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MUNICH (NOVOPress via Lionel Baland) – Maria Frank (en manteau blanc sur la photo) est une retraitée de 74 ans qui se trouve souvent dans le centre piétonnier de Munich. Proche du parti Die Freiheit, elle y récolte des signatures pour l’organisation d’une consultation du peuple à propos de la construction d’un grand centre islamique au sein de la ville.
Dans le cadre d’une manifestation de Die Freiheit (“La Liberté – Parti des Droits Civiques pour plus de Liberté et de Démocratie”) qui s’est tenue le 8 septembre 2012 sur la Rotkreuzplatz (Place de la Croix-Rouge), Maria Frank a fait l’objet d’une plainte des Jeunes écologistes à propos d’un panneau qu’elle tenait lors de la manifestation au sein duquel elle affiche un lien entre le siège de Vienne par les Turcs en 1683 (voir sur Novopress) et la menace actuelle.
Le panneau contient la phrase ironique « Les Turcs tiraient à cette époque pacifiquement sur Vienne et les troupes alliées [contre les Turcs] des Prussiens, Polonais et Autrichiens étaient des « prénazis » qui ont eu en fait l’audace de se défendre contre les troupes ottomanes. » La phrase qui a conduit à une condamnation suit ensuite sur le panneau : « Maintenant, les Turcs arrogants et les musulmans du monde entier menacent à nouveau l’Europe. »
Maria Frank est condamnée pour appel à la haine raciale à une peine d’amende de 90 jours à 40 euros, avec sursis probatoire de 3 ans. En outre, le juge prononce l’obligation pour Maria Frank de verser 1.000 euros à Amnesty International. Elle fait appel de la décision judiciaire.
Précisons que certains organes de presse du système (Süddeutsche Zeitung, Bild-Zeitung, TZ) qui évitent d’habitude de rendre compte de la récolte de signatures réalisée par Die Freiheit se sont fait un plaisir de parler de cette condamnation.
Si nous traçons un parallèle historique, c’est un peu comme si en 1936, une Polonaise avait tenu un écriteau sur une Place de Cracovie sur lequel est écrit « Les Allemands arrogants menacent à nouveau l’Europe. »
Le 11 janvier 2013, la France déclenche une intervention militaire au Mali, pays africain où près de la moitié de la population vit avec moins de 1,25 dollars par jour. Les raisons que Paris invoque pour justifier cette opération reprennent en fait la rhétorique de la « guerre au terrorisme », chère à l’administration de Bush Jr. Le 17 janvier, le député indépendant Laurent Louis dénonce devant le Parlement belge les véritables objectifs de l’intervention. Seul député belge à s’opposer au soutien de la Belgique à l’opération française, Laurent Louis rappelle aussi que les pays occidentaux – y compris la France – ont soutenu en Libye et soutiennent toujours, en Syrie, les djihadistes que Paris affirme vouloir combattre aujourd’hui au Mali.
Explication de vote du député indépendant Laurent Louis au Parlement belge, 17 janvier 2013
Merci, Monsieur le Président,
Messieurs les ministres,
Chers collègues,
La Belgique est bien le pays du surréalisme. Ce matin, on apprend dans la presse que l’armée belge est incapable de lutter contre les quelques militaires extrémistes aux convictions islamistes radicales qui existent en son propre sein et qu’il est impossible de les licencier faute de moyens juridiques suffisants. Et, par contre, dans un même temps, nous décidons d’aider la France dans sa lutte contre « le terrorisme » en lui apportant une aide logistique pour son opération au Mali. Que ne ferions-nous pas pour lutter contre le terrorisme… en dehors de nos frontières !
J’espère juste que nous aurons bien veillé à ne pas envoyer, pour cette opération antiterroriste au Mali ces fameux soldats belges islamistes. Je le dis sous la forme de l’humour, mais ce qui se passe actuellement dans le monde ne me fait pas rire du tout. Ça ne me fait pas rire car, sans aucun doute, les dirigeants de nos pays occidentaux sont en train de prendre les peuples pour des imbéciles avec l’aide et le soutien de la presse, qui n’est plus aujourd’hui qu’un organe de propagande des pouvoirs en place.
Un peu partout dans le monde, les interventions militaires et les déstabilisations de régimes deviennent de plus en plus fréquentes. La guerre préventive est devenue la règle et aujourd’hui, au nom de la démocratie ou de la lutte contre le terrorisme, nos Etats s’octroient le droit de violer la souveraineté des pays indépendants et de renverser des dirigeants légitimes.
Il y a eu l’Irak et l’Afghanistan, séquelles du mensonge américain. Sont venues ensuite la Tunisie, l’Egypte, la Libye où, grâce à vos décisions, notre pays a participé en première ligne à des crimes contre l’humanité pour renverser, à chaque fois, des régimes progressistes et modérés et pour les remplacer par des régimes islamistes dont – et c’est quand même bizarre ! – la première volonté fut d’imposer la sharia.
Il en est de même actuellement en Syrie, où la Belgique finance honteusement l’armement des rebelles islamistes qui tentent de renverser Bachar al-Assad. Ainsi, en pleine crise économique, alors que de plus en plus de Belges ont des difficultés pour se loger, se nourrir, se chauffer ou se soigner… eh oui, j’entends déjà le sale populiste que je suis… et bien, le ministre des Affaires Etrangères, il a décidé d’offrir aux rebelles syriens 9 millions d’euros. Bien sûr, on tentera de nous faire croire que cet argent servira à des fins humanitaires… un mensonge de plus !
Et, comme vous le voyez, depuis des mois notre pays ne fait que participer à la mise en place de régimes islamistes dans le nord de l’Afrique et au Moyen-Orient. Alors, quand on vient prétendre partir en guerre pour lutter contre le terrorisme au Mali… et bien, j’ai bien envie de rire.
C’est faux ! Sous les apparences de bonnes actions, nous n’intervenons que pour défendre des intérêts financiers, dans une totale logique néocolonialiste.
Il n’est véritablement pas cohérent de partir aider la France au Mali, au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste, lorsqu’au même moment on soutient en Syrie le renversement de Bachar al-Assad par des rebelles islamistes qui souhaitent imposer la sharia, comme c’est déjà le cas en Tunisie ou en Libye. Il faut vraiment arrêter de nous mentir et de prendre les gens pour des imbéciles.
Le temps est, au contraire, venu pour dire la vérité. En armant les rebelles islamistes, comme les occidentaux ont auparavant armé Oussama ben Laden, cet ami des Américains, avant qu’ils ne se retournent contre lui, les pays occidentaux en profitent pour implanter dans « les nouveaux pays », comme on dit, des bases militaires, tout en favorisant leurs entreprises nationales. Tout est donc stratégique.
En Irak, nos alliés Américains ont mis la main sur les richesses pétrolières du pays. En Afghanistan, ce fut sur l’opium et la drogue, toujours très utiles pour se faire beaucoup d’argent assez rapidement. En Libye, en Tunisie, en Egypte ou encore en Syrie, le but fut – et est encore actuellement – de renverser des pouvoirs modérés pour les remplacer par des pouvoirs islamistes, qui très rapidement deviendront gênants et que nous attaquerons sans vergogne sous prétexte de lutter – à ce moment-là encore – contre le terrorisme ou de protéger Israël. Et donc, les prochaines cibles sont déjà connues. Dans quelques mois, je prends le pari que nos regards se tourneront vers l’Algérie et, finalement, vers l’Iran.
Faire la guerre pour libérer des peuples d’un agresseur extérieur, c’est noble. Mais faire la guerre pour défendre les intérêts des Etats-Unis, faire la guerre pour défendre les intérêts de grosses sociétés comme Areva, faire la guerre pour mettre la main sur des mines d’or, ça n’a rien de noble et cela fait de nos pays des pays agresseurs et voyous.
Personne n’ose parler mais, qu’à cela ne tienne, je ne me tairais pas. Et tant pis si ma lutte doit me faire passer pour un ennemi de ce système qui bafoue les droits de l’homme au nom des intérêts financiers et géostratégiques et néocolonialistes.
Bafouer ce régime et le dénoncer, c’est un devoir et une fierté pour moi. Et, sincèrement, je m’excuse pour le vocabulaire populaire utilisé, j’emmerde tous les soi-disant bien-pensants, qu’ils soient de gauche ou de droite ou du centre, qui sont aujourd’hui aux basques de nos pouvoirs corrompus et qui se plairont à me tourner en ridicule.
J’emmerde nos dirigeants qui jouent avec leurs bombes comme des gamins dans une cour de récréation. J’emmerde ceux qui prétendent être des démocrates alors qu’ils ne sont que des criminels de bas étage.
Je n’ai pas beaucoup de respect non plus pour les journalistes qui ont le culot de faire passer les opposants pour des débiles mentaux, alors qu’au fond ils savent très bien que ces opposants ont parfaitement raison.
Je méprise enfin au plus haut point ceux qui se prennent pour les rois du monde et qui nous dictent leur loi car, moi, je suis du côté de la vérité, du côté de la justice, du côté de ces victimes innocentes du « pognon-à-tout-prix ».
Et c’est pour cette raison que j’ai décidé de m’opposer clairement à cette résolution qui envoi notre pays soutenir la France dans son opération néocolonialiste.
Depuis le début de l’opération française, le mensonge est organisé.
On nous dit que la France ne fait que répondre à l’appel au secours d’un président malien. On en oublierait presque que ce président n’a aucune… mais aucune légitimité ! et qu’il a été mis en place pour assurer la transition, suite au coup d’Etat de mars 2012. Qui a soutenu ce coup d’Etat ? Qui en est à la base ? Pour qui travaille ce « président de transition » ? Voilà le premier mensonge.
Le président français François Hollande ose prétendre mener cette guerre pour lutter contre les djihadistes qui menacent… oh ! ils menacent, rendez-vous compte ! le territoire français et européen ! Mais, quel vilain mensonge ! En reprenant cet argument officiel, tout en profitant pour effrayer la population en augmentant le niveau de la menace terroriste, en mettant en œuvre le plan Vigipirate, nos dirigeants et les medias font preuve d’un culot inimaginable.
Comment peut-on oser sortir un tel argument alors que la France et la Belgique n’ont pas hésité à armer et soutenir les djihadistes en Libye et que ces même pays continuent actuellement à soutenir ces djihadistes en Syrie ? Ce prétexte ne sert qu’à cacher les desseins stratégiques et économiques.
Nos pays n’ont même plus peur de l’incohérence car tout es fait pour la cacher. Mais l’incohérence est pourtant bien présente. Ce n’est pas demain que vous verrez un Malien venir commettre un attentat en Europe. Non. A moins qu’on en crée un subitement, pour mieux justifier encore cette opération militaire en Afrique. On a bien créé le 11 septembre pour justifier l’invasion, l’arrestation arbitraire, la torture et le massacre de populations innocentes. Alors, créer un terrorisme malien… bon, ça ne doit pas être trop compliqué pour nos dirigeants sanguinaires.
Un autre argument utilisé pour justifier ces derniers mois les opérations militaires c’est la protection des droits de l’homme. Ah ! Cet argument est encore utilisé aujourd’hui pour justifier la guerre au Mali. Mais oui ! Nous devons agir car sinon les méchants islamistes radicaux vont imposer la sharia au Mali, lapider les femmes et couper les mains des voyous. Oh, c’est vrai que l’intention, elle est noble… noble et salvatrice, c’est sûr. Mais, pourquoi, alors ? Pourquoi, bon dieu, nos pays ont-ils alors participé à l’accession au pouvoir – en Tunisie, en Libye – d’islamistes qui ont décidé d’appliquer cette sharia dans ces pays qui étaient, il n’y a pas si longtemps de cela encore, « modernes et progressistes » ? Je vous invite à demander aux jeunes Tunisiens qui sont à la base de la révolution en Tunisie s’ils sont heureux de leur situation actuelle. Tout cela c’est de l’hypocrisie.
L’objectif de cette guerre au Mali est très clair. Et puisqu’on n’en parle pas, je vais en parler.
L’objectif c’est de lutter contra la Chine et permettre à notre allié américain de maintenir sa présence en Afrique et au Moyen-Orient. C’est cela que visent ces opérations néocolonialistes ! Et vous verrez, quand l’opération sera terminée, la France conservera, bien entendu, des bases militaires au Mali. Ces bases serviront aussi aux Américains et, en même temps, parce que cela se passe toujours comme ça, des sociétés occidentales mettront la main sur des contrats juteux qui priveront, de nouveau, les pays recolonisés de leurs richesses et de leurs matières premières.
Alors, soyons bien clairs, les premiers bénéficiaires de cette opération militaire ce seront les patrons et les actionnaires du géant français Areva, qui tente depuis des années d’obtenir l’exploitation d’une mine d’uranium a Faléa, une commune de 17 000 habitants située à 350 kilomètres de Bamako. Et, je ne sais pas pourquoi, mais mon petit doigt me dit qu’il ne faudra pas longtemps pour que Areva puisse enfin exploiter cette mine. Je ne sais pas… c’est une impression que j’ai…
Il est donc hors de question que je participe à cette colonisation minière, cette colonisation des temps modernes. Et, pour ceux qui doutent de mes arguments, je les invite sincèrement à se renseigner sur les richesses du Mali.
Le Mali est un grand producteur d’or. Mais, depuis peu, il a été désigné… depuis peu, hein… comme étant un pays qui offre un environnement de classe mondiale… de classe mondiale… pour l’exploitation d’uranium. Mais, comme c’est bizarre ! Un pas de plus vers une guerre contre l’Iran ! C’est une évidence !
Pour toutes ces raisons, et afin de ne pas tomber dans le piège du mensonge que l’on nous tend, j’ai décidé de ne pas soutenir cette intervention au Mali et je voterai donc contre.
Et ce faisant, je fais preuve de cohérence puisque je n’ai jamais soutenu par le passé nos interventions criminelles en Libye ou en Syrie, me profilant de la sorte comme le seul parlementaire de ce pays à défendre la non ingérence et la lutte contre les intérêts obscurs.
Je pense vraiment qu’il est grand temps de mettre un terme à notre participation à l’ONU ou à l’OTAN et de sortir de l’Union Européenne si cette Europe, au lieu d’être un gage de paix, devient une arme d’attaque et déstabilisation de pays souverains aux mains d’intérêts financiers et non plus humanistes.
Enfin, je ne peux qu’encourager notre gouvernement à rappeler au président Hollande les obligations qui résultent de la Convention de Genève en matière de respect des prisonniers de guerre. J’ai, en effet, été outré d’entendre à la télévision, de la bouche du président français, que son intention était de « détruire », je dis bien « détruire », les terroristes islamistes. Alors, je ne voudrais pas que la qualification utilisée pour nommer des opposants au régime malien… c’est toujours pratique aujourd’hui de parler de « terroristes islamistes »… soit utilisée pour contourner les obligations de tout Etat démocratique en matière de respect des droits des prisonniers de guerre. Nous attendons un tel respect de la patrie des droits de l’homme.
Enfin, et pour terminer, permettez-moi de souligner la légèreté avec laquelle nous décidons de partir en guerre.
Tout d’abord, le gouvernement agit, sans la moindre autorisation du Parlement. Il paraît qu’il en a le droit. Il envoi du matériel et des hommes au Mali. Le Parlement réagit par la suite. Et, quand il réagit, comme aujourd’hui, eh bien… cette institution n’est composée que d’un tiers de ses membres… encore beaucoup moins si l’on parle des élus membres francophones. C’est donc une légèreté coupable qui ne m’étonne pas vraiment venant d’un Parlement de toutous soumis aux dictats des partis politiques.
Communiqué de l'Association Catholique des Infirmières et Médecins (ACIMPS)
Tout le monde sait que le PACS avait pour but initial de donner aux homosexuels un statut officiel et un certain nombre d'avantages qui y étaient liés.
Qu'en ont-ils fait ? Selon le Quotidien du Médecin du 28 janvier 2013, entre 1999 et 2011 le nombre des pacsés homos est tombé de 42 % à 4,7 % seulement.
Pourquoi ? Tout simplement parce que les gays ne sont pas intéressés par ce genre de statut en raison de la labilité de leurs « couples ». Leurs unions éphémères durent en moyenne entre 12 à 17 mois. Rappelons que Gaëtan Dugas, premier malade connu du sida, décédé de cette maladie, l'a répandue autour de lui : il s'est vanté d'avoir eu 250 partenaires par an.
En Espagne selon l'Institut National des Statistiques, le pourcentage des mariages entre personnes de même sexe oscille de 1,06 à 2,38 % entre 2005 à 2011 ; soit de 0,013 à 0,127 % de la totalité des mariages en 2008 selon les régions (réf. Matrimonio entre personas del mismo sexo en España. Wikipedia). Moins que pour le PACS français.
Il paraît illusoire de penser que les homosexuels vont se ruer vers le mariage qui restera pour eux une infime marginalité. Alors pourquoi la loi TAUBIRA ? Cette dernière a répondu elle-même : il s'agit d'un « changement de civilisation » ayant pour but de détruire nos racines, notre identité sociétale, culturelle, morale, historique et religieuse. Le tout relayé par l'inévitable Attali ; en réalité une révolution détruisant toutes les bases de la société ; mais aussi un immense saut dans l'inconnu.
Ceci rappelant les paroles de Charles Hernu, Ministre de la Défense sous Mitterrand : « Si notre monde devient un enfer, nous pourrons en être fiers car ce sera nous qui l'aurons créé. »
Avec l'arrivée au pouvoir, en 2007, de Sarkozy, la droite a achevé sa mue, et de parti « néogaulliste » - dont l'opposition à l'agression yankee en Irak a fait croire qu'il allait le rester – l'UMP est devenu le clone du parti républicain américain. Les signes n'ont pas manqué de cette confusion, qui n'est pas un simple alignement, mais une véritable fusion idéologique : intégration de l'état major de l'armée française dans le commandement de l'Otan, engagements belliqueux, souvent en pointe, aux côtés des USA, en Afghanistan, en Palestine, en Libye, en Syrie, contre la Russie, contre le Venezuela, contre tout ce qui peut résister au Nouvel Ordre Libéral Mondial, mais aussi emprunt poussé au style d'outre Atlantique, pétri de jeans et de coups de mentons, de références à la morale et à l'éthique du management. On a vu Sarkozy, à l'aise dans ses baskets, le juron aux babines, la syntaxe erratique, l'oreille collée au portable, mâchonnant son chewing-gum, annonçant son mariage dans l'infantile parc Eurodysney, après avoir déversé son cœur glamour lors d 'une solennelle conférence de presse présidentielle, aussi au fait des civilités qu'un porcelet élevé dans une basse cour, ne dédaignant pas de joindre les mains pendant la messe, comme Goupil, de se prosterner patriotiquement devant le monument du Vercors, de hausser la voix contre la racaille, les terroristes, les islamistes, de grimacer face à une immigration massive finalement dangereuse pour le pays, mais pas pour l'économie etc. L'esthétique, on l'aura compris, n'est pas à dédaigner dans ce siècle d'images : on retrouve, comme aux Etats-unis le leader entouré de visages représentatifs de la population, le gros plan émotionnel, l'expression aussi soulignée que dans une série télévisée, la grandiloquence emphatique, qui cache le vide.
Car tout n'est que dans la forme mimétique de sous-américain singe de son maître, courtisanesque zèle de premier de la classe collabo.
En face, on imite l'imitateur, mais dans ce rôle burlesque de couples de comiques que notre enfance a appréciés, les Laurel et Hardy, les Vladimir et Estragon, les Dupont Dupont. Quand l'un exprime son humeur, l'autre en rajoute, quand l'un rit, l'autre pleure, et les deux s'entremêlent les pinceaux pour divertir la galerie.
On trouvera aussi à gauche cette tonalité hollywoodienne et mélodramatique que la télévision s'efforce de transfuser en Europe, ces visages en plan rapproché couronnant les discours ronflants, les déclarations emphatiques sur le Bien et sur le Mal, les poncifs et le jargon, les enfumages idéologiques qui ancrent la classe politique dans cet univers sucré et corrosif qu'est l'Occident.
Lorsque Segolène avait, durant sa campagne de 2007, malencontreusement fait référence à Blair, qui envisageait la constitution d'un grand parti démocrate coiffant les deux rives de l'Atlantique, d'aucuns lui en avaient tenu rigueur. Maintenant, c'est fait, les esprits sont mûrs, Terra nova soit loué. Pourquoi se cacher ? Le socialisme de grand papa est mort, et vive le marché ! Dans un savant équilibre avec le partenaire de spectacle, on va jouer la sonate à deux mains des lendemains qui vendent.
Et comme aux USA, on a chez nous les répliques des mouches du coche. A l'inévitable candidat de la gauche du parti démocrate répond le Front de gauche et ce qui reste du lamentable parti communiste de moins en moins français. Et à droite de l'UMP, on a toute une galaxie d'associations, de groupes, de sites et de personnalités qu'on appellera sans mal « libertariens », Boutin, Fdesouche, Réplique laïque, le SIEL, le Collectif Famille Mariage etc., tous plus ou moins liés à des lobbys américains.
Le livre de Laurent Obertone, France orange mécanique, qui, paraît-il, connaît un grand succès, donne le la de la fanfare néocon. Son pamphlet, censé décrire une France à feu et à sang, ameute les peurs, comme dans tout bon navet propagandiste. On enfile les anecdotes horrifiantes tout en enfonçant les portes ouvertes de la rhétorique droitière. Oui, les « jeunes », c'est la racaille, oui, les « incivilités », c'est la délinquence pure et dure, oui, la « diversité », c'est la horde des envahisseurs. Ah ! Ces médias qui nous mentent ! Sauf que ces euphémismes et bobards sont éventés depuis belle lurette, par la vertu d'émissions comme la très libérale C dans l'air, grâce à la prose hystérique de Finkielkraut, de Glucksmann, de Roufiol, de Zemmour, etc.
Quelle est la stratégie de ceux qui attendent avec fébrilité, comme dans un compte à rebours haletant, le basculement de la société européenne dans le Grand Marché transatlantique, prévu pour 2015 ?
La forme étant aussi importante que le fond, il faut bien sûr imprégner les cerveaux de valeurs bien formatées, et persuader que tout, finalement, n'est qu'une question de remise en ordre. L'immigration massive n'est pas tant visée (économie libérale oblige) que l'islamisme, tout immigré étant présumé intégriste, voire terroriste. L'urbanisation sauvage et triomphante de la postmodernité n'est pas honnie en tant que telle (c'est quand même le progrès!) mais les dérives d'une population qui n'a guère abandonné les réflexes de ses ancêtres les cannibales ou les haschischins. Le mariage homo n'est pas tant houspillé pour ce qu'il révèle de distance par rapport aux principes métaphysiques traditionnels que pour son encouragement au vice. Les agressions contre les chrétiens, ici ou là, ne sont pas condamnées au nom d'un christianisme qui, s'il était pris au mot, serait sans doute plus proche d'un islam authentique que d'un laïcisme consumériste, mais parce que c'est la « civilisation blanche » qui est attaquée. Les barbaries d'au-delà de la Méditerranée sont ainsi importées sur les bords de la Seine et de la Loire, augurant d'un avenir de sang et de terreur, mais les bombardements ciblés de drones vertueusement tus.
Ces fantasmes, pour autant qu'ils ne sont que l'amplification outrageuse de réalités qu'il faudrait remettre à leur place et relativiser, ont leur écho dans la perfide politique, à géométrie variable, des hommes de partis et de gouvernements, quels qu'ils soient, qui ont manié la chèvre et le chou, rejetant un jour le communautarisme, et l'encourageant un autre. Par delà les intérêts électoralistes, désormais non négligeable au vu de l'importance du vote de la « diversité », c'est en tant que caisse de résonance du « choc des civilisations » que vaut ce tintamarre politico-policier. Les péripéties fomentées par un terrorisme que l'on voudrait omniprésent servent d'aliment à tous les leurres idéologiques.
Le ministre de l'intérieur possède, en l'occurrence, une force de frappe idéologique non négligeable, car par la gesticulation policière, il désigne l'ennemi. Davantage que la rhétorique « antiraciste », de moins en moins efficiente (et remplacée par la lutte, plus économiste, contre les discriminations dans le travail), c'est cette pantalonnade répressive qui est désormais la vérité du régime. Il faudra que les fils d'immigrés, une fois que le travail de sape de la société française aura produit tous ses effets, s'aperçoivent un jour qu'ils ne sont plus que des serfs corvéables et taillables à volonté, comme les Français de souche, à égalité, qui les auront rejoint sur ce terrain. La France sera devenue alors le Maroc, non parce qu'il y aura eu une « substitution majeure de population », mais parce que nous serons aussi pauvres et exploités que dans le royaume chérifien, grâce aux exploits du mondialisme marchand.
En attendant, toutes ces empoignades prétendument « civilisationnelles » ont leur rôle. Lorsqu'en été la gauche a voté le Pacte de stabilité budgétaire européen, tant souhaité par Sarkozy, Valls a lâché ses forces spéciales contre les auteurs d'une pétarade, coupable d'avoir perturbé le commerce tranquille d'une boutique kascher. Le bruit de la balle qui tua un « terroriste » pouvait cacher la félonie de nos parlementaires. Dernièrement, les danses de cabris qui ont orné le vote de la loi homo, que la gauche considère comme un grand pas pour l'humanité, ont attiré les regards loin des négociations relatives au code du travail, qui ont abouti à l'enterrement des acquis initiés par le Conseil national de la Résistance, lequel avait offert, en 1945, une vision sociale et humaine à la France. Et notre ministre sécuritaire de promettre que ce démantèlement sera protégé : les services de renseignement et les forces de l'ordre veillent autour des usines où la colère gronde...
Tout ce remue ménage tous azimut montre bien qu'il est nécessaire, pour l'oligarchie, de voiler et d'assourdir tout ce qui pourrait s'apparenter à un discours de vérité, ou à la vision crue de sa domination.
Nous sommes parvenus au point crucial de notre destin, non seulement en tant que Nation, mais aussi comme des êtres humains voués à une vie décente devant l'abîme de leur déchéance. La vérité du système, c'est l'esclavage. Un asservissement que, comme dans le fameux roman de George Orwell, 1984, on tente de travestir en liberté. Liberté, en fait, d'être un chômeur à qui l'on abandonnera momentanément, comme des miettes, le droit de bosser à des conditions défavorables, à qui on enserrera le cou des chaînes de la nécessité économique, et à qui on coupera la langue s'il dit que le roi est nu. Et à cet esclave qu'on voudra consentent, parce qu'il aura chance de jouir dans le paradis dysneylandisé de Mickey, on commandera qu'il soit heureux.
Les petits jardins citadins et autres potagers de poche ont la cote dans les banlieues australiennes. Mais suffiront-ils pour répondre aux besoins des villes en cas de crise alimentaire?
Sans changement radical imposé d’ici 2030, 30 millions de citadins seront dépendants d’une chaîne d’avions et de camions pour leur survie alimentaire, à la merci du moindre choc pétrolier. Certains ont décidé de ne pas attendre que les gouvernements réagissent, comme Michael Mobbs, dans la banlieue de Chippendale à Sydney.
Michael Mobbs vit dans une maison qui économise environ 100.000 litres d’eau par an. Mais le régime moyen d’un Australien implique le même volume utilisé pour la nourriture consommée en 10 jours. Pour résoudre le problème, il a décidé d’acheter local et de produire une partie de son alimentation, malgré le fait de vivre en hyper-centre.
Heureusement pour lui, ses voisins ont répondu à l’appel et l’ont aidé à transformer le quartier en potager. Dans sa banlieue, ils ont planté 200 arbres fruitiers et plantes sur 32 hectares, et ce n’est qu’un début.
Le conseil municipal local est conquis et aide à l’amélioration. Les routes vont être repeintes pour réduire la température de deux degrés. On va installer un système d’auto-irrigation, et un super-potager devrait produire 33 tonnes de légumes par an. Pour régler les problèmes d’espace, il sera implanté sur les toits. A ce rythme, d’ici 10 ans, la banlieue devrait atteindre 40 à 50% d’autonomie alimentaire.
Cette démarche n’est pas isolée : le petit potager urbain est en pleine renaissance. Les jardins communautaires sont de plus en plus populaires et les réseaux d’information sur les produits de saison et locaux permettent à tous de prendre les bonnes décisions. A Sydney ou Brisbane, Food Connect vous livre des boîtes de légumes bio et locaux à la demande.
Le message de Michael Mobbs est pourtant encore difficile à faire passer car la population australienne a du mal à croire à la possibilité de manquer un jour de nourriture. Pourtant, en 2008, 17 pays ont connu des révoltes dues à la pénurie alimentaire. Et l’infiltration continue d’eau de mer dans les sols cultivables des îles du Pacifique laisse présager le pire. Pour Michael Mobbs : Il faut jardiner comme si nos vies en dépendaient, parce que, au fond, c’est fort probable.
Manuel Valls avoue a demi mot, face à Michèle Tribalat, directrice des recherche à l’INESD, la substitution démographique qui se déroule actuellement en France. C’était il y a un an. Un processus qui progresse chaque année et qui aboutira inéluctablement à un remplacement définitif de population. Il y aura un point de non-retour, il faut le savoir :
Dénaturation du mariage : avec 60 députés présents, la gauche arrive à obtenir 148 votes favorables !... Même là, la gauche triche. On ne se refait pas !
Dans la nuit du dimanche 3 au lundi 4 février, le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, Christian Jacob, a été obligé de faire un rappel au règlement afin de faire cesser la « triche » des députés de la majorité socialiste qui se servaient de plusieurs boitiers lors des votes.
Voici une déclaration d’intention qu’a faite Madame le Garde des Sceaux aux parlementaires : combien sont « profondes les divergences sur nos conceptions de la société » et elle ajouta : « Dans nos valeurs, l’Éducation vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux et d’en faire des citoyens libres ».
Pour ce qui est des divergences, Madame Taubira use d’une expression d’une timidité qui étonne ! Il s’agit de bien davantage, ce sont plutôt des gouffres, des abîmes, des failles sismiques qui nous séparent : plus loin, je dirai peut-être l’une des causes possibles que j’entrevois de cette dérive semblable à celle des continents…
Je retiens sur le moment qu’elle parle de « déterminismes sociaux et religieux ». Elle a oublié le mot politique, mais cela n’a aucun importance car la politique est à la base même de ce qui est social.
Je commence donc ma réflexion – gros mot j’en conviens, et pourtant je vais bien essayer de réfléchir en secouant, autant que faire ce peut, mes pauvres neurones mis à mal par les soubresauts absurdes de l’époque – par le premier mot à retenir : « Éducation ». Déjà, il est impossible de comprendre ici ce mot autrement que comme un « formatage » façon soviéto-communiste, impossible de ne pas le rattacher aux décisions prises par les communistes de France rassemblés en congrès en 1948 : décisions qui devaient permettre de « séparer » [1] les enfants de leurs parents » par le biais d’une subversion de… l’Instruction publique, ce qui fut mis en œuvre progressivement en endoctrinant à mort le corps professoral, hélas abandonné par la droite, le centre et les gens de gauche qui n’avaient rien compris sur ce qui se mettait en mouvement : rien de moins que la nouvelle révolution française. [...]
Il y a près d’un mois déjà ce dimanche 13 janvier 2013, journée digne des HLPSDNH de sinistre mémoire, une troupe de
« misérables factieux de la secte réactionnaire-bourgeoise, n’hésita pas à défier le gouvernement démocratique et populaire de West-Europa. Ce ramassis de séides de la réaction nationale-négationniste osa profaner le sol de notre capitale Delanoë-City pour dévaster les quartiers réservés à l’élite progressiste et à nos dirigeants bien-aimés ».
Enfin, crime des crimes,
« ces séditieux foulèrent de leurs pieds d’agitateurs malfaisants, la pelouse sacrée du Champ des Martyres LGBT, où se dresse illuminée de mille feux la Tour Taubira » !
C’est à peu de choses près la vision qu’auront eu les sectaires au pouvoir, de ces français manifestant pacifiquement une légitime inquiétude : se voir imposer une loi dénaturant le mariage traditionnel.
Le PS et ses compères ont en effet mis en ordre de marche une machine de guerre et de destruction du socle familial qui, associée à la GPA et autres PMA, mènera à terme à la marchandisation des enfants. Et ce n’est pas la dernière initiative de la garde des Sceaux autorisant la délivrance d’un certificat de nationalité française aux enfants nés à l’étranger de mère porteuse, qui va nous rassurer quant à la bonne foi de ce gouvernement.
« Portant sur le front une mâle assurance, nous partîmes 500, mais par un prompt renfort… »
Nous vîmes ce dimanche-là, la France profonde, le pays réel si cher Maurras, la France qui ne descend jamais dans la rue, exprimer des seules armes qui lui restent, puisqu’on lui a confisqué tout autre moyen d’expression, son opposition à cette criminelle loi dite du « mariage pour tous ». Nos pieds et nos slogans furent nos bulletins de vote (cela dit, voir autant de français dans la rue après huit mois de présidence, permet d’apprécier la performance des socialos. Chapeau bas !).
Quand à la polémique qui fit suite sur le nombre de participants à cette marche, elle aura vu les sots, la flicaille régimiste, les journalistes à la botte du pouvoir et les progressistes nuisibles, ne pas reconnaitre l’ampleur de la manifestation (800 000 au bas mot, selon le général Dary, conseiller du « comité de pilotage » de la manif). Les sites d’information honnêtes ont facilement démontré les tentatives de trucage des services officiels et des relais du pouvoir.
Il n’y a pas si longtemps encore, un déploiement de telle ampleur aurait « interpellé » n’importe quel gouvernement un tant soit peu responsable. Oh, rassurez-vous, pas pour reconnaitre de quelconques erreurs, mais uniquement pour préserver une certaine tranquillité sociale et ne pas trop compromettre les élections suivantes. Assurer un repli stratégique sur quelques sujets devenus brusquement « à problème », ne fait en principe pas tomber un gouvernement ; un ministre, tout au plus.
Aujourd’hui la donne a changé.
La populace contre l’Elite progressiste
Les socialistes, les progressistes et toute l’avant-garde de l’humanité éclairée, sont maintenant au pouvoir. Le droit est donc pour eux. Enfin surtout le droit d’avilir le peuple, ce conglomérat de crétins visiblement butés ayant trahi ses leaders naturels, en votant notamment pour cette peste « Bleue Marine » (couleur qui reste plus seyante tout de même que la peste brune de jadis). Ces abrutis en bleu de chauffe sont vraiment trop bas de plafond, pour n’avoir comme minable horizon que l’épaisseur de leur porte-monnaie et n’avoir pour soucis, que le remplissage du bol de soupe après le 15 du mois. Et trouver un travail pour les moins doués d’entre eux.
Non, les enjeux essentiels, cruciaux et primordiaux de ce 21ème siècle sont ailleurs, comme la socialo-kommandantur s’efforce de le démontrer, vainement visiblement : supprimer les voies sur berges à Paris, remplacer le terme de « maternelle » pour ne pas déstabiliser nos chères petites têtes (de moins en moins) blondes, ouvrir des supermarchés de la dope pour se piquer en toute légalité sous les yeux consternés de la maréchaussée, canoniser cette pseudo-naïve mais vraie pénible Florence Cassez et donc, objet de toutes les attentions du moment, permettre aux fofolles de convoler enfin en justes noces.
Tout bien réfléchi, les travailleurs ne méritent vraiment pas l’élite qui est aux commandes et qui elle, sait ce qui est bon pour le vulgum pecus. Le revers de la démocratie, sans doute…
Ce foutu peuple, manipulé par des religieux obscurantistes et des lepeno-sarkosistes, s’est une fois de plus fourvoyé dans l’ignorance des vrais enjeux de société. Il aura démontré son ignorance crasse du fléau de la discrimination homo et fait montre d’un égoïsme petit-bourgeois envers une population si cultivée, aux goûts si sûrs, mais ostracisée, proscrite, bannie et vilainement ghettoïsée dans les profondeurs sordides des 3ème et 4ème arrondissements de la capitale. Heureusement, le train du progrès sociétal est maintenant en marche et rien ne l’arrêtera, surtout pas une majorité des français rétrogrades !
La démocratie, c’est « cause toujours ! »
Eussions-nous été 2, 5 voire 10 millions de marcheurs, la si peu avenante tétèche1Taubira serait restée inflexible, droite comme une canne à sucre sous son katoury2 créole !
Pourquoi donc demander l’avis du peuple sur des sujets que seule l’élite auto-proclamée du Marais parisien est légitime à traiter ? Certes, un candidat socialiste devenu brusquement autiste depuis son arrivée à l’Elysée, s’était engagé à consulter la Nation sur des sujets majeurs de société, mais ça, c’était avant, du temps des promesses des banquets de campagne.
Un référendum, exigiez-vous ? Quelle bonne blague ! MDR ! « Hors de question » nous aura martelé l’acariâtre mégère de la place Vendôme. « PAS CONS-TI-TU-TIO-NNEL » 3, parait-il. En somme, mettre un bulletin dans une urne n’est pas démocratique. Parfait, j’en prends bonne note.
Eh oui,
« bande de mécréants rétrogrades et ignorants, on a des députés de gauche pour voter les lois qui conviennent au populo, cela suffit bien. Toi y’en a comprendre ? Ta mauvaise foi fascistoïde devrait t’étouffer vu que le débat a déjà eu lieu il y a 5 mois de cela, abruti de francaoui hétéro ».
Fermez le ban et les urnes avec !
Quant au réac-catho version Cyrillus, forcément manipulé par les corbeaux noirs de l’épiscopat, eux-mêmes téléguidés par la Place Saint-Pierre de Rome, qui se poserait ingénument la question de savoir où ont bien pu se dérouler les fameux débats évoqués par la Gôche, il n’aura qu’à écrire au ministre en question pour de plus amples renseignements. Se voir confisquer derechef sa carte d’électeur pour outrage à la Démocratie Populaire de Métisse-Land, est un risque qu’il faudra assumer, mais après-tout, pour ce à quoi elle sert… (La bonne nouvelle, c’est que depuis le 13 janvier, ce pays compte donc au bas mot 1 000 000 d’antidémocrates. Bonne nouvelle pour le Centre Royaliste d’Action Française. Envoyez les cotises !).
Un peuple désespéré aujourd’hui, en colère demain ?
Il n’est de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Et quand cette surdité gouvernementale s’accompagne du plus parfait terrorisme intellectuel sauce bolchévique, une protestation gentillette comme celle du 13 janvier restera sans effet et amusera follement des bobos invertis sûrs de leur victoire. Le Marais s’en amuse déjà.
Alors, un coup d’épée dans l’eau le crapahut du 13 janvier, alors que l’organisation d’une nouvelle marche de protestation semble pourtant se dessiner ? Et bien soit, marchons donc de nouveau. Mais enfin, pour atteindre quel objectif ? Pour un autre 13 janvier familial, propret, œcuménique et festif (et si possible moins froid et humide, merci) ?
Evidemment, trottiner en famille restera toujours utile pour nos silhouettes malmenées par les derniers réveillons et autres chandeleurs. Mais la multiplication des pieds sur le pavé parisien ne changera probablement pas la donne, sauf à courroucer de nouveau cette folledingue de Maire de Paris qui ne manquera pas d’envoyer une nouvelle facture pour dégradation de pelouse (porter atteinte aux pelouses, voilà qui doit bien traumatiser nos « amies » lesbiennes, tiens).
C’est pourquoi, à toi Ministresse de l’Injustice, à toi et à ton gouvernement de discorde, nous le peuple de France, nous te conseillons de porter une très vive attention à ce qui s’est passé ce 13 janvier. Votre hautaine et méprisante attitude envers les citoyens, ces autochtones que vous méprisez depuis vos lambris et vos dorures pourtant si peu populaires, heurte nos consciences et blessent nos cœurs.
Le peuple était dans la rue et vous, gouvernement de schizophrènes, vous ne vous en n’êtes pas rendu compte, préférant écouter la minorité d’inverti qui vous sert de cour. Môssieur le Président aura ainsi préféré se faire tirer le portrait avec deux représentants LGBT pleurnichards, sodomites au teint blafard et au regard de vipères sadiques, sinistres représentants d’une minorité de minorité. Mais notre Flamby-le-boutefeux lui, refusera d’écouter « son » peuple qui crie aujourd’hui son désespoir et son incompréhension. Tout juste condescendra-t-il à recevoir en catimini la madone Barjo. Que d’égards…
Hier le Champ de Mars, demain l’Elysée !
La gauche n’aime pas le peuple français, elle s’en sert. Terra Nova lui a d’ailleurs déjà expliqué comment s’en passer. Quant à la république, elle a souvent montré qu’elle n’aimait pas les français. Hier, elle tirait sur la foule (vendéens et chouans, canuts de Lyon, fusillés de Fourmies et de Draveil, anciens combattants et nationaux du 6 février, pieds noirs et harkis…), aujourd’hui elle se contente de l’ignorer et de la mépriser. Combien de temps encore se contentera-t-elle de cette passivité, avant de faire sortir ses gardes-mobiles ?
Le peuple de France a bien des défauts, mais il pourrait ne pas oublier votre morgue de corrupteurs de civilisation. Un roi et une reine, martyrs de 1793, n’avaient pas cette tare-là, surtout pas le millième de la perversité des mandarins actuels et pourtant, Samson fit tomber leur tête au pied de l’échafaud.
D’une façon ou d’une autre, le peuple de France vous fera payer votre cécité, votre entêtement criminel et votre dédain des vrais français et de leur civilisation.
Pour se faire entendre, il va donc falloir passer au stade supérieur et ne pas se contenter d’user nos croquenots sur le pavé dans l’espoir d’un revirement intellectuel des fripouilles au pouvoir, ou dans l’espoir qu’une hypothétique alternance UMPesque fasse machine arrière (ce qui semble assez improbable au vu du discours actuel de ce traitre de Jacob).
La voie du salut passera d’abord par la transformation des bisounours de paroisse en vrais insurgés et d’électeurs passifs en militants actifs de la cause nationale.
Et de faire de ces républicains, des royalistes.
Mais avant de décréter le premier jour de l’insurrection nationale qui chassera de ses palais l’élite auto-proclamée de la branchitude invertie, j’invite le Maréchal Flamby sauveur du Mali, probablement déjà Grand-Maître l'Ordre de la Médaille de l'Etoile d'Argent du Mérite National Malien, à s’occuper enfin des millions de chômeurs qui hantent le Pôle emploi, aux milliers d’artisans, commerçants et paysans étranglés par le fisc. Eux non plus ne vont pas tarder à descendre dans la rue, histoire de rappeler à la gauche ce qu’est le peuple, le vrai, le travailleur, le besogneux, celui qui par ses impôts, vous permet de dilapider les richesses de la France.
Que la gauche persévère dans cette fuite en avant, préférant donner satisfaction aux promoteurs des idées les plus folles et s’entêtant à répandre son idéologie destructrice (mariage pour tous, droit de vote des immigrés, police de la pensée et novlangue à foison), sans vouloir s’occuper des vrais problèmes de notre pays, elle trouvera de plus en plus de français dans la rue pour s’opposer à sa dictature molle.
Quant à dame Taubira, condescendante « Garde des Sots », qu’elle médite donc ce dicton de sa Guyane natale :
« Jwé bien ké makak mé pa pilé so latjo »
« Jouez tant que vous voulez avec le singe, mais ne lui marchez pas sur la queue »
katoury : chapeau de Guyane en arouman, tressé en diagonale
Faux, la possibilité de référendum est directement lié au sujet en question : ce qui se rapporte au social peur faire l’objet d’une consultation, il suffirait de considérer que la déstructuration du mariage répond à cet impératif « social ». C’est une interprétation à faire, donc un choix politique à assumer.
« La race du futur sera eurasienne négroïde, elle remplacera la diversité des peuples par une multitude de personnalités. L’homme du futur sera métissé. » Nicolas Coudenhove-Kalergi.
Le complot, cet objet de recherche de ceux que les media du Système appellent conspirationnistes, implique des acteurs bien précis, une histoire (un passé) tout à fait réelle, et bien sûr une « eschatologie » unique et précise aussi cachée, voire plus, que le véritable fonctionnement interne de la machinerie sociopolitique mise en œuvre par cette engeance implacable. Il est compréhensible que l’immense majorité de la population occidentale ne croit pas à ce Complot comme elle ne croit pas non plus aux milliers de conspirations mises en branle chaque jour à travers le monde pour neutraliser tel opposant, tel causeur, tel indiscret ou nous ne savons qui encore. Ou afin que l’Engeance s’accapare de nouvelles richesses, de nouveaux pouvoirs locaux, afin que les tentacules du poulpe sectaire enserrent plus sûrement encore les sociétés qu’il mène vers le plus parfait des esclavages. Comment le téléspectateur lambda shooté quotidiennement à ses flashes morphiniques, à ses émissions stupéfiantes, à ses séries propagandistes, à sa téléréalité de vie virtuelle addictive, pourrait-il parvenir à s’extraire de cette prison mentale dans laquelle l’enferme constamment le complexe médiatique d’aujourd’hui ? Comment le gentil petit électeur désinformé au jour le jour par les JT des grandes chaînes de télévision qu’il avale avec délectation croyant s’enrichir intellectuellement par ce biais et aiguiser son esprit critique, comment ce parfait abruti nourri de messages subliminaux, de rhétorique propagandiste savamment distillée parviendrait-il à observer objectivement (le pléonasme est ici nécessaire) le monde de pantomime jouée par des acteurs politiques de figuration ? Quelle gageure pour l’esprit se voulant libre de rompre d’avec le joug informatif officiel qui l’aiguillonne et le tient bien au chaud dans l’illusion du confort d’une sorte de cocon maternel de savoirs et d’autorité !
Dans son cocon anxiolytique, le télémane est aveugle On le voit, on le sait, la télévision constitue une source sacrée d’informations pour toute sa clientèle ! Le politicien en mauvaise posture peut toujours mentir et « pratiquer la langue de bois », mais le journaliste de télévision cravaté, poli, souriant « qui est ton ami » ne pourrait trahir le spectateur selon ce dernier : L’éventualité de la trahison n’est même pas envisagée par le télémane. Le souriant de la télé aux yeux humides est ton ami. Et à l’instar de la présentatrice gourgandine de la météo, le lecteur du 20H du prompteur de Big Brother constitue en quelque sorte le garant de la vérité, le vulgarisateur de la complexité factuelle de ce monde, le tuteur quotidien du cerveau du télétox, le corset émotif de tous ces esprits bridés de naissance. Quiconque a tenté d’éclairer au moins une fois l’un de ces télémanes sur des questions politiques dissonantes a compris sur quel roc son discours circonstancié, même formidablement argumenté, imparable, s’écrasait-il… L’expérience impossible ! Tant le « vu à la télé » hypnotise-t-il l’abruti de la petite lucarne. Pas touche au Totem qui a bercé l’enfance du téléspectateur, car, en effet, l’écran de télévision représente pour tous les moins de cinquante ans voire pour les moins de soixante ans une véritable mère qui les a dorlotés par ses dessins animés, ses reportages animaliers, son sport et qui a toujours pris la défense du gentil souriant contre « tous ces névrosés faisant grise mine ». Comment cette mère chaleureuse, (la téloche est toujours visionnée dans des lieux de vie agréable, le télétox s’étant confectionné un petit espace lui permettant de baigner dans une sorte de liquide amniotique symbolique avec canapé douillet, nourriture à portée de main –souvent grasse et sucrée-, comme si notre néo-bébé était relié à un cordon ombilical qui le rassurait en permanence. La télé est le plus puissant des anxiolytiques modernes et ce n’est pas le malade télétox qui va entreprendre avec masochisme une entreprise de démythification de son remède miracle !), pourrait-elle nuire à ses enfants, comment pourrait-elle leur mentir alors qu’elle prône sans cesse le libre-arbitre et la liberté de jouir tout en leur conseillant d’être prudents en hiver sur le verglas nivéal des petites routes de campagne comme maman exhorte ses enfants à fuir le grand méchant loup ? Et le media présente aux spectateurs-« citoyens » le monde comme l’Engeance veut qu’il soit présenté, avec ses faux représentants politiques, ses faux moralistes, ses faux gardiens, ses faux sages, ses fausses religions, ses fausses disputes, ses fausses joutes électorales, ses faux débats créés ex nihilo, ses faux opposants et même ses faux diables. Dans cette configuration il est sûr que notre télévore (qui représente l’Hexagonal de base, il faut bien l’avouer) ne puisse imaginer sérieusement, une seule seconde, que la vérité est ailleurs, que l’élite ne lui veut pas forcément du bien, qu’il existe un énorme complot travaillant à sa parfaite soumission, et qu’une fraction de la population mondiale est vouée à disparaître. Un sentiment de confiance et de sérénité (objectivement complètement injustifié) alimenté intensément par le cinéma qui tourne systématiquement au ridicule la réalité du complot que l’ « on » présente toujours comme « les » théories du complot et donc comme une pure construction intellectuelle névrotique. Pour la masse, il ne saurait ainsi y avoir de conspiration intégrale. Cependant, le « citoyen » un peu plus curieux, un peu moins téléphage, se sentant davantage enraciné que ses malheureux congénères, ressentant quelque malaise en son for intérieur, éprouvant le besoin de connaître l’envers du décor par instinct de vie, se heurte d’emblée au cours de ses recherches balbutiantes aux postulats mensongers d’intellectuels qui ont infiltré diverses mouvances pour étouffer, freiner, saboter, toute renaissance nationaliste. De Taguieff à Alain de Benoist, du postmoderne Maffesoli aux prétendus fascistes du Troisième Millénaire, tous nient quasiment sans argumenter mais en postulant avec une effroyable violence, avec cette condescendance de petits profs ignares ou stipendiés qui devrait les rendre insupportable, que le complot n’existe pas, que la rationalité dit « non au complot » (!), que croire au complot impliquerait une façon imbécile de penser… Selon ces tristes sires, il n’y a pas complot parce qu’il n’existerait tout simplement pas de société secrète suffisamment puissante pour orchestrer cette gigantesque entreprise… Là aussi, il s’agit d’un postulat arbitrairement posé, de la posture d’agents systémiques qui camouflent l’objet de leur mission sous un vernis intellectuel de petite facture mais que personne au sein de la clique élitiste ne viendrait à discuter. Alors beaucoup de petits curieux, en majorité peu téméraires, abandonnent le paradigme complotiste qui « vous fait passer pour un doux dingue ou un fou furieux dans les dîners entre amis »… Et Dieu sait que les hommes « désespérément normaux » craignent plus que tout d’être marginalisés, stigmatisés, réputés négativement. Le tour est joué ! Et au sein même de la mouvance nationaliste… Il fallait le faire ! Ils l’ont fait !
Le Complot démasqué ? Alors si je veux ici recenser l’ouvrage extraordinaire des Néerlandais Robin de Ruiter et Fritz Springmeier, le fameux Livre Jaune Numéro 7, intitulé Les 13 lignées sataniques, la cause de la misère et du mal sur Terre, quelques cerveaux programmés par les discours pavloviens de petits gourous de la Nouvelle Droite antinationaliste et maçonnique déchireront réflexivement mon papier, leur inconscient leur ordonnant d’agir ainsi pour rester dans le cadre conforme de la rationalité définie. Pendant des années, le lectorat nationaliste a été abreuvé de fausse logique sociologique et de ce que l’on appelle la théorie de l’individualisme méthodologique consistant à voir dans chaque fait social le fruit d’actions non concertés d’individus liés ou non entre eux par le travail, les intérêts ou quelques valeurs. Mais jamais, je dis bien jamais, dans cette mouvance nouvellement droitière un fait ou un phénomène social, politique ou sociétal n’a été analysé avec une entière honnêteté scientifique, et donc en prenant en considération le fait que l’évènement étudié puisse découler d’un complot ourdi par une engeance définie. L’explication est d’analyse marxiste, matérialiste, individualiste, purement et ouvertement axiologique mais jamais, jamais, d’origine complotiste. Comme si quelques centaines d’individus sur cette Terre n’avaient ni les moyens, ni l’envie, ni le loisir d’agir secrètement pour concrétiser leur rêve ou pour réifier dans ce monde des projets secto-religieux animant cette élite dont la puissance est inimaginable aux yeux du grand public. Cela a le don, certainement, de troubler la sérénité de ceux qui postulent qu’il ne faut pas « se ridiculiser » en lisant et en évoquant le complot mondial. Mais les auteurs du Livre Jaune ne postule pas arbitrairement, contrairement à tous ces censeurs anti-conspirationnistes, mais argumentent chaque assertion et illustrent par des documents consultables chaque point de leur démonstration. L’érudition est au rendez-vous, comme les sciences psychologique et sociologique, les saines intuitions, et la documentation historique, n’en déplaisent aux persifleurs maçons infiltrés au sein de la mouvance nationaliste. Pourtant, il suffit pour appréhender la queue visible de la Conspiration de se référer aux déclarations multiples de membres des plus grosses familles cosmopolites mondiales. Comme celle-ci de David Rockfeller dictée doctement en 1991 à quelques journalistes aux ordres : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New-York Times, Time Magazine et d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l’exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Le Complot s’établit étape après étape en fonction de la vitesse de désagrégation de l’esprit critique des populations occidentales. Nier cela relève d’une incroyable stupidité ou d’une profonde malveillance. D’autant plus que ces sorties mondialistes sont nombreuses et parfois, comme ici, sont des déclarations de membre de l’une des 13 familles « sataniques » qui sont depuis des décennies, voire des siècles, en relation étroite les unes avec les autres. Tout cela apparaîtrait peut-être farfelu si les prévisions, les « prophéties », les prédictions de tous ceux que nos auteurs néerlandais désignent comme étant des Illuminati, ne devenaient systématiquement choses réelles. Les familles incriminées sont toutes mises en exergue dans Le Livre Jaune. Leur enrichissement expliqué, leur réseau économique, politique et religieux mis en lumière. Avouons que l’on apprend beaucoup de choses à sa lecture !
Certains sujets agitant les gouvernements de toutes les nations (peut-on cependant encore parler de nations dignes de ce nom ?) industrialisées ont directement été introduits sur la scène politique mondiale par un Rothschild, un Russell, un Dupont, un Rockefeller, un Warburg, un Collins. En 1987, Edmund de Rothschild balançait pour la première fois lors du Quatrième Congrès Mondial sur les Milieux Sauvages l’idée saugrenue que le CO₂ était la cause d’un réchauffement mondial créé par l’homme. Et l’on remarquera, a posteriori s’il le faut, que toutes ces familles diaboliquement riches n’interviennent que lors de congrès mondiaux pour affirmer des solutions mondiales à des problèmes « évidemment » mondiaux… La solution est toujours mondiale puisque le problème est toujours mondial… Enfin sont mondiaux les « problèmes » choisis par l’Engeance ! Elle n’est pas bête la Bête ! La pollution est mondiale (quid des pollutions locales qui tuent des dizaines de milliers de personnes chaque année ?), la démographie est mondiale, le réchauffement est mondial, le sida est mondial, l’homosexualité est un phénomène mondial, les droits de l’homme doivent concerner le monde entier comme la démocratie, la tolérance, la liberté, l’éducation des petites filles, la chirurgie esthétique et tant de sujets que choisit en fonction de son agenda l’Engeance qui nous gouverne.
Des acteurs hétéroclites mais… Si la plupart des Illuminati (car il s’agit bien ici d’un traitement des agissements de cette secte hyperpuissante à travers le monde) provient originellement d’Europe occidentale, nombre d’entre eux sont étrangement issus du Proche Orient, et émanent en particulier du peuple bigarré des Khazars et de cette population néo-juive assoiffée de conquête et disposée culturellement à imposer ses délires politico-ésotériques sur le reste du monde. Mais nous trouvons encore d’autres Illuminati à travers la planète. En Chine en particulier où la famille Li jouit d’une grande tradition en Chine… Pour les auteurs du Livre Jaune qui avancent les arguments, circonstanciés et explicités limpidement, « il ne fait aucun doute que la Chine communiste fait partie du complot pour le Nouvel Ordre Mondial, qu’elle collabore avec le système des Illuminati. »
Des méthodes radicales ! Robin de Ruiter et Fritz Springmeier s’intéressent également de près aux moyens utilisés par l’Engeance mondiale et mondialiste dans sa conquête effrénée du monde. Ils évoquent à ce propos le projet Monarque qui consiste, aujourd’hui plus que jamais, à contrôler un nombre défini de cerveaux (par le truchement de la torture, du viol, de l’éducation intégrale de petits nourrissons jusqu’à leur âge adulte…) qui sont autant d’armes télécommandées à distance qui meuvent les terroristes et les forcenés d’aujourd’hui et de demain. Il est toujours utile d’activer quand le besoin s’en fait sentir pour ces familles proprement lucifériennes de pauvres fous qui vont s’en aller abattre telle ou telle personnalité gênante, trop gênante. Nous étions sincèrement un peu sceptiques avant d’entreprendre la lecture des chapitres concernant ce thème. Mais encore une fois, il faut avouer que les descriptions et les documents avancés par nos chercheurs chamboulent quelque peu certaines idées reçues. Bref, ce numéro 7 doit être lu par tout nationaliste curieux. Car même si le lecteur sceptique de nature, insensible à la réalité du complot, balaie d’un revers de main les conjectures de nos audacieux auteurs, il ne pourra dénier l’énorme travail de ces derniers, et la mise en exergue de tous ces indices démontrant malgré tout l’effroyable « légèreté » de nos funestes dirigeants. Un ouvrage indispensable. François-Xavier Rochette. Livre Jaune Numéro 7, les 13 lignées sataniques, la cause de la misère et du mal sur Terre, Mayra Publications, commande à La Librairie Française (sur Internet), 318 pages, 30 euros (4 euros de port).