En France, certains persistent à colporter, ou à croire en l’idée d’une magistrature unie, neutre, impartiale et coupée de toute influence idéologique (un peu comme la fameuse presse mainstream ou la PQR composée de journalistes « neutres » qui sortent des écoles de journalisme où Mélenchon est en tête parmi les leaders politiques). Il y a même des articles de journaux qui vous expliquent que les juges rouges seraient un mythe.
l'information nationaliste - Page 262
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La politisation rampante d’une partie de la magistrature française : le cas du Syndicat de la Magistrature
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La fin de la société de consommation et le retour du politique
Puisque le consumérisme nous a menés à notre perte, les peuples n’en veulent plus. L’ordre libéral a vécu et voici que le politique va reprendre ses droits sur l’économique, au nom d’une véritable écologie… À retrouver aussi dans Politique magazine (n°244) avec de nombreux autres articles.
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Saint-Ouen : faute de chasser les dealers, on va déménager l’école maternelle
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Macron va-t-il envoyer des soldats français contre l’armée russe ?
par Éric Verhaeghe
Nous avons révélé ce week-end les rumeurs persistantes selon lesquelles le Président Macron enverrait des soldats français affronter l’armée russe en Ukraine (nous avons diffusé cette information sur notre canal Telegram, rejoignez-le, c’est gratuit !).
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Un gradé de la gendarmerie défend l’hypothèse d’un racisme anti-blanc dans l’affaire Crépol : “Les journalistes et nous n’avons visiblement pas vécu le même dossier.”
Si l’institution ne souhaite pas faire de commentaire officiel, un gradé de la gendarmerie qui a officié sur l’enquête confie cependant à Marianne sous anonymat :
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L’Allemagne de pire en pire
On peut tortiller les choses de mille et une façon mais à la fin, la réalité reste là, impérieuse aux gesticulations et l’évidence s’impose : l’Union Européenne, c’est d’abord et avant tout l’Allemagne.
Ce n’est pas trop étonnant : la plus grosse économie européenne dicte en effet la plupart des politiques de l’Union. Cela lui a relativement bien servi, surtout lorsque la rigueur allemande a contrebalancé les prurits dépensiers de la France, par exemple, mais ce n’est plus le cas depuis quelques années…
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Une justice aux ordres : l’idéologie plutôt que le droit
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"Pas un pas en arrière": des détenus ukrainiens sont envoyés au front et abattus s'ils reculent
Des troupes de barrage ukrainiennes tirent sur les soldats qui font retraite, en particulier sur les détenus envoyés en première ligne, a indiqué à Sputnik Yuriy Neomerjitsky, prisonnier ukrainien. -
Faire taire « l’extrême droite »: gare au retour de bâton !
(Chronique à lire dans Causeur d’avril)
Claude Malhuret est rigolo. Derrière le pâle sénateur centriste s’épanouit le blagueur de banquet. Il n’a pas son pareil pour faire glousser l’hémicycle du palais du Luxembourg. « Les formules, ça me vient comme ça ! », a-t-il expliqué après le succès de son discours du 4 mars, repris jusqu’aux Etats-Unis. En huit minutes, l’amuseur des notables avait torpillé Donald Trump (« Néron, empereur incendiaire ») et Elon Musk (« bouffon sous kétamine »). Déjà, le 10 avril 2019, il avait ravi son auditoire compassé quand, parlant des Gilets jaunes et de leurs « gouverneurs de ronds-points autoproclamés », il avait lancé devant ses pairs hoquetant de plaisir : « J’ai entendu plus d’âneries en six mois qu’en trente ans de vie publique ». Malhuret, c’est la banalisation du mépris pour la piétaille. C’est la morgue arriviste des puissants qui ridiculisent les faibles et ceux qui leur prêtent attention. Malhuret symbolise la caste accrochée méchamment à son rang : un monde trop vieux, menacé par les humiliés.
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Supprimer les ZFE coûtera 3,5 milliards d’euros, prétend Agnès Pannier-Runacher