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  • Les nouveaux immondes !

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    En ce début d’année 2016, qui promet d’être plus ignoble encore que le grand cru 2015, chaque nouvelle journée apporte son lot d’ébahissement.
    Cette photo prise « en France » montre quel degré de mépris les envahisseurs éprouvent pour notre civilisation. Boris Vian avait donné pour titre à l’un de ses romans J’irai cracher sur vos tombes. Nos futurs maîtres s’y prélassent et on ne sait trop où ces hôtes indélicats, qui campent dans un cimetière français, vont se soulager.
    Chacun sait que le pique-nique est bien vu dans les cimetières du Dâr al-Islam (au point d’être passible du fouet dans le meilleur des cas ; de l’égorgement rituel si le mollah, l’imam ou l’uléma est de mauvais poil le jour où on lui amène ce type de blasphémateur). Mais, en France, pourquoi ces individus se gêneraient-ils ?
    Oui, pourquoi ? Regardez bien cette photographie : on y voit des soldats en pleine inaction ! Décidément les rappeurs les plus orduriers, les plus abjects ont au moins raison sur un point : « La France est devenue une putain ». Merci messieurs Hollande, Valls, Cazeneuve. Lorsque vous serez enterrés, nos enfants – s’il en reste après les égorgements de masse de la grande guerre raciale et religieuse qui s’annonce - feront ce que Boris recommandait.

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVkyFukEVBnFdivtF.shtml

  • Cologne : la police utilise les canons à eau contre les patriotes

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    Selon les dernières informations en provenance de Cologne cliquez ici, la police utilise ses canons à eau pour disperser les milliers de manifestants rassemblés par PEGIDA contre la barbarie imposée par les migrants le 31 décembre dernier.
    Il faut en effet savoir comment procèdent les autorités allemandes quand elles veulent empêcher les patriotes de s'exprimer. C'est simple : elles incitent leurs supplétifs (antifas, gauchistes, chrétiens de gauche, verts et autres dégénérés...) à manifester le même jour, à la même heure et au même endroit que les patriotes. Ils laissent alors les deux rassemblements arriver pratiquement au contact l'un de l'autre. Et là, prétextant les heurts inévitables, ils dispersent tout le monde à coups de matraques et avec des canons à eau. Même Valls et Cazevide n'utilisent pas de si minables stratagèmes chez nous.
    Il y a quelques années, avec mes amis Robert Spieler, Luc Pécharman, François Ferrier, Annick, Judith, Bertrand et quelques autres, nous avions été invités à participer, au nom de la NDP, à plusieurs rassemblements organisés par le mouvement Pro Köln contre la construction d'une gigantesque mosquée justement à Cologne. Nous avons constaté ainsi par nous mêmes les techniques sournoises de la police démocrate allemande.
    La grande différence entre ces rassemblements héroïques auxquels nous étions allés en 2009 et 2010 et ce qui se passe aujourd'hui, c'est qu'à l'époque nous n'étions que quelques dizaines, quelques centaines peut être, et les gauchistes étaient des milliers alors qu'aujourd'hui c'est le contraire. L'Allemagne nationale et populaire se réveille alors que les supplétifs de la haute-finance mondialiste que sont les provocateurs d'extrême gauche ont du mal a rassembler quelques douzaines de déchets camés, islamistes en herbe et autres protestants progressistes pour donner bonne conscience à Merkel et sa clique immigrationiste.

    Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/01/09/cologne-la-police-utilise-les-canons-a-eau-contre-les-patrio-5742336.html

  • Pierre Boutang et la permanence de « L'espérance royale » : celle de Maurras, la sienne, la nôtre ...

     

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    Dans son prélude au livre essentiel qu'il a écrit sur Maurras* - ouvrage sans-doute trop volumineux et souvent trop difficile pour que beaucoup d'esprits fassent l'effort de s'y arrêter vraiment - Pierre Boutang dit ce que fut l'espérance royale de Charles Maurras, mais aussi la sienne propre, et conséquemment la nôtre, nous qui gardons, dans le contexte actuel, la foi politique qui fut la leur, comme de beaucoup d'autres. Une foi et une espérance politiques purement d'Action française. Ce texte, dont nous publions plus loin quelques extraits, nous paraît en effet en particulière concordance avec l'évolution en cours d'un certain nombre d'esprits importants, soit qu'ils se livrent à une forme très nette de remise en cause des valeurs républicaines, de la République en soi-même, soit qu'ils posent, très clairement, la question du régime et évoquent le manque de Roi, à l'instar d'Emmanuel Macron, ministre de l'Economie en exercice. Ainsi, la monarchie réapparaît, une fois de plus, comme le dit Boutang, sinon immédiatement à l'horizon du possible, du moins au cœur du débat public  Dans un contexte et un langage actuels, comme il est normal. Et si l'idée monarchique ne cesse pas d'être sous-jacente à la réflexion politique contemporaine, on verra ce qu'elle doit, selon Boutang, à la démonstration puissante, répétée pendant un demi-siècle, par Maurras et par l'Action française selon laquelle la République ne remplit pas les conditions minimales d'un Etat. Tel est en tout cas le constat que font aujourd'hui, selon des voies diverses, nombre de personnalités dont il serait aisé de réunir les noms et les textes. Dans les crises de toute nature où se débat le régime, ces avancées de l'hypothèse monarchique ne sont pas négligeables. Tout au contraire.  LFAR  

    Dans cet ordre, sans doute [l'espérance royale], il n'a jamais pensé qu'à faire. Ses pires insulteurs sont ceux qui feignent de douter qu'il ait, de toutes ses forces, voulu le Roi, comme il voulait la patrie. Encore un coup, Péguy était bon juge, espérait même qu'il y eût quelqu'un pour vouloir la République comme Maurras voulait le Roi, et a dit la conviction que cet homme était prêt à mourir pour ce Roi qui ne meurt pas, qui accompagne la patrie; pour Celui, tout autant, qui, de manière fixe, destinée, figure, pour une ou deux générations cette escorte des siècles. Croyez-vous, jeunes gens, que, parce qu'il le démontre avec tout l'éclat du Même et du Logos, il y adhère moins ? Ça ne serait vraisemblable que pour un qui se distinguerait de sa pensée. Il voulait même que le Roi voulût régner, autant et plus qu'il prouvait sa nécessité. 

    […] Plusieurs décennies ont passé depuis sa mort, et nous avons recom­mencé, cessé, et puis recommencé; nous avons, quelques-uns, roulé le rocher de Sisyphe qu'est, au regard étranger, pas au nôtre, la monarchie. 

    Possible que cela prête, au moins, à sourire, n'est-ce pas ? Nous en souririons nous-mêmes, s'il n'y avait l'espérance qui crie en nos petits-enfants. Oui, comme a dit ce vieil et pur camelot du roi de Bernanos, « autour des petits garçons français penchés ensemble sur leurs cahiers, la plume à la main, et tirant un peu la langue, comme autour des jeunes gens ivres de leur première sortie sous les marronniers en fleur, au bras d'une jeune fille blonde, il y avait ce souvenir vague et enchanté, ce rêve, ce profond murmure dont la race berce les siens ». Il y avait ? Il y a : chaque fois que naît un enfant dont on sait déjà que, bientôt, il saura dire son ave Maria, et le long d'un clair ruisseau buvait une colombe. 

    Je l'admets, Maurras n'a pas réussi à ramener le Roi. Il a travaillé « pour 1950 », et voici bientôt l'an deux mille, et si le Roi n'est pas ramené, notre foi politique est vaine. 

    […] Mais, d'abord, il y a un sens où le retour du Roi n'a nullement été étranger à son action et à sa preuve. Certes nos Princes n'échappent pas à la cruelle loi d'exil grâce à la force ou la ruse de l'Action française. Simplement l'Idée du Roi, sans laquelle on ne sait pas qui rentre, sans laquelle nos Princes eux-mêmes ne l'auraient pas toujours su, cette Idée-là dormait au cœur de la forêt historiale sans que personne eût le souci ni les moyens de la réveiller. 

    Ensuite l'auteur de l'Enquête n'a jamais douté que l'instauration et la consolidation d'une monarchie moderne — ou affrontée au monde moderne — ne dût être l'œuvre du Prince lui-même, et de son charisme qui dépasse la raison, du moins toutes les raisons. 

    Toutefois […] nous avons été « jetés en monarchie », en quasi-monarchie par un Charles De Gaulle très conscient des prolongements nécessaires pour que son œuvre ne fût pas, à long terme, un échec pire que celui de la république qu'il avait « ramassée dans la boue » en 1944 et déposée en 1958... 

    Enfin deux ordres de réalités concomitantes doivent être considérés à propos de Maurras : 

    D'une part, en remontant du salut public […] jusqu'à sa condition royale, il a pu ériger la preuve puissante, jamais réfutée, que la république en France, règne du nombre, des partis, et, à travers eux, de l'or et de l'Étranger, ne remplissait pas les conditions minimales d'un État; qu'elle ne pouvait donc masquer sa nullité politique que par une tyrannie administrative et bureaucratique vouée à défaire la nation. Il en résultait que l'avantage majeur de la monarchie serait de n'être pas la République, de combler son vide par la présence d'une personne douée, en général et au moins, des attributs de l'humanité, la raison de « l'animal rationnel mortel » et la responsabilité. 

    Sans cette démonstration, répétée pendant un demi-siècle, la monar­chie n'aurait pu apparaître à l'horizon du possible. 

    D'autre part le royalisme maurrassien a trouvé sa forme supérieure, et sa composition stable, (la seule qui pût avoir des prolongements positifs, hors de la simple critique de la religion et de la non-politique démocratiques) chez ceux qui, ou bien avaient conservé une fidélité monarchique, tout endormie et désespérée qu'elle fût, ou bien, dans l'Armée, l'Église, et quelques réduits de l'Intelligence critique et de l'Université, ne voyaient pas chez le Roi la simple négation de la République, mais une personne vivante, l'héritier des fondateurs de la patrie. 

    Maurras avait dû, sans jamais oublier ce royalisme, où ne s'opposent jamais l'intelligence et le cœur, mettre l'accent sur la preuve négative, creuser et miner la démocratie parlementaire dont les ruines pouvaient seules, une fois déblayées, laisser la place à la monarchie moderne. Cela étant fait, et bien fait, cette critique ayant pénétré dans le subconscient de toutes les familles politiques, un fait nouveau, aussi inattendu que, pour les marxistes orthodoxes avant Lénine la Révolution dans un seul pays, apparut : non seulement le Roi se concevait comme négation effective de la République sans tête ni cœur, mais l'accession au pouvoir souverain, peut-être sous une forme nouvelle, d'un Capétien, fils de saint Louis, sortait de la simple spéculation**.  

    * Maurras, la destinée et l'œuvre, Plon, 1984

    ** Boutang évoque ici - et plus loin - la volonté de régner du Comte de Paris (Henri VI) et son action. De même la persistance des Princes de la Maison de France à assumer "la tradition qu'il (leur) a été donné d'incarner".

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Ministère de l'Intérieur vs Wikipédia : l'activisme du régime socialiste

    Suite au post d'hier soir sur le blocage d'accès en écriture d'un fonctionnaire du ministère de l'Intérieur au site collaboratif Wikipédia, on m'apporte quelques éléments.

    Le bulletin des administrateurs de Wikipédia mentionne ce problème.

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    On constate notamment le nombre de blocage édifiant depuis 2012 pour cette adresse IP. A comparer à un seul et unique blocage avant 2012. A croire que les fonctionnaires du ministère de l'Intérieur sont payés pour tenter de réécrire Wikipédia !

    On trouve ici la discussion qui a aboutit au blocage de l'adresse IP du ministère de l'Intérieur.

    Michel Janva

  • Pour réduire le chômage, il faudra une révolution

    C'est la structure même de l'appareil exportateur français qui est défaillante.
    Lorsqu’une grande entreprise cotée en Bourse annonce un plan social, son cours rebondit sur le champ. Si vous trouvez ça choquant, c’est que vous avez oublié un principe fondamental inhérent à l’économie de marché : l’entrepreneur entreprend pour faire du profit, non pour créer des emplois.
    Prenons un peu de recul. En 1800, virtuellement 95 % de la population mondiale au-dessus de 15 ans était employée, principalement à travailler la terre. Deux siècles plus tard, les inactifs (étudiants, chômeurs et rentiers) pèsent environ 40 % sur les 7,2 milliards d’humains et, plus significatif, seulement un quart de la population mondiale bénéficie d’un emploi à plein temps (plus de 30 h par semaine).

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  • En Suède aussi !

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    (Présent 8524)

    8524-Une.jpgAlors que, de jour en jour, les témoignages de victimes et les plaintes pour agressions sexuelles perpétrées par des clandestins en Allemagne – mais aussi en Autriche – lors de la nuit de la Saint Sylvestre s’accumulent, on apprend maintenant que, comme celles de Berlin, les autorités de Stockholm ont dissimulé au peuple suédois des vagues similaires d’agressions commises lors du festival de musique « We Are Sthlm » en août 2014 puis 2015, parce que les auteurs étaient des migrants.
    Honteuse dissimulation policière

    À l’origine de cette révélation, le journal Dagens Nyheter qui, ayant eu accès aux dossiers internes de la police suédoise, a récemment rapporté que ceux-ci faisaient état de l’arrestation de nombreux « réfugiés » en août 2014, mais aussi 2015 suite à des agressions sexuelles perpétrées sur des femmes à l’occasion de ce festival musical se déroulant à Stockholm. Dans son édition, le Dagens Nyheter publie même des rapports de police faisant état « de nombreux jeunes hommes (qui) se sont frottés contre des jeunes filles » pendant le festival, et précisant que les auteurs étaient notamment de nationalité afghane.
    Mais, chose étonnante, le rapport officiel rendu par la police ne fait aucune mention de ces agressions et va même jusqu’à expliquer que peu d’interpellations ont eu lieu lors du festival, en raison notamment de son importante fréquentation…

    Peur d’une percée des Démocrates

    Pris la main dans le sac par le Dagens Nyheter, et face au scandale grandissant, certains responsables de la ville se sont mis à parler. Comme ce Roger Ticoalu, qui a fini par admettre que « nous n’avions jamais vu cela avant, de grands groupes de jeunes hommes encerclaient les jeunes filles pour les agresser ». Ajoutant que « dans les cas où nous avons pu arrêter les suspects, il s’agissait d’étrangers, souvent récemment arrivés en tant que réfugiés, âgés entre 17 et 20 ans, sans leur famille ».

    Et jusqu’à la police suédoise, qui a officiellement reconnu avoir gardé pour elle ces informations, qui concernaient quand même une quinzaine d’agressions ayant conduit à l’arrestation d’une centaine d’étrangers (dont aucun n’a d’ailleurs été condamné). Un tantinet mal à l’aise, Varg Gyllander, porte-parole de la police, confiait en effet lundi : « Nous aurions certainement dû révéler cette information, ça ne fait pas de doute. Pourquoi ça ne s’est pas fait ? Nous ne le savons tout simplement pas. »

    Un aveu qui prend la forme d’une provocation. Car en déclarant ainsi ignorer les raisons de ce silence honteux, Varg Gyllander prend clairement pour des imbéciles des Suédois qui, le mois suivant ce festival, devaient se prononcer lors d’élections législatives à l’occasion desquelles on annonçait une forte percée des Démocrates…

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

  • La famille nombreuse, antidote au vieillissement ?

    Une étude menée par des chercheurs canadiens de l'Université Simon Fraser, située non loin de Vancouver, montre que les mères de familles nombreuses vieilliraient moins vite que les autres :

    "D'après les résultats de leur étude, tout serait une question de télomères, les extrémités des chromosomes, connus pour raccourcir avec l'âge et le stress. Les scientifiques ont étudié les télomères de 75 femmes de communauté rurale du Guatemala à 13 ans d'écart. Après toutes ces années, il apparaît que les sujets qui ont eu le plus d'enfants ont aussi conservé des télomères plus longs.

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    Les femmes concernées vivent dans une société où les mères de famille nombreuse reçoivent l'aide de la communauté et sont donc moins sujettes à la fatigue et au stress, ce qui peut expliquer le phénomène. Une autre hypothèse, plus médicale, met en avant le rôle de l'œstrogène. Cette hormone secrétée en grande quantité par les femmes enceintes possède en effet des vertus anti-oxydantes et pourrait ainsi limiter l'usure des télomères."

    Marie Bethanie