
La violence d’extrême gauche continue de se déployer en toute impunité. Le 19 mai dernier, deux militantes du collectif féministe Némésis ont profité d’un petit festival organisé à Dole pour alerter sur la hausse de l’insécurité et la mise en danger des femmes dans l’espace public. « Violeurs étrangers dehors », était-il écrit sur leur banderole. Mais au bout de quelques instants, un homme aux cheveux grisonnants s’est jeté sur elles, tentant violemment de leur arracher leur bannière. Un autre lui a rapidement prêté main-forte, subtilisant aux deux jeunes femmes leurs pancartes.