D’Emmaüs, association de solidarité créée par l’abbé Pierre en 1954, on connaît la vitrine : charité, accueil du prochain, souci du miséreux et mise à l’abri des plus pauvres.
Une mission louable et utile dans une société où les plus fragiles sont très souvent mis de côté et oubliés. Seulement, dans l’arrière-boutique, derrière cette « insurrection de bonté » promise par les membres de l’association se cachent une idéologie pro-migrants et des méthodes douteuses. Le tout financé par la générosité du contribuable.