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tradition - Page 228

  • Catholiques réveillez-vous ! Le Jour de Colère est arrivé…

    JDC-26janvier-MPILa Douma ou chambre des députés de la Russie vient de donner son accord à une loi qui pénalise jusqu’à trois ans de prison celui qui offense les croyants dans leurs convictions religieuses. Le manque de respect vis-à-vis de la religion est condamné à un an de prison, l’équivalent de 7.000 euros d’amende ou un travail obligatoire de 240 heures. Les trois ans de prison (en plus de l’équivalent de 10.000 euros d’amendes ou 480 heures de travaux obligatoires) sont réservés à ceux qui profanent des églises durant les services religieux.

    Pendant ce temps que se passe-t-il en France ? Le gouvernement et les médias font tout pour détruire le sentiment religieux se référant à 2000 ans de christianisme. Le festival Hellfest n’en est qu’un des aspects. Mais presque tous les jours un cimetière ou une église en France sont profanés. Que fait M. Valls ? Rien. Il y a une semaine, dans ma ville de Boulogne-sur-Mer, cinq plaintes ont été déposées le même jour parce que les troncs de cinq lieux de culte ont été vidés le dimanche. Les présomptions concernant les voleurs existent… La police a autre chose à faire que d’enquêter… alors qu’il ya a des présomptions sur les coupables.

    A-t-on déjà oublié le gazage d’enfants et de femmes qui manifestaient contre le mariage des homosexuels ? Plus de mille arrestations arbitraires y compris pour le simple port d’un teeshirt défendant la famille ou d’un drapeau français. Les femen dépoitraillées gazant les manifestants rassemblés par Civitas ont été présentées par les médias comme des victimes alors que des dizaines de photos montrent qu’elles étaient bien les agresseurs. Que fait madame Taubira, ministre de la justice ?

    Les Femen s’en sont pris à des églises, les profanant, y compris durant des offices. Laissées bien sûr en libertés voire encouragées par l’un ou l’autre des ministres. Condamnées du bout des lèvres par « des paroles verbales » par l’un ou l’autre des caciques socialistes.

    Les Français – ceux qui n’ont pas la mémoire courte – se souviendront certainement de la pièce de théâtre intitulée Golgota Picnic qui comportait une parodie blasphématoire du Calvaire du Christ en Croix. Un musicien complètement nu accompagnait cette scène. Les catholiques, tous les soirs, sont venus prier devant le théâtre des Champs Elysées. M. Valls se fit un plaisir de se rendre à une de ces représentations « pour défendre la culture, la liberté d’expression » a-t-il déclaré et répété devant les caméras. En réalité sa seule motivation est l’antichristianisme. En effet dans l’affaire Dieudonné, la liberté d’expression n’existe plus pour lui actuellement. Quand ce dernier s’en prenait aux catholiques, il n’a rien dit. Mais comme disait Coluche en son temps : « Les Juifs…euh…Non pas les Juifs. » Quant aux catholiques ?

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  • RIVAROL de cette semaine

    Chaque jeudi chez votre marchand de journaux.

    Rivarol

  • Avortement : le changement culturel est en marche

    Selon Grégor Puppinck dans Valeurs Actuelles :

    "Le 19 janvier prochain aura lieu la IXe Marche pour la Vie, alors que le Gouvernement français a décidé de transformer « l’exception d’avortement » dépénalisée en 1975 en véritable « droit à l’avortement » garantissant la liberté dont disposerait fondamentalement toute femme de mettre fin à sa grossesse. Dans cette logique, le gouvernement a décidé de sanctionner de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d’amende « le fait d'empêcher ou de tenter d'empêcher de pratiquer ou de s’informer sur une interruption de grossesse ou les actes préalables ». Cette nouvelle atteinte à la liberté d’expression, si elle est adoptée par le Parlement, rendra pénalement répréhensible le fait d’essayer d’aider une femme en détresse à conserver son enfant. Rappelons que jusqu’en 2001, c’est la publicité en faveur de l’avortement qui était interdite.

    En agissant ainsi, le gouvernement met en œuvre une politique rétrograde et liberticide. Il n’a pas compris que l’avortement est un problème, et non pas une solution. Faire de l’avortement un droit intouchable ne solutionnera pas le problème des 220 000 IVG pratiquées chaque année en France. C’est ce que commencent à comprendre d’autres gouvernements européens qui adoptent une politique de prévention et de réduction de l’avortement, à tel point que l’on peut constater à présent un véritable progrès de la « culture de vie » en Europe.

    Le progrès de la « culture de vie » est un progrès en humanité qui se réalise par un progrès des consciences quant à la nature de la vie prénatale et de l’avortement. Les progrès de la biologie contribuent à faire prendre conscience de l’existence concrète et de l’humanité de toute personne dès avant sa naissance. Quant à la violence inhumaine de l’acte d’avortement lui-même, l’idéologie qui a promu la libéralisation de l’avortement ne parvient plus à la dissimuler. Les médecins acceptent de moins en moins de le pratiquer.

    La tentative du gouvernement français de « normaliser » l’avortement et d’en interdire la critique prouve que l’idée selon laquelle l’avortement serait un « progrès et une liberté » est en bout de course : plus personne n’y croit. Il ne reste plus à cette idéologie que la contrainte de la loi pour tenter de maintenir momentanément sa domination. Mais il ne fait plus de doute que cette conception de l’avortement est en train de dépérir ; elle fait parti du lot des idées trompeuses et démodées des années 1970.

    Une nouvelle approche, réaliste et réellement progressive, commence à remplacer la politique de « l’avortement systématique ». Cette politique est en train de s’ébaucher en Europe et aux Etats-Unis où plusieurs Etats ont récemment discuté et souvent adopté de nouvelles lois améliorant la protection de la vie humaine. C’est le cas non seulement de l’Espagne, mais aussi du Royaume-Uni, de la Russie, la Pologne, la Suisse, la Lettonie, la Lituanie, la Hongrie, la Turquie, la Macédoine ou encore de la Norvège qui vient d’abaisser le délai légal de l’avortement. L’actuel gouvernement français, en voulant sacraliser l’avortement comme liberté intouchable, va donc à rebours d’une tendance de fond en Europe, comme en témoigne d’ailleurs aussi le rejet par le Parlement européen du projet de rapport « Estrela » en décembre 2013. [...]

    La vraie réponse au drame de l’avortement est culturelle et politique, alors Marchons !"

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  • Le Parti de la France appelle à marcher pour la vie dimanche

    Communiqué du Parti de la France :

    "Le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer le dimanche 19 janvier 2014 à la 9ème Marche pour la Vie.

    Carl Lang et Le Parti de la France considèrent en effet comme des valeurs non négociables le respect des droits de la personne humaine et la protection de la Vie de la conception à la mort naturelle.

    Carl Lang et les dirigeants du Parti de la France seront présents comme chaque année à ce défilé et appellent les responsables politiques attachés à la défense de nos valeurs de civilisation à soutenir cette manifestation."

    Michel Janva

  • Une raison supplémentaire de se rendre à la Marche pour la vie

    Communiqué de AFC :

    "La question de l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) revient dans les débats depuis quelques mois, au niveau national comme au niveau européen.

    En France, le projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes, qui doit être prochainement discuté à l’Assemblée nationale, a fait l’objet d’amendements en commission qui modifient substantiellement le droit existant en inscrivant l’IVG comme un simple droit relevant d’un « souhait » et non plus un recours en cas de détresse. Dans le même temps, après la décision du gouvernement espagnol, et malgré la résolution adoptée au PE le mois dernier, des pressions sont à nouveau faites pour introduire à l'ordre du jour de la session plénière de cette semaine, le sujet  de la non-discrimination dans le domaine de la santé et les « droits » sexuels et reproductifs; également au nom de l’égalité homme-femme, l'objectif est, entre autres, au travers d'une déclaration de la Commission, de faire la promotion et ériger en norme l’accès à la contraception et aux services d'avortement sûr et légal. Ainsi un débat aurait lieu ce jeudi en séance plénière.

    Les AFC s’inquiètent de la banalisation de l’IVG dont ces textes se font l’écho, du nombre de campagnes publiques en la matière. Dans ce contexte, on évacue complètement le fait que l’avortement consiste à arrêter la vie d’un enfant à naître. De même, il n’est pas question des alternatives à l’IVG, qui sont pourtant une condition à la liberté de choix.

    Par ailleurs, les AFC rappellent que le recours à l'avortement prend naissance en particulier dans des conceptions erronées de la sexualité : seule une véritable éducation affective, relationnelle et sexuelle est susceptible de faire régresser l'avortement et représente l’action efficace de prévention, pour autant qu’on ne l’aborde pas seulement sous un prisme hygiéniste et de consommation de l’autre, mais bien affectif et de relation.

    Les AFC poursuivent leurs actions de terrain, notamment dans le domaine de l’éducation affective et sexuelle. Dans ce contexte également, les AFC voient une raison supplémentaire cette année de participer à la prochaine Marche pour la Vie qui aura lieu à Paris le 19 janvier prochain."

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  • Rendez-vous le 19 janvier Place Denfert Rochereau à Paris à 14h30

    Nous montrerons aux responsables politiques français, espagnols et européens que de nombreux citoyens veulent :

    • REFUSER l'inscription dans la loi française des avortements de complaisance, des avortements eugéniques, et de l'obligation de présenter la vie et la mort comme deux réponses équivalentes.
    • DENONCER l'omerta sur cet enjeu en France et la modification en douce de la législation alors même qu'il s'agit d'un "véritable bouleversement" selon le constitutionnaliste Bertrand Mathieu.
    • ENCOURAGER les rares députés français qui vont s'opposer à ces dispositions inscrites dans le projet de loi Egalité Femmes/Hommes voté à partir du 20 janvier à l'Assemblée nationale.
    • SALUER le courage du gouvernement espagnol qui vient de présenter un projet limitant l'avortement et qui ira le présenter à Bruxelles en février.
    • INSCRIRE la défense de la vie au programme des élections européennes, après le succès des mobilisations ONE OF US et anti-ESTRELA et alors que la Commission européenne fait du forcing pour relancer le débat sur le rapport Estrela, remettant en cause « l’autorité de la chose votée ».

    Michel Janva

  • CONFERENCE de Tugdual DERVILLE sur l'Ecologie Humaine

    ANGERS : Mardi 18 février 2014

    CONFERENCE de Tugdual DERVILLE sur l'Ecologie Humaine

    20 h 30 à l'Amphitéâtre Bazin de L'Université Catholique

  • Plainte dans une affaire de GPA en France

    Une première en France, initiée par l'association Juristes pour l'enfance :

    "Des entreprises étrangères agissent sur le territoire français pour mettre en relation des couples avec des mères porteuses, dans le but de conclure des contrats de gestation pour  autrui. C’est notamment le cas de la société américaine Extraordinary Conception, basée en Californie qui, depuis plusieurs années, vend ses services sur le territoire français, au mépris des lois de la République.

    Les Juristes pour l’Enfance, dont l’objet social est la défense de l’intérêt de l’enfant, ont porté plainte en transmettant au Procureur de la République tous les éléments de preuve établissant les faits : vidéos de réunion à Paris, catalogue de mères porteuses, grilles tarifaires…

    Il s’agit de mettre fin à deux violations :

    - La violation de la loi française. La gestation pour autrui est prohibée par la loi, pour protéger tant les femmes que les enfants, et toute personne qui met en relation des personnes à cette fin se rend coupable du délit pénal d’entremise : l’article 227-12 alinéa 3 du Code Pénal réprime le fait, dans un but lucratif, de s’entremettre entre une personne désireuse d’adopter un enfant et un parent désireux d’abandonner son enfant née ou à naître.

    - La violation du droit fondamental de l’enfant de connaître, dans la mesure du possible, son père et sa mère, et d’être éduqué par eux, droit garanti par la convention internationale des droits de l’enfant. Or, la GPA organise et planifie la violation de ce droit.

    Le Conseil Constitutionnel a rappelé, en réponse au risque que des couples soient incités à recourir à l’étranger à la GPA en fraude à la loi française, qu’il appartient aux juridictions compétentes d’empêcher, de priver d’effet et, le cas échéant, de réprimer de telles pratiques (décision 2013-669 du 17 mai 2013).

    Il est inacceptable que des entreprises violent la loi en toute impunité, avec un seul objectif : le profit. Car, sous couvert de prétendues bonnes intentions, ces sociétés utilisent la détresse humaine à des fins financières.

    L’enfant n’est pas une marchandise, la femme non plus. La France ne peut pas d’un côté durcir les sanctions contre la prostitution et, de l’autre côté, laisser des entreprises organiser la marchandisation du corps de la femme et de l’enfant.

    Les Juristes pour l’Enfance demandent que la loi soit respectée et appliquée."

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  • Vendredi 17 janvier, 30e veillée parisienne sur la "colère"

    Veillée

    Rendez-vous vendredi 17 janvier à 20h, au Mur pour la Paix, sur le Champ de Mars à Paris, pour méditer sur la colère, quelques jours avant le fameux 26 janvier, Jour de Colère :

    "La bonne colère, c'est le sentiment qui accompagne le désir et la justice" Aristote
    "Il n'est passion qui ébranle tant la sincérité des jugements que la colère" Montaigne

    Louise Tudy