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  • Michel Delpech, quand il était chanteur…

    C’est dans la lecture, le recueillement et la prière que Michel Delpech trouva enfin la paix de l’esprit.

    Après Lemmy Kilmister (voir nos éditions précédentes), un autre grand artiste, même si n’officiant pas exactement dans la même registre, vient de nous quitter à son tour : Michel Delpech.

    Pour ceux qui ont passé la cinquantaine, il incarna mieux que quiconque la bande son de la France gaullo-pompidolo-giscardienne ; bref, celle d’avant le 10 mai 1981. Avec un indéniable instinct, il sut en accompagner, voire en précéder les mutations sociologiques. Avec « Inventaire 66 », c’était la lassitude de la présidence gaullienne, d’une société en noir et gris, alors qu’une autre jeunesse rêvait d’un monde en couleurs : Mai 68 n’était pas loin, Wooodstock non plus. D’ailleurs, quelques mois plus tard, il interprète encore « Wight is Wight », hommage au festival éponyme, réplique anglaise du Woodstock américain.

    Autre chanson symbolique, « Les Divorcés », à laquelle Éric Zemmour consacre de longs paragraphes dans son Suicide français. En effet, c’est la première fois qu’un artiste de variétés évoque un sujet encore tabou, alors exception qui n’allait pas tarder à devenir norme quasi dominante. Le texte est sublimement écrit mais, note Zemmour, donne cette vision singulièrement irénique de la chose, ambiance, le divorce, finalement, n’est pas si grave. Et les familles recomposées, ça peut être tellement cool…

    La vérité, c’est que Michel Delpech venait alors de se séparer de la mère de ses enfants, et que ce divorce avait été pour lui des plus douloureux.[...]

    Nicolas Gauthier

    La suite sur Boulevard Voltaire

     

  • Manipulation en vue des chiffres du chômage

    Cela fait déjà 3 ans que François Hollande annonce l'inversion de la courbe du chômage. «S'il n'y a pas de résultat, il ne peut pas y avoir de crédibilité sur une candidature». Le temps est donc compté et il ne reste donc plus au président qu'une habile manipulation des chiffres pour oser se représenter en 2017.

    Dans ses vœux au gouvernement, François Hollande a demandé de travailler sur un plan de formation de 500 000 chômeurs, d'élargir le recours à l'apprentissage, d'élaborer «un dispositif exceptionnel, c'est-à-dire pour un temps limité, destiné à inciter à l'embauche dans les PME». 

    Charles Wyplosz, professeur d'économie internationale à l'Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) à Genève, est directeur du Centre international d'études monétaires et bancaires, analyse dans Le Figaro :

    "La formation de 500 000 chômeurs aux «métiers de demain» est un coûteux canular. Personne ne sait au juste ce que sont les métiers de demain, en tout cas pas les politiques et les bureaucrates. On a compris depuis longtemps que la seule formation d'avenir valable consiste à inculquer les bases et la capacité d'analyse. L'Éducation Nationale a échoué, parce qu'elle est trop lourde et trop démotivante pour les enseignants, mais personne au gouvernement ne veut toucher à cette belle endormie qui fournit (fournissait?) les gros bataillons de ses électeurs. On va donc embaucher des armées de formateurs au rabais qui vont occuper les chômeurs le temps qu'on les comptabilise. À la sortie de cette opération, les chômeurs «formés» reviendront à la case départ. Et il restera une facture salée."

    Des chômeurs longue durée vont ainsi sortir temporairement de la catégorie A et faire baisser artificiellement les chiffres du chômage.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des Européens dans le collimateur de Bruxelles

    Emblème de la social-démocratie, du laxisme parfois le plus aberrant, ouverte à la théorie du genre comme à l’immigrationnisme le plus échevelé, la  Suède  est fière de se définir (se définissait ?) comme «une super puissance humanitaire». Ce vœu s’est-il fracassé par sa collision avec la réalité? L’Afp rapporte que «la Suède a pris au cours de l’automne une batterie de mesures destinées à dissuader les migrants de s’y établir au bout de leur périple à travers l’Europe. L’effet a été immédiat avec une baisse spectaculaire des demandes d’asile qui ne s’est pas démentie depuis ». Un impératif pour le gouvernement de gauche au pouvoir qui a rétabli le contrôle aux frontières, sachant que  «la vague de réfugiés, qui a pris des proportions inattendues entre août et novembre, a instillé des tensions entre la Suède, qui a reçu 163.000 demandes d’asile l’an dernier, soit la plus grande proportion par habitant de toute l’UE, et le Danemark, qui n’en a reçu que quelque 21.000. » Il n’en fallait pas plus pour susciter la colère de l’Allemagne de Mme Merkel, en plein délire multiculturaliste, qui, par la voix du ministère des Affaires étrangères, a rappelé que «la libre circulation est un bien précieux ». « L’accord de Schengen est très important mais est en danger, a déclaré le porte-parole du ministre Frank-Walter Steinmeier, Martin Schäfer, alors qu’une dizaine d’États membres ont rétabli à divers degrés les contrôles à leurs frontières, érigeant même pour certains (Hongrie, Slovénie) des clôtures antimigrants. »

    Bien  sûr, le gouvernement suédois  a été obligé de réagir devant une invasion que même  les très tolérants  (et conditionnés) Suédois  jugent de plus en plus insupportables avec son lot de violences, de criminalité, de menaces…Pour les Danois aussi la coupe est pleine:  «Il est manifeste que l’UE n’est pas capable de protéger ses frontières extérieures et d’autres se verront contraints d’intaurer (…) des contrôles frontaliers, a déclaré le chef de gouvernement libéral, dont la majorité dépend au Parlement du Parti populaire danois (DF), formation anti-immigration. Et d’ajouter: Les dirigeants européens doivent réagir. »

    En fait  de réaction, Bruxelles entend surtout conspuer les méchants, les déviants,  les partisans du repli, autrement dit  les salauds qui ne veulent pas de la babélisation-tiermondisation  définitive de l’Europe.

    Dans la ligne de mire des  bien-pensants,  est apparu  le président tchèque Milos Zeman qui, tout homme de  gauche qu’il est, a eu le front d’assister en novembre à Prague à un rassemblement contre l’immigration en compagnie d’hommes politiques de la droite nationale.

    Dans son message de Noël adressé  à la République tchèque,  qui comme la Slovaquie a  refusé le système des quotas instauré par l’UE pour disperser les vagues actuelles d’immigrés illégaux,   M. Zuman a aggravé son cas. Il a tenu à préciser de nouveau qu’il entendait protéger son pays jusqu’alors épargné par l’immigration non européenne.

    « Je suis profondément convaincu a-t-il dit,  que nous avons affaire à une invasion organisée et non pas à un mouvement spontané de réfugiés (…).  Une grande majorité de ces migrants illégaux sont de jeunes hommes en bonne santé, et célibataires. Je me demande pourquoi ces hommes ne prennent pas les armes pour aller se battre pour la liberté de leur pays contre l’Etat islamique »,  les fuyards immigrés  renforçant la capacité des djihadistes sur  le terrain a-t-il précisé.

    Si un sondage récent soulignait que  70% des Tchèques étaient opposés à l’arrivée de «migrants» et autres  «réfugiés» dans leur pays, cette opposition  est, si ce n’est équivalente, du moins nettement  majoritaire dans tous les pays de l’UE. Le Monde s’en offusquait dernièrement, «le gouvernement hongrois (le 3 décembre dernier, NDLR) a fait savoir qu’il portait un recours auprès de la Cour de justice de l’Union européenne contre la proposition de relocaliser en urgence 120 000 réfugiés, validée par le Conseil européen en septembre. Le même jour, il a lancé une campagne de presse très dure : plusieurs journaux hongrois affichaient sur une pleine page des messages comme :  Les quotas augmentent la menace terroriste !  ou  Un immigré illégal arrive en Europe toutes les douze secondes en moyenne .» « Budapest affirme avoir collecté près d’un million de signatures en soutien à sa politique de refus des migrants ».

    Bien sûr, quand il s’agit de fustiger un dirigeant politique soucieux de l’identité de son peuple, les heures les plus sombres ne sont jamais loin. Rendez-vous compte braves gens,  s’alarmait toujoursLe Monde fin décembre, en Hongrie « Viktor Orban, prône le retour à l’Etat-nation et à la religion chrétienne (…).  Pour lui, la crise actuelle enterre le  blabla libéral  et le multiculturalismepolitiquement correct ».

    « Mais d’où vient l’ idée chrétienne-nationale  qui imprègne tous ses discours ? » (sic).  « Et peut-elle fédérer une majorité de Hongrois ? Selon l’historienne américaine d’origine hongroise Eva Balogh, ce concept était très en vogue à l’époque de Miklos Horthy, au pouvoir de 1920 jusqu’à octobre 1944, date à laquelle l’Allemagne hitlérienne a préféré le destituer pour s’appuyer sur les Croix fléchées du pronazi Ferenc Szalasi. »

    Mais d’où vient l’idée consistant à chaque fois à établir un lien, une  équivalence, une trouble filiation  entre les patriotes, les nationaux actuels et les idéologies totalitaires du passé, au mépris de l’honnêteté intellectuelle la plus évidente ? Nous touchons là du doigt, constate Bruno Gollnisch,  si ce n’est à l’imprégnation gauchiste, trotskyste des journalistes, du moins au formatage mondialiste des esprits par les gros médias appartenant tous à des groupes financiers  souvent intrinsèquement,   résolument opposés au fait national.

    Ce qui est le cas aussi de la Commission européenne qui,  après avoir  mené la guerre contre le gouvernement hongrois au motif, bien mensonger, qu’il souhaitait  s’attaquer  à la liberté de la presse, s’en prend aujourd’hui au  gouvernement polonais, lui aussi trop conservateur, tropréactionnaire pour être honnête aux yeux des petits kapos de cette Europe liberticide.

    Les échos rapporte notamment que « l’exécutif européen a annoncé qu’il tiendrait  le 13 janvier,  un  débat politique  sur le respect de l’Etat de droit en Pologne (…) depuis le vote de deux réformes par le nouveau gouvernement dirigé par les conservateur du PiS (Parti Droit et Justice).  L’une portant sur le fonctionnement du Tribunal constitutionnel – avec à la clé une menace sur la séparation des pouvoirs – et l’autre sur le pluralisme dans les medias. Sur ce dernier point, le texte voté il y a quelques jours par le parlement polonais prévoit de confier au ministère du Trésor la désignation de la direction de la radio et de la télévision publiques, ainsi que la possibilité de les révoquer.»

    « Beaucoup de choses plaident pour que nous activions le mécanisme d’Etat de droit  et que nous placions Varsovie sous surveillance, avait averti ce week-end Günther Oettinger, le Commissaire allemand en charge des médias. Celui-ci faisait référence à un mécanisme adopté en 2014 après des réformes controversées en Hongrie, et qui peut aller jusqu’à priver un Etat de ses droits de vote au sein de l’Union européenne en cas de violations graves des valeurs communes de l’Europe ».

    Il nous aurait  donc échappé  qu’en France notamment,   le pluralisme des idées, desopinions,  règne dans les grands médias, comme l’illustrerait les nominations trèsdiversifiées à la tête des radios et des télévisons du service public ?  De qui se moque-t-on ?

    http://gollnisch.com/2016/01/05/des-europeens-dans-le-collimateur-de-bruxelles/

  • Bernard Lugan sur les crises saharo-sahéliennes

    Conférence de Bernard Lugan sur les crises saharo-sahéliennes

    Conférence donnée le 19 janvier 2015 au Centre Les diguières par le professeur Bernard Lugan sur les crises saharo-sahéliennes.

    Africaniste, Bernard LUGAN est expert devant le TPIR (Tribunal
    pénal international pour le Rwanda), professeur à l'Ecole de Guerre
    et aux Ecoles supérieures militaires de Saint-Cyr Coëtquidan.
    Il dirige la revue par internet « l'Afrique Réelle».

    De la Libye au Nigeria et du Mali à la Somalie, l'arc de crise saharo-sahélien fait peser de très graves menaces sur toute l'Afrique de l'Ouest et sur l'Afrique du Nord. Ces crises sont d'abord des résurgences de conflits anciens aggravés par la modernité. Dans cette situation quelle pourrait être la stratégie de la France ?

    http://bernardlugan.blogspot.fr/

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Charlie Hebdo : la Une de la honte

    4841109_6_46b0_2016-01-04-8854d6f-6317-13nvr84_5cfd5e2af079f75ed9149c0a863b50f4-aaa03.jpgLa rédaction de l’hebdomadaire a identifié l’assassin de janvier. Son portrait-robot est passionnant.

    C’est un « wanted » tiré à un million d’exemplaires. Le montant de la prime – « mort ou vif » – n’est pas précisé, ce qui est dommage. L’assassin, donc, court toujours. Mais les journalistes de Charlie Hebdo savent sur lui des choses que nous ignorons. Il a plutôt une bonne tête. Une sorte de pâtre grec sur le retour. Une barbe fleurie, plus jupitérienne que mahométane.

    D’ailleurs, détail vestimentaire de première importance, il porte des sandales, pas des babouches. En outre, pour ajouter à la complexité du personnage, au-dessus de sa tête, il y a quelque chose qui fait penser à un triangle maçonnique.

    C’est intéressant. C’est riche. Et ça ouvre de nouveaux horizons à une pensée dont les rédacteurs de Charlie Hebdo ne veulent pas qu’elle se résume à montrer du doigt les djihadistes.

    Car ça, c’est d’un commun. C’est convenu, banal. Et un journal se doit de surprendre. La une de Charlie Hebdo est à cet égard d’une réussite exemplaire. Vous auriez dépensé 3 euros, vous, pour voir la tête des frères Kouachi ? Vous auriez mis la main à la poche pour regarder une caricature de djihadiste alors qu’on nous en abreuve tous les jours ? Bien sûr que non. Tandis que là, vous en avez pour votre argent.

    Un Dieu gréco-judéo-chrétien : c’est lui l’assassin de janvier ! Si vous voyez quelqu’un qui lui ressemble, signalez-le à Cazeneuve, à Hollande, à Valls, au premier flic venu. Et arrêtez immédiatement de vous polariser sur les djellabas, les burqas et de scruter à la jumelle les cités de Roubaix, de Saint-Denis, de Stains, de Trappes. Le portrait-robot de Charlie Hebdo nous incite à voir plus haut, plus loin. Du côté de l’Olympe. Vers le mont des Oliviers. Et – pourquoi pas – à Saint-Pierre de Rome… [...]

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Charlie-Hebdo-la-Une-de-la-honte

  • Alain Juppé et l’immigration : le double langage dans une France droitisée

    Alain Juppé, candidat idéal des mondialistes aux élections présidentielles de 2017 selon plusieurs observateurs politiques, doit tirer quelques leçons des élections régionales de décembre 2015. De toute évidence, la France s’est droitisée et les électeurs digèrent de moins en moins l’immigration malgré la propagande quotidienne pour le multiculturalisme. Pour s’imposer aux primaires des Républicains, Alain Juppé est donc contraint à quelques menus accommodements de langage.

    Ainsi, dans un nouveau livre à paraître le 6 janvier et intitulé « Pour un Etat Fort« , le maire de Bordeaux, prétend afficher sa « fermeté ». Tous les médias sont appelés à signaler son prétendu virage à droite parfaitement calculé pour concurrencer Nicolas Sarkozy sur ce terrain.

    Alain Juppé dit souhaiter la création d' »une police pénitentiaire » et la construction de 10.000 places de prison. Il veut aussi criminaliser la consultation de sites jihadistes. Il demande la possibilité de « rétention administrative » pour les personnes qui rentrent de Syrie. Il promet la suppression des réductions de peines automatiques pour les condamnations supérieures à un an de prison et la redéfinition des conditions de la légitime défense.

    C’est au sujet de l’immigration que les propos d’Alain Juppé sont les plus risibles. Le voilà qui prétend vouloir durcir les conditions du regroupement familial et instaurer le vote chaque année d’un « plafond d’immigration légale ». Exactement le contraire de ce qu’il déclarait précédemment !

    alain juppé immigration 2

    alain juppé immigration


    PLAIDOYER POUR L’IMMIGRATION : LA DROITE ET L… par ina

    http://www.medias-presse.info/alain-juppe-et-limmigration-le-double-langage-dans-une-france-droitisee/46724

  • Amazon veut contrer Pegida et verser les revenus de ses produits aux envahisseurs clandestins

    Pegida est le mouvement allemand, populaire et spontané, d’opposition à « l’islamisation de l’Europe ».
    Il organise depuis deux ans des rassemblements géants et très pacifiques, qui horrifient médias et politiciens…

    L’hymne (sans paroles) de Pegida été mis en vente sur Amazon Allemagne le 22 décembre, avec un message encourageant les abonnés du groupe à s’amuser d’une « célébration patriotique de Noël », et est très vite devenu numéro un des ventes de morceaux  de musique, détrônant les stars à la mode !

    Pegida avait auparavant déclaré que sa part des recettes de la vente de son hymne sans paroles irait à « une bonne cause ».

    Or Amazon, qui conserve pour sa part un tiers du produit des ventes sur son site, n’a pas supporté une telle offense au politiquement et commercialement correct…
    Le site de vente en ligne a annoncé ces jours-ci que « les revenus d’Amazon tirés de la vente de cette pièce musicale iront à une organisation de bienfaisance soutenant les réfugiés [sic] »…

    Selon le site d’actualité en ligne The Local, les visiteurs du site cherchant l’hymne Gemeinsam sind wir stark (« Ensemble, nous sommes forts ») se sont heurtés donc heurtés dès mercredi soir à un nouveau message concernant ce morceau de Pegida :

    amazon

    On savait déjà que cette multinationale, faisant une concurrence déloyale à de nombreux commerces traditionnels, finançait à coups de millions des associations homosexualistes, et produisait même sa propre série télévisuelle décadente

    http://www.contre-info.com/