Voici un petit mémo illustré sur les accords de Munich.
Entrez le mot «appeasement» (apaisement) dans un navigateur sur la recherche Google, puis cliquez sur « Images ». Vous verrez image après image après image la photo du Premier ministre britannique Neville Chamberlain, dont le nom est synonyme de cet «apaisement» et de la faiblesse en face d’un tyran.
L’histoire officielle, celle écrite par les vainqueurs, le raconte ainsi, Chamberlain aurait « apaisé » Hitler à la Conférence de Munich en Septembre 1938 en remettant la Tchécoslovaquie sous sa « domination ». La guerre aurait alors été évitée, mais « Hitler se serait enhardi par la complaisance de Chamberlain ».
Cette histoire est un mythe du même genre que la shoah des juifs.
ET MAINTENANT, VOICI LA VERITABLE HISTOIRE !
À la fin de la Première Guerre mondiale, les alliés victorieux ont redéssiné la carte d’Europe centrale et orientale. L’état artificiel de «Tchécoslovaquie» a été reconstitué en 1918, mélangeant les Tchèques, les Allemands et les Slovaques dans le nouvel Etat. Des minorités sont venues s’ajouter, des Roumains, des Hongrois, des Polonais ont également été forcés de vivre dans cet état «Frankenstein». La partie allemande (anciennement partie de l’Empire austro-hongrois) est une longue bande de territoire du nord appelé «Sudètes».
Au milieu des années 1930, un bolchévique nommé Edvard Benes est président de Tchécoslovaquie. Sous son régime, les Allemands subissent des attaques brutales et sont opprimés par les marxistes. Les 3 millions et 500 mille Sudètes allemands souhaitent rejoindre leurs frères allemands sous le Reich d’Hitler, mais se voient refuser le droit à l’autodétermination par le gouvernement stalinien de Benes.
Pendant ce temps, juifs et bellicistes mondialistes en Grande-Bretagne manœuvrent pour créer une guerre entre la Grande-Bretagne et l’Allemagne. La controverse qu’offre la Tchécoslovaquie et les Sudètes est parfaite pour leur objectif. Pour pousser Hitler à la guerre, les marxistes Tchèques intensifient leurs agressions contre les Allemands sudètes impuissants.
En maltraitant délibérément les Allemands des Sudètes, ils espèrent pousser Hitler à la faute. Celui-ci menace de libérer la région des Sudètes par la force, un mouvement qui pourrait mener à la guerre avec la Grande-Bretagne, la France et l’URSS. Dans une tentative désespérée pour éviter la guerre, Hitler invite trois dirigeants européens pour une conférence à Munich.
La Conférence de Munich se déroule entre quatre chefs d’Etat européens. Hitler, Mussolini pour Italie, Daladier pour la France, et Chamberlain pour la Grande Bretagne. Ils se rencontrent de bonne foi dans le but de résoudre la crise déclenchée par l’État [bolchévique] gangster artificiel de Tchécoslovaquie.
Les parties conviennent que les Sudètes devraient légitimement être réunies avec l’Allemagne, et que les Slovaques devraient également avoir leur propre Etat. (République slovaque 1939-1945).
Le faux état tchécoslovaque est dissout et l’Allemagne établit des protectorats AUTONOMES avec ce qui reste (Bohême et Moravie). Sans qu’aucun coup de feu ne soit tiré, les Allemands sont accueillis dans le Reich, tandis que les ethniques Tchèques et Slovaques obtiennent également chacun leur propre état. Même la minorité Polonaise et les Hongrois sont en mesure de rejoindre leurs nations respectives. L’accord de Munich est une situation gagnant-gagnant-gagnant-gagnant – gagnant pour les 5 groupes ethniques de Tchécoslovaquie !
Le rat bolchévique Benes s’exile à Londres, et rejoint les fauteurs de guerre juifs qui l’accueillent à bras ouverts.
À son retour en Grande-Bretagne, Chamberlain est accueilli par une foule en liesse. Il se réjouit de l’accord de Munich comme « la paix dans notre temps ». Dans toute l’Europe, Chamberlain est loué pour sa diplomatie calme.
Mais pendant que Neville Chamberlain est accueilli en héros, le belliqueux alcoolique Winston Churchill lance, complètement hors sujet, sa célèbre phrase à deux balles : « Vous aviez le choix entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre. »
L’historien britannique David Irving a révélé que le gouvernement bolchévique tchèque de Benes avait secrètement soudoyé Churchill (avec de l’argent tout simplement) pour qu’il oeuvre à remplacer Chamberlain.
La baleine qui a vendu le monde occidental
Lors de sa visite triomphale dans les Sudètes allemands libérés, Hitler est accueilli lui aussi en héros, comme Chamberlain en Angleterre.
Au cours de l’été 1939, les fauteurs de guerre mondialistes manipulent la Pologne (qui détient également captive une minorité allemande opprimée) pour rejouer exactement le même scénario qu’avec la Tchécoslovaquie en 1938, pour pousser Hitler à la faute et obtenir un prétexte pour déclarer la guerre. Et encore une fois, Hitler appelle à une conférence d’urgence.
Mais cette fois-ci, le pauvre Neville Chamberlain ne peut s’opposer aux puissantes forces va-t-en-guerre de Grande-Bretagne. Moins d’une semaine avant que le conflit éclate, Chamberlain est obligé de signer un pacte de défense militaire avec la Pologne. Il n’y aura pas de négociations de paix !
La peinture de Salvador Dali, « L’énigme de Hitler » dépeint un téléphone en pleurs et un parapluie, la marque de Chamberlain, pendu à la branche. Les appels téléphoniques désespérés d’Hitler vers l’Angleterre ont été ignorés.
Jusqu’au 1er Septembre 1939, les meurtres répétés d’Allemands par les milices communistes juives polonaises obligent Hitler à intervenir militairement, mais sans déclaration de guerre, il s’agit uniquement de faire cesser les massacres. Les états corrompus de Grande-Bretagne et de France en profitent aussitôt pour déclarer la guerre, c’est ce qu’ils cherchaient. Churchill jubile à propos de sa prophétie de guerre.
Ainsi est née la légende de « l’apaisement » de Neville Chamberlain!
Source : tomatobubble.com via Stormfront
Traduction libre : Propagandes.info
http://www.propagandes.info/blog/