigrés mahométans, et leur application in vivo recommandée. Si l'islam est une religion de non-violence et le Coran un livre de paix, comme on nous le rapporte sans cesse, ne serait-il pas nécessaire de prouver (avec sans doute quelques difficultés) que les versets mentionnés ci-dessus - et il en est de nombreux autres du même tonneau - sont en conformité avec l'idéal humain des rapports cordiaux entre les hommes ?
Ce problème d'interprétation de textes qui, par essence, ne souffrent d'aucune discussion, se pose avec acuité lorsqu'un pays subit, amorphe, un changement progressif de nature au terme duquel la Poule au pot se voit peu à peu remplacé par le couscous-boulette, tandis que plus d'une centaine de mosquées salafistes prospèrent, sous le regard bienveillant des faux musclés Cazeneuve et autres Valls. Car - et c 'est ce qui est vertigineux - même si un pourcentage faible de musulmans souscrit à ces sornettes haineuses, nous avons donc, mathématiquement, des milliers d'ennemis potentiels au pays de Molière, bientôt rejoints par les candidats migrants.
Le cheikh de Syrie Sinan (1167-1193, un extrémiste assassin) était-il une sorte de Nostradamus de son époque ? Voici en tout cas, pour finir, ses paroles, indubitablement multa paucis (« beaucoup de choses en peu de mots ») : « les véritables musulmans sont ceux qui tuent d'autres hommes et se font ensuite tuer eux-mêmes. »
Grégoire DUHAMEL Rivarol du 17 mars 2016
L’ardeur de Maurras à défendre les vertus du catholicisme aura atteint son maximum pendant la Grande Guerre. Comme elle paraît alors lointaine, l’époque du libertinage quasiment païen des années de jeunesse, le temps de ces passages du Chemin de Paradis ou d’Anthinéa que Maurras retirera plus tard pour ménager les susceptibilités de l’aile dévote de son public ! Mais comme elle semble loin également, la page pourtant à peine tournée des âpres polémiques contre le Sillon et la démocratie chrétienne, de la guerre ouverte que lui déclarèrent une escouade de curés progressistes emmenés par l’abbé Jules Pierre… Il ne reste guère d’écho de tout cela dans les éditoriaux de guerre où Maurras prend la défense de l’Église, du Pape et de la doctrine catholique. Il s’en fait le premier avocat, et s’exprime comme s’il était le seul à porter le flambeau en tête du cortège. Il est en tous cas le plus ardent de toute la presse à dénoncer les menées anticléricales qui, malgré l’Union sacrée, continuent de fleurir dans les journaux de gauche et d’extrême gauche.
On sait que le zèle clérical de Maurras ne sera guère payé de retour. Ainsi, le 5 mars 1915, fait-il un éloge appuyé du cardinal Andrieu… celui-là même qui déclenchera, un peu plus de onze ans après, l’offensive qui devait aboutir à la condamnation de l’Action française par le Vatican.
Mais les textes des années de guerre doivent d’abord être lus dans le contexte de l’époque, et n’être que très secondairement éclairés par ce que nous savons de l’agnosticisme de Maurras, de ses écrits antérieurs et des événements qui vont survenir en 1926. Dès l’ouverture des hostilités, tout le pays est tendu vers l’effort de guerre ; l’Action française joue pleinement la solidarité nationale autour du gouvernement de l’Union sacrée, et prend acte de ce que les socialistes sont loin d’en faire autant. Pour eux, il est naturel que les royalistes mettent leur drapeau dans leur poche, que les catholiques en fassent autant de leur chapelet, alors qu’eux-mêmes restent naturellement en droit de poursuivre leur propagande — ce qui met bien entendu Maurras en fureur.
Seul le vieux révolutionnaire enragé qu’était Jules Guesde trouve grâce à ses yeux. Celui-là n’a-t-il pas déclaré, au congrès socialiste international d’Amsterdam en août 1904, que l’anticléricalisme des radicaux et des socialistes n’était qu’une manœuvre de diversion pour « berner le prolétariat » ?
Tous ces articles publiés dans L’Action française quotidienne ont été réunis en 1917 dans un ouvrage intitulé Le Pape, la Guerre et la Paix. Les éditoriaux sélectionnés y vont de septembre 1914 à l’automne de 1916. Sans doute faut-il voir dans cette interruption une conséquence de la disparition d’Henri Vaugeois ; après sa mort, les rôles au sein de la rédaction du quotidien sont redistribués, et les affaires religieuses sont désormais du ressort de Louis Dimier.
La plus grande part de l’ouvrage (78 articles ou fragments d’articles) est consacrée aux polémiques avec les journaux anticléricaux, au premier rang desquels figurent L’Humanitéet La Dépêche de Toulouse. Mais ce n’est pas, et de loin, le plus intéressant. Des réflexions originales de Maurras sur le rôle de l’Église, du Vatican et de la doctrine catholique dans l’équilibre de l’Europe et du monde, souvent des perles de finesse d’analyse politique ou de vision prospective, se livrent au lecteur attentif au fil des autres chapitres :
et constituent autant de compléments et d’enrichissements à la somme rassemblée dans La Démocratie religieuse.
À cela il faut ajouter deux textes spécialement rédigés pour la publication du recueil, une préface qui est une sorte de pacte proposé à Louis Dimier, ce qui n’empêchera pas celui-ci de se brouiller avec l’Action française trois ans plus tard, et un épilogue, valant avertissement sur ce que risquent de devenir les institutions internationales si l’Église n’y prend pas la part qui doit lui revenir.
Cette vision de l’avenir, qui a certes trouvé quelque confirmation dans les péripéties de la brève histoire de la S.D.N., aura été en fait oblitérée par un événement survenu quelques mois après sa publication, à savoir la révolution bolchévique. Mais, 72 ans plus tard, l’effondrement du monde soviétique allait lui redonner toute sa portée. Maurras décrit en 1917 un monde de nations affaiblies d’avoir été toutes jugées semblables et comparables, puis peu à peu soumises à des juridictions internationales fondées sur une vague et dangereuse idée mystique de la Justice et sur la fiction des Droits de l’Homme ; n’y sommes-nous pas, et l’effacement de l’Église n’y est-il pas pour quelque chose ?
http://maurras.net/2013/10/31/au-service-de-leglise-du-catholicisme/#more-2061
Extrait d'un article encourageant de Marianne :
"A l'Ecole normale supérieure, on croyait ce mot oublié, remisé dans les archives du jargon ulmiste. Et pourtant, il est dans toutes les bouches depuis quelques mois. "Tala", une abréviation pour désigner les étudiants "qui-vont-à-la-messe". Une première raison de se réjouir pour la philosophe catholique Chantal Delsol, chantre de la France des églises et de la Manif pour tous. Celle-ci note également que cette année, le major de l'agrégation de philosophie comme celui d'histoire étaient issus des rangs des "veilleurs", ces jeunes hostiles au mariage pour tous qui se sont fait connaître en manifestant en silence, devant de petites bougies blanches, y consacrant des nuits entières. Selon Chantal Delsol, voilà un nouveau signe de l'armement idéologique en cours de la droite catholique.
Ces cathos nouvelle génération ont lu Gramsci, et savent que les victoires idéologiques précèdent toujours d'autres victoires, politiques. Dans les grandes écoles, sur les réseaux sociaux, sur les plateaux de télévision, les catholiques l'affirment désormais haut et fort. Décomplexés par la Manif pour tous, ceux-ci ont trouvé dans la personne de l'Abbé Grosjean une figure de proue idéale. Lui qui arbore aussi bien la soutane que le smartphone. Un pied dans la tradition, l'autre dans le XXIe siècle. Un visage avenant, mais un discours musclé, que l'on avait plus l'habitude d'entendre: "La France demeure chrétienne dans son ADN. Cela reste dans ses tripes. A nous de faire en sorte que cela ne soit pas seulement un musée. Parfois, les chrétiens ont encore trop peur de cliver." L'abbé Grosjean se définit comme un "combattant de la foi", lui qui se souvient bien des mots de Jean-Paul II, en mai 1980, alors qu'il s'adresse à la foule rassemblée au Bourget: "France, fille aînée de l'Eglise, es-tu fidèle à ton baptême ?"
[...] Christian Terras, fondateur de la revue catholique progressiste Golias, observe la communauté catholique se transformer avec une pointe d'inquiétude: "C'est tout sauf un feu de paille. Il s'agit d'un catholicisme néoconservateur et identitaire dont les représentants sont jeunes, actifs et mobiles."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
A l’heure , ou après l’affaire de Villefontaine, on s’aperçoit que des enseignants pédophiles déjà condamnés continuent d’exercer auprès de mineurs et que l’Education Nationale a décidé d’étudier 900.000 casiers judiciaires , voilà qu’une affaire vieille de 20 ans refait curieusement surface contre un cardinal très populaire au sein de l’Eglise française et très volontaire dans sa lutte contre le mariage homosexuel..
Pourtant , ce n’était pas contre l’Eglise que Christophe Barbier journaliste de l’Express, exprimait ainsi son dégout en avril 2015 : « Des enseignants ou des directeurs d’école qu’un rectorat se contente de muter quand il y a des soupçons ou des rumeurs, des condamnations que l’administration escamote, des parcours erratiques que les hiérarchies trouvent normaux… Quand un enfant est violé, le malaise s’installe dans la civilisation ; quand il apparaît que le système fait preuve d’une passivité coupable, sinon complice, et l’Etat, d’une cécité catastrophique, sinon criminelle, c’est la nausée qui monte »
Mais, au-delà de ces faits de société, il y a des choix purement idéologiques que Zemmour dénonçait encore récemment et qui laissent à penser que l’Etat souhaite s’accaparer l’éducation de nos enfants jugés par lui, victimes de leurs parents réactionnaires avec le dispositif « ligne Azur » en demandant notamment à des enfants dès l’âge de 11 ans quelles sont leurs pratiques sexuelles.
Dans une lettre du 4 janvier 2013 adressée aux « rectrices et recteurs », M. Peillon, alors ministre de l’Éducation nationale, nous faisait savoir que dans la mesure où nos mentalités lui déplaisaient, il se proposait de les changer en s’appuyant sur la jeunesse par l’intermédiaire, entre autres, du dispositif « Ligne Azur ».[....]
Olivier Dejouy
La suite sur Le Réveil Français
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Ce-que-cache-le-lynchage-mediatico
Juan Daniel Macias Villegas était connu comme le dernier soldat survivant de la guerre Cristero à Jalisco (Mexique).
Il est décédé d’un arrêt respiratoire le 18 février dernier, à l’âge de 103 ans, dans sa ville natale de San Julian. Les funérailles de Juan Daniel Macías Villegas ont eu lieu à Saint-Joseph, en présence de ses enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants et arrière-petits-enfants.
Une procession sur environ trois kilomètres s’est faite jusqu’au cimetière, aux côtés de la « Garde nationale Cristero », organisation catholique qui défend la mémoire des martyrs morts pendant la persécution religieuse au Mexique, au début du XXe siècle.
Juan Daniel Macías Villegas était né le 21 juillet 1912 au village de San Julian, alors appelé Rancho de los Verdes Palos. Il a été baptisé par le prêtre Narciso Elizondo, qui, quelques années plus tard, le bénira quand il prendra les armes.
À 13 ans, il a commencé à se battre avec les « Cristeros » après s’être engagé avec le général Victoriano Ramirez et fait partie de son escadron « Les Dragons du 14 ».
Il a participé à plusieurs campagnes dans la région des hautes terres de Jalisco et de Guanajuato, et lors de la seconde campagne Cristeros (1935- 1937), il se placera sous le commandement de Lauro Rocha.
Après la guerre, Juan Daniel Macias a vécu dans la communauté rurale de San Julian jusqu’au jour de sa mort. Cette localité avait été la première à prendre les armes, le 1er janvier 1927, contre les lois gouvernementales anticatholiques.
Le gouvernement de Plutarco Elías Calles avait voté un amendement pour restreindre la liberté religieuse. Les persécutions furent terribles : l’armée et la police procédèrent à de nombreux emprisonnements et exécutions. Les Cristeros s’y opposèrent les armes à la main et le chapelet autour du cou.
En 1992, une réforme de la Constitution mexicaine a été obtenue grâce à l’intervention de la Conférence épiscopale mexicaine et le soutien du président Carlos Salinas de Gortari avec l’appui de la grande majorité des sénateurs et des députés. Cette même année 1992, les relations diplomatiques entre le Mexique et le Saint-Siège ont été restaurées.
Source MPI
Pour des livres et films sur les Cristeros, cliquez ici.
http://www.contre-info.com/mexique-mort-du-dernier-cristero#more-41320
Les Knights of Colombus demandentà John Kerry, chef de la diplomatie américaine, de qualifier de génocide les atrocités commises par l'État islamique envers les chrétiens d'Orient. La célèbre organisation catholique, qui compte près de deux millions de membres, a publié unrapport détaillé de 278 pages, dénombrant 1131 chrétiens irakiens tués entre 2003 et le 9 juin 2014, décrivant précisément où et quand ils ont été exécutés. Il présente également 24 pages de témoignages collectés entre février et mars 2016, relatant 200 cas d'attaques (destructions de maison, viols, mise en esclavage, torture, etc..), ainsi que 125 cas d'attaques contre des églises irakiennes. En Syrie, les chrétiens qui ont composé jusqu'à 10 % de la population, seraient aujourd'hui moins d'un million.
Avec l'association In Defense of Christians, les Chevaliers de Colomb (Knights of Columbus) ont lancé, le 22 février, une pétition intitulée Stop the Christian Genocide (Halte au génocide des chrétiens) destinée, notamment, à faire pression sur le gouvernement Obama pour qu’il reconnaisse formellement que les atrocités commises contre les chrétiens d’Orient portent un nom : génocide. Le secrétaire d’État John Kerry tergiverse. On peut signer ici (plus de 90 000 signataires).
Pour appuyer cette pétition, les deux organisations ont réalisé une courte vidéo qu’elles diffusent, comme publicité, sur les chaînes de télévision aux États-Unis: