Thomas Joly - Président du Parti de la France
Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.