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  • Le CSA met en demeure Radio Courtoisie

    Le CSA met en demeure Radio Courtoisie

    Qui a dit que le Conseil supérieur de l’audiovisuel ne servait à rien ?

    Il est vrai qu’au regard de la vulgarité et de la bêtise des émissions de téléréalité, du développement exponentiel des programmes pornographiques et para-pornographiques, de la partialité permanente de l’information et des disproportions de temps de parole accordé aux différents courants politiques, on pouvait légitimement s’interroger sur l’efficience du contrôle effectué par cette institution dirigée par Olivier Schrameck, ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin.


    On est aujourd’hui rassuré, en apprenant qu’à la suite de son Assemblée plénière du 24 juillet dernier, le CSA a, le 11 septembre, mis en demeure Radio Courtoisie pour « manquement aux obligations déontologiques » et encouragement à des « comportements discriminatoires à l’égard de personnes à raison de leur appartenance ou non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

    La raison de cette procédure ? Les propos jugés excessifs tenus sur le mariage gay et l’islam au cours de l’émission Le Libre Journal d’Henry de Lesquen diffusée par Radio Courtoisie le 27 mai 2013, « sans qu’aucun des invités en plateau n’exprime d’opinion contraire ou nuancée », comme l’indique le CSA. Dans cette émission, le directeur d’antenne et président de Radio Courtoisie avait notamment qualifié le mariage homosexuel « d’abject et contre-nature » et comparé l’islam à une « menace pour l’identité nationale française ».

    Ce noble souci de mesure et d’impartialité exprimé par le CSA surprendra toutefois ceux des auditeurs et téléspectateurs des grands médias nationaux qui ont eu l’impression d’assister durant plusieurs mois à une intense propagande en faveur de l’union des couples du même sexe.

    Radio Courtoisie, le seul média hertzien à avoir fait entendre une voix clairement discordante dans ce concert médiatique, se voit donc reprocher sa position dissidente et est mise en demeure de la corriger.

    Un « deux poids/deux mesures » de la part du CSA qui a immédiatement déclenché l’ire de nombreux internautes, notamment ceux issus de la mouvance de la Manif pour tous, voyant là une nouvelle expression de la « dictature socialiste » et de sa volonté de faire taire les opinions divergentes.

    Une page Facebook a ainsi rapidement été mise en place pour défendre « la radio du pays réel et de la francophonie » contre ce qui est considéré comme une tentative d’intimidation et de censure.

    La mise en demeure du CSA est une procédure qui peut être suivie de sanctions telles que des amendes, voire une suspension de diffusion.

    Source : Observatoire des journalistes et de l’information médiatique, via Polémia.

    Crédit image : Radio Courtoisie, DR.

    http://fr.novopress.info/141606/le-csa-met-en-demeure-radio-courtoisie/#more-141606

  • Un peu de tactique...

    Je crains qu’il n’y ait une grande erreur quant à la réaction face au gouvernement en place. C’est vrai aussi bien à l’écrit par l’intermédiaire des articles rédigés, qu’à l’oral ou les représentants du ps sont souvent hués par l’intermédiaire de formules qui sont non seulement paradoxales, mais plus grave, contradictoires.
    On s’accorde à reconnaître chez les Nôtres que les multiples facettes que présente la majorité du monde politique ne sont celles que d’un même objet qui n’est autre que le système umps. Alain Rebours, notre éditorialiste, s’est déjà exprimé quant au sujet par l’intermédiaire d’un article montrant que le référentiel droite-gauche n’est pérenne que si on place le parti socialiste à droite (1). Dans les faits d’ailleurs, si Ayrault et Mélenchon sont placés à gauche et que Borloo est de droite, ce que beaucoup croient, alors Ayrault est beaucoup plus proche de Mélenchon que de Borloo. Or chacun sait que ce n’est pas le cas : c’est donc le repère classique qui vole en éclats. Ayrault de gauche dit-on, est plus proche, et on le sait très bien, de Borloo que de Mélenchon, d’où l’erreur de leurs positionnements respectifs à gauche comme à droite, la solution ne pouvant passer que par le classement de Ayrault à droite afin de retrouver une cohérence.
    Les hommes du Système veulent impérativement que les Français croient avec certitude que la bipolarisation droite/gauche reste effective, ce de façon à ce que toute alternance est des raisons d’être. En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas dupes puisque l’expression umps nous est connu depuis bien longtemps. Et il faut vraiment avoir de la merde dans les yeux comme c’est le cas pour Peter kierstens, qui a osé écrire dans un de ses derniers articles (19/09/2013) que l’actuel gouvernement est « marxiste » dirigés par des « collectivistes ».
    Il serait beaucoup plus intelligent pour nous d’accueillir sur place les cadres de l’actuel gouvernement où les élus de la majorité actuelle, aux cris de « capitalistes » ou de « banquiers » ; voilà qui les embarrasserait particulièrement alors que les invectiver en les qualifiant du nom de « socialistes » ou « gauchistes » ne fait que rendre pérenne le repère droite/gauche, ce qui satisfait tous les thuriféraires du Système.

    Philippe Delbauvre http://www.voxnr.com/cc/politique/EFZAAukZVVwEElRmtc.shtml

    1) - http://www.voxnr.com/cc/politique/EFyZplVkpkMHEvjurH.shtml

  • Eglises en danger : la fin de la France des clochers ?

    Quand le patrimoine religieux sombre dans l’indifférence et l’oubli

    Cette année encore, le succès des Journées du Patrimoine ne s’est pas démenti. Il marque le profond attachement des Français pour leurs monuments historiques. Ressaisir ses racines est une démarche qui attire de plus en plus.

    Grâce à la richesse de son héritage, la France est la destination privilégiée des touristes ; on pourrait penser que tout est fait pour le préserver. Il n’en est rien. Alors que le budget du ministère de la Culture est en léger recul pour l’année 2013, les économies ont été principalement faites sur les fonds alloués à la restauration du patrimoine. Ceux-ci ont diminué de 10%. De fait, le patrimoine religieux se révèle être le parent pauvre des programmes de réhabilitation. Depuis plusieurs années, l’Observatoire du Patrimoine Religieux tire la sonnette d’alarme. Les projets de destruction d’église se multiplient dans les petites communes. Sous prétexte de ne pouvoir financer les rénovations, certains maires laissent se délabrer des églises parfois classées au monument historique. In fine, il s’agit de n’avoir d’autres choix que de les détruire pour construire places de parkings, hôtels ou restaurants. Même si pour l’année 2013, les églises détruites s’élèvent à cinq, ce mouvement d’ensemble ne laisse pas d’interroger.

    Il suffit de parcourir la presse régionale pour se rendre compte de cette évolution. Pour preuve, il y a quelques années aurait-on demandé aux habitants de Plouagat dans les Côtes-d’Armor s’ils voulaient conserver leur église ? En répondant massivement oui, ils ont montré qu’au-delà de la pratique religieuse, l’église sur la place du village est un édifice familier auquel on reste attaché. Même si, en France, les catholiques ne sont plus pratiquants et ne se retrouvent plus que lors de Noël et de Pâques, les citoyens croyants ou non ne veulent pas que l’on défigure leur village. Un village français sans son clocher n’est plus vraiment un village français. [...]

    Lydie Marion - La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Eglises-en-danger-la-fin-de-la

  • Illuminatis Le juge anti mafia Imposimato accuse le groupe Bilderberg de terrorisme FM

  • Osons aller à contre-courant de la pensée unique et totalitaire

    Communiqué d'En Marche pour la vie :

    "Depuis plusieurs mois, le gouvernement s’acharne à détruire les fondements mêmes de notre société en s’attaquant toujours plus à la Vie, à la famille et, chaque fois, à l’enfant.

    Ainsi, après avoir volontairement prévu d’empêcher certains enfants de grandir dans une famille composée d’un père et d’une mère le gouvernement a profité de la période estivale pour porter atteinte à l’embryon en substituant au principe d’interdiction de la recherche sur l’embryon, celui de l’autorisation sous conditions.

    L’enfant « différent » parce qu’atteint d’un handicap, même léger, est l’objet de tous les dépistages en vue de son élimination in-utero.

    Depuis un an le gouvernement a pu mesurer la détermination de plus d’un million de manifestants qui refusaient l’adoption de lois qu’ils considéraient comme illégitimes et injustes.

    Malgré l’adoption de ces lois le combat continue car une loi injuste n’est pas une loi et n’oblige pas en conscience !

    Face à ces attaques incessantes contre l’enfant et tout particulièrement le plus fragile : l’enfant à naître, il est urgent et impérieux de faire entendre la voix des sans voix. Il s’agit de rétablir la vérité face aux mensonges qui entourent l’avortement, la recherche sur l’embryon, les manipulations génétiques, la fin de vie...Toutes lois ou projets de loi qui portent atteinte à la vie et à la dignité humaine. Osons aller à contre-courant de la pensée unique et totalitaire qui ne voit dans l’être humain qu’un élément de la société marchande, uniquement préoccupé de satisfaire ses désirs égoïstes.

    Soyons nombreux le dimanche 19 janvier 2014à Paris pour la grande Marche nationale pour la Vie."
  • Bernard Lugan : Derrière l’attentat de Nairobi

     

    L’attentat islamiste qui a ensanglanté Nairobi le 21 septembre 2013 est le dernier d’une longue série [1]. Même si les réseaux jihadistes en sont les responsables, il cache le jeu complexe qui se joue actuellement dans cette partie de l’Afrique et qui dépasse l’habituelle dénonciation de l’ « ennemi de confort » islamiste.

     

    Quatre points méritent d’être mis en évidence :

    1) La Somalie est en guerre depuis 1991 après que, au nom des « droits de l’homme » et de la démocratie postulée salvatrice, la communauté internationale eut applaudi le renversement du général Syad Barré, autocrate certes, mais seul capable de maintenir l’unité de ce conglomérat de clans baptisé Somalie. Depuis, tout y fut tenté pour y rétablir la paix : interventions militaires directes puis indirectes des Etats-Unis suivies de celles de l’ONU, de l’Ethiopie, des Etats africains, puis enfin du Kenya. Sur ce terreau propice, se sont développés les jihadistes dont, mais pas exclusivement, les Shabaab. Ils sont soutenus à la fois par l’Erythrée qui continue à mener sa guerre indirecte contre l’Ethiopie, et par certaines pétromonarchies qui pensent acheter leur survie en subventionnant le terrorisme.

    2) Depuis le mois d’octobre 2011, l’armée kenyane mène la guerre en Somalie, officiellement afin de protéger la partie nord de son territoire de la contagion terroriste. Cette intervention s’est faite à la suite de l’enlèvement de touristes au Kenya par les Shabaab somaliens. Comme le tourisme est sa seconde source de devises, le Kenya ne pouvait pas ne pas réagir.

    3) Dans tout le nord du Kenya, la contagion islamo-tribale somalienne est réelle. [...]

    La suite sur Afrique Réelle

    [1] Le 24 octobre, une grenade fut lancée dans une discothèque Nairobi ; au mois de décembre 2011, de nombreuses attaques se produisirent dans le nord du Kenya, le dimanche 30 septembre 2012, une église de Nairobi fut attaquée, le 1°juillet 2013, 17 morts furent à déplorer dans l’attaque de deux églises à Garissa près de la frontière avec la Somalie, etc.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Bernard-Lugan-Derriere-l-attentat

  • Liquider Paris...

    On mesure rarement l'aliénation mentale que représente le fait de vivre dans un environnement de mégapole comme Paris.

    Peut-être un jour des études seront-elles menées par les psychologues, les psychanalystes, les sociologues et les comportementalistes sur l'impact que représente l'évolution d'êtres naturels (les humains) dans un environnement presque complètement artificiel, où les seuls éléments naturels se trouvent être des arbres rabougris et noirs, et les chiens qui défèquent à leurs pieds.

    Comment voulez vous obtenir des êtres humains saints d'esprit, si tous leurs repères sont pervertis:

    -on se lève et on se couche hors des rythmes naturels du jour, à la lumière électrique, trop tôt ou trop tard.

    -sitôt tiré du sommeil, le bide rempli de café, le travailleur-fourmi s'engouffre dans des transports en commun cauchemardesques, indignes de la condition humaine. Odeurs méphitiques, troupeau abruti et agressif, abrutissement collectif, le citadin fourmi, qu'il soit balayeur de chiottes malien ou yuppie aux pompes pointues pique du nez dans la rame aux néons clignotants...

    -S'il a "de la thune" (de la thune = vivre moins comme une merde, ou comme une merde de premier choix), il peut avoir un appartement qui dépasse le format chambre de bonne, des chiottes personnelles, et peut être un véhicule de transport personnel (scoot à la con ou bagnole ultra chère à entretenir).

    Son cerveau, déjà abruti par la pub agressive, la muzak (fausse musique), les goûts de chiottes de, la mode, et la voix résonnante de la grognasse dans les hauts-parleurs de la RATP, son pauvre cerveau, quand il peut se "cultiver", se retrouve à lire des journaux insipides et indissociables, qu'on pourrait faire écrire par des machines. Toute la journée, le citadin ne voit rien de beau. Des néons, du béton gris plein de traînées d'humidité noire, de la pollution, de la crasse partout, des graffs immondes, des chewing-gums écrasés, des faces simiesques d'exogènes inidentifiables tout juste débarqués d'on ne sait quel Gange ou quel Brahmapoutre, des vêtements laids et ridicules, faussement excentriques mais réellement cher, des coiffures ridicules, des vendeurs à la sauvette... Son nez est blasé d'odeurs de pisse et de parfum intempestif, quand ce ne sont pas les remugles des égouts...

    Et le pire, c'est que le citadin croit que tout cet univers, aliénant, isolant, cauchemardesque, cancéreux,  c'est normal. Que c'est naturel. Naturel de ne jamais pouvoir observer l’horizon à cause des immeubles, naturel de se prostituer toute la journée pour récolter en aumône quelques crédits servant à améliorer son capital de reconnaissance sociale (une nouvelle chemise swagg = 0,05% de plus de chances de pécho une grognasse lambda pour se vider le samedi soir). Naturel de suivre un troupeau bigarré ou chacun est un parfait étranger. Troupeau cosmopolite, sans culture commune, sans religion commune, sans couleur commune, sans intérêt commun, sans classe sociale commune, troupeau indifférent et sanguinaire, léthargique et impitoyable.

    Echapper au centre-ville et à ses monuments devenus eux mêmes tristes et déprimants (car ils soulignent encore plus notre avilissement de par leur souvenir de grandeur), c'est se retrouver en banlieue, pardon, en zone périurbaine. C'est à dire un environnement encore plus laid car misérable, triste à en mourir les jours de pluie, et en plus on doit prendre un RER étouffant pour aller bosser. Sortir de la douche, arriver au bureau collant et crasseux comme si on avait rampé dans un égout.

    L'idéologie mondialiste veut nous imposer la Ville. La ville est son idéal. La France ne devrait être qu'une immense banlieue puante. BHL l'a très bien exprimé dans son livre "l'idéologie française". Selon lui, l'esprit progressiste et cosmopolite des villes, symbolisant la démocratie et le progrès, devrait l'emporter sur l'esprit des campagnes, enraciné et "replié sur lui-même", générateur de haine.

    A quoi bon débattre avec BHL alors qu'il ne mérite qu'une corde au bout d'un lampadaire? Je ferai juste une rapide démonstration.

    Le campagnard, bourru, avare de sourires, sait se montrer très solidaire s'il vous connaît. Spontané, simple, accueillant.

    Le citadin, féru d'ouverture à l'autre et de solidarité, deviendra rapidement d'une froideur de marbre le jour ou vous perdrez votre boulot et ou vous devrez squatter quelque part pour ne pas dormir à la rue.

    Etre nationalise aujourd'hui, être croyant, être enraciné, c'est combattre la ville. Non la ville comme idée ("liquider Paris") mais plutôt la refouler à coups de pieds, quand nous le pourrons, dans son périmètre autorisé. En y fixant des limites claires grâce à la production locale, au refus de la "rurbanisation" et en privilégiant une politique de la terre et de la petite propriété inaliénable.

    Détruire le citadin, ou plutôt le libérer. Guérir ceux qui le peuvent, se débarrasser des autres, devenus race mutante.

    Personnellement, je préconise le bulldozage de toute construction dépassant le périph' de Paris et la plante d'arbres à la place.

    La ville est une conspiration contre la liberté.

    -Liberté d'avoir de l'intimité, de vivre à plus de 10 mètres d'un autre être humain.

    -Liberté de circuler sans avoir à suivre des voies, des couloirs, des passages prédéfinis et pensés à sa place.

    -sa liberté d'avoir un contact minimal avec la Création Divine (ou l'Ordre Naturel, ou Gaïa, ou Ygdrasill) via un air frais, pur, de l'herbe généreuse, un horizon boisé et des oiseaux appartenant à une autre espèce que celle des pigeons mutants.

    -Liberté de propriété du sol et de propriété tout court, quand on sait que la ville, c'est la précarité. etc etc

    Guillaume Lenormand http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Municipales : ne pas rater la marche – par Fabrice Robert

     

    Municipales : ne pas rater la marche – par Fabrice Robert

    PARIS (NOVOpress) - Le mouvement identitaire est un peu à la politique ce que les forces spéciales sont à l’armée. Nous allons où les autres ne vont pas. Nous passons devant comme nous l’avons fait avec les prières de rue. Derrière nous, l’infanterie classique du Front national ou les officiers d’état-major de l’UMP de Copé arrivent et raflent les honneurs électoraux. Mais, du moins, avons-nous servi.

    Ce rôle est notre rôle. D’abord, parce nous pouvons le remplir. Dans la vie, il faut faire ce que l’on doit. Ensuite, parce que, de toute évidence, personne ne le fait à notre place. En conséquence de quoi, nous avons à tenir notre place au créneau que la vie nous a dévolu. Mais notre rôle ne s’arrête pas là. Nous ne sommes pas, nous ne pouvons pas être que les sacrifiés qui sortent les premiers de la tranchée. Les types dont on reprend les idées tout en les traitant d’infréquentables.

     

    Dans six mois auront lieu les élections municipales. Par leur nature, elles nous sont propices. Les prétendants à une commune auront besoin de 30, 50, 80 noms pour faire leur liste. Dans certains cas, ils auront du mal et devront faire appel à leur grand-père ou à leur concierge. Dans tous les cas, ils auront une difficulté considérable : que les dix premiers de la liste tiennent la route !

    Ces listes peuvent être « Bleu Marine », divers droite ou même sans étiquette, peu importe. Vous pouvez y figurer ès-qualités de membres du Bloc identitaire ou de GI, seulement sous votre nom, peu importe. L’important est d’être dans les places éligibles, c’est à dire, a minima, dans les six premiers. Ne faites aucun complexe. Vous ne connaissez rien au fonctionnement d’une commune ? Rassurez-vous : 95% des autres candidats sont dans le même cas.

    Etre candidat et être élu sur ces listes, voire même monter votre propre liste, vous apporterait et apporterait au mouvement identitaire un double bénéfice. D’abord, pour vous, l’irremplaçable expérience d’une campagne de terrain. Ensuite, en cas d’élection, vous bénéficierez d’un atout précieux, d’un tremplin, pour capitaliser dans votre ville, sur votre nom, les soutiens et développer notre combat. Être élu, même d’opposition, c’est prendre du galon médiatique à l’échelle locale. C’est forcément aussi développer son réseau, sa sphère d’influence.

    Il n’appartient qu’à nous – qu’à vous donc – d’avoir des élus, ce serait donc une faute politique que de ne pas prendre ce qui s’offre. Le mouvement a besoin de cette avancée.

    Alors, oui, bien sûr, un conseiller municipal d’opposition dans le Gard ne stoppera pas l’islam à lui tout seul. Il ne mettra pas en prison les banquiers de Goldman Sachs. Mais, jusqu’à preuve du contraire, on peut faire 20% à une Présidentielle et ne pas y parvenir davantage…

    Être élu local, c’est avoir un pouvoir, certes limité, mais réel. C’est la première marche de l’escalier. Montons !

    Fabrice Robert
    Président du Bloc identitaire

    http://fr.novopress.info/141622/municipales-ne-pas-rater-la-marche-par-fabrice-robert/#more-141622