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social - Page 380

  • La ligne gauchiste et autodestructrice de la CGT

    En se braquant de façon irréaliste sur la lutte contre la Loi Travail, la CGT dirigée par Martinez surprend bon nombre d'observateurs.

    Or, ce 17 mai sur Radio Classique l'ancien ministre mitterandiste Védrine ((1) 1était amené à souligner un facteur, qui devrait nous paraître fondamental mais qu'on n'entend pas assez évoquer, et pour cause, comme l'une des causes des difficultés de la France : l'influence, dans tous les domaines, du gauchisme. C'est le mot qu'employait Védrine, mais on ne perdra pas de vue que c'est aussi le terme par lequel Lénine lui-même stigmatisait en 1920 "la maladie infantile du communisme".

    Le "gauchisme" certes est l'ennemi de toute réforme car il y voit un piège tendu par les méchants "patrons" pour endormir le peuple.

    Mais on ne doit pas se tromper d'étiquetage : les "gauchistes" d'hier, comme ceux qu'on cherche aujourd'hui à ne présenter que comme des "casseurs", sont simplement des rivaux des appareils marxistes. Globalement tous forment un seul et même camp, et M. Védrine gagnerait à se définir lui-même de façon plus claire par rapport au camp des admirateurs de Fidel Castro.

    Trop de nos compatriotes, tout en étant aux postes de commande dans l'opinion, raisonnent depuis un demi-siècle en considérant les délires, les préjugés, les clichés, les partis pris, les sectarismes, les slogans, et par-dessus tout les ignorances de mai 1968.

    Occupant les premiers rangs dans cette fonction de décervellement, les trois quarts des journalistes en rajoutent singulièrement par rapport à la réalité sociale du pays. Alimentés par l'AFP, ils reproduisent, en général, de façon mimétique les prévisions de grève, comme si unanimement les salariés suivaient les consignes des bureaucraties syndicales.

    Ce 3 mai, un peu par hasard, désœuvrement coupable, avouons-le, je regardai le journal de 20 heures présenté par l'insupportable Pujadas. Évoquant le Front populaire de 1936, ce spiqueur caractérisait ainsi le gouvernement constitué autour de Léon Blum, "communistes, qu'il osait placer en tête, socialistes et radicaux". Et d'enchaîner par l'une des fameuses conquêtes sociales de l'époque : les congés payés, certainement l'une de ces avancées auxquelles les Français sont le plus attachés.

    Y associer les communistes ne doit pas être regardé comme un lapsus mais comme un de ces détours mémoriels par lesquels on s'efforce de nous empêcher de comprendre à la fois notre histoire récente et notre société.

    Rappelons au besoin à M. Pujadas qu'aucun communiste ne figurait dans l'équipe ministérielle de 1936, le parti ayant choisi le "soutien sans participation", quelques années à peine après que Louis Aragon ait lancé son fameux mot d'ordre "feu sur le Blum".

    On doit donc bien se représenter que Thorez et les communistes, entre 1936 et 1938, ont appliqué les consignes du Komintern stalinien, comme ils ont continué de le faire en 1939 et 1940 quand le Kremlin mit en place son alliance avec le Reich hitlérien, etc. Sans doute les députés communistes n'ont-ils pas voté contre la loi des congés payés, contre les accords de Matignon, contre la semaine de 40 heures, etc. Ils soutinrent alors un gouvernement socialiste auquel étaient associés les radicaux. Mais ils n'éprouvaient aucune sympathie pour la SFIO en général, ni pour Léon Blum en particulier. Pour eux il s'agissait de "sociaux traîtres". Raccorder rétrospectivement au parti communiste, ce que le Front Populaire a pu apporter de progrès social, c'est donc plus qu'une erreur, c'est une faute, une faute volontaire. Commise par Pujadas c'est une faute supplémentaire.

    Pour réfuter ce que Pujadas entendait suggérer, mes lecteurs me pardonneront, j'espère, d'emprunter longuement à une chronique de qualité, publiée par Charles Haegen dans le journal alsacien l'Ami-hebdo daté du 15 mai. (1)

    Certes, écrit-il, la loi promulguée le 20 juin 1936 institue effectivement deux semaines de congés payés. Et pourtant, souligne Jacques Marseille, "ces fameux congés payés, qui constituent la plus symbolique des avancées sociales permises par le Front populaire ne figuraient même pas à son programme".

    Et précise : "Alors que plusieurs pays étrangers avaient fait inscrire ce droit dans leur législation (l’Allemagne dès 1905, l’Autriche-Hongrie, le Danemark et la Norvège dès 1910, la Finlande, l’Italie, la Tchécoslovaquie, la Pologne entre 1919 et 1925, le Luxembourg, la Grèce, la Roumanie, le Chili, le Mexique, l’Espagne, la Suède, le Pérou, le Brésil et le Portugal entre 1926 et 1934), les ouvriers français et leurs représentants ne semblaient guère convaincus de son intérêt."

    Preuve, selon Jacques Marseille : "Ainsi, le 26 décembre 1925, un cahier de revendications établi pour l’entreprise Citroën, lors d’une réunion présidée par Maurice Thorez, secrétaire général du Parti communiste, l’élimine de ses exigences, le jugeant illusoire. Toujours chez Citroën, au cours de la longue grève du 29 mars au 5 mai 1933, les revendications des travailleurs concernent toutes les lois sociales qui seront octroyées en 1936, à l’exception des congés payés. En avril 1935, le cahier rédigé par les ouvriers de Renault ne cite quant à lui les 'vacances payées' qu’au onzième rang, derrière un garage pour les bicyclettes." Jacques Marseille poursuit sa démonstration en relevant que "le programme électoral du Rassemblement populaire, publié le 11 janvier 1936, comme les premiers textes de la CGT réunifiée, ne les mentionne même pas".

    Voila en effet la conclusion de Jacques Marseille : "Cette revendication apparaît plutôt comme le projet philanthropique et hygiéniste d’une élite réformatrice rassemblant syndicalistes chrétiens, hauts fonctionnaires et chefs d’entreprise paternalistes, tels ceux d’Alsace et de Lorraine où près de deux tiers des entreprises accordent déjà des congés annuels à leurs ouvriers."

    Depuis le dernier congrès de la CGT, il apparaît clairement que la nouvelle direction de cette centrale a fait le choix d'une démarche qui relève du gauchisme politique en s'engouffrant de façon désastreuse dans la lutte contre la Loi Travail El Khomri.

    La manière jusqu'auboutiste avec laquelle la vieille centrale s'est investie dans cette campagne laissera des traces, alors même que la CGT reconnaît ne représenter que 2,6% des salariés français et qu'elle peine face à la concurrence des syndicats réformistes.

    http://www.insolent.fr/

  • Se faire un flic, par Caroline Parmentier

    Le jour même où les policiers manifestaient en France contre la haine anti-flics, deux d’entre eux ont échappé de justesse à une tentative de meurtre.

    Mercredi vers midi, 150 individus encagoulés et masqués font irruption aux cris de « Flics, porcs, assassins » et « Tout le monde déteste la police » place de la République où se tient le rassemblement des policiers. Ils sont repoussés à coup de fumigènes.

    Un peu plus loin, quai de Valmy, une quinzaine d’entre eux s’en prend alors très violemment à un véhicule de police dont ils défoncent les vitres. Les deux occupants : une gardienne de la paix et un adjoint de sécurité de la compagnie du périphérique qui reviennent de mission, sont frappés à coups de poing, de barres de fer et de tuyaux et parviennent à sortir in extremis tandis que les assaillants jettent un engin incendiaire à l’intérieur du véhicule qui s’embrase entièrement. Cet acte de terrorisme se passe toujours « en plein état d’urgence ».

    Une enquête pour « tentative d’homicide volontaire » a été ouverte. Quatre agresseurs âgés de 19 à 21 ans ont été interpellés. Trois d’entre eux avaient fait l’objet de la part de la préfecture de police de Paris d’une interdiction de paraître dans les manifestations en raison de leur violence. Mais ces arrêtés ont été cassés par le tribunal administratif. La justice administrative a en effet suspendu mardi neuf arrêtés sur dix émis par le préfet de police. Ces magistrats n’ont sans doute pas supporté que l’on empêche les bons militants antifascistes d’aller cogner ces porcs de flics.

    De Jean-Jacques Bourdin sur RMC à 20 Minutes, les journalistes ont chaudement salué le « sang froid » et la maîtrise de ce policier qui, alors qu’on l’attaque, qu’on le frappe et que l’on manque de le griller vif, n’a pas fait usage de son arme de service et se contente de parer les coups courageusement. Ils auraient été les premiers en effet à crier à la bavure, si l’un des petits barbares avait pris une balle dans l’orteil.

    Alors que la voiture de police était en train de brûler, une pancarte en carton « Poulets rôtis, prix libre » a été déposée sur le sol à quelques mètres du véhicule par les casseurs. Pourquoi se priveraient-il ? Puisque jour après jour on continue comme ça : dans l’impunité la plus complète, la violation quotidienne de l’état d’urgence, les rues de nos villes saccagées par les milices d’extrême-gauche, et les arrêtés contre les tueurs de policiers cassés par la justice.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent n° 8611 daté du 20 mai 2016

    http://fr.novopress.info/201149/se-faire-flic-caroline-parmentier/

  • L’ultra-gauche incendie une voiture de police durant la manifestation des policiers

  • François Hollande et Nicolas Sarkozy ont tous les deux promis d'inverser la courbe du chômage

    La campagne électorale de 2017 risque d'être difficile pour François Hollande et Nicolas Sarkozy avec de telles traces vidéos rassemblées par Marianne :

    "Inverser la courbe du chômage, la promesse est devenue emblématique de son quinquennat. Et pourtant, voici ce que dit aujourd'hui à ce sujet François Hollande, qui était l'invité ce mardi 17 mai de la matinale d'Europe 1 :

    "(...) moi je ne vais pas faire des prophéties, c'est une bataille, c'est un combat (...) La bataille n'est pas gagnée, elle ne le sera que lorsqu'on aura sur plusieurs mois une baisse continue du chômage et ça serait tout à fait téméraire, prétentieux et presque mensonger de dire : 'Ecoutez, on a presque 1,5% de croissance au maximum en 2016 et on va pouvoir diminuer massivement le chômage'. Non, ce sera une bataille".

    AH BON ? Il serait donc mensonger d'affirmer qu'avec "seulement" 1,5% de croissance (prévue en 2016, soit la meilleure perspective depuis 2012), une diminution massive du chômage est exclue ?! Pourtant, la prévision de croissance pour 2013 n'était que de 1,2% quand le président Hollande avait lâché cette phrase sur TF1 le 9 septembre 2012 : "Je pense que nous devons inverser la courbe du chômage d'ici un an". Un objectif qu'il avait maintenu en mai 2013, comme le rappelle notre vidéo ci-dessous.

    Quant aux "prophéties" dont il se garde aujourd'hui, il avait lui-même lâché celle-ci le 24 avril 2012, dans la dernière ligne droite avant la présidentielle au 20 heures de TF1 : "Moi je dis que la courbe du chômage s'inversera"… Mais ces archives, le candidat qui a de plus en plus de mal à se cacher aimerait sans doute les voir disparaître avant 2017 - tout comme un certain rival…


    Quand Sarkozy et Hollande promettaient de... by Marianne2fr

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/fran%C3%A7ois-hollande-et-nicolas-sarkozy-ont-tous-les-deux-promis-dinverser-la-courbe-du-ch%C3%B4mage.html

  • Face à Nuit Debout, les Marcheurs Debout

    CHARTRES (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : Pas un mot des médias et pourtant en ce week‑end de la Pentecôte pas moins de 15 000 pèlerins ont participé au pèlerinage de Chartres. De Paris à Chartres, les marcheurs ont parcouru 110 km.

    A leur arrivée ils ont pu assister à la procession de l’anneau de sainte Jeanne d’Arc, portée par des scouts. L’anneau est finalement entré dans la cathédrale de Chartres pour la messe de clôture.

    Selon les organisateurs, il y avait plus de 12 000 jeunes. On ne peut que faire le triste et cynique parallèle entre ces marcheurs de Dieu qui portent en eux l’espérance face aux casseurs de Nuit Debout…

    http://fr.novopress.info/

     
  • Près de 90% des Français estiment que le pays ne va pas mieux

    Selon un sondage Ifop pour Europe 1, seuls 14% des Français sont d'accord avec le président François Hollande.
    Est-ce que ça va mieux en France ? François Hollande a estimé que oui lors de l'émission "Dialogues citoyens" sur France 2, à la mi-avril. Les habitants sont toutefois loin d'être d'accord avec lui. Plus de quatre Français sur cinq (86%) estiment que la situation du pays ne s'est pas améliorée, selon un sondage Ifop pour Europe 1.
    51% notent une amélioration sur le plan personnel
    Seules 14% des personnes interrogées estiment que "ça va mieux pour les Français", selon cette enquête d'opinion. Un chiffre qui correspond à la cote de popularité actuelle du chef de l'Etat, note Europe 1.
    Si l'optimisme de François Hollande n'est pas communicatif sur la situation du pays, les Français semblent relativement satisfaits de leur situation personnelle. Ils sont en effet 51% à répondre "oui" à la question : "Diriez-vous que ça va mieux pour vous ?"

    Francetvinfo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuyFFAppAyhFbeQdhr.shtml

  • État d’urgence : Un photographe indépendant interdit de manifestation par la préfecture de police

     

     

  • Loi travail : les principales dispositions du texte soumis au "49-3"

    L'utilisation du vote bloqué 49-3 stoppe l'examen des amendements par l'Assemblée nationale. 5.000 étaient présentés par les députés. Voici les principales mesures du projet de loi finalement présenté par le gouvernement.
    Après des mois de négociations, de relectures, de réécriture, la mouture définitive du projet de Loi Travail ne tiendra donc compte de quasiment aucun des amendements parlementaires, en raison de l'utilisation du fameux "49-3" de la Constitution qui permet l'adoption d'un texte sans vote. Voici donc les grandes lignes du projet de loi porté par Myriam El Khomri... avant son passage au Sénat où il sera détricoté... avant que l'Assemblée nationale n'ait de toute façon le dernier mot.
    Le licenciement économique facilité?
    Les entreprises de moins de 11 salariés pourront "réajuster" leurs effectifs si elles justifient une baisse de leur chiffre d'affaires pendant un trimestre seulement. Entre 11 et 50 salariés, l'entreprise devra déplorer deux trimestres de baisse du chiffre d'affaires, trois trimestres consécutifs entre 50 et 300 salariés, et quatre trimestres au-delà de 300 salariés.
    Pour les filiales française des groupes internationaux, autre sujet épineux, le gouvernement a finalement accepté que ce soit le chiffre d'affaires mondial qui soit pris en compte pour apprécier la situation économique de la branche française, alors que le patronat réclamait que le périmètre soit réduit à la seule France.
    Sur les CDD, le gouvernement préserve le patronat
    Il n'y aura pas de surtaxation des CDD, comme l'avait pourtant annoncé le gouvernement. Ou du moins, celle-ci ne devient pas obligatoire. On en revient donc aux termes de la loi Emploi de 2013 qui autorise, s'ils le souhaitent, les partenaires sociaux à moduler le taux de cotisation à l'assurance chômage en fonction de la nature et de la durée des contrats. Cette modulation ne reste donc que facultative, elle relève de la négociation entre partenaires sociaux sur l'assurance chômage actuellement en cours.
    Le référendum d'initiative syndicale maintenu
    La CGT et FO étaient vent debout contre cette mesure. Mais le gouvernement n'a rien lâché sur la possibilité dans une entreprise de recourir à une consultation interne des salariés pour valider un accord d'entreprise.
    La règle est désormais la suivante. Un accord d'entreprise sera considéré comme valide dans deux cas. Soit l'accord est signé par des syndicats représentant au moins 50% des salariés, soit il est conclu par des syndicats ne représentant que 30% des salariés mais ces organisations ont alors le droit d'organiser un referendum auprès des salariés. Et si une majorité des salariés approuvent l'accord, alors celui-ci sera considéré comme valide... même si des syndicats représentant 50% des salariés ne l'ont pas conclu.
    Pour certains syndicats, cette mesure sera une façon de contourner la représentation syndicale majoritaire, tandis que le gouvernement argue qu'elle doit permettre de débloquer le dialogue social.
    L'accord offensif sur l'emploi
    Une entreprise pourra, en cas d'appel d'offres, imposer un temps de travail spécifique et une nouvelle organisation du travail. En revanche, elle ne pourra pas modifier le salaire mensuel. Les salariés récalcitrants pourront faire l'objet d'un licenciement individuel pour motif économique.
    Temps de travail : l'accord d'entreprise prime
    Le gouvernement renonce finalement à instaurer un "droit de véto" au profit des branches à l'encontre d'accords d'entreprise qui dérogeraient trop à une règle instituée par une branche. Il ne restera qu'un simple "droit de regard". Concrètement donc, notamment en matière de temps de travail, une entreprise pourra conclure un accord d'entreprise dérogatoire à un accord de branche et pas seulement dans un sens plus favorable aux salariés... Par exemple, si un accord de branche fixe le taux de bonification des heures supplémentaire à 20%, une entreprise pourra abaisser ce niveau sans pour autant aller en deçà de 10%. Le principe de "faveur" ne jouera pas. Autrement dit, le salarié ne pourra pas invoquer le fait que l'accord de branche lui soit plus favorable.

    La Tribune :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyFpkyukZNmSMzyOg.shtml

  • Le Lundi de Pentecôte travaillé ne rapporte rien

    Selon la CFTC :

    "Sous l’affichage « journée de solidarité » a été instauré une taxe sur les salaires de 0,3%. C’est ce prélèvement mensuel dit-contribution solidarité autonomie- qui rapporte plus de 2 milliards par an.

    Quand un salarié se voit imposer de travailler une journée sans être rémunéré le calcul est simple : 0,3% de 0 égale 0.

    Au-delà du principe inacceptable, faire travailler des salariés sans les rémunérer, cette mesure arbitraire se traduit concrètement par nombres d’aberrations.

    Pour n’en citer que deux :

    • Est-il juste qu’un employé de supermarché puisse être obligé de travailler gratuitement un jour férié, alors qu’un agent de la SNCF est censé travailler 1 mn 52 de plus par jour pour s’acquitter de la journée dite « de solidarité » ?
    • Pour quelle raison, les professions libérales ne sont-elles pas assujetties à une journée « dite de solidarité » ?

    Pour la CFTC, il est indispensable qu’un effort financier important soit fait au profit des personnes dépendantes et handicapées, encore faut-il que cet effort soit justement réparti et organisé. Fondamentalement attachée au principe « tout travail mérite salaire », la CFTC couvre par un mot d’ordre de grève tout salarié du secteur privé que son employeur voudrait faire travailler gratuitement le lundi de Pentecôte ou tout autre jour qualifié de « journée de solidarité »."

    Bref : lundi venez à Chartres. La messe de clôture du pèlerinage de Chrétienté est à 15h00.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html