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  • Samedi 21 novembre à Paris : "immigration : stop ou encore?"

    Un colloque qui s'annonce passionnant : 

    Tion stop"L’arrivée massive d’immigrants en Europe est un phénomène exceptionnel. D’une part à cause de l’ampleur du phénomène et d’autre part à cause de la nature musulmane de cette immigration, dans un contexte de multiculturalisme qui interdit toute assimilation. Enfin, à cause de la crise économique persistante, qui a appauvri la plupart des citoyens. Dans cette conjoncture, la France a adopté une posture morale de générosité sans condition et d’ouverture sans limite. La France est donc en danger : comment accueillera-t-elle vraiment ces immigrants supplémentaires, alors que l’échec des précédentes politiques migratoires est déjà patent ? Et comment préservera-t-elle son identité alors que celle-ci est niée par ses élites et combattue par les nouveaux arrivants ?

    14H15 Introduction par François Bel-Ker ,Secrétaire Général d'Action Française.

    14H30 Table-ronde sur les constats animée par Olivier François, journaliste.

    Au-delà du mensonge des mots, au-delà des statistiques ambigües, que peut-on réellement dire de l’immigration, en France, aujourd’hui ?

    -Renaud Camus, écrivain et président du Parti de l'In-nocence

    -Julien Rochedy, entrepreneur et ancien président du Front National Jeunes

    -Raphaël Liogier, sociologue, philosophe et professeur à l'IEP d'Aix-en-Provence

    15H15 Pause

    15H30 Entretien : Idées reçues, mensonges et vérités sur l'immigration, animé par Aloysia Biessy, journaliste.

    - 5 questions à Jean-Paul Gourévitch, auteur de Les migrations pour les nuls.

    16H00 Table-ronde sur l'enseignement de l'Histoire et sur la culture, animée par Stéphane Blanchonnet, Président du Comité Directeur d'Action Française.

    Chaque personne a une identité, qui participe d’autres identités, d’autres cultures qui ne sont ni équivalentes, ni réductibles les unes aux autres, ni sans conséquences sur la capacité des individus à vivre ensemble.

    -Guillaume de Tanouärn, prêtre et écrivain

    -Karim Ouchikh, président du SIEL

    -Albert Ali, écrivain

    -Eric Letty, essayiste et journaliste

    -Jean-Philippe Chauvin, professeur d'histoire

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    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Captagon, drogue dure des djihadistes sponsorisée par l’Arabie saoudite

    Un prince saoudien s'est fait pincer au Liban, le jet bourré de plus de deux tonnes de Captagon, la drogue dont raffole l'État islamique.
    Un avion peut en cacher un autre… Tandis que les médias se concentrent sur « Air Cocaïne », la très irrégulière compagnie privée de trafic de drogue de République dominicaine, un autre avion, dont la compagnie aurait pu s’appeler « Air Captagon », fait timidement parler de lui.
    Il s’agit du jet privé appartenant au prince saoudien Abdel Mohsen, saisi avec à son bord plus de deux tonnes de cette drogue très appréciée des combattants de l’organisation État islamique. Les djihadistes en Syrie et en Irak ne tarissent pas d’éloge sur cette pilule « miracle » : « Cela donne la pêche, tu te mets à combattre sans te fatiguer. Tu marches droit devant toi. Tu ne connais plus la peur. Les combattants l’utilisent pour veiller, pour contrôler leurs nerfs et pour augmenter leurs performances sexuelles », expliquait un trafiquant au cours d’un reportage diffusé sur la chaîne Arte.
    Un témoignage confirmé par un officier syrien de la brigade des stupéfiants de la ville de Homs à l’agence Reuters :  »On les frappait et ils ne ressentaient pas la douleur. La plupart d’entre eux rigolaient alors qu’on les bourrait de coups ».
    55 millions de comprimés saisi en Arabie saoudite chaque année
    Sa production ne nécessite qu’une maîtrise des bases de la chimie et peu de matériel, ce qui en fait un business très rentable : « Un sac de 200 000 pilules rapporterait un demi-million de dollars et ne coûterait que quelques milliers de dollars à être fabriqué », peut-on apprendre dans le reportage d’Arte.
    En plus d’augmenter les performances physiques et mentales des djihadistes, le Captagon offre une source de revenu considérable à l’organisation État islamique, son principal client étant l’Arabie saoudite où pas moins de 55 million de comprimés y sont saisis chaque année selon un rapport des Nations unies. Un business qui révèle un peu plus les relations étroites entretenues entre le Royaume d’Arabie saoudite et l’État islamique.
    Comble de l’ambiguïté : selon les propos de journalistes bulgares rapportés par Courrier international, le Captagon serait produit par des laboratoires de l’OTAN en Bulgarie. En 2014, un expert pharmaceutique bulgare monnayant ses conseils aurait même été arrêté au Liban.

  • [Marseille] Cercle Action française

    Ce samedi 29 octobre, une trentaine de militants et sympathisants d’Action Française s’étaient donné rendez-vous au local pour écouter l’abbé Bauvais, venu nous entretenir de la violence chez les catholiques.

     

  • Qui les Etats-Unis combattent-ils au Moyen-Orient?

    Le 22 octobre, comme l'ont montré des vidéos largement diffusées, des « forces spéciales » américaines ont participé en appui de combattants kurdes (Peshmerga) à une opération contre une installation de ISIS près de Kirkuk dans le nord de l'Irak. L'action, qui entraina la mort d'un sergent chef américain,fut présentée comme un succès. Elle s'était traduite par le libération de 70 otages kurdes détenus par ISIS.

    Ceci montrait que, contrairement à l'affirmation de Obama selon laquelle aucune troupe au sol américaine ne demeurait en Irak, des forces spéciales opéraient dans ce pays de façon discrète. Le secrétaire à la défense Ashton Carter a d'ailleurs tout de suite confirmé l'information et affirmé l'intention de l'armée américaine d'intensifier ses opérations en Iraq.

    Nul ne s'en plaindrait. La coalition montée par Obama contre Isis s'étant jusque là, hormis quelques frappes aériennes, montré peu significative, allait peut-être enfin prendre de l'importance et seconder les actions menées de son côte avec succès en Syrie par la Russie.

    Il ne semble malheureusement pas que ce soit le cas. L'opération contre ISII à Kirkuk ne visait pas réellement à combattre ISIS, lequel reste soutenu par Obama dans les actions menées contre Bashar al Assad en Syrie. Elle paraît au contraire conduite pour disputer à la Russie la supériorité stratégique et diplomatique que celle-ci s'est acquise du fait de ses interventions en Syrie. Dans la suite de l'opération à Kirkuk, le général Joe Dunford, commandant des forces américaines, vient d'indiquer après une visite en Irak qu'il était désormais temps d'élargir le champ des opérations militaires. Mais contre qui?

    A nouveau, se pose la question de savoir qui est visé par cet élargissement. Depuis plusieurs jours, une campagne menée par John Kerry relance l'idée d'imposer une zone de non-survol (no fly zone), sur la Syrie, afin de protéger les populations. Ceci ne peut viser que l'aviation russe, seule pratiquement à opérer dans la région. Si ce sont des avions américains ou turcs qui assurent le contrôle de cette zone de non survol, des conflits se produiront inévitablement avec l'aviation russe.

    Des incendiaires à Washington

    Obama et Ashton Carter ont jusqu'ici résisté à ces pressions. Mais il est inquiétant de voir qu'aux Etats-Unis même, des voix de plus en plus influentes reprochent à Obama sa faiblesse – faiblesse non contre ISIS mais faiblesse à l'égard des Russes. Des sénateurs républicains de plus en plus nombreux, chacun par ailleurs des candidats républicains à l'investiture pour les élections de 2016, de nombreux représentants des démocrates et de la communauté du renseignement font à Obama le même reproche. Parmi eux on note l'ancien directeur de la CIA David Petraeus, les chefs de la rédaction des journaux Wall Street Journal et Washington Post, ainsi que, bien plus inquiétant, la probable candidate démocrate aux présidentielles, Hillary Clinton.

    Dans le même temps, l'ambassadeur irakien aux Etats-Unis Lukman Faily et le leader des shiiteirakiens kim al-Zamili ont fait connaitre que dans les prochaines semaines, si les succès russes en Syrie se confirmaient, Bagdad demanderait aux Russes d'y mener également des frappes aériennes. Il a dit souhaiter par ailleurs que les Russes jouent un plus grand rôle en Irak, bien supérieur à celui des Américains. Ce point de vue est désormais partagé par la Jordanie, alliée traditionnelle des Etats-Unis. Elle vient de connaître le souhait d'un rapprochement avec les Russes en vue de coordonner les actions contre ISIS.

    Tout ceci devrait réjouir l'ensemble des parties associées dans la lutte contre l'Etat islamique. Mais les Américains, non sans raisons d'ailleurs, y voient la preuve que la Russie les a supplanté dans le rôle traditionnel d'arbitre au Moyen-Orient – rôle bien mal joué d'ailleurs car depuis 10 ans Washington a provoqué plus de 10 guerres successives, entrainant plus de 500.000 victimes directes sans compter au moins 1 million de réfugiés

    Cependant, aux Etats-Unis, il est réconfortant de constater que des personnalités éminentes ont demandé à l'administration de renoncer à faire tomber Bashar al Assad , mais au contraire de s'entendre avec lui et Vladimir Poutine. Ce fut le cas de l'ancien président Jimmy Carter et même de Henry Kissinger qui a publié récemment un article intitulé “A Path Out of the Middle East Collapse,”

    Démission de la France

    Un certain nombre d' « experts » français de la Russie, comme ceux qui se sont exprimés sur France Culture à 11h le 25/10, prévoient que le soutien des électeurs à Poutine ne résistera pas aux possibles pertes militaires russes en Syrie. Différentes enquêtes semblent montrer au contraire que si ceci advenait, le soutien dont bénéficie Poutine serait encore accru. Il apparaitrait comme le vrai sauveur de l'honneur, non seulement de l'armée mais de la Russie toute entière, face aux années de capitulation devant l' « Occident » imposées par Washington dans sa volonté de détruire une bonne fois la Russie, même lorsqu'elle a abandonné le communisme. L'esprit de la « Grande guerre patriotique » contre les Allemands durant la campagne de Russie et les millions de morts russes en ayant découlé, pourrait renaître.

    Les sources que nous pouvons consulter en ce qui nous concerne, via notamment les amis de Jean-Pierre Chevènement, montrent par ailleurs que les leaders d'opinion russes actuels accueilleraient avec beaucoup de faveur un rapprochement de la France avec la Russie, non seulement dans la question de l'Ukraine et de la Syrie mais sur des questions quasiment philosophiques beaucoup plus larges . Malheureusement les représentants du gouvernement français actuel continuent imperturbablement à s'y refuser.

  • Lancement des adhésions à la Dissidence Française !

    La Dissidence Française franchit aujourd’hui un cap ! Fondée il y a près de 5 ans, notre Mouvement s’est rapidement distingué par son esthétique et sa radicalité, par l’énergie et l’activisme déployés par nos militants pour la France, contre le mondialisme et contre ce que nous avons appelé la République des partis, des loges et des lobbies

    Au total, nous avons déjà mené plus de 300 actions dans 50 départements, nous avons collé des milliers d’affiches, distribué des milliers de tracts, des centaines de repas à des SDF, nous avons participé à des dizaines de manifestations et de rassemblements partout en France, et tout cela nous l’avons fait sans jamais vous demander un centime.

    Parce que les perspectives de notre pays sont aujourd’hui plus sombres que jamais, et qu’aucune alternative véritable ne semble s’esquisser, il est temps pour la Dissidence Française de passer à la vitesse supérieure, et d’accélérer son développement.

    Pour cela, nous avons besoin de vous ! Aidez-nous à poursuivre le combat, aidez-nous à financer nos tournées de solidarité de populaire, nos impressions de tracts, affiches, drapeaux et banderoles, aidez-nous à financer l’acquisition d’un local en région parisienne, les coûts de nos sites web, ou d’éventuelles actions en justice… Votre soutien financier est essentiel. Il est la garantie de notre totale indépendance : nous ne percevons en effet ni subvention, ni recettes publicitaires.

    Pour 3€ par mois (36€ par an), vous pouvez désormais devenir Membre adhérent à la Dissidence Française et militer à nos côtés en rejoignant officiellement notre Mouvement. Vous pouvez également nous apporter votre soutien autrement : en nous faisant directement un don du montant de votre choix !

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    La Dissidence Française :

    http://la-dissidence.org/2015/11/05/lancement-des-adhesions-a-la-dissidence-francaise/

  • Puisque malgré son jeune âge, il faut lui rafraichir la mémoire…

    Mauvaise foi ou perte de mémoire ?

    Dans une réaction au Lab, Marion Maréchal Le Pen dit ne plus savoir quoi faire pour arrêter la guerre qu’elle a elle-même déclarée à la Ligue du Sud en s’appuyant, comme de coutume, sur des mensonges.

    MMLP oublie donc nos tentatives d’alliance lors de son arrivée dans le Vaucluse en 2012 où c’est sans peine que nous avons travaillé à son élection de député cette même année, alors même que le FN avait présenté une candidate contre Jacques Bompard à cette même élection.

    Aux élections municipales, Jacques Bompard et la Ligue du Sud ont soutenu toutes les listes FN-RBM de Vaucluse qu’ils pouvaient ; enfin, Marine & Marion ont utilisé dans les médias les excellentes gestions d’Orange et de Bollène pour légitimer toutes leurs listes de France et de Navarre. Notre fonctionnement à Orange et Bollène prouve une excellente gestion, ces qualités ont été largement reconnues par Marine & Marion.

    Plus particulièrement encore, Jacques Bompard et la Ligue du Sud ont soutenu la liste FN-RBM de Sorgues, liste sur laquelle MMLP était présente. Peu de temps avant, alors qu’une réunion de fin de campagne était organisée et que la tête de liste souhaitait la présence de Jacques Bompard, Mesdames Le Pen ont refusé sa présence à la tribune… et c’est sans bruit, pour ne pas nuire à l’éventuel succès de sa tentative d’enracinement que nous nous sommes tûs…

    Aux élections sénatoriales, Madame Le Pen s’est battue ardemment pour appuyer la candidature d’un inconnu qui a été 10 ans durant Directeur général des Services de Patrick Balkany à Levallois-Perret et qui, par la suite, a prouvé qu’il n’avait aucun intérêt pour le combat et les valeurs.

    http://www.liguedusud.fr/2014/11/19/defaite-aux-senatoriales/

    De notre côté, nous soutenions la candidature de Marie-Claude Bompard, militante enracinée de Vaucluse, maire de Bollène, conseillère départementale et qui a gagné tous ses mandats face à la Gauche.

    C’est en vérité depuis que MMLP n’a pas pu faire de l’ex collaborateur des Balkany un Sénateur que cette dernière nous voue une rancœur tenace… Rancœur tenace qui lui a déjà coûté la gestion du département de Vaucluse, promise par les sondages. Cet échec est directement lié à son acharnement à détruire ce que Jacques Bompard et la Ligue du Sud construisent dans le Nord Vaucluse, alors, qu’une fois encore, nous avons tendu la main au FN en lui demandant de stopper sa stratégie suicidaire :

    http://www.liguedusud.fr/2014/10/06/droit-reponse-au-journal-minute-les-senatoriales/

    « De notre côté, nous n’avons pas d’amertume et nous lui tendons la main, ainsi qu’à tous les responsables politiques vauclusiens, du FN ou d’autres sensibilités, en vue de soutiens réciproques, canton par canton, en mars prochain. Avec 400 voix, le PS a deux sénateurs. Avec 800 voix, la droite désunie n’en a qu’un ! Face à l’ironie de la justice immanente, notre projet d’union des droites est donc plus que jamais d’actualité, mais il ne rime pas avec absorption dans telle ou telle machine partisane. »

    On passera sur le fait que MMLP nous reproche de ne pas avoir pu nous allier lors des Européennes, scrutin auquel nous n’avons pas participé. De plus, au sortir des élections départementales, nous avons tendu une nouvelle fois la main et confirmé notre geste lorsque les conseillers départementaux Ligue du Sud ont voté pour Hervé De Lépinau lorsqu’il s’est présenté à la Présidence du Conseil départemental de Vaucluse.

    http://www.liguedusud.fr/2015/03/29/resultat-des-elections-departementales-2015-pour-le-canton-dorange/

    « Enfin, et toujours sur la ligne que tient la méthode Bompard, nous proposons dans les perspectives qui s’offrent à nous une union des droites. »

    Marion Maréchal Le Pen devrait peut-être donc reconsidérer ses positions quant à notre réel combat pour l’union des droites au sein des différentes instances électorales et surtout cesser de nous considérer comme des ennemis. Enfin, il est inutile de rappeler que Jacques Bompard est le seul député à se battre pour la défense les valeurs traditionnelles au service du bien commun (lutte contre le grand remplacement, contre l’immigration, pour la vie, pour l’emploi…) et qu’une comparaison vulgaire de ses méthodes à un communisme attardé est abjecte. Abjecte quand on connait le fonctionnement du FN qui, comme tous les gros partis parisiens, place l’intérêt du parti avant l’intérêt des Français.

    http://www.liguedusud.fr/2015/10/28/puisque-malgre-son-jeune-age-il-faut-lui-rafraichir-la-memoire/

  • Pour en finir avec les fantasmes occidentaux sur la Crimée

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    Monsieur Obama devrait cesser de fantasmer sur une Crimée ukrainienne. Les gens de Crimée sont heureux et fiers d’avoir retrouvé leur patrie. Ses imprécations ne sauraient altérer l’amour que les Criméens portent à leur pays la Russie.
    Récemment, Barack Obama a déclaré qu’il ne reconnaîtrait jamais le résultat du référendum concernant le rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie, propos repris mercredi dernier par Evelyn Farkas, ancienne assistante au Secrétariat à la Défense des USA.
    Après trois mois passés dans la péninsule et de nombreux contacts avec les habitants, les raisons du score écrasant pour le rattachement me sont apparues évidentes.
    Au temps de l’Ukraine, déjà, les nombreux feux d’artifice privés tirés à Simferopol pour les douze coups de minuit du Nouvel An l’étaient à 23 heures. Simplement parce que l’on sablait le champagne à l’heure de Moscou en Crimée, preuve du sentiment d’appartenance à la communauté russe.

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