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  • L’immigration et l’enrichissement du pays d’accueil

    Dr Bernard Plouvier

    Même si les Français (et les autres peuples d’Europe occidentale) sont censés avoir la mémoire courte, il est peu probable que les quadragénaires aient oublié les beaux discours sur l’immigration de masse (alors d’origine africaine, noire et surtout maghrébine) destinée à fournir des travailleurs à une Europe en déclin démographique, du fait d’une absurde conception de la féminité, qui excluait les grossesses répétées et prônait à tout-va l’avortement de complaisance. A-t-on assez répété l’argument selon lequel les travailleurs immigrés venaient payer les retraites, dans un système de répartition !

    Rappelez-vous, ce n’est pas si lointain : c’étaient les arguments récurrents des années 1983-2010. Certains y ajoutaient leurs réflexions venimeuses sur la nécessaire régénération des Européens par les membres de la race africaine (et quand on n’a plus voulu parler de « race », on a employé le mot « ethnies »). Ce mixage des races-ethnies était particulièrement encouragé par ceux-là même qui, depuis 33 siècles, au nom des stipulations du Deutéronome, des Livres d’Esdras et de Néhémie, s’y refusent majoritairement et pratiquent avec dévotion l’endogamie (que l’on pourrait aussi bien qualifier de racisme matrimonial), comme le font les Yézidis du Kurdistan (qui, du moins, ne gênent personne, accrochés à leurs terres ancestrales depuis 27 siècles, jusqu’à ce que la folie furieuse musulmane tente de les exterminer).

    De la « pureté dangereuse » (brevetée Bernard-Henry Lévy) à l’idéal de « Panmixie » (de Pierre-André Taguieff) en passant par « le métissage avantageux » (de Jean Bernard) en a-t-on assez disserté des bienfaits de la race humaine unique (Juifs inclus ? Cela reste à déterminer), de la vie politique et culturelle mondialisée, de l’économie globalisée, bref du « grand village planétaire ». Tous ces beaux esprits ne faisaient que reprendre les élucubrations du métis eurasien Richard Coudenhove-Kalergi, chantre dès 1925 (in Idéalisme pratique) de la « race eurasiatico-négroïde… avec les Juifs pour personnalités dirigeantes » et celles des penseurs (presque tous juifs) des années 1943-50 qui appelaient de leurs vœux la « nécessaire disparition des États nationaux » : c’était la lubie du faussaire juif Imre Rosenbaum (devenu ‘’Emery Reves’’, après avoir réécrit les faux Mémoires de Fritz Thyssen et transformé les souvenirs de l’ex-nazi Hermann Rauschning) et l’espoir des théoriciens de même origine Robert Strausz-Hupé et Stefan Possony… Rien de bien nouveau sous le soleil !

    À côté de cet « enrichissement génétique », de cette « régénération » des populations européennes par « l’immigration de masse » (cf. les élucubrations de Valérie Rabault, directrice de banque, et de Karine Berger du monde merveilleux de l’assurance-crédit), l’on insistait sur le gain matériel. Tout d’un coup, l’Afrique « boulet économique de la planète » devenait, d’un coup de baguette magique, la grande pourvoyeuse de super-travailleurs qui allaient enrichir l’Occident amolli, aveuli, en voie de vieillissement accéléré. Il eût été plus simple d’encourager les jeunes femmes européennes à passer de l’option zéro ou un enfant à celle de leurs mères : trois enfants en moyenne… mais il était plus amusant de parler de planning familial et de vanter la « grande avancée sociale » de l’avortement de complaisance.

    En 2016, le bilan est accablant. Rien qu’en France, nous sommes « riches » de 8 à 10 millions d’immigrés d’origine africaine (le flou statistique est dû au sectarisme « antiraciste » des services du ministère de l’Intérieur et des Cultes), dont 7 à 9 millions de musulmans. Environ 2000 cités de non-droit se sont installées en 35 années de gabegie mondialiste. La délinquance et la criminalité, nettement orientées contre les Blancs (juifs et goyim pour une fois confondus), atteint des sommets qui ne demandent qu’à être dépassés. Le terrorisme, breveté califat nouveau, frappe depuis 2014 en France métropolitaine (même si les pouvoirs publics semblent ne s’en être aperçus qu’en janvier 2015). Les viols de masse de femmes et d’adolescents des deux sexes, blancs, sont bien connus en France depuis les années 1980, mais il a fallu un pic de criminalité de ce type, survenu en Allemagne la dernière nuit de l’An 2015, pour qu’on veuille s’en ressouvenir.

    Quant à l’économie, elle est effectivement « florissante ». Plus de 5 millions de chômeurs (soit 10% de la population en âge de travailler) ; une croissance nulle (voire négative) ; un produit du travail des immigrés estimé en 2011 à 83 milliards d’euros à rapporter à 89 milliards d’euros dépensés par l’État et les collectivités (30 en dépenses de santé ; 52 en aides sociales, dont 3,2 milliards d’euros pour les seuls clandestins) ; l’exportation annuelle d’énormes sommes vers les familles demeurées en Afrique ; voilà le curieux « enrichissement » de l’État français.

    Résumons-nous : l’immigration africaine et moyen-orientale a importé un racisme anti-Blancs, une délinquance et une criminalité hallucinantes, ciblées contre les autochtones. Elle a importé l’islam conquérant et les émeutes raciales, en plus de la querelle israélo-palestinienne. Racisme et terrorisme, émeutes raciales et criminalité : c’est sûr, notre vie de Français de souche européenne en a été bouleversée.

    Durant ce temps, grâce à la consommation – en partie parasitaire, c’est-à-dire alimentée (sans jeu de mots) par les allocations diverses et variées distribuées avec le produit des impôts soutirés aux contribuables – les grandes compagnies de distribution (agro-alimentaire, habillement, électro-ménager et informatique, automobiles et scooters, produits pétroliers etc.) se sont prodigieusement enrichies, comme l’ont fait les grossiums du trafic de drogues et d’armes. L’enrichissement a existé, mais nullement pour la Nation française autochtone !

    Il reste à examiner le cas de l’immigration asiatique : Indochinois, Japonais, Coréens, Chinois et Indous. Ceux-là, calmes et travailleurs, souvent très doués, se sont enrichis par leur travail en même temps qu’ils enrichissaient notre communauté nationale. N’eussions-nous eu que cette immigration qu’il n’y aurait jamais eu de problème.

    Nos politiciens, du règne de Giscard à celui de l’actuel Président de la République, ont des excuses à présenter à la Nation française pour lui avoir tant nui par leur bêtise et leur laxisme. Puis ils doivent prendre de très énergiques mesures pour rendre à la France la paix intérieure et la prospérité qui étaient siennes avant la plongée dans la globalisation-mondialisation. Il est des pilotages sans visibilité qu’il faut savoir interrompre avant la catastrophe.  

     
  • La Mairie de Paris condamnée à dédommager les contribuables parisiens pour ses aides déguisées à l’Institut des Cultures d’Islam : 14 millions plus les réparations!

    L’Institut des Cultures d’Islam a déjà couté 14 millions aux contribuables parisiens, mais un Parisien a porté plainte pour ce détournement de bien public et la Cour d’appel a cassé le bail, annulé les contrats, et demandé des réparations.

    voir copie du verdict ci-dessous: 

  • Éric Zemmour : “La nationalité française est d’abord une allégeance”

    “C’est la confusion des sentiments, des esprits et des mémoires”, se désole Éric Zemmour à propos du débat autour de la déchéance de la nationalité. “Les passions sont à incandescence, comme chaque fois que la gauche accuse la gauche de ne plus être de gauche”, note le journaliste, qui rappelle que ce principe est déjà prévu par la loi.

    Ainsi, “la République ne tremblait pas pour viser les esclavagistes, après l’abolition de l’esclavage en 1848, ou pour sanctionner Maurice Thorez, le secrétaire général du parti communiste, qui refusa de servir dans l’armée française après le pacte germano-soviétique”.

    À ses yeux, la révision constitutionnelle menace seulement ceux qui seraient condamnés pour terrorisme, tandis que la loi visait tout “Français qui se comporte comme le national d’un pays étranger”.

    Pour Éric Zemmour, cette “tempête dans un verre d’eau” est révélatrice du clivage entre une partie des élites (“qui s’en tiennent à une conception exclusivement juridique de la nationalité”) et l’énorme masse du peuple (“fidèle à une approche traditionnelle de la France qui se vit comme une grande famille, à qui on doit faire allégeance”).


  • À Cologne et ailleurs les agresseurs sexuels étaient bien des « réfugiés »

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    8521P1.jpgLes révélations de la presse allemande une semaine après les agressions sexuelles massives qui ont eu lieu à Cologne, à Hambourg et dans plusieurs autres villes allemandes sont accablantes pour le pouvoir. Les langues des policiers se délient face aux mensonges des politiques et des médias.
    À Cologne, les policiers en service dans le centre-ville pendant les graves événements qui ont perturbé la soirée du réveillon du Jour de l’An ont expliqué aux journalistes du Spiegel et de Die Welt que, contrairement à ce qu’affirment les autorités et à ce qu’en disait le chef de la police de la ville, qui a perdu son poste, une centaine de personnes avaient été interpellées sur le vif et… c’étaient presque tous des demandeurs d’asile avec des papiers de Syriens. « Je suis syrien, vous devez me traiter gentiment, c’est Mme Merkel qui m’a invité », se sont entendu dire des policiers. Un autre demandeur d’asile a déchiré devant les policiers son document attestant de son droit de séjourner en Allemagne, en leur jetant à la figure qu’ils ne pouvaient plus rien lui faire et que, de toute façon, on lui donnerait de nouveaux papiers.

    Pire encore, on apprenait en fin de semaine dernière du quotidien Bild que la police avait des ordres stricts pour couvrir les crimes et délits commis par les « migrants ».
    Pendant ce temps, les plaintes continuent d’affluer. Dimanche, la presse allemande parlait déjà de plus de 500 plaintes à Cologne (dont environ 40 % pour des agressions sexuelles), plus de 100 à Hambourg, plus de 40 à Düsseldorf… On apprenait aussi qu’à Bielefeld, un groupe de 500 « migrants » avaient investi de force une discothèque et y avaient commis des agressions sexuelles sur des femmes.

    Et ce n’est pas que l’Allemagne qui est touchée. D’autres villes européennes, en Suisse, en Finlande, en Suède et en Autriche, ont fait état d’actes similaires commis par de jeunes hommes « à la peau foncée » et parlant très mal la langue locale.

    Samedi, le mouvement PEGIDA a organisé une manifestation qui a attiré quelque 4 000 personnes et aussi un bon millier de contre-manifestants « antifascistes » et 1 700 policiers armés de canons à eau. Les habitants auraient certainement aimé voir les mêmes forces de police dans le centre de Cologne le soir de la Saint-Sylvestre !

    La censure de l’information n’est pas passée inaperçue dans la Pologne voisine, accusée par les médias et plusieurs personnalités politiques importantes outre-Rhin de porter atteinte à sa démocratie à cause de sa loi sur ses médias publics.
    Le ministre de la Justice polonais a publié samedi une lettre ouverte à l’Allemand Günther Oettinger, le commissaire européen chargé des médias, pour l’inviter à condamner le manque de transparence et de liberté des médias dans son propre pays plutôt que de problèmes fictifs chez les autres.
    Lors d’un match de volley entre l’Allemagne et la Pologne pour les qualifications aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, des supporters polonais ont déplié une banderole où l’on pouvait lire : « Protégez vos femmes, pas notre démocratie ».

    Olivier Bault

    http://fr.novopress.info/196828/cologne-ailleurs-les-agresseurs-sexuels-etaient-bien-refugies/

  • COP 21 : un succès qui nous coûtera cher

     

    La COP21 s’achève à Paris avec l’adoption d’un accord présenté comme une victoire majeure dans la lutte contre le « réchauffement climatique ». Une réussite française attribuée à François Hollande, Laurent Fabius et Ségolène Royal…

    Commençons par le commencement. Y a-t-il un changement climatique, et l'homme en est-il responsable ? À la première question, il faut évidemment répondre par l'affirmative, étant donné que le temps à toujours connu des fluctuations. Il y eu une période particulièrement chaude aux temps médiévaux, où la vigne était répandue en Grande-Bretagne... Il y a une quarantaine d'années, des scientifiques prédisaient une catastrophique chute des températures sur un ton aussi alarmiste que les annonces actuelles du réchauffement « anthropogénique ». La réalité, c'est que depuis 18 ans et 9 mois exactement, alors même que les émissions de C02 continuent de progresser sur le plan global, la température mondiale stagne.

    Gaz indispensable à la vie, le C02 est un fertilisant des végétaux, et il compose notamment l'air que l'homme expire. Ce n'est pas un poison ; il représente une fraction de « l’effet de serre » principalement causé par la vapeur d'eau. Le C02 d'origine humaine représente quelque 3,5 % de la totalité du C02 naturellement émis dans l'atmosphère et moins de 1 % des gaz à effet de serre - nécessaires à la vie de l'homme sur terre ! La quantité de dioxyde de carbone mesurée à la dernière grande ère glacière était largement plus importante que celle relevée aujourd'hui...

    Tourner le dos à 86 % de l'énergie actuellement utilisée

    Mais parce qu'un groupe d'études sous l'égide de l'ONU - le GIEC - a décidé que l'homme faisait chauffer la terre avec « l’énergie fossile », près de 200 pays ont dit l'urgence d'opérer une véritable révolution. Aujourd'hui plus de 86 % de l'énergie qui permet à l'homme de faire tourner l'économie - c'est-à-dire de se nourrir, de se vêtir, de construire son habitat, de se chauffer ou de se rafraîchir - provient des dites énergies fossiles, abondantes, fiables et bon marché. Il s'agit de la remplacer par des énergies « renouvelables » : chères, incertaines lorsqu'il s'agit de profiter de l'ensoleillement ou du vent, destructrices des paysages comme les éoliennes, et nécessairement accompagnées de solutions de rechange telles des usines à charbon...

    Les négociateurs de Paris se sont donc mis d'accord pour lutter contre un fléau dont on n'est pas sûr qu'il existe, par des moyens dont nul ne sait s'ils vont réellement jouer un rôle sur la température du globe.

    Ce que l'on sait, en revanche, c'est que cette « grande peur des années 2000 » permet des décisions internationales très politiques et aux conséquences considérables pour les pays développés. Ces derniers se sont engagés à réduire progressivement leurs émissions de C02 en vue de maintenir la croissance de la température de la terre bien en deçà des 2°C par rapport à l'ère préindustrielle, sur la foi de calculs scientifiques appuyés sur des modélisations informatiques que la réalité ne vient pas actuellement vérifier.

    100 milliards par an pour les pays en développement

    Les « pays en développement », eux, « devraient » concourir à la baisse des émissions, mais avec davantage de latitude eu égard à leur industrialisation insuffisante. Ils recevront en outre à partir de 2020 une somme de 100 milliards de dollars annuels, et davantage si les objectifs sont révisés à la hausse, pour faire leur transition énergétique.

    Ou pour dire les choses plus exactement : les contribuables des pays riches, de plus en plus matraqués par le coût exorbitant des « renouvelables », en situation de concurrence encore plus défavorisée par rapport aux pays émergents aux bas salaires et aux systèmes de sécurité sociale hypothétiques, vont devoir payer. Qui exactement ? L'accord ne le dit pas. C'est une somme globale dont la répartition sera suivie comme le lait sur le feu par une multitude de mécanismes, d'organismes et d'autres « champions » travaillant sous l'égide de l'ONU. Y gagneront, naturellement, les fabricants de "renouvelables".

    Notez que la Chine et la Russie sont des pays en développement au sens du FMI. Elles ont toutes deux participé aux négociations et imposé leur point de vue, la première en annonçant qu'elle continuera d'émettre davantage de C02 en construisant de nouvelles usines à charbon, la seconde en annonçant une baisse de ses émissions... directement liée à sa désindustrialisation post-communiste. Toutes deux ont évidemment intérêt à voir les pays développés pieds et poings liés. Au fait, la Chine émet près de 30 % du C02 mondial par an, deux fois plus que les États-Unis.

    L'accord de la COP21, un leurre ? Sur le plan de la protection de la nature, certainement. Sa réussite est ailleurs, elle est politique et idéologique : dans sa promesse aujourd'hui partagée d'abandonner le « modèle de développement économique » que le monde a connu depuis la révolution industrielle - avec ses côtés négatifs, mais aussi l'amélioration de la santé, de la longévité, du niveau de vie. C'est Christiana Figueres, principale organisatrice de la Conférence des parties, qui l’a dit...

    Jeanne Smits monde&vie 14 décembre 2015

  • « Charognards » ou têtes de linotte

    Une nouvelle profanation d’église a été commise dimanche à Fontainebleau (Seine-et-Marne).  Une vierge du XIVe siècle et un autel du XVIIe siècle, faisant  autrefois partie du mobilier de  l’église du château de Fontainebleau, ont été entièrement détruits par le feu. Le FN  a dénoncé hier  une hausse des «actes antichrétiens », notant que « bien qu’elles soient quasi systématiquement passées sous silence à la différence d’autres cultes, les profanations de lieux de culte ou de cimetières catholiques représentent pas loin de 85% des actes de ce genre en France». Suite aux incendies et actes de profanations antichrétiennes dans la région de Fontainebleau, l’AGRIF de Bernard Antony  a décidé de se porter partie civile, estimant que  «ces actes s’inscrivent dans un climat de haine anti-chrétienne de différentes origines. Il y a d’une part la haine islamiste mais il y a aussi la haine développée dans Charlie-Hebdo qui, sous le couvert d’une liberté de dérision anti-religieuse, s’en prend principalement à la religion chrétienne (…). »

     Tensions, haines  intercommunautaires qui se sont de nouveau  manifestées de manière particulièrement virulente à Marseille avec l’agression lundi d’un enseignant juif, d’une école hébraïque de Marseille. Alors qu’il était  coiffé d’une kipa, ce professeur  à l’Institut franco-israélite  de la Source a été attaqué à la machette, par un jeune de 16 ans,  de nationalité turque et d’origine kurde. L’agressé a pu éviter de graves blessures en se protégeant   à l’aide de son livre religieux.

     Le procureur de la république de Marseille, Brice Robin,  a précisé que le parquet  a ouvert une enquête pour «tentative d’assassinat en raison de la religion» et «apologie du terrorisme». L’agresseur  «a dit avoir agi ainsi au nom d’Allah, de l’État islamique (EI), répétant avoir agi à plusieurs reprises au nom de Daech». Un couteau avec une lame de 20 centimètres a également été retrouvé sur ce jeune qui a été rapidement arrêté. «Il a affirmé que le couteau était réservé à agresser les policiers», que s’il sortait du commissariat, «il se procurerait une arme à feu et tuerait des policiers»  a expliqué M.  Robin

    Tensions entre juifs et musulmans qui se manifestent aussi dans les circonstances peut être plus inattendues  relevait  un reportage de France Info relayé sur le site de L’Express  relatant «le moral (en berne)  des  70 000 soldats (qui)  ont été mobilisés pour l’opération Sentinelle», à savoir «la protection des sites sensibles ». « Couchage à même le sol dans des casernes désaffectées, sans toilettes, sans chauffage, avec des rats qui passent partout, des fuites d’eau, ou encore à côté d’un local poubelles… L’état major assure que les conditions d’hébergement des militaires se sont améliorées depuis janvier 2015, mais pas pour tous.»

     «Sur les premières semaines, il y avait beaucoup de compassion et de générosité de la part des civils, se rappelle un soldat interrogé par la radio. Mais cet élan initial a laissé place à l’indifférence. Quand ce ne sont pas aux agressions verbales. On a des jeunes d’origine musulmane qui sont insultés par des gens de confession juive quand ils sont affectés à la protection d’une synagogue,relate un militaire».

    Si la grande muette reste par nature  discrète sur ses déboires, sa paupérisation dans tous les domaines alors qu’elle n’a jamais été autant sollicitée, les grands médias, eux aussi pratiquent,  une discrétion sur certains évènements qui est  assimilable à une véritable rétention d’information.

    Certes, l’avènement des réseaux sociaux et d’internet ont sonné la fin de l’éteignoir, du couvercle médiatique permettant de dissimuler des nouvelles gênantes. Nous l’avons encore constaté avec les récents événements en Allemagne. Les grands groupes de presse et audiovisuels outre-Rhin n’ont pu passer longtemps sous silence la vague d’agressions sexuelles consécutives à l’afflux migratoire, sans précédent dans  un laps de temps aussi court, qui s’est abattu sur l’Allemagne.

    Outre les centaines de plaintes enregistrées à Cologne et Hambourg pour des faits qui ont eu lieu la nuit de la saint-sylvestre  -plus de 500 plaintes, dont 40% pour agressions sexuellesdéposées depuis le 1er janvier-, le quotidien Bild vient de révéler  d’autres délits sexuels qui ont été commis par des demandeurs d’asile cette fin de semaine dans les gares et les  trains d’autres régions d’Allemagne

    En Suède, c’est le quotidien Dagens Nyheter qui a fini par alerter ses lecteurs  sur des faits similaires (ayant fait l’objet de rapports de police),  à ceux qui se sont déroulés le 31 décembre  dans des villes allemandes.  Mais cette fois  à Stockholm, en 2014 et l’été dernier,  lors d’un festival pour jeunes. Des dizaines de  Suédoises, souvent mineures,  y ont été sexuellement agressées par des bandes de  migrants, souvent originaires d’Afghanistan.

    Lundi, Ralf Jäger, ministre de l’Intérieur de l’Etat régional de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, s’est inquiété du «danger» de «stigmatiser» les immigrés non Européens suite aux récentes agressions de femmes allemandes,  «c’est ce que font les charognards de l’extrême droite» a-t-il dit.  «Charognards» -qu’en termes délicats ces choses là sont dites-  qui étaient plusieurs dizaines de milliers  à défiler cette fin de semaine à Cologne et hier  soir à Leipzig,  à l’appel  du mouvement anti-immigration Pegida pour demander la fin de cette politique d’immigration-invasion, l’expulsion des voyous, la démission de Angela Merkel.

    M. Jäger a cependant avoué que les agressions de Cologne avaient été commises «presque exclusivement» par des personnes «d’origine immigrée», notamment du Maghreb  -14 des 19 suspects identifiés sont originaires du Maroc et d’Algérie– mais «aussi parmi les suspects des réfugiés venus chez nous l’année dernière» a-t-il dit.

    Il était pourtant assez évident, note Bruno Gollnisch, que l’Allemagne ne pouvait accueillir sur son sol 1 à 1,8 million de réfugiés non Européens  en quelques mois, sans que cela produisent des  effets pervers. Bien sûr, tous les immigrés débarquant en Europe  ne sont pas des violeurs en puissance. Mais quand les migrants en question  sont en  très  grand nombre de jeunes adultes célibataires, issus de sociétés musulmanes  mais ou circulent aussi  l’image, supposée ou fantasmée,  de femmes occidentales «faciles», la situation devient très vite problématique. A fortiori quand les jeunes immigrés  en question sont façonnés par une  culture mahométane qui  enseigne, à des degrés divers,  plus ou moins implicitement,  un sentiment de supériorité vis-à-vis de l’occident impie et/ou décadent.

    Selon un sondage de la chaîne RTL, 57% des Allemands redoutent une hausse de la criminalité générée par les récents flux migratoires. Dans ces circonstances,  les Allemands en particulier, et les Européens en général, devraient surtout craindre l’angélisme multiculturel des têtes de linotte du microcosme politico-médiatique, plutôt  que les soi-disant charognards qui avertissent  des conséquences de cette  folle idéologie sans-frontiériste et immigrationniste.  

    http://gollnisch.com/2016/01/12/charognards-ou-tetes-de-linotte/

  • République, République, vous avez dit République ?

    Je n’écris pas beaucoup en ce début d’année, ce qui ne m’empêche pas, Dieu merci, de lire, d’écouter et de discuter politique, entre autres. En fait, je suis surtout en train de corriger des devoirs d’histoire-géographie de Seconde au milieu d’une actualité qui tourne à la rubrique nécrologique permanente : après Delpech, Galabru et Courrèges, c’est au tour de David Bowie de monter au Ciel… « Sale temps pour les saltimbanques », pourraient soupirer Audiard ou Gainsbourg s’ils étaient encore là pour le faire. Nécrologie, et commémorations, ces dernières semblant ne plus devoir cesser en cette République qui, a défaut d’une véritable mémoire, s’invente une histoire et une légitimité, au risque de se brouiller un peu plus avec les réalités et avec les sentiments d’un pays réel qui se sent, sans doute, délaissé ou méprisé.

    Ainsi, je suis agacé par la véritable sacralisation (qui n’est pas vraiment récente, à bien y regarder) d’une République dont on vante les valeurs sans interroger les fondements, philosophiques comme historiques, même si je constate aussi que nombre de personnes entendent « France » quand les officiels prononcent, rituellement, le mot « République », comme si les deux se confondaient forcément et comme s’il n’y avait de valeurs civiques que dans ce régime qui se drape dans la toge de Marianne, y cachant parfois quelques poignards destinés au César du moment, fût-il « normal »…

    Je me souviens de l’embarras de nos gouvernants quand une attaque terroriste ayant endeuillé le Danemark au printemps, ceux-ci reprenaient le discours officiel de janvier 2015 sur les « valeurs » en évitant, parfois bien maladroitement, de rajouter le qualificatif de « républicaines » pour un pays qui est et reste, envers et contre tout, un Royaume qui n’a guère de leçons de civisme et de démocratie à recevoir de quiconque, comme nombre de pays scandinaves et la Belgique voisine, mais aussi l’Espagne, le Royaume-Uni et le Luxembourg, souvent membres d’une Union européenne fondée sur des principes démocratiques reconnus à défaut d’être toujours respectés par les institutions d’icelle.

    Bien sûr, on peut aussi entendre le mot République au sens latin du terme qui signifie « la chose publique » ou « le bien commun », et, dans ce cas, un monarchiste, même s’il est « réactionnaire » ou maurrassien, et encore plus s’il se réfère aux monarchiens de 1789 ou aux catholiques sociaux du XIXe siècle, peut reprendre le terme sans barguigner, dans le sens qu’a développé, en son XVIe siècle, le juriste Jean Bodin, « théoricien » de la Monarchie absolue…  Mais, le plus souvent,nos gouvernants ne (re)connaissent pas cette généalogie politique du mot et se contentent d’y mettre ce qui peut s’apparenter à « leur » conception du Pouvoir et de sa légitimation, et de n’y voir qu’un régime politique défini, à la façon d’Anatole France (qui a compris bien des choses), que comme « l’absence de roi »

    Cette République-là, à la merci des grands féodaux et de leurs partis, est justement celle que je dénonce et combats, et pour laquelle je n’ai pas de mots assez durs, non par haine d’elle-même, mais bien au contraire, par amour de la Chose publique, du Bien commun, de la nation française et de ses particularités et diversités… Cette République qui oublie les petits et les pauvres, cette République qui méprise les provinces et les villages, cette République qui parle de valeurs mais pense d’abord Bourse et compétitivité, cette République qui se verdit le temps d’une COP 21 et bétonne le jour d’après, de Notre-Dame-des-Landes (ce n’est pas fait !) aux entours de nos bourgs ruraux (la « rurbanisation », disent-ils, mais qui est une véritable artificialisation inutile des terres quand les centres-bourgs ont tant de maisons disponibles à remplir et à restaurer)… Cette République qui inscrit dans la pierre de ses bâtiments officiels la liberté comme pour être bien sûre qu’elle ne bouge plus de ses frontons et dans le cœur des gens, et qu’elle ne menace plus son règne… Si Bernanos, cet amoureux passionné de la liberté, était royaliste, ce n’est ni un hasard ni une surprise, comme l’a rappelé si souvent son disciple le plus fervent, Sébastien Lapaque, mais la simple constatation que la République enfermait la liberté dans ses textes et son Journal officiel, ce que moquaient aussi les Camelots du roi qui n’hésitaient pas, dans leurs chants joyeux, à clamer qu’ils « se foutaient de ses lois »… 

    Le professeur d’histoire que je suis n’a guère de chances, en étudiant les siècles passés, de devenir partisan d’une République née dans la Terreur des années 1792-94, et qui s’est tant de fois déshonorée, à l’intérieur comme à l’extérieur, préférant ses « coquins » et ses « valeurs » plutôt que la justice sociale (une formule qu’elle n’a même pas inventée puisque c’est… le roi Louis XVI qui l’a valorisée le premier !) et les libertés concrètes. Je me souviens, dans mon adolescence, avoir pleuré de l’aveuglement et de la lâcheté de la IIIème République face aux totalitarismes, de son hypocrisie profonde et bien pensante, tout comme je me souviens aussi de mes éclats de rire quand je lisais « La bande des Ayacks », ce roman de jeunesse qui s’en prenait à une société des adultes qui fleurait fort le monde des officiels de la République et qui « nous » vengeait de cette dernière… Est-ce un hasard, en définitive, si j’ai découvert la Résistance, celle des années sombres de l’Occupation allemande, dans les livres du colonel Rémy, ce résistant aux idées catholiques et royalistes (il sera abonné jusqu’à sa mort, en 1984, à l’hebdomadaire monarchiste Aspects de la France…) ? Mes deux premiers livres reliés cuir (de couleur bleu) étaient frappés de la croix de Lorraine et signés de Rémy, et, sans le comprendre alors, ils ont sans doute préparé le terrain à mon engagement royaliste ! D’ailleurs, dans ceux-ci, je n’ai pas souvenir d’avoir vu évoquées les valeurs républicaines dont on nous rabat les oreilles en tous lieux tandis que notre République déroule le tapis rouge aux dignitaires saoudiens d’un régime féodal et obscurantiste qui salit le nom de Monarchie

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1279:republique-vous-avez-dit-republique-&catid=50:2016&Itemid=61

  • Le grand virage civilisationnel, c’est peut-être maintenant

    Il est hautement significatif que les évènements les plus abjects et les plus symboliquement représentatifs de la violence barbare se soient produits dans une cité, une capitale, de la culture occidentale, la ville de Cologne dominée par son imposante et majestueuse cathédrale gothique.

    Quand d’autres barbares saccagèrent Rome, les historiens expliquèrent cette tragédie par l’affaiblissement de l’Empire, la démoralisation des légions et la domination de l’individualisme, de la corruption et du relâchement des mœurs. Sans vouloir jouer les Cassandre et encore moins les prophètes de mauvais augures, on ne peut éviter de comparer cette grande période d’effondrement de la civilisation antique avec celle que nous vivons aujourd’hui. Avec la différence toute fois que les barbares de notre temps ne se voient opposer aucune résistance, puisqu’ils sont appelés et accueillis avec un grand enthousiasme , aussi bien par ceux qui ont pouvoir de police et de justice dont nous, les natifs, faisons les frais dès qu’on veut l’ouvrir, mais aussi par toute une foule de « citoyens du monde » affamés de cosmopolitisme. Et bien sûr, ceux qui ont le malheur d’émettre quelques réserves sur cette imprudente attitude d’ecervelés, se font traiter, selon les formules officielles dûment validées par BHL et autre Attali, de représentants de la « France moisie » repliée sur elle-même. Cologne n’est pas la France, mais nous offre un avant gout de ce qui nous attend dans l’hexagone, à Calais et ailleurs, tant la conjonction entre la situation migratoire à l’intérieur de l’Europe et les guerres qui secouent le moyen Orient et une bonne partie de l’Afrique, atteint son ultime achèvement aujourd’hui. Tout est en place pour le dernier acte. Les évènements de Cologne ne sont assurément que les premiers assauts ponctuels, fort concluants au demeurant, destinés à tester la résistance de « l’ennemi ». Faut-il résister ? Bien sûr, il est quand même étonnant qu’en Allemagne, ces filles et ses femmes qui se sont faites agresser, n’aient pas de maris, de compagnons, de frères, de cousins que sais-je. Où sont les hommes ? Non elles sont seules, car la faiblesse (voulue) de notre société de consommation est de faire de nous des êtres seuls. C’est le phénomène moderne d’individuation disent en se pâmant les sociologues officiels du libéralisme libertaire. Ils ont tout fait, médias en tête, pour essayer de cacher l’énormité de la chose. Dès que la rumeur a transpirée quatre jours après, « pas d’amalgame » se sont écriés en cœur, responsables politiques et journalistes à leurs soldes (ou l’inverse). Les policiers confrontés quotidiennement aux exactions qui se multiplient sont écœurés mais ont les mains liées. Ils vont donc procéder à quelques interpellations pour calmer le petit peuple et puis on essaiera de trouver des solutions, demander aux femmes de se tenir éloignées des violeurs(sic), aménager un peu mieux les centres d’accueil…. Il y aura d’autres événements de ce type et peut être même que quelques jeunes occidentaux excédés mèneront des opérations de représailles. Là ça fera les gros titres et donnera l’occasion à tous nos intellectuels de s’indigner à nouveau et de mener une campagne contre le racisme et probablement se débrouillera t’on pour montrer du doigt les partis dits populistes. C’est là que l’on verra la police sortir et que des perquisitions spectaculaires seront opérées. [....]

    Olivier Dejouy

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