Libres propos de Pierre Petrus recueillis par la section Œuvre française Maurice Barrès.
Ce n’est plus un fossé, mais un gigantesque gouffre idéologique qui sépare notre aspiration racialiste positive de la politique génocidaire et délirante, appliquée par un gouvernement jouant avec la survie de notre peuple avec un détachement inquiétant. Cette séparation idéologique brutale entraine des réactions qui le sont tout autant de la part d’un pouvoir qui veut notre mort, comme nous voulons résolument la sienne.
Parallèlement, depuis quelques semaines, nos mouvements de cœur (l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes) ont subi une intensification des menaces qui pesaient sur eux selon le schéma classique : diabolisation, répression puis dissolution. Il n’est pas question ici de polémiquer sur les procédures en appel qui sont établies par les responsables de ces groupes – auquel j’apporte tout mon soutien – afin d’enrayer la machine à dissoudre les peuples qu’est la République française. Nul ne sait combien de temps encore vont durer ces contentieux et ma boule de cristal ne me permet pas d’évaluer avec plus de précision ces recours dont j’espère tout de même une heureuse issue.
À moins que vous puissiez apporter une aide spécifique pour faciliter l’aboutissement favorable de ces recours, il est totalement inutile de spéculer éternellement sur l’évolution de cette affaire qui ne concerne que les personnes compétentes chargées de traiter ce problème. De la même manière, il est totalement improductif d’attendre sagement, dans un immobilisme complet, le dénouement à suivre sans entreprendre quoi que ce soit. Plusieurs semaines, voire plusieurs mois, peuvent encore s’écouler avant que la lourdeur singulière de la machine judiciaire n’arrive à son terme. D’où ma question : et si on brisait l’immobilisme ?
Allons-nous mettre à profit ce temps qui nous est imparti pour offrir généreusement ces jours précieux à l’ennemi ? Ou allons-nous nous servir de cet échéancier pour préparer le terrain du mouvement à venir ? Qu’il s’agisse de notre mouvement originel ou d’un autre en devenir, l’ennemi ne va pas patienter tranquillement et arrêter ses méfaits le temps que la justice juive statue sur notre sort.
Ceci est une réponse à un réflexe défensif que j’entends trop souvent dans la bouche d’une très infime minorité de mes camarades les plus jeunes. Avez-vous besoin d’une structure pour continuer le combat que nous menons ? Fort heureusement, non. Cette structure est un atout précieux que nous devons choyer, mais elle n’est en rien un composant indispensable dont l’absence nous priverait de toute décision. Si dans l’histoire on devait s’en tenir aux desiderata des tribunaux rabbiniques chargés de notre exécution avant d’accomplir chaque geste, nous serions déjà morts.
La meilleure défense, c’est l’attaque
Si certains se demandent quoi faire et vers qui se tourner pour continuer notre lutte, il leur suffit d’ouvrir leur fenêtre pour s’apercevoir que plusieurs millions de nos frères ne sont pas encore ouverts à notre idéal bienveillant. Comme dans l’armée, quand le chef s’absente temporairement, c’est vous le chef. Et la guerre ne s’arrêtera pas le temps que les gradés retrouvent leurs postes.
« Que faire ? Vers qui faut-il se tourner ? » répètent les plus fébriles. Il faut se tourner vers ses voisins, ses amis, ses proches, ses camarades et même des inconnus pour solidifier l’avènement futur de notre ordre nouveau. Vous voulez être plus actif ? Alors, DEVENEZ plus actif. La solution que vous cherchez tant n’est pas aussi éloignée que vous le pensez. Elle est en vous et il vous suffit d’embrasser l’activisme limpide pour hâter le renouveau révolutionnaire.
N’attendez pas toujours des autres qu’ils vous disent quoi faire et faites ce qui vous semble juste
Brisez la spirale de l’attentisme, balayez la peur de l’échec, osez l’initiative et le dévouement, augmentez votre force mentale et votre niveau de conscience, multipliez les contacts virtuels et réels avec vos camarades, allez à la rencontre des militants et des sympathisants, stimulez votre entourage sur les questions essentielles, approfondissez votre érudition, nourrissez-vous de l’expérience de vos amis et de vos ennemis, augmentez votre capacité mobilisatrice, déployez vos outils de communication, dynamisez vos projets, etc. Il n’y a aucune raison d’attendre quoi que ce soit. Les tâches ne manquent pas et notre liste d’options est si fournie qu’en comparaison elle en ferait pâlir de jalousie la très clairsemée liste de Schindler.
Et si par bonheur les structures que nous chérissons obtiennent les réhabilitations qu’elles méritent, nous serions bien heureux de pouvoir leur offrir les fruits de notre travail afin qu’ils nous épaulent dans notre noble quête. Notre but est proche, et plus nous avançons, plus nos ennemis tentent de nous convaincre du contraire. Quelques âmes de bonne volonté supplémentaires offrant leur implication et leur sueur finiront par terrasser les petits clowns décadents qui croupissent apeurés du haut de leur fragile tour d’ivoire. Ils ont raison de nourrir cette peur, car rien ne peut arrêter une poignée d’hommes déterminés et forgés par la vérité. Rien ne pourra arrêter la masse de soldats politiques éclairés et combattifs que nous développons. Technocrates débiles et imprudents, tremblez, car nous arrivons…
En avant la victoire !
Pierre Petrus http://pierrepetrus.wordpress.com/2013/09/21/et-si-on-brisait-limmobilisme/