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  • Où sont les féministes ?

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    8523P1.jpgUne discrétion de violette à laquelle elles ne nous avaient pas habitués ! Nos féministes ne disent mot. Elles gardent leur sang-froid ; ces militantes de la « cause des femmes » sont pourtant promptes à s’enflammer et à dénoncer le moindre propos ayant l’apparence du sexisme, du machisme et autres turpitudes dont les hommes sont perpétuellement coupables. Or, à deux pas de chez nous, des hordes de mâles déchaînés, mais organisés, se sont livrés à des agressions sexuelles, attouchements et viols.
    Près de 600 plaintes ont été déposées en Allemagne « des centaines d’hommes nous ont traitées comme du gibier » a témoigné l’une des victimes. Ailleurs aussi ! En Autriche, en Norvège, en Suède, mais également en France.
    Le 19 décembre, une jeune femme monte dans un train à Versailles, une dizaine d’Afghans s’y trouve déjà et commence à l’importuner. La voyageuse est terrorisée. L’un des hommes se livre à des attouchements tandis qu’un autre l’étrangle en serrant son écharpe. Le troisième sort un couteau et l’approche de son visage. Les agresseurs se mettent à la déshabiller. Un voyageur heureusement intervient. Les Afghans, des « migrants », seront arrêtés un peu plus tard.

    Mais pour une agression révélée, combien de dissimulées ? En France comme en Suède. Après une fuite dans la presse, la police suédoise a fini par avouer qu’elle avait caché 38 agressions sexuelles et viols perpétrés par des demandeurs d’asile d’origine afghane. Le porte-parole de la police a déclaré : « Nous avions toujours des cas isolés d’agressions sexuelles, mais d’un coup, nous avons eu affaire à de plus grands groupes d’agresseurs qui semblaient presque s’organiser. »

    Voilà donc qui devrait trouver les féministes vent debout contre les actes scandaleux dont ont été victimes leurs « sœurs », mais aussi contre la volonté de les cacher à la population. Mais non, ces militantes, elles aussi, sont dans le déni !
    Où sont les FEMEN qui se dépoitraillent pour un oui pour un non, de préférence dans les lieux sacrés ? Pourquoi Les Chiennes de garde n’aboient-elles pas ? Et les Georgette Sand qui pétitionnaient, faisaient le siège des parlementaires et manifestaient place du Châtelet pour obtenir la diminution de la TVA sur les produits d’hygiène féminins, trouvent-elles la cause de ces femmes violées indigne d’une telle mobilisation ?

    C’est que, pour ces pasionarias gauchistes, le « migrant », le « réfugié », leur est-ce que le bon sauvage est à Rousseau : un être innocent par essence, pur par nature. Le « réfugié » est une victime, comment pourrait-il être un bourreau ? La réalité dément-elle le mythe ? C’est la réalité qui est politiquement incorrecte, elle n’existe donc pas !
    Ah, si seulement ces Allemandes avaient eu le bon goût d’être violentées « correctement » par de grands blonds aux yeux bleus, on les aurait vues faire le siège de l’ambassade d’Allemagne sans désemparer !

    L’autre matin, on a interrogé Emmanuelle Cosse qui fut présidente d’Act Up avant de devenir la patronne des Verts sur son silence et celui des mouvements féministes. Elle en a convenu. Elle a expliqué ce mutisme par un effet de « sidération ». Depuis, elles n’ont toujours pas retrouvé la parole.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/196941/les-feministes/

  • « Voilà le paysage »

    français-ouvrez-les-yeux.jpgSur le site du  Point,  Sophie Coignard le relevait avec pertinence,  «les politiques n’ont rien compris ! Après les régionales, ils étaient formels : tout allait changer, surtout la façon de faire de la politique. Il ne reste rien de ces belles résolutions ». La journaliste, qui écrivit  il y a déjà plus de dix ans avec Alexandre Wickham « L’Omerta française », édifiante enquête sur les pratiques douteuses des  vertueux républicains des partis dits de gouvernement, s’arrête sur les récentes frasques du Premier ministre. Ainsi Laurent Beauvais, «ancien président de la Basse-Normandie, battu avec son homologue de Haute-Normandie Nicolas Mayer-Rossignol lors des dernières élections régionales»,  a été nommé au tour extérieur,  sur proposition de Manuel Valls, «conseiller maître en service extraordinaire à la Cour des comptes». «Cette procédure, censée apporter du sang neuf à l’institution, s’est transformée au fil des ans en machine à recaser les petits copains. Le Premier ministre, qui vient de signer un livre intitulé L’Exigence – un mot qu’il emploie aussi sur sa carte de vœux à 36 000 euros -, aurait été bien inspiré de rompre avec ce genre de pratiques. Eh bien, non ! Au contraire, il continue. Et le président de la République signe des deux mains, comme il l’avait fait après les municipales de 2014 avec Vincent Feltesse. Président sortant de la communauté urbaine de Bordeaux, celui-ci n’est pas resté longtemps sans emploi puisqu’il a été recasé à l’Élysée comme… conseiller pour les relations avec les élus, un poste qu’il occupe toujours .»

    Si les politiques n’ont rien compris, Claude Askolovitch lui, tout fidèle adversaire du FN qu’il est, a parfaitement saisi le décalage croissant entre les idées dominantes au sein de la caste au pouvoir et le peuple français.  Dans son article mis en ligne le 12 janvier sur slate.fr («La république est un policier Front National»), il évoque  le sondage Cevipof que nous commentions  lundi sur ce blogue,  faisant état d’une forte poussée du vote FN chez les fonctionnaires.

    Il s’intéresse plus particulièrement à la progression du vote national chez les militaires et les policiers ou celui-ci est maintenant majoritaire, sachant  que «les policiers votent plus FN que les militaires ».  «Oubliez les clichés sur l’armée tissée de badernes fascisées, les flics au contact de la brutalité du pays les dépassent en marinisme. Et aussi cela : les retraités votent moins FN que les gens en activité : c’est maintenant que cela se passe, pas dans les nostalgies. Bref. En chiffres brut, ils sont 7 policiers en activité sur 10 à annoncer au Cevipof, à la fin novembre, que le Front est désormais leur choix ».

    M. Askolovitch, constate avec la même sincérité que «Valls parle, mais ses paroles sont sans influence sur une France exaspérée. Avant même de parler des frontistes, l’irréalité du socialisme de pouvoir apparaît pour ce qu’elle est: une sincérité confinant à l’imposture poignante.»

    Et de noter encore qu’au moment où «à Cologne, des jeunes immigrés en frustration sexuelle terrorisent et brutalisent des jeunes femmes le jour de la Saint-Sylvestre », « allez, après ça, expliquer que seule Marion Maréchal-Le Pen serait mauvaise pour les femmes, au prétexte qu’elle attaque le planning familial. Voilà le paysage.»

    Planning familial que Marion a eu tout à fait raison de mettre en cause,  celui-ci étant aussi connu pour sa propagande multiculturaliste,  ses attaques virulentes, notamment en période électorale, contre le FN. D’autant que si la démographie  des autochtones Européens  n’est pas encouragée (euphémisme), celle des migrants est sollicitée à plein, et ce n’est pas là uniquement la politique désastreuse, proprement hallucinante,  suivie par Angela Merkel et soutenue par des figures bien connues du mondialisme.

    Non, nous la voyons aussi à l’œuvre en France métropolitaine et de manière caricaturale à Mayotte,nouveau département  français  (avec tous les avantages afférents) car voulu comme tel par Nicolas Sarkozy  lors de son quinquennat…

    On apprenait ainsi dans un  article paru en ligne du Journal de Mayotte,  que le  centre hospitalier de Mayotte (CHM) et les maternités périphériques  de l’île  «(ont)  pulvérisé  (leur)  record du nombre de naissance annuel », 9200 en 2015 selon les décomptes en cours. « Selon les rapports d’activités de la maternité, après les 6.644 naissances de 2013 et les 7.374 bébés de 2014, un total de 9.200 naissances représenterait une augmentation de 24% d’une année sur l’autre, du jamais vu (…).  L’hypothèse des 8.500 naissances en 2015 évoqué au mois d’août dernier ayant été pulvérisé. Peut-on dépasser les 10.000 en 2016 ? ».

    Ce qui n’est pas dit ici, mais que tout le monde sait constate Bruno Gollnisch,  c ’est que cette explosion des naissances est due à la progression parallèle de l’immigration clandestine, les immigrées, comoriennes principalement, venant accoucher spécialement  à Mayotte pour faire des bébés français et devenir inexpulsables.

    Il y a plus de trois ans déjà, en  décembre 2012,  Le Monde  indiquait que  «les flux (d’immigrés) en provenance du 139e pays le plus pauvre au monde sur 182 (les Comores, NDLR) ont atteint des proportions telles que si des médecins examinaient Mayotte, ils concluraient sans doute à son état d’épuisement». « La pression est telle que le rapport démographique a atteint des records : 40 % des 212 000 habitants de Mayotte sont désormais d’origine comorienne (+ 25 % depuis 2007). La plupart sont en situation irrégulière. Même l’éducation nationale ne suit plus :25 % à 40 % des élèves sont issus de familles sans papiers.»

    «En quelques année, indiquait en 2011 Marie-Luce Penchard, alors ministre de l’Outre-mer, «le nombre d’enfants scolarisés dès l’âge de 3 ans a été doublé» (75 % des 72 000 enfants scolarisés à l’école primaire à Mayotte sont étrangers, NDLR).

    Nous l’écrivions sur ce même blogue, Sur l’île, les Français, Métros et Mahorais réunis, seraient 130 000,  les immigrés comoriens 50 000, probablement le double selon certaines sources. Les 20 000 comoriens expulsés chaque année reviennent dans la foulée sur ce territoire français. Insécurité,  délinquance violente, racisme anti-français font partie du quotidien.

    Cette incapacité criminelle des autorités françaises, à Mayotte comme dans les villes babélisées, submergées en Métropole, à faire respecter la loi, l’intégrité territoriale, notre identité est patente. «Voilà, le paysage»,  pour reprendre la formule  M. Askolovitch.  Puissent les Français en prendre conscience rapidement avec la même acuité  que les dirigeants du FN depuis quarante ans  et  ceux qui sont en permanence «au contact de la brutalité (dans tous les domaines)  du pays.» 

    http://gollnisch.com/2016/01/14/voila-le-paysage/

  • Le Républicains : les soutiens de Nicolas Sarkozy préparent sa candidature

    Chez Brice Hortefeux, tout est bon pour parler -en bien- de Nicolas Sarkozy. Même la déchéance de nationalité. Interrogé ce mercredi, sur RTL, sur le désaccord de la garde des Sceaux avec le président de la République et le Premier ministre, qui, du coup, défendra la texte devant le Parlement, le fidèle ami de Nicolas Sarkozy s'agace : « Notre seule préoccupation c'est la sécurité de nos concitoyens. Autour de Nicolas Sarkozy, nous essayons toujours de défendre l'intérêt général ».
    Refusant « d'oublier toutes les contorsions de Monsieur Hollande quand Nicolas Sarkozy avait fait cette proposition en 2010 » et la réaction de Manuel Valls qui avait alors jugé la mesure « nauséabonde », l'ancien ministre à l'Identité nationale en vient même à « comprendre les difficultés de madame Taubira à les suivre ».
    Mardi matin, confirme-t-il ce mercredi, Brice Hortefeux a participé, avec « une quarantaine de parlementaires », à la première réunion de cadres et d'élus des Républicains pour porter la candidature de son champion à la primaire à droite, dans dix mois. Eric Woerth, Luc Chatel, trois des nouveaux porte-parole de la maison (Larrivé, Peltier et Debord), les sénateurs Roger Karoutchi et Pierre Charon ou encore Laurent Wauquiez, nommé n°2 des Républicains après la démission de NKM, étaient présents pour cette réunion dans un restaurant près du siège de la rue de Vaugirard (Paris XVe), «sans traître » d'après un participant cité par Europe 1.
    «Nous nous sommes réunis pour voir avec qui nous pourrions travailler, pour déterminer qui défendra quelle position, quel sera le créneau. Fillon, Le Maire, et Juppé ont déjà leurs options. Nous avons donc abordé la campagne qui s'annonce et insisté sur les thèmes de la nation, de l'unité et de la République, qui en seront le cœur», a expliqué au Figaro Roger Karoutchi.
    Ces rendez-vous se répéteront toutes les trois semaines pour organiser la campagne de Nicolas Sarkozy, de moins en moins soutenu par les Français dans les sondages, à la différence de ses challengers qui se démènent pour occuper le terrain. « Les commentaires sont libres mais les faits sont têtus », a rétorqué Brice Hortefeux aux enquêtes qui montrent un Juppé toujours en tête des intentions de vote à la primaire, et un Sarkozy en perte constante de vitesse. « Nous sommes aujourd'hui la première force électorale, la première force territoriale, et la première force militante, avec 100 000 adhérents de plus que le parti socialiste et 180 000 de plus que le Front national », a-t-il vanté. Pour Hortefeux, « si 2015 était l'année de la reconstruction et du rassemblement », 2016 sera celle « de la clarté des choix, des convictions et des hommes ».
    « Nicolas Sarkozy est le seul, je dis bien le seul, a-t-il insisté, en mesure de l'emporter car il a trois qualité : l'autorité, la légitimité de l'élection et la crédibilité du programme ».
    Ce programme, justement, déplaît à Gérald Darmanin qui depuis une semaine explique son rejet de la ligne sécuritaire prise, selon lui, par la direction de LR. « J'ai regardé les résultats des régionales : le Front national est le premier parti de France mais (ce) n'est pas la droite à laquelle je crois. (…) Populiste ne veut pas dire populaire. Je me suis engagé au RPR parce qu'il y avait Philippe Séguin », raconte-t-il ce mercredi sur France Inter.
    « Moi, a-t-il poursuivi, le Sarkozy que j'ai aimé, que j'ai soutenu, c'est celui de 2007. C'est une campagne séguiniste que je demande, pas buissonnienne », a-t-il martelé, en référence à Patrick Buisson, à l'origine de la campagne très droitière du président sortant en 2012. « Il y a une différence entre ce que son entourage pense être sa popularité » et la réalité, assure encore ce proche de Xavier Bertrand.
    Qualifiant François Hollande et Nicolas Sarkozy des « deux punching-balls » de l'opinion française, le maire de Tourcoing, qui abandonne aujourd'hui son mandat de député pour se consacrer à sa ville et à la région Nord Pas-de-Calais Picardie dont il est l'un des vice-présidents, conclut que « les Français n'ont pas envie de revivre le casting de 2012 ». Ils sont nombreux à le penser, à LR comme au PS...

    J.Cl. Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuVkylkpEyuPAIubkH.shtml

  • Les agriculteurs entre l’enclume des marchés et le marteau européen

    Parfois, la conjonction de deux faits est extraordinairement révélatrice. Quand on apprend en même temps que les prix des produits agricoles se sont effondrés en 2015 et que la Commission Européenne lance une enquête sur les accords pour enrayer cette chute en France, la réalité devient criante.

    L’abandon des agriculteurs
    Le sort des agriculteurs est un des scandales de notre époque. Depuis que nos gouvernements les ont abandonnés aux aléas brutaux des marchés en mettant fin aux prix de soutien, les agriculteurs vivent avec le couteau des marchés sous le cou : tous les engagements qu’ils prennent, souvent sous la contrainte de normes changeantes que font souvent peser sur eux les changements législatifs, peuvent être balayés par les oscillations folles des marchés. Voilà le destin que nos sociétés donnent aujourd’hui à ceux qui nous nourrissent, rendant bien légitimes les manifestations de l’été dernier. On ne compte malheureusement plus les cas où les prix des marchés passent sous les prix de revient. Pire, les agriculteurs ne savent pas toujours ce qu’ils tireront des produits qu’ils vendent sur les marchés…
    Devant cet état d’urgence (les prix ont baissé pour la quatrième année consécutive, 19% en moyenne sur la seule année 2015, 15% pour les céréales, le lait et la viande) le gouvernement avait dégainé des mesures un peu dérisoires, des aides, qui peuvent être ensuite attaquées par cette Europe barbare, qui peut imposer le remboursement plus tard. Après des mois de protestations, le gouvernement avait organisé des tables rondes pour pousser les différents acteurs à remettre en place de facto une sorte de prix minimum à 340 euros la tonne de lait et 1,4 euro le kilo de porc. Mais « la commission enquête sur des comportements anticoncurrentiels allégués dans le secteur du lait en France  », ainsi que sur la viande, en infraction avec les traités européens. Les amendes pourraient être salées.
    Une Europe sans cœur et détestable
    Quand on connaît (de manière seulement théorique, il faut bien le reconnaître), les souffrance du monde agricole, les suicides, les faillites, le comportement de cette Europe n’en devient que plus détestable. Entre protéger les agriculteurs de la misère et appliquer à la lettre ses traités à l’idéologie sans nuance, cette Europe n’hésite pas et menace aujourd’hui d’amendes des agriculteurs dont le gouvernement tenait tout juste la tête au-dessus de l’eau. Parce que la misère des agriculteurs provoque des suicides, les choix de cette commission européenne inhumaine sont meurtriers, même si c’est de manière indirecte. Où l’on finit par trouver que cette europe finit par fonctionner d’une manière pas si éloignée de celle des djihadistes de Daech, la pureté idéologique passant avant l’humanité.
    Bien sûr, les tenants de cette europe peuvent tenter de rétorquer que la commission ne fait qu’appliquer les traités que les Etats ont signés, qu’elle n’est pas totalement responsable de ces textes, qui lui imposeraient d’agir. Ce n’est pas totalement faux et il faut bien reconnaître que les gouvernements qui ont appuyé tous ces traités, de l’Acte Unique, à Maastricht en passant le traité de Lisbonne, portent la responsabilité des textes qui permettent de telles choses. Mais parce que la commission en est solidaire et qu’elle a aidé à les faire, elle porte aussi une part de responsabilité. Et de toutes les façons, elle conserve toujours une part de libre-arbitre et pourrait fermer les yeux, d’autant plus qu’elle laisse faire bien des rapprochements dont les conséquences concurrentielles sont autrement plus conséquentes…
  • Immigration et Schengen : Marine Le Pen demande un référendum

    Dans une tribune publiée dans L'Opinion, Marine Le Pen dénonce l'immigration et demande :

    "solennellement au président de la République, sur ces sujets aussi cruciaux, de donner la parole à notre peuple, par référendum.Les Français souhaitent-ils oui ou non qu’on cesse d’accueillir les migrants sur leur territoire ? Souhaitent-ils oui ou non sortir de l’espace Schengen et rétablir des contrôles permanents aux frontières nationales ? A ces deux questions je réponds, en tant que responsable politique, en tant que femme, un grand oui !"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/01/immigration-et-schengen-marine-le-pen-demande-un-r%C3%A9f%C3%A9rendum.html

  • France: État d'urgence : le bilan depuis le 13 novembre. 3021 perquisitions 381 assignations à résidence 500 armes saisies le tout chez des "migrants"

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  • Le Front National en pleine réflexion stratégique en vue des élections de 2017

    Pour les grands partis politiques, 2016 sera l’année de la préparation de l’élection présidentielle. Ce sera également le cas pour le Front National, avec une première différence : son candidat sera assurément Marine Le Pen. Les « Républicains » auront eux une primaire, à une date encore indéfinie. Quant au parti socialiste, il attend les augures de l’INSEE sur les statistiques du chômage.

    Marine Le Pen a annoncé vouloir « Passer 2016 dans la plus grande proximité possible avec notre peuple »
    Pour préparer l’élection présidentielle, qu’elle voit comme un rendez-vous entre les candidats et le peuple, Marine Le Pen a entamé une diète médiatique. Elle privilégiera les déplacements sur le territoire.

    De quoi nourrir son projet présidentiel ?
    Les responsables du Front National veulent croire au succès de Marine Le Pen en 2017. Pour cela, leur candidate aurait d’abord besoin de rassembler et fidéliser l’ensemble des électeurs qui ont déjà voté Front National – soit neuf millions de personnes aux deux tours des dernières régionales. Il faudra également rassurer davantage les électeurs de droite, encore peu convaincus par le programme économique et social du FN. Ce qui permettrait aussi d’engranger davantage de soutiens des rangs de droite et de la société civile.

    Les cadres du Front National se retrouveront en séminaire les 5 à 7 février pour évoquer le programme et le nom du parti…
    Il ne semble pas question de revenir sur des engagements forts comme le retour à la souveraineté monétaire. Mais de faire de la pédagogie, tant sur le fond que sur la méthode : pour Nicolas Bay, il conviendra d’expliquer qu’il faut une « sortie concertée » de la zone euro. En revanche, sur d’autres points du programme, il faut s’attendre à un aggiornamento : la retraite à 60 ans ou encore la fiscalité seront discutées. Une ligne plus réaliste et plus favorable à la liberté d’entreprendre pourrait se dégager. Enfin, Robert Ménard, qui a été convié au séminaire, suggérait de créer une nouvelle structure plus large que le Front National pour encadrer la campagne présidentielle.

    http://fr.novopress.info/196931/front-national-en-pleine-reflexion-strategique-en-vue-elections-2017/

  • Primaire à gauche : le vent de la discorde ?

    La pétition lancée par des personnalités, « intellectuels » et responsables de gauche peut-elle trouver un écho favorable ?
    François Hollande ne veut pas en entendre parler. Pour le successeur de Nicolas Sarkozy, il est hors de question d’organiser des primaires à gauche. L’idée fait pourtant son chemin. Un appel a été lancé, lundi, dans les colonnes de Libération, pour l’organisation d’une grande primaire regroupant toutes les sensibilités de la gauche plurielle. L’appel a été notamment signé par Romain Goupil, Michel Wieviorka ou bien encore Daniel Cohn-Bendit. Ces personnalités de gauche (oubliées du gouvernement, ambitieuses ou vaguement dissidentes) entendent remettre en question cette vieille tradition de la Ve République qu’est l’automaticité d’une candidature du Président sortant à sa propre réélection.
    Cette règle non écrite a toujours été observée dans l’histoire de la Ve République (hors les cas de troisième mandat, de maladie ou de décès en cours d’exercice), par les présidents sortants de droite comme de gauche : Charles de Gaulle s’est représenté avec succès en 1965, Valéry Giscard d’Estaing a chuté en 1981, François Mitterrand a gagné en 1988, Jacques Chirac a été réélu en 2002, enfin Nicolas Sarkozy a échoué à se succéder en 2012. Les chances de réélection du président sortant sont donc importantes. Elles sont même de l’ordre de 100 % pour les candidats de gauche, et augmentent si l’on compte Jacques Chirac comme étant un candidat de gauche (vous me passerez ce trait d’humour).

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