Par Gérard Leclerc
Dans le chaos actuel qui caractérise notre pays et où l’on constate une profonde division politique, le débat sur l’introduction d’une éducation à la sexualité constitue l’indice d’une situation morale préoccupante. Une tribune signée par une centaine de sénateurs dans Le Figaro (2 décembre) jette un cri d’alarme : « Le militantisme n’a pas sa place à l’école ».