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  • L'économie française a détruit 74 000 postes en 2014, selon l'Insee

    Malgré une stabilisation au quatrième trimestre grâce à l'intérim, l'année a été plus morose que prévu pour l'emploi salarié.
    L'économie française a détruit 74 000 postes (- 0,5 %) en 2014 dans le secteur marchand, malgré une stabilisation au 4e trimestre grâce à l'intérim, selon des données définitives moins bonnes que prévu publiées mercredi par l'Insee. Au dernier trimestre, le secteur marchand a connu 1 300 suppressions nettes d'emploi (- 0,0 %). Dans son estimation publiée en février, l'Institut national de la statistique était plus pessimiste pour le 4e trimestre (- 5 100 emplois) mais plus optimiste pour le chiffre annuel (- 67 600 emplois). Entre-temps, l'organisme a révisé à la hausse les destructions du 3e trimestre, à 59 900 contre 55 200 précédemment.
    Sur le dernier trimestre, en revanche, l'emploi temporaire a permis de limiter les dégâts. Selon les chiffres définitifs, l'intérim a créé au 4e trimestre 24 100 emplois (+ 4,7 %), effaçant une baisse de même ampleur sur la période précédente. Ces bons chiffres ont permis de compenser de nouvelles baisses dans les secteurs de l'industrie (- 10 400 postes, - 0,3 %) et de la construction (- 17 700, - 1,3 %). De son côté, le secteur tertiaire hors intérim s'est stabilisé : 2 700 postes créés (+ 0,0 %). Même tendance sur l'année, où seuls les secteurs tertiaires (+ 0,1 %) et de l'intérim (+ 0,1 %) sont dans le vert. L'industrie (- 1,2 %) et la construction (- 3,5 %) ont continué de se dégrader.
    Tendances lourdes
    Il s'agit de tendances lourdes. Dans l'industrie, la situation s'est détériorée sans discontinuer depuis 2001, le secteur ayant perdu en quatorze ans un quart de ses effectifs, soit près d'un million d'emplois. La construction, quant à elle, a rayé de la carte 160 000 emplois (- 10,6 %) depuis le 3e trimestre 2008. En 2014, c'est la faible croissance qui est responsable des mauvais résultats. Le produit intérieur brut (PIB) n'a progressé que de 0,4 % l'année dernière, comme en 2013. Mais le gouvernement est plus optimiste pour 2015. Il espère dépasser sa prévision de 1 % de croissance et, "à partir de 1 %, on recrée de l'emploi", assurait en février Michel Sapin, ministre des Finances, lors de la publication des chiffres provisoires.
    L'Insee s'attend, elle aussi, à une amélioration, notamment grâce aux effets du crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) et des autres mesures du pacte de responsabilité. Mi-décembre, l'institut évaluait leur impact à 80 000 emplois sauvés ou créés en 2015. Insuffisant toutefois pour faire repasser le secteur marchand dans le vert puisque l'Insee table sur 11 000 suppressions nettes de poste au premier semestre de 2015. Mais le gouvernement compte notamment sur les emplois aidés pour faire mentir les pronostics. Il a donné la consigne d'accélérer les signatures de nouveaux contrats aidés en ce début d'année, sans toutefois dépasser les 445 000 contrats prévus en 2015, a indiqué une source gouvernementale, confirmant une information des Échos. Coût de l'opération : 170 millions d'euros supplémentaires.

    fp via le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukypZluuVybUFWbSW.shtml

  • Drame en Argentine, rapport Tarabella, Martin Schultz, Manuel Valls, Mazarine Pingeot : l’actualité vue par Gollnisch

     

    L’actualité vue par Bruno Gollnisch :

    •  Drame en Argentine : émotion et interrogation après la mort des trois champions français, d’une équipe technique de la télévision et des pilotes des hélicoptères. Une réaction ?
    •  Le rapport Tarabella a été adopté au Parlement européen avec les votes de très nombreux élus UMP. Ce que vous appelez « la culture de mort » continue de progresser dans cette institution ?
    • Vous venez de rappeler au règlement le président Martin Schultz sur le sujet de l’enquête préliminaire sur les assistants parlementaires des députés du Front… (voir l’intervention de Bruno Gollnisch en séance plénière)
    • Manuel Valls a-t-il perdu son sang-froid mardi après-midi face à Marion le Pen à l’Assemblée nationale, en lançant notamment qu’il fallait « stigmatiser le FN… » ?
    • Mazarine Pingeot a semblé très agressive samedi dans l’émission « Les Grandes Questions » sur France 5 où vous étiez parmi les invités pour parler des théories du complot… (revoir l’émission)
    • Retour de voyage à Beyrouth…
    • Agenda : Vénissieux, Genas, Beaujolais…
  • Drame en Argentine, rapport Tarabella, Martin Schultz, Manuel Valls, Mazarine Pingeot : l’actualité vue par Gollnisch

    L’actualité vue par Bruno Gollnisch :
    •  Drame en Argentine : émotion et interrogation après la mort des trois champions français, d’une équipe technique de la télévision et des pilotes des hélicoptères. Une réaction ?
    •  Le rapport Tarabella a été adopté au Parlement européen avec les votes de très nombreux élus UMP. Ce que vous appelez « la culture de mort » continue de progresser dans cette institution ?
    • Vous venez de rappeler au règlement le président Martin Schultz sur le sujet de l’enquête préliminaire sur les assistants parlementaires des députés du Front… (voir l’intervention de Bruno Gollnisch en séance plénière)
    • Manuel Valls a-t-il perdu son sang-froid mardi après-midi face à Marion le Pen à l’Assemblée nationale, en lançant notamment qu’il fallait « stigmatiser le FN… » ?
    • Mazarine Pingeot a semblé très agressive samedi dans l’émission « Les Grandes Questions » sur France 5 où vous étiez parmi les invités pour parler des théories du complot… (revoir l’émission)
    • Retour de voyage à Beyrouth…
    • Agenda : Vénissieux, Genas, Beaujolais…

    http://gollnisch.com/2015/03/12/drame-argentine-rapport-tarabella-schultz-valls-pingeot/

  • Le maire UDI Jean-Philippe Dugoin-Clément raille à son tour le physique des candidats FN

    Jean-Philippe Dugoin-Clément est le maire UDI de Mennecy (Essonne), et le directeur général des services de Montereau-Fault-Yonne (maire Yves Jégo). Il a dérapé sur twitter en fustigeant le physique des candidats FN.

    Peu de temps après qu’un journaliste de France 2, Michel Mompontet ait critiqué le physique d’un candidat FN, puis effacé son tweet, c’est au tour de Jean-Philippe Dugoin-Clément de déverser une sorte de haine malsaine sur le physique de certains candidats FN.

    Ce même Jean-Philippe Dugoin dénonçait la veille les méthodes de bandits de certains candidats UMP. Faisait-il référence à Serge Dassault, à Georges Tron ou au passé de son père Xavier Dugoin tristement connu ? Était-ce à Franck Marlin (député-maire d’étampés) qu’il s’adressait ? Cet homme condamné dans l’affaire « Xavier Dugoin », candidat suppléant dans le canton d’Etampes aux départementales 2015, aussi connu pour l’islamisation de sa ville ?

    Notons que malgré son passé judiciaire, Xavier Dugoin, le père de Jean-Philippe Dugoin est candidat UDI aux départementales 2015 dans l’Essonne, et qu’il vise même la présidence du Département.

    Jean-Philippe Dugoin fait partie de ces pseudo-notables s’étant fait une place en politique « grâce à papa » que les Français ne doivent guère apprécier. Ce mépris pour le physique de certains candidats s’apparente à du « délit de faciès ». Qu’auraient dit les associations bien-pensantes si ces candidats avaient été « issus de la diversité » ?

    Après les écarts psycho-fébriles de Monsieur Valls envers le Front National et plus particulièrement envers Marion Maréchal Le Pen, Tous les partis vont-ils enchainer le pas pour « combattre le FN » avec des méthodes de « fonds de poubelles » ?

    Les 22 et 29 mars 2015, les Français feront-ils le bon choix en donnant leur voix de façon massive aux candidats du Front National, afin de mettre à mal un système à bout de souffle dans ses derniers soubresauts pitoyables ?

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    Aux urnes citoyens ! Voici de quoi vous donner envie de voter pour l'extrême droite... Voili, voilà, voilou...

     

    http://fr.novopress.info/183769/maire-udi-jean-phiippe-dugoin-clement-raille-tour-physique-candidats-fn/

  • Les enfants de l’idéologie libérale-libertaire

    Dresser un portrait de la jeunesse actuelle ne peut se faire sans essayer de comprendre les tenants et les aboutissants de la révolution culturelle de mai 1968 qui a façonné l’idéologie libérale-libertaire qui nous domine toujours.

    A l’époque, le fossé des générations sans précédent, « un événement mondial, quelque chose qui ne s’était encore jamais produit avec cette simultanéité et sur une telle échelle » a eu comme conséquence que les jeunes, se sentant « étrangers à leurs parents » [1], ont voulu imposer leur vision du monde à la société. Ils n’ont pas essayé d’élaborer une société représentative des différentes générations qui la composaient mais, au contraire, ont imposé leur génération comme socle de la nouvelle ère. Génération des mots d’ordre « il est interdit d’interdire » et « CRS SS », cette nouvelle ère a alors blâmé l’autorité comme valeur de lavieille génération ringarde au profit du développement personnel comme valeur de la jeune génération oppressée.

    De cette révolution culturelle opérée par les jeunes bourgeois de l’époque s’en est alors suivi une forte alliance – celle que l’on se plaît à nommer l’idéologie libérale-libertaire – entre d’une part le libéralisme économique et d’autre part le libéralisme culturel, les deux poursuivant une logique semblable : celle de l’illimité.

     

    Le libéralisme est une doctrine économique « qui se donne le marché pour seul fondement, avec pour alliées naturelles l’initiative privée et la libre concurrence » [2]. Il faut rajouter à cette définition qu’une des fonctions du libéralisme économique est la volonté d’accumuler toujours plus, de manière croissante, des capitaux et des profits. De son côté, le libéralisme culturel est la volonté d’étendre toujours plus les droits subjectifs des individus en écartant tout procédé qui serait susceptible de les limiter. Les deux fonctionnent désormais de paire : le libéralisme culturel créant de nouveaux marchés pour le libéralisme économique et le libéralisme économique approfondissant toujours plus le libéralisme culturel.

    Cette alliance, somme toute logique, est le fruit du combat qu’ont mené les soixante-huitards contre toutes les formes d’autorité afin qu’ils puissent jouir sans entraves. Néanmoins, certaines formes d’autorité légitimes sont nécessaires pour construire une société ambitieuse, soucieuse de transmettre son héritage aux générations suivantes et respectueuse de la fonction des individus qui la composent.

    Les jeunes soixante-huitards ayant assimilé l’autorité au fascisme, les rapports intergénérationnels qui ont suivi les événements de 1968, selon le pédopsychiatre Patrice Huerre, « se sont un peu dilués dans une bienveillance apparente des adultes, qui souhaitaient rompre ainsi avec la période antérieure et favoriser le dialogue et l’épanouissement de chacun, refusant l’opposition et le conflit » [3]. Si l’intention d’abandonner toute forme d’autorité, au profit d’une flexibilité, peut paraître alléchante, il n’en reste pas moins que l’enfer est pavé de bonnes intentions, et que celle-ci a entraîné des conséquences néfastes pour la jeunesse contemporaine.

    La délégitimation de la fonction paternelle

    Aujourd’hui, la société dans son ensemble ne soutient plus la fonction paternelle dans la famille comme l’a constaté le psychanalyste Jean-Pierre Lebrun : « c’est dans un mouvement de va-et-vient, que fonction paternelle et société se délégitiment aujourd’hui mutuellement de leur tâche ; c’est bien de ne plus être soutenue par le social que la fonction paternelle décline » [4] . En effet, désormais, les parents se doivent d’écouter leur enfant et se soucier principalement de son émancipation individuelle. L’autorité que le père est censé incarner s’étiole donc dans un souci de compréhension de l’enfant. A tel point que l’on ne pourrait désormais plus parler de couple père et mère mais de couple mère et mère bis, ce qui ne laisse pas sans poser de problèmes.

    Le père est celui qui apprend l’altérité à l’enfant. Il est celui qui apprend à l’enfant que la mère n’est pas toute à lui puisqu’il demeure en couple avec elle. Il est aussi un Autre plus lointain que la mère – car il n’est pas aussi proche physiquement de son enfant que la mère l’a été – et avec qui l’enfant va pourtant devoir composer. Il vient donc annoncer à l’enfant qu’il n’existe pas que la relation duelle avec sa mère, mais qu’il peut et doit aussi exister une relation avec un tiers. Le père vient donc introduire l’enfant au monde, à ce qui est différent. Il vient donc aussi montrer à l’enfant l’existence d’une dissymétrie entre lui et la mère et non une symétrie.

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  • Pendant que l'euthanasie se discute, les Sentinelles veillent

    Cela fait deux jours qu'elles sont devant l'Assemblée :

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    Michel Janva

  • Nouvelle campagne du Bloc identitaire : « La France, on l’aime quand ils la quittent ! »

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    Le nouveau slogan de la dernière campagne du Bloc Identitaire comme à l’habitude ne manque ni d’humour, ni de pertinence. Selon le Bloc identitaire, “de la racaille affichant son racisme anti-français et anti-blanc à l’islamiste, une même haine de notre peuple et notre identité s’exprime ! Les frères Kouachi et Merah sont d’ailleurs désormais des stars, voire des modèles, pour certains” ce que résume on ne peut mieux la série d’autocollants édités !

    http://fr.novopress.info/183612/france-on-laime-quittent/

  • RSI : Racket Sans Interruption

    Artisans, commerçants, « petits patrons ». Ils ont défilé dans les rues de Paris le 9 mars contre le RSI, le Régime Social des Indépendants. Venus de toute la France, ces travailleurs indépendants qui représentent près de 5 millions de personnes en France se disent victimes, depuis sa création en 2006, d’un « racket organisé » par l’état. Le RSI qui assure la protection sociale des travailleurs non salariés, serait responsable selon eux, de la faillite de dizaines de milliers de très petites entreprises en France. Il faut dire que le niveau de leurs cotisations sociales atteint 55% de leurs bénéfices. Récemment, dans une interview, le vice Président du Medef avouait que deux chefs d’entreprise se suicidait chaque jour en France… Réinformation TV a suivi la manifestation à Paris.

    Michel Janva

  • Le crétinisme a-t-il contaminé l’Éducation nationale ?

    Michel Onfray, en traitant plaisamment le Premier ministre de « crétin », a tendu la main à notre éternel veilleur qu'est Jean-Claude Brighelli, qui écrivit, il y a quelques lustres, un ouvrage qui a fait bien du bruit : La Fabrique du crétin.

     

    L’« École du XXIe siècle » – du moins son simulacre – que l’on somme de « bouger » n’avance guère. Ainsi, parfois, à l’opéra, un ténor hurle « Avanti ! », quand il ne fait qu’agiter ses gambettes. C’est, en effet, une farce inusable qui dure depuis maintenant trente ans, un disque rayé, une logorrhée en boucle. Le scénario est toujours le même : nos pédagogues hissent l’oriflamme de l’ultime réforme, celle qui va emporter le morceau. Mais voilà : s’il y a bien mouvement, il est celui de l’effondrement, de l’envasement, de l’enlisement dans la confusion. Et, comme à l’opéra, on essaie de passer la rampe en forçant sur le lyrisme, l’emphase, la grandiloquence, la rhétorique creuse et catéchistique. On va s’occuper – enfin ! – de la « réussite » des élèves ! Prétention exorbitante , quelque peu grotesque. Du Jarry.

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