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  • Homophobie, islamophobie… la psychiatrisation puis la criminalisation des normes populaires

    « L’expertise collective permet de faire le point sur l’évolution d’un processus déjà largement avancé : celui de la médicalisation des différents problèmes sociaux. »(*)
    Le suffixe « phobe » est habituellement utilisé en chimie (aversion), en biologie (sensibilité réactive à un stimulus) mais surtout en psychologie et en psychopathologie (peur morbide, appréhension).
    Nous avons assisté, ces dernières années, à son utilisation extensive à la vie sociale par des groupes de pression financés par des milliardaires (Bergé, Soros, etc.) et relayés par les médias et les politiques, pour désigner (stigmatiser dans les faits) des catégories d’opinion qui refusent ou critiquent le prosélytisme de ces normes.
    Dans le même temps, cette oligarchie a œuvré à la création d’un arsenal juridique répressif destiné à contraindre au silence les groupes d’opinion visés.
    C’est au nom de ce travail de psychiatrisation puis de criminalisation que l’on a cherché à tuer tout débat et à imposer, au corps social majoritaire, des mœurs, influences ou pratiques minoritaires.
    Cette utilisation extensive d’un vocabulaire principalement psychiatrique au corps social et, simultanément, la criminalisation par la loi des opinions ainsi désignées pour en faire des délits est d’évidence liberticide et n’a qu’un seul objectif : tuer le débat pour imposer (user de la force) des normes à la société et, pour d’autres intérêts, de provoquer de la polémique, de la colère et de détourner l’attention de la population d’autres questions cruciales.
    Il est de notre devoir de femmes et d’hommes libres de nous opposer à ces pratiques liberticides et de dénoncer les petits Iznogoud qui souffrent visiblement d’une peur phobique de la liberté de pensée et d’expression et qui veulent nous faire taire.
    Laurent Ozon, 26/09/2013
    (*) Note de la rédaction :
    Psychiatrisation scolaire, les recommandations des « experts »
    http://www.polemia.com/homophobie-islamophobie-la-psychiatrisation-puis-la-criminalisation-des-normes-populaires/

  • C’est à lire : « Jules l’imposteur » de François Brigneau

    jules-l-imposteur-francois-brigneau.jpgCi-dessous la recension,  avec de beaux passages, de Jules l’imposteur de François Brigneau, par le bulletin de l’Action familiale et scolaire[1]. Ouvrage que l’on peut se procurer ici. 180 p. 18 euros.

    « L’un des premiers gestes de François Hollande devenu chef de l’Etat fut de rendre hommage à Jules Ferry.
    Les éditions DMM, à très juste titre, ont profité de l’occasion pour rééditer le livre sur Jules Ferry de François Brigneau, intitulé Jules l’Imposteur [2].
    François Brigneau était particulièrement qualifié pour écrire ce livre, car sa famille a été cassée par le laïcisme introduit massivement dans les écoles par Jules Ferry et ses collègues. Il explique la chose dans les dernières pages du livre :

    J’ai compris assez tôt qu’il y avait deux hommes dans mon père. Ou, pour mieux dire, qu’il était la juxtaposition de deux hommes : un Breton traditionnel et d’héritage, un internationaliste libertaire fabriqué à l’École normale d’instituteurs. La manière dont il faisait son métier révélait cette dualité. (…)
    Déraciné à et par l’École Normale, arraché à la tradition et d’abord à la tradition catholique, coulé dans le moule laïque, mon père comme des milliers d’autres instituteurs aussi honnêtes, dévoués, droits et généreux et purs que lui, avaient mis au service des idées de désordre inculquées par les maîtres occultes de l’École Normale les remarquables techniques de l’ordre enseignant enseignées par les maîtres connus de l’École Normale. (…)

    J’ai essayé aussi de ne jamais oublier la tendresse, l’affection, le respect que j’eus pour mes parents et tout ce que je leur dois. Maintenant que ma mère s’en est allée, elle aussi sans prêtre dans une tombe sans croix, je voudrais ajouter que ce qui m’obsède, c’est moins l’échec de l’école que la cassure provoquée par le laïcisme dans une famille française. Je n’ai pas été baptisé et ne le suis pas. Je me suis marié civilement. Deux de mes enfants sur quatre ne sont pas baptisés. Même si, un jour, conduit par la réflexion de Charles Maurras et la foi de mes amis je retrouve l’Église traditionnelle de ma patrie et de mes ancêtres, jamais je ne ressentirai cette émotion, cette ferveur que donne seule l’enfance catholique. Jamais je ne serai le catholique que j’aurais aimé être, de nature et de sentiment, sans grands tourments d’esprit, dans la banalité des certitudes. C’est la grande victoire de Jules Ferry, l’imposteur.

    Voici un extrait du portrait de Jules Ferry que donne F. Brigneau :

    Jules Ferry (1832-1893). Né à Saint-Dié. Avocat, fils d’avocat. Franc-maçon, initié rue Cadet. Proud’hon disait : « Ferry : c’est un domestique de grande maison. » Et Drumont : « Il était l’exécuteur prédestiné des œuvres infâmes de l’Intérieur… Il est féroce contre tout ce qui est faible, et volontiers implacable contre tout ce qui est noble et généreux… C’est l’homme de la boue et du sang. » Ferry avait un objectif: organiser un univers sans roi et sans Dieu ». Il savait comment y parvenir par la République, à condition qu’elle durât. Pour la préserver d’un coup de force militaire, du retour des rois, et même d’un mouvement d’humeur du suffrage universel, Ferry fut très tôt convaincu qu’il fallait chasser les prêtres de l’école. « La République est perdue si l’État ne se débarrasse pas de l’Église, s’il ne désenténèbre pas les esprits du dogme » disait-il. Les prêtres continuant à former l’enfant, pesant par lui sur les familles qu’ils tenaient déjà par la femme, l’Ancienne France pouvait à tous moments ressurgir. (…) Ministre de l’instruction, ministre des cultes, premier ministre, en six ans (1879-1885), il réussit à chasser Dieu, le roi et le soldat de l’école et à l’y remplacer par une machine maçonnique à fabriquer des futurs électeurs républicains. Avant Waldeck-Rousseau et Emile Combes, Jules Ferry fut le grand stratège et l’exécutant implacable de cette guerre que la République mena (qu’elle mène encore) contre l’autel et le sabre. Et qu’elle gagna. Charles Maurras disait : Jules Ferry a été le malfaiteur intellectuel qui, sous des prétextes moralistes, a démoralisé et dénationalisé ce pays. L’histoire intellectuelle de l’Action française pourrait se définir : une réaction contre le ferrysme ! [3] »

    http://www.contre-info.com/cest-a-lire-%C2%AB-jules-limposteur-%C2%BB-de-francois-brigneau#more-22113

  • 19 octobre : veillée de prière à Montmartre avec Renaissance catholique

    RcElle remplacera la traditionnelle marche pour la Vie d'octobre. Tout en rappelant que c'est à la basilique de Montmartre que l'on prie spécialement pour que cessent les malheurs de la France, Renaissance catholique appelle à rejoindre la Marche pour la Vie du Collectif « En Marche pour la Vie ! » qui aura lieu le 19 janvier 2014.

    "Pour se lever, un peuple couché doit d’abord se mettre à genoux

    L’année 2013 aura été marquée par une résistance, aussi ample qu’inattendue, au « changement de civilisation » en cours, accéléré par le vote et la promulgation de la loi Taubira dénaturant le mariage. Un pouvoir totalitaire a utilisé tous les artifices d’un formalisme juridique poussé à ses ultimes extrémités pour imposer à une population, d’abord sceptique puis de plus en plus rétive, des réformes sociétales qui réduisent l’enfant à un objet de désirs et l’homme à un simple outil de production et de consommation. La révolution actuelle ne s’arrêtera pas là. Nous sont ainsi annoncés : l’enseignement du gender à la maternelle, l’ouverture de la P.M.A. aux paires homosexuelles, l’extension de l’euthanasie et du suicide assisté (la composition du Comité Consultatif National d’Éthique ayant été modifiée afin d’y donner la majorité aux adeptes de la culture de mort), etc.

    Depuis un an, les initiatives se sont multipliées afin d’essayer d’enrayer cette marche vers l’abîme. Manifestations publiques sous l’égide de La Manif Pour Tous d’une ampleur jamais atteinte, « accueil » local de ministres, veilleurs et sentinelles, mères veilleuses et Antigones, Homen et Printemps français, universités d’été et marches… ont manifesté la créativité, la mobilisation et la diversité des opposants à la dénaturation du mariage. Certaines questions reviennent cependant en boucle parmi les protestataires choqués et blessés par les arrestations arbitraires et les brutalités policières : comment en sommes-nous arrivés là ? Comment est-ce possible dans « une démocratie comme la nôtre » ? Ce salutaire électrochoc doit permettre de passer de la révolte contre les conséquences à l’analyse des causes. Le peuple de France a pris conscience qu’on lui mentait, que les médias, et en particulier la télévision, lui mentaient. Cette salutaire prise de conscience est un terreau favorable pour amener l’opinion à découvrir l’origine des maux dont elle déplore les effets. Nos deux ouvrages récemment parus, La Démocratie peut-elle devenir totalitaire ? et L’Ordre immoral, nous semblent des outils trop peu connus mais irremplaçables pour œuvrer à cette conversion des intelligences.

    Cependant, si cette démarche intellectuelle est nécessaire et indispensable, elle ne sera pas suffisante. Dans Evangelium Vitae, le pape Jean-Paul II nous rappelait que « la prière et le jeûne sont les armes principales et les plus efficaces contre les forces du mal ». Animée de cette conviction, Renaissance Catholique organise depuis plus de 20 ans, au mois d’octobre, avec d’autres associations, une Marche de prières pour la Vie et la Famille, qui aboutit à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre : démarche publique de prière et de réparation pour des crimes publics et soutenus par la loi. Cette année, en raison de l’actualité, nous souhaitons donner une nouvelle forme à cette action. Cela d’autant plus que ce samedi 19 octobre, date qui avait été retenue depuis près d’un an à la basilique du Sacré-Cœur, est devenue le début des vacances scolaires avec pour conséquence l’éloignement de nombreuses familles de Paris. Nous renonçons donc, pour cette année, à la partie « Marche aux flambeaux » dans les rues de Paris, mais nous invitons tous ceux qui ont compris la nécessité de « veilleurs à genoux » à nous rejoindre pour une veillée de prière – adoration méditée, chants et salut du Saint-Sacrement – à la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, le samedi 19 octobre de 19 h à 21 h 30. Depuis son érection, cette basilique est spécialement dédiée, selon le vœu national de 1871, à l’accueil des prières pour faire « cesser les malheurs de la France » : osons affirmer qu’il n’est pas d’intention de prières plus urgente ni de lieu mieux adapté. Nous vous donnons ensuite rendez-vous le dimanche 19 janvier 2014 à Paris pour la Marche nationale pour le respect de la Vie du Collectif « En Marche pour la Vie ! » dont nous faisons partie".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Programmes d’Histoire : « Au roman national a succédé le fantasme trans-national »

    Quelques extraits d’un article sur les nouveaux programmes d’histoire de Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste.

    L’insistance sur les colonies (en quatrième, en troisième, et à nouveau en première) tient davantage de l’intoxication face aux «nouveaux publics», comme on dit quand on s’interdit de dire «enfants issus de l’immigration», que de l’intérêt bien compris du récit historique.

    La polémique enfle à nouveau. Les programmes d’histoire sont allégés en troisième et en terminale, et aussitôt les discours s’enflamment, les invectives volent. Et d’un aménagement somme toute mineur, divers polémistes tirent des conclusions radicales sur le projet global de décérébration de nos jeunes têtes blondes (ou brunes…). Les uns se font les propagandistes du tout-chronologique, les apologistes du «roman national», les autres s’arc-boutent sur une conception plus critique de l’enseignement de l’histoire. […]

    Le fait même que la polémique soit si vive signifie d’abord que l’histoire est en France un sujet sensible et qu’elle est en danger. Tout comme le manifeste laïque de Vincent Peillon : son existence même témoigne d’une menace. […]

    L’histoire telle qu’elle s’enseignait sous Lavisse, en pleine IIIe République triomphante, n’est plus celle de notre Ve République pourrissante.

     

    Un exemple – mais bien sûr, je ne le prends pas au hasard : l’enseignement de la colonisation (et de la décolonisation). Certitudes du colonisateur qui apporte la civilisation aux barbares en 1880-1930 ; émergence de la parole des colonisés après les années 1960 (2) et culpabilisation rampante des anciens colonisés. […] Bien sûr, il était intéressant d’expliquer les mécanismes de l’esclavage au XVIIIe siècle (actuel programme de quatrième). Mais pourquoi passer sous silence l’immense responsabilité des Arabes dans l’esclavagisme, qu’il s’agisse de fournir des Noirs aux navires européens ou de mettre en esclavage pour eux-mêmes des millions d’êtres humains, y compris, pour le seul XVIIIe siècle, des centaines de milliers d’Européens ? […]

    « L’histoire est le produit le plus dangereux que la chimie de l’intellect ait élaboré », disait avec pertinence Paul Valéry. Chacun, en fonction de ses intérêts idéologiques, s’annexe son enseignement, en se prétendant objectif. Au roman national a succédé le fantasme trans-national. Il est temps de bien former les enseignants et de leur faire confiance pour narrer une histoire qui nous a construits. […]

    Le Point

    http://histoire.fdesouche.com/3321-programmes-dhistoire-au-roman-national-a-succede-le-fantasme-trans-national#more-3321

  • Désabusé

    Samedi soir, j'ai innové. J'ai voulu voir ce que c'était que de passer une soirée avec des jeunes branchés. Avec deux compagnons d'infortune, nous nous sommes donc fait inviter par le biais du cousin de la belle-sœur du chien de sa mère à la soirée "hype" d'un type en école de médecine. Nous arrivons donc à 22H pour profiter du frigo de nôtre hôte. Malheur ! A peine quelques bières, et beaucoup de boissons de "hipsters" plus dégueu' les unes que les autres. Après deux heures passées avec 20 mecs et 6 gonzesses (après on ira encore se plaindre du nombre de femmes dans le milieu nationaliste) la troupe d'huluberlus à mèches et Pataugas décide qu'il est temps d'aller se montrer dans les bars pour claquer le pognon à papa et maman. Nous voilà donc arrivés dans un bar où tous les types ressemblent à des gonzesses, et où les gonzesses n'ont plus aucune dignité depuis bien longtemps du haut de leurs 16/17 ans... (Dites-vous bien qu'arriver à ce stade de la soirée, mon seuil de tolérance a explosé depuis au moins 1h30). Partout des blanches qui raffolent des chances pour la France, quelques saletés cherchant à tripoter de la petite blanche écervelée et des résidus d'hommes blancs qui n'osent pas regarder en face les allogènes, car ils manquent cruellement de virilité.

    Petite anecdote, en arrivant au lieu où se déroulait la petite sauterie, nous apprenons qu'il y a 15 minutes la sœur du mec qui organisait la soirée s'est faite frappée à la sortie du métro, elle l'a appelé, il n'y a pas été, ni aucun de ses potes ayant une voiture...

    Arrive tant bien que mal l'heure de fermeture des bars. Comme tous les jeunes cools et branchés, nous allons faire un tour en boite... le calvaire n'est pas fini, et non ! Dans la file d'entrée, des odeurs aigres se dégagent d'un peu partout, effectivement, nous sommes fort mal entourés… Et là encore, des petites blanches qui, décidément ont l'air d'apprécier l'exotisme accompagnent une fort sale faune... Celle-ci cherche, comme à son habitude, à foutre la merde, prétextant tout et n'importe quoi (surtout) pour se battre et montrer qu'ils n'ont pas peur de faire face en étant en supériorité numérique (chose que les petits blancs émasculés n'osent même plus faire...). Nous voilà enfin dans l'antre de la folie jusqu'au bout de la nuit ! Il est environ 3H. Mes compagnons et moi-même abandonnons les petits bourgeois en recherche de reconnaissance pour nous rendre dans la salle "années 80". Quitte à se faire chier, autant se marrer ! Sauf que non... Quand les petites blanches ne sont pas avec des « chances pour la France », elles sont avec des êtres d’origines indéterminées, au physique souvent répugnant… A croire qu'elles ont toutes la fibre sociale ! Des cougars de 40 ans cherchant à vivre une nouvelle jeunesse viennent se frotter à ce qui leur semble être le plus viril dans cet espace restreint (Vous l'aurez compris, je suis pris d'assaut !)… Et là encore, les racailles cherchent à se battre avec tout le monde. Au bout d'une heure à suer tout ce qu'il pouvait être possible de suer, nous nous décidons à quitter ce lieu. A l'extérieur, les CRS sont déployés... Une bagarre a éclaté. Des femmes sont blessées. Des racailles courent dans tous les sens et provoquent les flics (Ha... Si seulement j'avais le droit de porter une arme à feu...). Nous rentrons chez celui qui nous héberge. Il n’est pas loin de 5H. Des envies de meurtres plein la tête.

    Cette société n'est vraiment pas faite pour moi.

    Tolbiac http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • L’effort contraceptif contre la France de toujours

    La fête fut éphémère et d’intensité modérée, pour ne pas dire un peu tristounette. Les cotillons, les confettis et les langues de belle-mère étaient, semble-t-il, remisés au placard. Le magazine Elle a, pendant que d’autres soufflaient péniblement les bougies, fermé son clapet puant. Les féministes qui avaient commémoré en 2010 les 50 ans de la commercialisation de la pilule contraceptive aux Etats-Unis, berceau de la dégénérescence sociétale, n’étaient pas d’humeur à fanfaronner : l’anniversaire de la commercialisation légale d’hormones permettant une contraception de fait dans les pharmacies hexagonales en 1963 était à peine évoquée dans les mass media, alors que sans cette distribution semi-clandestine (semi-clandestine aux yeux de la loi, puisque les produits vendus n’étaient pas destinés, disait-on, à engendrer volontairement une infertilité concomitante), jamais l’Etat n’aurait eu l’outrecuidance d’instituer la loi Neuwirth en 1967, préalable paradoxal de la génocidaire loi Veil de 1975. Oubliée ou presque l’anniversaire de la légalisation de la vente de produits si féministes… Mais qui tuent ! Entre temps (de 2010 à 2013), les promoteurs frénétiques de la pilule contraceptive ont dû admettre que leurs cachetons “miracle” pouvaient constituer un réel danger pour les consommatrices. Les pilules de troisième et de quatrième générations ont particulièrement fait la preuve de la nocivité de cette chimie vouée à l’infertilité. (Les pilules de troisième génération, triphasiques ou monophasiques, ont été mises sur le marché au cours des années 1990 avec de nouveaux progestatifs — gestodène, norgestimate, désogestrel —  ; les pilules de quatrième génération comportent le drospirénone et sont vendus sous les noms de Jasmine, Rimendia, Yaz ou Convuline). Problèmes cardiovasculaires graves entraînant la mort de certaines consommatrices. On parle de dizaines de morts mais serait-il imprudent d’imputer à la pilule de la société décadente beaucoup plus de décès que l’“on” met bien rapidement et opportunément sur le compte d’accidents imprévisibles comme d’hypothétiques ruptures d’anévrisme ? Des ruptures d’anévrisme qui touchent en premier lieu des femmes, sous pilules stérilisatrices, et tabagiques (l’association nicotine et pilule est en effet dévastatrice à plus d’un titre). En tout cas, à la suite de morts suspectes enfin médiatisées, les consommatrices de contraception tous azimuts s’inquiètent visiblement un peu plus pour leur santé et un peu moins pour leurs performances sexuelles réalisées d’ailleurs souvent avec des partenaires vaporeux. Les pilules de 3ème et de 4ème générations ne sont plus remboursées par la Sécurité Sociale mais toujours commercialisées sous la pression ou plutôt le diktat des autorités européistes ne jugeant pas ces petits poisons suffisamment toxiques pour être retirés du marché, et le marché, c’est sacré.
    UN PETIT GRAIN DE SABLE DANS LA PROPAGANDE SYSTEMIQUE
    Mais beaucoup de femmes ont abandonné récemment la pratique de l’absorption quotidienne de la pilule, terrorisées à l’idée d’être à leur tour foudroyées par l’un de ses effets morbides. L’élite en place s’en inquiète, et en vient à mettre en exergue bien imprudemment les conséquences directes de ce sevrage contraceptif brutal : les avortements auraient bondi de plus de 5 % depuis le début de l’année 2013. Les néo-trouillardes de la pilule utilisant pour un laps de temps indéterminé l’horreur abortive comme moyen de contraception de secours… Remarquons au passage que les commentateurs du media conforme font mine de s’attrister de ce phénomène de compensation contraceptive alors qu’ils sont habituellement les premiers propagandistes de l’assassinat intra-utérin ! Argumentant sur le caractère « absolument normal » de ladite intervention mortelle, affirmant que tout va bien, que l’aspiration du petit être est une bonne chose pour la femme libérée, insoumise, évidemment, à l’homme (blanc) détestable, niant hystériquement la vie même du bébé dans le ventre normalement protecteur de sa mère… Mais là, bizarrerie du discours conforme, il semblerait regrettable que les avortements croissent en nombre… A moins qu’il ne s’agisse d’un aveu involontaire de leur part : l’avortement, malgré les kilotonnes de blablas angéliques recouvrant sa réalité, constitue (quand même !) une monstruosité froidement exécutée. Hé oui, tous les moyens sont bons pour inciter les femmes occidentales (et franco-françaises en particulier) à assurer leur infertilité chronique ! Tel est l’objectif absolu des fonctionnaires de notre Indigénat. Les Françaises peuvent bien se transformer les unes après les autres en gaupes moites, l’important sera qu’aucun enfant ne naisse de “leur” déluge luxurieux. A ce propos n’est-il pas normal de se demander si la spectaculaire et hollywoodienne campagne de publicité pour les préservatifs déclenchée à la fin des années 1980 sous le prétexte d’une prétendue épidémie sidaïque n’était pas en réalité destinée à limiter encore un peu plus les naissances dans notre pays ? Avortement, stérilet, spermicide, condoms et l’incontournable pilule… Que les autorités (s’assurant de la bonne chute de la démographie autochtone vers un crash démographique qu’elles aimeraient irréversible) promeuvent malgré tout et de toutes leurs forces, faisant fi si ostensiblement de sa nocivité intrinsèque.
    UN DEMI-SIECLE DE BOBARDS
    Dans un tout récent ouvrage consacré à notre sujet, intitulé sobrement La pilule contraceptive, les auteurs Henri Joyeux (professeur en médecine et chirurgien cancérologue) et Dominique Vialard montrent bien que la dangerosité morbide de ces cachetons est tue aujourd’hui par l’immense majorité des media qui, au contraire, dans le même temps, en font une « publicité monstre ». Evoquant les dernières affaires mortelles (affaires parties des Etats-Unis où le débat est beaucoup plus bouillant qu’en France) des pilules de 3e et de 4e générations, nos auteurs présentent la réaction de la grosse industrie pharmaceutique à dégueulis contraceptif. […]
    François-Xavier ROCHETTE. http://rivarol.com/Billet.html
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  • Dissolution ? Non !

    Communiqué de L’Œuvre française du 24 juillet 2013

    Dissolution ? Non !

    À l’issue du conseil des Ministres du mercredi 24 juillet, Manuel Valls a annoncé la dissolution de l’Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes, actée par voie de décret présidentiel. Nous faisons donc un recours en référé suspensif devant le Conseil d’Etat afin d’obtenir l’annulation de cette forfaiture. On ne dissout pas l’Œuvre française, ni les Jeunesses Nationalistes, pas plus qu’on ne peut dissoudre la France ou les Français. Car ce ne sont pas des partis, des syndicats d’intérêts avec leurs belles permanences, leurs créances, leurs employés, leurs prébendes, leurs mandats… ce sont des mouvements qui prennent leur origine dans la France, c’est le souffle de vie de cette Patrie irrévocable, qui s’incarne en chacun de nous. Un mouvement ne s’arrête pas, c’est son essence même.

    L’Œuvre française vit en nous et c’est dans nos cœurs, dans nos âmes qu’il faudrait que l’illégitime, le Hollande, vienne la chercher. Car si notre mouvement vieux d’un demi siècle, trouve sa légitimité dans la France historique, ceux qui prétendent la dissoudre en sont dénués. Leur République assoit sa légitimité sur le peuple. Or le peuple n’a plus ni confiance, ni même respect pour ce Président fantoche qui n’a eu de cesse de souiller notre France. Et que dire d’un Valls pas même encore français quand l’Œuvre française voyait le jour, lui le larbin des lobbys communautaristes, l’otage des racailles de Trappes, lui le yorkshire de garde aux ordres et abois. Pour aboyer il aboie ! Et même il mord ! Il n’y a pas plus agressif que ces petits roquets qui se prennent pour de grandes montures ! Mais combien il faut être petit pour prendre d’aussi grands airs ! Devant les caméras, il est là. Dans les salons feutrés de l’Elysée, il est là. Mais où était-il quand les cadavres étaient dépouillés à Brétigny, pas même fichu de faire arrêter ceux qui ont commis ces actes innommables au nez des forces de l’ordre, le Zorro des salons bobos, armé de son micro et de sa plume.
    C’est dans la répression qu’une nouvelle aristocratie révolutionnaire voit déjà le jour. Notre Mère Patrie n’a pas fini d’enfanter des nationalistes ! Le gouvernement passera que nous serons toujours là, nous, fils et filles de France. Nous ne vivons pas aujourd’hui dans l’attente de la mort symbolique qu’il voudrait nous donner, nous portons la vie, toujours debout et fiers de ce que nous sommes. Nous ne renierons rien.

    L’Œuvre française comme les Jeunesses Nationalistes sont plus qu’un nom, ils sont une éthique de vie, et nous continuerons à vivre, ils sont une famille, et nous resterons soudés, ils sont une doctrine, et nous continuerons à penser, ils sont porteurs d’amour pour notre France et nous continuerons à aimer. Que Hollande le sache, que Valls le sache, car nous l’affirmons haut et fort : les Nationalistes vivront ! Et si ça n’est plus demain à notre bannière que vous nous reconnaîtrez, vous nous reconnaîtrez car nous serons toujours là, derrière vous, anonymes, dans vos déplacements, dans vos représentations, et demain dans votre défaite. Vous valserez avant nous et selon les règles de votre propre système.

    Dissoudre l’Œuvre française et les Jeunesses Nationalistes ? Foutaise !
    Une seule réponse claire et définitive : N-O-N !    
    Dissolution ? NON !

    Alexandre Gabriac
    Président des Jeunesses Nationalistes
    Yvan Benedetti
    Président de l’Œuvre française, envers et contre tout

    http://www.oeuvrefrancaise.com