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Le 24 février 2025, cela fera 3 ans que le conflit russo-ukrainien a débuté. Un conflit où de nombreuses forces géopolitiques agissent, plus ou moins en sous-main. Mais pour quels motifs ? Quelles sont les véritables raisons de cette guerre en Ukraine ?
À Paris, à l’occasion du sommet sur l’intelligence artificielle, le vice-président américain, J.D. Vance, est apparu à plusieurs reprises en famille, sa fille dans les bras, en pleine visite officielle. Fautes protocolaires, diront certains, promotion de la famille, habitude décomplexée américaine, diront d’autres. Des scènes inhabituelles qui n’ont pas manqué d’interpeller.
Des frappes d'artillerie et de drones ukrainiennes ont touché le groupe de travail russe censé escorter les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique jusqu'à la centrale nucléaire de Zaporojié, fustige la Défense russe, vidéo à l'appui.
Mercredi soir, une attaque à la grenade s’est produite dans un bar associatif de Grenoble, dans une zone sensible de la ville, faisant douze blessés dont six en urgence absolue.
De nombreux Français d’origine maghrébine sont sous la pression de musulmans intégristes, qui considèrent que célébrer les fêtes «occidentales» relève notamment du «shirk», un péché mortel en islam.
La stagnation de l’économie européenne au cours des trois dernières années est due à plusieurs raisons, mais le problème principal réside dans l’abandon du gaz russe relativement bon marché et le passage à d’autres sources d’énergie, en raison du ralentissement économique.
Les sanctions antirusses et l’affectation de grandes quantités de fonds pour le soutien financier et militaire à l’Ukraine ont divisé l’Union européenne.
Et oui mes amis, la France aussi dispose d’un DOGE, un organisme chargé de surveiller l’utilisation de l’argent des gens.
Chez nous c’est la Cour des Comptes qui est en charge de cette mission aussi cruciale qu’importante.
Hélas, il me semble, et vous aurez du mal à me contredire, que non seulement la Cour des Comptes est globalement assez muette, et quand elle fait ce pour quoi elle existe ses rapports sont systématiquement mis aux oubliettes.
Le second mandat de Donald Trump à la Maison-Blanche s’annonce comme un tournant dans les relations transatlantiques.
L’arrivée d’une nouvelle administration nourrit souvent l’espoir d’un apaisement, notamment dans l’application extraterritoriale du droit américain. Pourtant, la réalité est plus contrastée. Derrière le discours diplomatique, les États-Unis poursuivent leur politique juridique agressive, imposant leur vision du droit au-delà de leurs frontières et mettant sous pression les entreprises européennes. Cette situation pose une question fondamentale : l’Europe est-elle capable de riposter et de protéger efficacement ses intérêts économiques ?
L’ère du vide dont Lipovetsky analysait l’avènement en se montrant inquiet, sans sombrer dans le catastrophisme, est à son apogée. Loin de nous entraîner dans la plénitude d’un individualisme revigorant nous découvrons abasourdis que le vide a versé vers le néant, avec une inversion complète des concepts et des valeurs. Notre société en est malade, et les fossoyeurs sont ceux qui maintiennent l’illusion d’une richesse en devenir, soit par profonde conviction d’être dans le vrai, soit par simple corruption, sous forme d’aides financières, comme les journalistes, ou grâce à des postes, des places, qu’ils s’offrent, en échange d’une servitude volontaire et absolue, à l’instar de Ferrand en passe de diriger le Conseil Constitutionnel. Les premiers, conscients de leur bassesse tentent de retrouver une virginité en faisant la promotion de leur profession comme sur TF1, où nous avons assisté à la pathétique scène du « faites-nous confiance, nous on est des vrais journalistes, des bons », sous l’œil bienveillant, quoique inquiet, du pauvre Gilles Bouleau qui, silencieux, devait penser aux révélations sur les agissements de l’USAID et les fonds versés notamment à l’AFP pour contrôler l’information : entre 2017 et 2024, plus de 8 millions de dollars ont été encaissés.