Piero San Giorgio, Survivre à l'effondrement économique
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Piero San Giorgio, Survivre à l'effondrement économique
![]() |
Terri Schiavo, en « état végétatif ». Elle a été privée de nourriture et d'hydratation pour qu'elle cesse de vivre, au motif qu'elle n'avait plus que des « réactions réflexes »… |
Actuellement, 45 produits seraient absents des pharmacies. Une liste qui pourrait s'allonger de 17 autres médicaments, révèle Le Parisien ce samedi.
Dans Un Hurluberlu dégingandé et une demi portion, Lettre ouverte (mais pas trop) sur le handicap, Séverine-Arneld Hibon, dont le mari est infirme moteur cérébral, raconte quelques anecdotes sur sa vie de famille :
« Nous avons une organisation familiale qui fonctionne assez bien ; cependant j’ai du mal à accepter que des experts du travail social ou médical viennent me demander de justifier nos choix de vie… Je le répète, je ne leur en veux pas de faire leur travail, mais comment expliquer de manière quantifiable que la vie serait infernale pour Jean-Baptiste et exténuante pour moi si je travaillais constamment à l’extérieur ? Comment dire que la multitude de petits gestes banals que j’effectue pour lui prend peu de temps mais demande une présence constante ? Comment faire comprendre que si je passe une soirée ou une journée hors de la maison, il faut que tout soit prévu pour que Jean-Baptiste ne se retrouve pas seul face à une montagne impossible à gravir ? Il ne va pas se faire cuire des pâtes, notre cuisine ne lui permet pas de transporter une casserole d’eau bouillante. Et vous avez essayé de passer l’éponge de la main dont vous vous servez le moins pendant qu’un farceur s’amuse à vous pousser le coude ? Vous aurez alors une idée de l’énergie qu’un geste infime demande à Jean-Baptiste. »
Plus de quatre-vingts substances chimiques, dont certaines susceptibles d’être cancérigènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la santé, selon une étude du mouvement Générations futures – qui milite notamment pour une agriculture sans pesticides et sans OGM – et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau environnement santé. (Lire l’article du Monde, en édition abonnés, « Des résidus chimiques dans l’assiette des enfants »).
Les associations, qui lancent une campagne de sensibilisation intitulée « Cancer et environnement », ont acheté dans des supermarchés de l’Oise et de Paris entre juillet et septembre les denrées alimentaires généralement consommées en quatre repas et un encas en une journée par un enfant d’une dizaine d’années. Ces repas-types, incluant les recommandations officielles – telles que cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers et 1,5 litre d’eau par jour – ainsi que des friandises, ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en France et en Belgique pour y détecter la présence de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants.
Le bilan de l’assiette, selon cette étude publiée mercredi, est accablant : cent vingt-huit résidus, quatre-vingt-une substances chimiques, dont quarante-deux sont classées cancérigènes possibles ou probables et cinq substances classées cancérigènes certaines ainsi que trente-sept substances susceptibles d’agir comme perturbateurs endocriniens (PE). « Même si, dans la quasi-totalité des cas, les limites légales pour chaque substance chimique prise individuellement ne sont pas dépassées, on voit bien dans notre enquête que la réalité de l’exposition des consommateurs aux contaminants possiblement cancérigènes et/ou PE est préoccupante », note l’association.
LE SAUMON, LE PLUS RICHE EN PESTICIDES
Pour le petit-déjeuner, le beurre et le thé au lait contiennent à eux seuls plus d’une dizaine de résidus cancérigènes possibles et trois avérés comme des cancérigènes certains ainsi que près d’une vingtaine de résidus susceptibles de perturber le système hormonal.
La pomme, importée du Brésil, prévue comme encas, présente des traces de six substances chimiques, dont un fongicide pourtant interdit en France. Même chose pour les haricots verts du Kenya, inclus dans le déjeuner, sur lesquels l’étude a détecté des traces d’un insecticide puissant également interdit dans l’Union européenne.
Le steak haché, le thon en boîte, et même la baguette de pain et le chewing-gum, étaient truffés de pesticides et autres substances chimiques. Dans l’eau du robinet les analyses ont révélé la présence de nitrates et chloroforme. Mais c’est le steak de saumon prévu pour le dîner qui s’est révélé le plus « riche » avec trente-quatre résidus chimiques détectés. Même l’examen de l’assiette en plastique utilisée pour réchauffer le repas au micro-onde n’en était pas exempte.
« COCKTAILS CONTAMINANTS »
Le risque final pour le consommateur de ce « cocktails de contaminants » « est probablement sous-estimé », selon l’étude. Le problème serait-il résolu par un lavage voire un épluchage systématique des fruits et légumes avant consommation ? « Certaines études montrent que ces précautions ne sont pas suffisantes voire qu’elles sont inutiles », a souligné Générations futures.
Jeanne Smits a traduit un article du Dr Joël Brind, professeur de biologie et d’endocrinologie au Baruch College de la City University de New York, co-fondateur et membre du Bureau du Breast Cancer Prevention Institute. Il a participé à des études sur le lien entre avortement et cancer du sein depuis 1992. Extrait :
"Le lien entre l’avortement et le cancer du sein (ABC – abortion breast cancer) a deux facettes. D’abord, il est universellement admis que le fait d’avoir un enfant fait décroître le risque de développer un cancer du sein, parce que la maturation des cellules du sein en cellules galactogènes les rend moins susceptibles de devenir cancéreuses.
Deuxièmement, la grossesse fait croître de manière impressionnante le nombre de cellules mammaires qui peuvent devenir cancéreuses. Une naissance vivante laisse à ces cellules « progénitrices » le temps de se différencier pour devenir des cellules plus mûres, plus résistantes au cancer. Et ainsi, l’avortement provoque l’apparition de davantage d’endroits dans les seins où le cancer peut commencer à se développer qu’avant le début de la grossesse.
Une très récente étude a l’honneur déplaisant de rendre compte du plus fort lien ABC jamais observé : les femmes bangladaises ayant subi un avortement y apparaissent comme présentant un risque de cancer du sein multiplié par 20 ! Pourquoi ce risque relatif est-il si élevé ? Cela vient du fait que presque toutes les femmes bangladaises se marient et ont leur premier enfant avant l’âge de 21 ans, et qu’en outre elles allaitent leurs enfants. Par conséquent, le cancer du sein était pour ainsi dire inconnu au Bangladesh jusqu’à une époque récente. [...]"
La pétition “One of Us” a déjà rassemblé plus de 850 000 signatures. Si elle mobilise un million de signataires avant le 1er novembre, le Parlement européen devra réfléchir à une interdiction du financement des recherches qui aboutissent à la destruction des embryons humains.
L'obtention du nombre de signatures requis pendant la période donnée n'est pas simple. Neuf autres initiatives citoyennes risquent d'arriver à expiration cette année, même celles qui ont obtenu de la Commission européenne le titre de première initiative. Fraternité2020, qui cherche à mobiliser plus de financement pour l'échange européen Erasmus, n'a pas obtenu 100 000 signatures.
Avec l'allongement de la durée de la vie, le laboratoire Neocutis et sa nouvelle crème anti-rides ont de beaux jours devant eux. Malgré la concurrence, car cette crème utilise un composant à l'efficacité redoutable (nous dit-on) : une protéine provenant de cellules de peau fœtale. Des chercheurs du service gynécologie-obstétrique du CHU de Lausanne avaient en effet constaté que les fœtus opérés in utero naissaient ensuite sans aucune cicatrice. La peau des fœtus a donc des propriétés régénératrices - encore une merveille de la nature qui ne pouvait laisser les chercheurs indifférents. C'est ainsi qu'une mère fut convaincue de faire don à la science du fœtus dont elle voulait se débarrasser. Il ne s'agissait ; après tout, que de donner son « contenu utérin » (qui a dit bébé ?), destiné aux poubelles d'une clinique, à un laboratoire spécialisé dans les soins pour les graves affections cutanées... et accessoirement, les crèmes de beauté. C'est bien là le hic. Car utiliser des cellules de peau prélevées sur le fœtus avorté, puis cultivées et multipliées, afin de guérir des grands brûlés par exemple, beaucoup n'y trouveront rien à redire. Mais faire de telles recherches pour créer un produit miracle, voilà qui passe moins bien. La nouvelle crème de la société Neocutis est donc en butte à l'opposition virulente des associations pro-vie américaines, notamment Children of God for Life, qui tente d'organiser un boycottage de tous les produits Neocutis, et propose notamment aux laboratoires n'utilisant pas le morbide composant de leur faire une publicité gratuite.
Bien évidemment, l'homme à l'origine de ce projet, Patrick Hohlfeld, annonce que les bénéfices liés à la vente de sa crème serviront à des recherches plus nobles, ce qui suffit à couper la chique à d'éventuels détracteurs français. La France est pourtant le pays où l'on s'attend le moins à ce que l'utilisation mercantile de cellules humaines ne provoque pas de réaction, puisque officiellement tout don d'organe ou de cellule doit être gratuit. C'est le cas du don d'ovocytes par exemple. Mais ce don d'ovocytes rémunéré dans d'autres pays européens est approuvé officieusement par le gouvernement. Roselyne Bachelot elle-même reconnaissait sur le plateau d'une émission d'information de M6 que la Sécurité sociale remboursait bien les voyages à l'étranger et les soins reçus par des femmes désirant un don d'ovocyte, difficile à obtenir en France... L'hypocrisie est patente.
L'hypocrisie, en somme, est à tous les étages, car même ceux qui peuvent être un peu titillés par l'aspect commercial de l'affaire ne trouvent en général rien à redire quant à la provenance de la protéine régénératrice miracle. Pourtant, c'est un pas de plus qui est fait dans les avortoirs avec ce recyclage des déchets. C'est une façon de banaliser encore davantage l'avortement et de le rendre juteux puisqu'il devient source de profit pour des laboratoires conduisant des recherches à visée prétendument humanitaire. L'hypocrisie, ou l'inconscience, vient de ce que le seul principe plus ou moins universel, dans une société sans repères moraux, soit que la fin justifie les moyens, ce qui est radicalement contraire à tout ce qu'enseigne la morale traditionnelle. On autorise donc un « mal pour un bien », en l'occurrence l'utilisation d'un fœtus qui transforme un avortement en aubaine, pour créer des crèmes médicaments. Mais quand le même procédé permet un commerce, force est de constater que le mal nécessaire ne débouche que sur un autre mal.
Fabienne BALLARIN. Rivarol du 30 avril 2010
Dans Euthanasie, stade suprême du capitalisme, le professeur et ancien député Jean-Claude Martinez démonte l’hypocrisie des partisans du suicide assisté et les désinformations autour de cette fuite en avant de la société dans la culture de mort :
« Dès que la presse et les médias tiennent le « bon cas », les spin doctors mettent immédiatement la France sous perfusion « médiato-euthanasique ». La composition du cocktail injecté à haute dose d’audience est toujours la même, avec quatre ingrédients :
A propos de l’acharnement thérapeutique, après avoir rappelé que la France manque de médecins et de structures pour l’accueil du nombre croissant de personnes âgées et de malades, Jean-Claude Martinez écrit :
« Maintenant, avec le discours officiel sur l’euthanasie, l’excessif se poursuit. A le lire, on ne pourrait plus passer près d’un hôpital sans entendre les cris et les appels au secours des malades maltraités sous les coups de bandes en blouses blanches s’acharnant sur eux pour qu’ils vivent. C’est tout juste si Jean-Pierre Chevènement n’a pas subi le calvaire de trois équipes de réanimation qui se sont succédées et acharnées sur lui, en une tournante thérapeutique, l’entubant, le pressant, le ventilant, le piquant, avec probablement des cris de « salaud de Che tu vas vivre, on va pas te lâcher tant que t’es pas ranimé ». »
Vincent Humbert l’écrivait dans sa lettre : son problème ce n’était pas sa souffrance, son handicap, mais que l’hôpital, manquant de moyens, ne pouvait plus le garder. Il avait clairement compris qu’il était de trop. Invoquer l’euthanasie contre l’acharnement thérapeutique relève clairement du mensonge :
« Il y a donc bien une désertification sanitaire structurellement installée pour des décennies, ce qui réduit à néant tout risque d’acharnement thérapeutique, puisqu’il n’y a plus assez de thérapeutes pour s’acharner. […]
Autant dire alors que l’euthanasie au nom du principe de précaution, pour éviter le supplément de souffrance d’un supplément de soins, c’est comme se priver de boire dans le Sahara par peur de se lever trop souvent la nuit pour faire pipi.
Mais comme toute personne qui a fait l’expérience de l’hôpital sait bien qu’en médecine, on meurt d’abandon thérapeutique ou par incompétence du thérapeute, mais rarement par excès de thérapie, chacun a compris que le souci politique de nous épargner un acharnement médical par une injection finale est une hypocrisie.
Il n’y a aucune charité, aucun amour, aucune compassion. Il n’y a que le mépris masqué du bien portant à l’égard du mourant dévalorisé. Comme les forts méprisent les faibles et comme le pouvoir méprise ceux qui en sont privés. D’ailleurs si on en doute, que dit-on du tétraplégique ? Comment appelle-t-on un assisté respiratoire ? On dit que ces malades sont des légumes. »
Jérémie, un jeune homme de 22 ans, est mort dimanche après avoir été poignardé vendredi à Marseille.
Egorgé, dans la rue, dans le centre-ville, alors qu’il se rendait chez un camarade.
Ce jeune homme originaire des Vosges a été vraisemblablement tué par un individu de 41 ans, rapidement présenté comme « déséquilibré ».
Tiens, voilà un mot qui n’est pas anodin : on sait qu’il est de plus en plus employé dans la novlangue du Système pour désigner un immigré tuant un Français, sans motif clair (et sans bien sûr qu’il soit possible d’évoquer la simple haine raciale envers les Français)…
Les médias sont avares d’informations sur l’identité du tueur. L’express, qui s’étale sur l’affaire, concède que l’homme est « né dans la Drôme ».
Tout cela sent la diversion et en cherchant bien, on découvre enfin que l’assassin se prénomme Ali.
La victime n’avait plus son téléphone portable quand elle a été secourue en vain, mais on a retrouvé trace de celui-ci dans les « quartiers nord », zone à majorité afro-maghrébine.
Bien sûr, nous ne nions pas que « Ali » puisse être mentalement déséquilibré (qui égorge les gens sans l’être ? Question à 1000 francs…)
Mais il est un fait que ces « déséquilibrés » qui sévissent de plus en plus, chaque année, en massacrant dans la rue, en égorgeant, en poussant sur les rails du métro, sont rarement français contrairement à leurs victimes, et donc que leur folie reste orientée par des critères ethniques.
Dans un communiqué, Manuel Valls a demandé à l’ensemble des responsables publics « d’éviter les surenchères et les polémiques déplacées » sur la sécurité dans la cité phocéenne.
Bien sûr, là, surtout pas d’amalgames ! Ce n’est pas le genre de la maison (voir l’affaire Méric et ses conséquences) !
Et il ne faudrait pas non plus que les gens pensent que Marseille devient un vaste coupe-gorge, symbole de l’échec cinglant et inéluctable du « multiculturalisme », où chacun Français risque, en se déplaçant, d’être mortellement attaqué sans qu’il ne comprenne ce qui lui arrive.