26/05/2024
Coups de colère, propos déplacés… Trois nouveaux conseillers quittent l’équipe de la ministre. Cela porte le nombre de démissions à sept, soit plus des deux tiers de l’équipe. (…)
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26/05/2024
Coups de colère, propos déplacés… Trois nouveaux conseillers quittent l’équipe de la ministre. Cela porte le nombre de démissions à sept, soit plus des deux tiers de l’équipe. (…)
Le discours d’Emmanuel Macron sur l’Europe, à la Sorbonne, a duré presque deux heures.
Il ne s’arrête jamais. Il a toujours un truc à dire. Est-ce une technique pour endormir les gens ou est-ce simplement l’incontinence verbale d’un homme qui s’aime trop pour se dire stop ? On hésite.
C’est le paradoxe du coquet : il descend de vélo pour se regarder pédaler. Et là, le Président était tellement heureux de s’écouter qu’il a dit tout ce qu’il avait envie de dire.
Bernard Germain
Lorsqu’en novembre 2023 j’ai publié mon livre « L’Union européenne : en sortir… au plus vite », on pouvait lire en page 264 :
« La commission des affaires constitutionnelles (AFCO) au parlement européen vient de voter, le 25 octobre 2023, un projet de réforme des Traités européens qui transformerait officiellement l’UE en un État.
Oui, vous avez bien lu. Si cette mesure en mise en œuvre, l’UE deviendra un État.
Ce qui effacerait du même coup l’existence des nations européennes. Imaginez les conséquences. »
À l’époque le projet de commission des affaires constitutionnelles (AFCO) de l’UE était passé sensiblement inaperçu et peu de monde n’en avait mesuré la gravité ni même la portée.
1999, la Russie est en proie au chaos. Les gouvernements nommés par Boris Eltsine ne tiennent que quelques mois, le pays est pillé par ceux que l’on appelle les « Oligarches », le rouble dégringole, les grandes villes sont le théâtre de règlements de comptes en plein jour. Le 9 août, Boris Eltsine renvoie une fois de plus le premier ministre en poste, Serguey Vladimirovitch Stepachin et nomme un quasi-inconnu, un certain Vladimir Vladimirovitch Poutine, alors directeur des services secrets.
MARION OSE DEMANDER QU’UN ENFANT AIT UNE MAMAN
par Lucas Leiroz de Almeida
Contraint de poursuivre les combats, le régime de Kiev tente désespérément d’approvisionner ses troupes en première ligne avec de nouvelles recrues. Ayant déjà épuisé ses réserves, le gouvernement ukrainien mise désormais sur le recrutement d’enfants dans les écoles pour remplacer efficacement ses pertes sur le champ de bataille. D’un point de vue réaliste, cependant, une telle mesure ne fait qu’accroître l’impopularité du régime.
Le Parlement ukrainien examine actuellement un projet de loi visant à instaurer une formation militaire de base dans les écoles du pays. Les lycéens ukrainiens seraient tenus de suivre des cours de formation militaire dans les écoles, au cours desquels ils apprendraient les rudiments du combat, le maniement des armes, et recevraient une «éducation patriotique» – ce qui, en Ukraine, comme on le sait, signifie essentiellement un lavage de cerveau néo-nazi et anti-russe.
C’est une agression dont les conséquences auraient pu être bien plus terribles. Un homme a été violenté aux cris de « sale blanc ! » dans le métro parisien, a appris le JDD de sources policières, confirmant une information du Figaro. Ce jeudi, aux alentours de 12h45, un usager du métro passe par la station « Créteil Université », sur la ligne 8. À côté des guichets de distribution de tickets se trouvent plusieurs militants du parti de Jean-Luc Mélenchon, La France insoumise, qui sont alors en pleine opération de distribution de tracts politiques pour les élections européennes. (…)
Voilà Attal parti dans des délires martiaux, avec des idées dont on sait par avance qu’elles ne marcheront pas et qu’elles vont nous coûter cher. Le premier Ministre veut s’attaquer à des voyous de moins de 16 ans et les remettre dans le droit chemin. Et d’expliquer : « Nous devons disposer de sanctions adaptées pour les mineurs de moins de 16 ans. » Il a annoncé la création prochaine de « travaux d’intérêt éducatif » pour les mineurs de moins de 16 ans, pour lesquels « on ne peut pas aujourd’hui prononcer de peine de travaux d’intérêt général ». Le projet, énoncé en janvier dernier, lors de son discours de politique générale est aujourd’hui sous le feu des caméras, ce qui permet au jeune premier Ministre de plastronner déjà, sur un dispositif qui n’a pas encore apporté la moindre preuve de son efficacité.