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religion - Page 83

  • Livre : Éléments grecs du christianisme

    Elements-grec-christ.2-e.jpgDe formation scientifique, l’auteur n’est pas historien par état, mais passionné par les études historiques, l’idée d’écrire ce livre lui a été donnée par les recherches entreprises pour vérifier le bien-fondé d’une thèse du grand historien Ernest Renan concernant la conversion au christianisme du peuple grec.
    Selon cette thèse, les Grecs étaient tellement attachés à leur religion ancestrale qu’ils ne sont jamais devenus véritablement chrétiens. Aussi, malgré ses efforts, l’Église n’a réussi qu’à appliquer sur eux une légère couche de peinture chrétienne.
    Ses recherches ont révélé que l’ancienne religion greco-latine n’avait aucun rapport avec les fables enseignées aux écoles grecques et lui ont fait découvrir l’insondable ineptie des textes hébraïques sur lesquels est censée être fondée la religion chrétienne.
    Il a en outre constaté que le christianisme – « religion de l’amour et la non-violence » – avait été imposé aux peuples par la force, au prix d’effroyables persécutions et d’un nombre incalculable de massacres, que son instauration avait entraîné une régression de la civilisation et que (pour complaire à l’Église) personne n’avait jamais tenté de faire connaître la vérité au grand public.

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    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyEVZEEkAGTPKgSIn.shtml
  • Religion & Société • L’islam, principale ligne de fracture entre les intellectuels

    Vincent Trémolet de Villers, rédacteur en chef des pages Débats Opinions du Figaro et du FigaroVox.

    ♦ Une remarquable réflexion pour Le Figaro [22./04] sur un sujet maintes fois évoqué dans Lafautearousseau mais qui est ici approfondi et actualisé.

    Alain Finkielkraut, Michel Houellebecq, Michel Onfray ou Eric Zemmour ont longtemps été les seuls à dire sans tricher ce qu’ils voyaient. Mais, depuis les attentats islamistes de Paris et de Bruxelles, la prise en compte du réel est en train de modifier profondément le monde de la pensée.

    On peut avoir le visage découvert, les cheveux aux vents et se voiler volontairement l’esprit. Ce port du voile-là n’a jamais été obligatoire mais celui qui, en France, se risquait à le retirer pour voir les conséquences d’une immigration inconséquente, celui qui osait exprimer sa crainte de voir fleurir les barbes et pousser les minarets a longtemps subi le supplice réservé aux apostats.

    Les gardiens du dogme le jetaient dans les ténèbres, les comités de surveillance le faisaient poursuivre par les juges, les relais d’opinion accolaient à son nom tous les péchés du monde.

    S’il lui prenait la fantaisie de ne plus chercher les convulsions antisémites dans les salons de la vieille France ou les sacristies des églises mais dans les territoires délaissés par l’école, la police, la justice, on criait au racisme. Il valait mieux raser les murs et rester bien au chaud derrière la bonne grille de pensée. Le nouveau clergé disait le bien et le mal, le salut et l’enfer. Nul n’y croyait guère mais, l’histoire le prouve, on peut aussi pratiquer une religion sans y croire.

    Accepter de voir

    Et puis, un à un, malgré tout, essayistes, philosophes, écrivains ont arraché le voile. Ils ont accepté de voir. Ils ont même accepté de dire. Les gardiens de la révolution ont bien tenté de les poursuivre, de les faire renvoyer de leurs journaux, de leurs télévisions, de leurs radios, de les mener de force devant les juges: rien n’y fit, leur succès était trop grand et la population les portait aux nues.

    Ils pouvaient être journalistes comme Eric Zemmour, philosophes comme Alain Finkielkraut et Michel Onfray, romanciers comme Michel Houellebecq, essayistes comme Pascal Bruckner et Elisabeth Lévy. Par paresse (ou par malveillance), ils furent assimilés les uns aux autres, sous le vocable de néoréactionnaires. Pourtant, en l’espèce, il était hasardeux de faire des amalgames. Leur seul point commun était d’avoir retiré le voile, d’avoir appelé un chat un chat et un attentat islamiste, un attentat islamiste.

    En dix ans, ce surgissement du réel a bouleversé toutes les lignes de la vie des idées. L’antiracisme a perdu la tête et la main jaune est devenue folle. Les potes d’hier se sont déchirés et la génération SOS a essaimé au Parti socialiste, certes, mais aussi chez Dieudonné. Bernard-Henri Lévy s’est élevé contre le drapeau noir du califat tandis qu’Edwy Plenel a fait du musulman le prolétaire, la victime, le juif du XXIe siècle.

    La gauche morale à l’heure de l’examen de conscience

    « Le catholique zombie », voilà l’ennemi, proclamait Emmanuel Todd quelques mois après que les fous d’Allah eurent tué de sang-froid journalistes, policiers et juifs de l’Hyper Cacher, tandis que des bouffeurs de curés prenaient la défense des chrétiens d’Orient. Il a fallu un deuxième carnage, le 13 novembre, pour que d’autres, à leur tour, viennent dire ce que chacun voyait à l’œil nu. La gauche morale, enfin, faisait son examen de conscience. Celle qui ne combattait que des ennemis déjà vaincus – le fameux homme-blanc-de-plus-de-50-ans – a découvert dans la nuit de Cologne que « la victime » pouvait être « un bourreau ». Elisabeth Badinter qui, elle, n’a jamais été dupe, a souligné la hiérarchie morale du parti de l’Autre : « Ce que cette affaire de Cologne a démontré c’est que, quand ce sont des étrangers qui sont en cause, alors les priorités changent. »

    La gauche, qui ricanait devant Le Petit Journal sur tout ce qui ressemblait de près ou de loin à de la transcendance, s’est souvenue que l’homme était un animal religieux. Jean Birnbaum (Un silence religieux, Seuil) s’est fait l’écho de Saint- Exupéry qui, au milieu de la guerre, écrivait au général X : « Rendre aux hommes une signification spirituelle, des inquiétudes spirituelles, faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à un chant grégorien […] Rien qu’à entendre un chant villageois du XVe siècle, on mesure la pente descendue. » Cette lettre, celle d’un homme plongé dans la nuit du monde entre la croix gammée et le drapeau rouge, résonne curieusement aujourd’hui. L’auteur de Citadelle, en effet, connaissait l’ennemi, mais se demandait si cette connaissance suffisait au sursaut d’un pays et d’une civilisation.

    L’État islamique et ses épigones ne nous disent pas autre chose. L’islamisme conquérant, celui des bombes mais aussi celui du voile intégral et des prières de rue, nous pose la même question: « Qui êtes- vous ? ». Nous, nous savons qui nous sommes, nous disent les djihadistes, mais vous qui êtes-vous ?

    À cette question, les réponses sont multiples : « Je suis Charlie », « je suis terrasse », « je suis Bruxelles ». « Qui est Charlie ? » se demande-t-on, tout de même. Certes, la terrasse du Petit Carillon à la nuit tombée illustre un peu de notre art de vivre, mais peut-on répondre au cri d’« Allah est grand » par un verre de mojito ? Et Bruxelles est-elle la « ville-monde » que le maire vante comme un modèle pour tout l’Occident ou « la capitale de l’Europe des soumis, d’une infinie laideur » dont parle l’écrivain Jean Clair ?

    Dans Situation de la France, Pierre Manent en appelle à la « marque chrétienne » de notre pays. Mais quelle est cette marque ? Celle d’Alain Juppé et du pape François qui la revendiquent pour justifier l’accueil sans mesure des réfugiés, ou celle de Philippe de Villiers qui s’incline devant l’anneau de celle « qui voulait bouter les Anglais hors de France » ?

    En créant le Printemps républicain, Laurent Bouvet a déclaré vouloir retrouver les fondements de la laïcité à la française. Mais est-ce celle de Viviani, qui voulait éteindre une à une les étoiles du ciel ? Celle de Ferdinand Buisson, qui rêvait d’instituer une religion républicaine ? Celle de Christiane Taubira, qui invoque la laïcité pour justifier le développement infini des droits individuels ? Celle de Jean-Louis Bianco ou celle de Manuel Valls ? Celle de Joseph Pagnol, le maître d’école universel, ou celle des transhumanistes ?

    « Que faut-il dire aux hommes ? », s’interrogeait Antoine de Saint-Exupéry à la fin de sa lettre. L’islamisme conquérant nous impose, à son tour, cette question.

    Dans un dialogue inoubliable publié cet été par Le Figaro Magazine, Alain Finkielkraut et Michel Houellebecq tentaient d’y répondre. « Dieu est parti, disait l’auteur de L’Identité malheureuse, et il ne dépend pas de nous de le faire revenir. Je crois que ce qui est mort pour de bon en France comme dans le reste du monde occidental, c’est la croyance en la vie éternelle.» Il poursuivait : « On ne peut pas décider de croire à nouveau dans la vie éternelle – et c’est le destin de l’Occident. » … « Alain, je suis en net désaccord là-dessus, répondait Michel Houellebecq.Ce sont ceux qui croient à la vie éternelle qui survivent. La religion gagne toujours à la fin. » Plutôt que de s’écharper sur les menus à la cantine et les coiffes des hôtesses de l’air, on rêve d’un débat qui soit à cette altitude. C’est peut-être illusoire, mais il n’est pas interdit d’essayer.

    Vincent Trémolet de Villers 22/04/2016

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/04/23/religion-societe-l-islam-principale-ligne-de-fracture-entr-5792533.html

  • Alerte au Nigéria : 10 000 chrétiens assassinés et 13 000 églises détruites entre 2006 et 2014

    Les oubliés du monde, Africains et Catholiques, parviennent enfin à faire parler d'eux : 

    "Quelque 10.000 chrétiens sont morts du fait de persécutions dans le nord du Nigeria à majorité musulmane de 2006 à 2014, a déclaré aujourd'hui Portes ouvertes, une organisation non gouvernementale basée à Strasbourg.

    Les violences tels qu'enlèvements, massacres et attentats suicides commis par la secte Boko Haram, ne constituent qu'un aspect du problème, selon un rapport réalisé par cette association évangélique et adopté en février dernier par l'Association des chrétiens du Nigéria (Can). Les violences subies par les chrétiens dans les Etats du nord du pays, où la charia a été réinstaurée depuis les années 2000, procèdent aussi, selon Portes ouvertes, des élites locales, sur lesquelles s'était appuyé le pouvoir colonial britannique, et des bergers peuls musulmans, poussés par la désertification vers le sud majoritairement chrétien. "On estime qu'entre 2006 et 2014, entre 9000 et 11.500 chrétiens ont été tués, 13.000 églises ont été détruites, abandonnées ou fermées" et "1,3 millions de chrétiens n'ont plus de lieu de culte", nombre d'entre eux étant des "déplacés internes", estime cette étude.

    Lahire

  • Civitas se mue en parti politique

    Déclaration faite à la sous-préfecture d'Argenteuil le 30 mars 2016. L'association de financement du groupement politique CIVITAS   a pour objet de recueillir les fonds destinés au seul financement du groupement politique CIVITAS.

    Civitas avait connu quelques problèmes financiers récemment. En février, l’administration fiscale avait décidé de priver Civitas de la possibilité d’émettre des reçus fiscaux permettant à ses donateurs une déduction partielle de leurs impôts. 

    Michel Janva

  • « Le grand secret de l’islam »

    Tel est le titre d’un petit livre très intéressant, qui étudie les origines de l’islam.
    Il est en fait une présentation résumée de la thèse du Père Edouard-Marie Gallez (publiée en 2005), qui explique que « l’islam n’est pas le fruit d’une révélation divine ou de la prédication de Mahomet mais celui d’un processus complexe de réécriture de l’Histoire, issu de croyances judéo-chrétiennes dévoyées, et manipulé par les califes pour satisfaire leurs visées politiques ».

    171 pages, 14 €. Pour le commander, cliquez ici.

    Ci-dessous une présentation de cette analyse, et encore en dessous, un débat entre l’auteur de ce livre et un contradicteur musulman.

    http://www.contre-info.com/

  • L’enfouissement des chrétiens en Occident, un crime contre l’humanité

    Une très belle tribune de Cyril Brun, à lire en entier sur Riposte catholique :

    [...] "Refoulé toujours plus dans une sphère privée de plus en plus étroite, ce qui a trait au religieux tousse çà et là et secoue de spasmes incontrôlés la vieille carcasse humaine que la camisole idéologique et doctrinale ne sait plus comment contenir ni maîtriser. Le sentiment religieux est une donnée naturelle de l’homme que l’athéisme, pas plus que la laïcité ne peuvent comprendre et moins encore admettre. Ce sentiment, cette religiosité n’est pas une donnée facultative de l’équation humaine, ni une variable d’ajustement d’un vivre ensemble rendu impossible par le relativisme même qu’impose la camisole athée.[...]

    Voilà bien une chose que ne peuvent admettre les tenants de l’humanisme athée et leurs corolaires, moins humanistes et plus athées, l’homme ne peut être heureux sans Dieu. Et c’est de cette privation dont le monde étouffe, se noie et se suicide collectivement. Partout pourtant, c’est pour les hérauts de la laïcité que le glas s’est mis à sonner.  Marquant le pas lent et serein de la marche inexorable vers la fosse, la cloche funeste vibre de tous côtés, car de leurs tombeaux sortent les moribonds affamés de Dieu, privés de leur quête la plus précieuse. Les hommes, de plus en plus, hurlent leur besoin de Dieu. Distinctement ou non, directement ou non, consciemment ou pas, volontairement ou malgré eux, les créatures déshumanisées par des décennies, voire des siècles de privation de la présence divine, s’arrachent aux perfusions anesthésiantes des apprentis sorciers de tous crins.

    Oui, bon gré mal gré, l’humanité secoue cette chape idéologique qui l’a dressée des années durant contre Dieu. Partout nous voyons se multiplier les revendications religieuses qu’elles soient catholiques, bouddhistes, musulmanes, protestantes ou encore shintoïstes. Le désir de Dieu refait surface et jusque dans la violence intégriste ou la simple quête intérieure. La laïcité n’a plus pour se défendre que des lois rigides, des gardes-chiourmes idéologiques du système carcéral post moderniste. C’est un fait, la laïcité a perdu. L’homme religieux s’en émancipe chaque jour davantage.

    Les attentats du 13 novembre ne sont qu’une des éructations de ce soubresaut religieux. Les Manifs pour tous sont une douce démonstration de cette émancipation. La préoccupation des DRH quant au « fait religieux en entreprise » est un signe fort en miroir des couperets maçonniques anti-crèches.  Oui le monde, jusque-là anesthésié, se réveille petit à petit et cherche de plus en plus à respirer l’air divin.[...]

    Lire la suite "L’enfouissement des chrétiens en Occident, un crime contre l’humanité"

    Marie Bethanie

  • Depuis trois ans, les Veilleurs luttent contre l’assoupissement des consciences

    Ils étaient une cinquantaine ce mardi soir devant la préfecture de Montpellier, assis dans le calme, sur la place des Martyrs de la Résistance. Ces gens là n’appartiennent pas au mouvement « Nuit Debout » ultra-médiatisé depuis quelques jours, mais sont pourtant en résistance face à la politique du gouvernement socialiste. Si les deux mouvements n’ont pas grand chose en commun, les « Veilleurs » peuvent se prévaloir d’être les initiateurs de ce mode de contestation.

    Les veilleurs, une résistance philosophique

    Mouvement né lors des grandes manifestations populaire contre la loi Taubira, ouvrant le mariage aux couples homosexuels au printemps 2013, les « Veilleurs » se rassemblent dans toute la France depuis trois ans. Des rassemblements pacifiques qui se sont multipliés dans toute la France. En tout, ils ont été présents dans une centaine de ville. A Montpellier, ces rassemblements ont lieu tous les deuxièmes mardi du mois.

    Veilleurs Montpellier

    Le principe ? Lorsqu’ils se réunissent, les veilleurs passent leur soirée à lire des textes philosophiques entrecoupés de quelques chants de tradition. « Nous nous appuyons sur la culture face à la démission de la pensée, à l’assoupissement des consciences et au délitement progressif du sens de l’homme », déclare une montpelliéraine qui participe à ces rassemblements depuis le début, « les Veilleurs ont choisi de demeurer vigilants pour réveiller l’âme du peuple auquel ils appartiennent ». A chaque veillée son thème, ainsi mardi soir, les veilleurs de Montpellier ont échangé autour d’une citation d’Alphonse de Lamartine : « Un grand peuple sans âme est une vaste foule ».

    Les veilleurs, être et durer ?

    Une démarche militante et intellectuelle qui n’a pas toujours été vue d’un bon œil par certains. A Montpellier, ville du premier mariage gay de France, le mouvement a connu dès ses premières heures une forte opposition de la part de l’extrême gauche et du lobby LGBT. Une opposition aussi virulente que succincte. Depuis deux ans, les veillées se déroulent sans aucune opposition. Un motif de satisfaction pour les organisateurs qui ont démontré leur capacité à être et à durer dans le temp

    Rendez -vous le mardi 10 mai à 20h30 devant la préfecture, pour la prochaine veillée à Montpellier.

    Photos : Lengadoc Info

    http://www.lengadoc-info.com/3370/societe/3370-veilleurs-montpellier/

  • Pèlerinage Paris-Chartres 2016

    Chers Camarades,

    Chaque année, pour la Pentecôte, Notre-Dame de Chrétienté organise un Pèlerinage de Notre-Dame de Paris jusqu’à Notre-Dame de Chartres dans un esprit traditionnel français.

    Comme chaque année, l’Action Française propose à ses membres animés par la Foi Catholique de participer au Pèlerinage au sein du Chapitre Sainte Jehanne de France(seconde fille de Louis XI et fondatrice de l’Ordre de l’Annonciation de la Vierge Marie). Ce Chapitre est l’un des plus anciens du Pèlerinage de Chartres et est entièrement géré par l’AF.

    Le pèlerinage se déroulera du samedi 14 au lundi 16 mai (semaine juste après la fête de Sainte Jeanne d’Arc).

    INSCRIPTIONS :

    Ouverture aujourd’hui (20 mars)
    - Région "PARIS EST +77"
    - Chapitre "SAINTE JEHANNE DE FRANCE"
    - LIEN INSCRIPTION

    PRIX :
    - Entre 54€ et 38€ jusqu’au 15 avril (en fonction de votre lieu de résidence)
    - Entre 68€ et 50€ après cette date (en fonction de votre lieu de résidence) S’inscrire en famille permet de limiter les frais (tarifs dégressifs)

    INFOS PRATIQUES :
    - Départ le samedi 14 très tôt en matinée (arrivée à Paris conseillée le vendredi 13 au soir)
    - Possibilité de rejoindre le pèlerinage en cours de route le samedi et le dimanche.
    - Arrivée à Chartres le lundi 16 en fin d’après midi.
    - Retour à Paris le lundi 16 vers 20h

    SECRÉTARIAT DU CHAPITRE :

    Antoine Berth - chapitresaintejehanne@gmail.com - https://twitter.com/berth_antoine

    Amitiés d’AF,

    Luigi Chef de Chapitre & Antoine

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pelerinage-Paris-Chartres-2016