
Cette semaine, Darmanin crie au racisme, Mélenchon perd son calme et Amélié Oudéa-Castéra relance le PIB du bonheur.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Condamné à 7 ans de prison en 2019 pour un viol, Taha Oualidat était sorti avant la fin de sa peine, libéré par un juge d’application des peines. Criminel reconnu et en situation irrégulière, il avait été immédiatement placé sous OQTF et envoyé en centre de rétention administrative à Metz, début juin, en attendant son expulsion. Seulement, le Quai d’Orsay a tardé à obtenir le laissez-passer consulaire, indispensable pour l’expulsion vers le Maroc.
Communiqué de l’Oeuvre d’Orient :
Durant ces trois derniers jours, plusieurs écoles du centre-ville de Beyrouth ont été forcées et le personnel présent menacé par des miliciens et des hommes armés les obligeant à ouvrir leurs portes aux déplacés.
Par Nadège Cordier
Et si le propre de Kafka était… le rire !
Kafka, kafkaïen, résonnent de manière cafardeuse pour la très mal initiée que je suis de l’œuvre de cet écrivain que j’ai découvert dans mon adolescence en lisant La métamorphose et sa drôle histoire d’insecte. Mais, interpelée par un film finalement assez médiocre malgré la présence de l’un de mes acteurs fétiches, L’Heure de la sortie, dans lequel le nom de Kafka est subrepticement prononcé, et poussée par la curiosité, de nombreuses années plus tard et certainement au juste moment, j’ai voulu découvrir Le Procès.
"Avant Emmanuel Macron, c'était de droite ou de gauche, même résultats... Avec Emmanuel Macron, c'est en même temps droite et gauche, mais toujours mêmes résultats".
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés (propos recueillis par Guirec Sèvres).
Que penser des dernières semaines politiques en France après la dissolution et l’attente d’un nouveau gouvernement ?
L’ancien président ukrainien Vladimir Zelinski a échoué. Au cours de son voyage aux États-Unis, son « plan pour la victoire », une liste de souhaits destinée à entraîner les États-Unis et l’OTAN plus profondément dans la guerre, n’a pas obtenu de soutien.
Même sa demande la plus urgente, à savoir permettre à l’Ukraine d’utiliser les missiles à longue portée fournis pour des frappes à longue portée à l’intérieur de la Russie, a été rejetée.
Pour justifier sa décision, l’administration Biden a même fait « fuiter » une évaluation des services de renseignement mettant en garde contre une telle autorisation :
Les agences de renseignement ont conclu qu’accéder à la demande de l’Ukraine d’utiliser des missiles occidentaux contre des cibles situées au cœur de la Russie pourrait entraîner des représailles vigoureuses sans pour autant changer fondamentalement le cours de la guerre.
A l’époque de son premier viol, Taha O n’a pas été reconduit au Maroc.
La législation française stipule que les services de l’État ne peuvent pas expulser un enfant de moins de 18 ans sauf accord bilatéral spécifique.
La guerre voulue par l’Occident pour tenter de maintenir sa position hégémonique ne se limite pas aux opérations militaires dans une économie mondialisée. Elle atteint tous les échanges et a des conséquences tant dans les parts de marché perdus que dans les effets inflationnistes. On le mesure en matière d’énergie mais les implications peuvent atteindre d’autres ressources nécessaires et nul doute que la concertation des BRICS se fera en tenant compte d’un tel contexte alors que le citoyens ne sont pas consultés, mais simplement invités à subir les effets en terme d’emploi, de niveau de vie et de services publics sacrifiés.
Le président Vladimir Poutine a suggéré de réfléchir à « certaines restrictions » sur les livraisons de nickel, d’uranium et de titane aux pays hostiles. Il a toutefois précisé qu’« il ne faut pas le faire à notre propre détriment ».
Le porte-parole de la présidence, Dmitri Peskov, a également annoncé une approche prudente quant à l’introduction de sanctions de rétorsion par la Russie. « Le marché est très compétitif et impitoyable. Une fois que vous avez perdu votre position, il vous faut des décennies pour la regagner d’une manière ou d’une autre. Aucune place ne reste vide. Et la place de nos diamants, si nous partons, sera prise par d’autres, et la place de notre pétrole sera prise par un autre pétrole, et ainsi de suite », a-t-il expliqué.