Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 47

  • Impôts, chômage, TVA : les oublis et les intox de Nicolas Sarkozy sur l’économie

    Cent milliards d’euros d’économie, 40 milliards d’euros de baisse d’impôts, 300 000 suppressions de postes dans la fonction publique… Nicolas Sarkozy a détaillé son programme économique dans Le Figaro ce dimanche 2 octobre. Le tout, en délivrant quelques fausses affirmations ou approximations. Retour sur certaines de ses déclarations. 
    Sur Alain Juppé et la TVA 
    CE QU’IL A DIT « Sur les impôts, Alain Juppé veut augmenter la TVA, alors que François Hollande l’a déjà fait en 2012. Est-ce vraiment cela l’alternance ? »
    AMNÉSIE 
    Il est vrai qu’Alain Juppé propose d’augmenter le taux normal de la TVA d’un point, de 20 à 21 %, en contrepartie de baisses d’impôts. Il est tout aussi juste de rappeler que François Hollande a fait passer ce même taux de 19,6 à 20 % au 1er janvier 2014, alors qu’il l’excluait pendant sa campagne. 
    Mais cette pique est pour le moins audacieuse venant de Nicolas Sarkozy : ce dernier, alors chef de l’Etat, avait en effet mis en place en janvier 2012 une hausse de la TVA de 19,6 % à 21,2 % en échange de baisse de cotisations sociales, soit un taux légèrement supérieur à celui qu’envisage son rival à la primaire de la droite. François Hollande s’y était opposé pendant sa campagne et avait annulé cette hausse après son élection. 
    Il est donc curieux de faire passer la hausse de TVA proposée par Alain Juppé comme une mesure de « gauche », alors qu’elle tient d’une vision plutôt libérale de l’économie, défendue par Nicolas Sarkozy lui-même en 2012. Dans cette affaire, ce sont surtout les changements d’avis de l’ex-président et de François Hollande qui ont brouillé les lignes. 
    Sur les baisses d’impôts qu’il propose 
    CE QU’IL A DIT « Je suis d’ailleurs le seul à proposer une baisse de l’impôt sur le revenu. (…) Je suis en outre opposé à ne baisser que les impôts des entreprises, parce que je veux un équilibre entre ce qui sera fait pour elles et pour les ménages. » 
    POURQUOI C’EST FAUX 
    Visiblement, Nicolas Sarkozy n’a pas lu attentivement les programmes de ses rivaux. Il est en effet loin d’être le seul à proposer une baisse de l’impôt sur le revenu ou, plus généralement, de la fiscalité des ménages : 
    • Alain Juppé propose de baisser l’impôt sur le revenu de 2 milliards sur un total de 13,6 milliards de baisse de la fiscalité des particuliers ; 
    • Jean-François Copé propose une baisse de l’impôt sur le revenu de 5 milliards d’euros, là aussi au milieu de nombreuses baisses de charges ; 
    • Bruno Le Maire, François Fillon et Nathalie Kosciusko-Morizet proposent également des baisses d’impôts pour les ménages. 
    En résumé, seul Jean-Frédéric Poisson ne formule pas de propositions concrètes pour faire baisser l’imposition des ménages, alors qu’il appelle à faire baisser les charges des entreprises. 
     
    Sur le niveau de diplôme des chômeurs 
    CE QU’IL A DIT « Le problème du chômage en France est massivement celui des travailleurs non qualifiés : 80 % des demandeurs d’emploi n’ont pas le bac, 40 % n’ont aucun diplôme. » 
    POURQUOI C’EST FAUX 
    Les chiffres avancés par Nicolas Sarkozy sont très loin de la réalité. Selon les données de l’Insee pour l’année 2015, ce ne sont pas 80 %, mais 56 % des chômeurs, qui n’ont pas le bac en France. Les non-diplômés ou niveau brevet des collèges représentent quant à eux 29,4 % de l’ensemble des demandeurs d’emploi et pas 40 %. 
     
    Si l’on regarde le taux de chômage par diplôme estimé par l’Insee, on s’aperçoit, en revanche, que les personnes sans diplôme ou niveau brevet des collèges sont nettement plus touchées que l’ensemble de la population (16,8 % contre 10 % en 2015). Les diplômés d’un CAP ou d’un BEP s’en sortent mieux (10,8 % de chômeurs), juste derrière les diplômés du bac (10,1 %). Les détenteurs d’un bac + 2 ou d’un diplôme supérieur sont les mieux lotis (6,3 % et 6,2 %). 
    En résumé, il serait juste de dire que moins on est diplômé, plus on est exposé au chômage. Mais Nicolas Sarkozy grossit tellement le trait qu’il occulte le fait que près d’un chômeur sur deux (44 %) a le bac ou un diplôme plus élevé. 
    Sur son action pour Alstom en 2004 
    CE QU’IL A DIT « Aujourd’hui, et on le voit chez Alstom, où est l’Etat ? En 2004, j’ai fait entrer l’Etat dans le capital d’Alstom qui était en quasi-faillite. Nous avons joué notre rôle, redressé l’entreprise et revendu nos parts en dégageant un bénéfice. » 
    POURQUOI C’EST ROMANCÉ 
    C’est un argument récurrent chez Nicolas Sarkozy : à en croire l’ex-chef de l’Etat et ses partisans, il aurait « sauvé » Alstom par son action au ministère de l’économie. Le calendrier des événements colle assez bien à cette version, puisque c’est le 7 juillet 2004 que la Commission européenne a validé le plan de sauvetage du groupe industriel, qui incluait une renationalisation partielle. Soit à peine trois mois après sa prise de fonction, le 31 mars de la même année. 
    Reste que l’ancien président n’était pas le seul acteur de ce dossier, dans lequel il exagère quelque peu son rôle. Mario Monti, commissaire européen à la concurrence au moment des négociations sur l’accord, a contesté en 2007 le récit de Nicolas Sarkozy dans une tribune au Figaro. Il y rend hommage à Francis Mer, le ministre français chargé du dossier jusqu’à la fin de mars 2004 et explique que le processus était « très avancé » à l’arrivée de Nicolas Sarkozy à Bercy. 
    Sur les économies budgétaires sous François Hollande 
    CE QU’IL A DIT « Personne n’a vu la couleur des 50 milliards d’euros d’économies que François Hollande a annoncés en grande pompe en 2014. » 
    POURQUOI C’EST EXAGÉRÉ 
    Nicolas Sarkozy a raison sur un point : le gouvernement a quelque peu revu ses ambitions à la baisse sur le plan de 50 milliards d’euros d’économies décidé en 2014. Le ministre de l’économie et des finances, Michel Sapin, affirmait récemment que « 46 milliards d’euros » ont été trouvés entre 2015 et 2017. Une prévision optimiste et qui tient compte de 6 milliards d’euros d’économies réalisées sur la charge de la dette, un poste budgétaire qui n’était initialement pas inclus dans le périmètre du plan d’économies, notent Les Echos. 
    Les résultats seront donc inférieurs aux annonces. Il est néanmoins faux de laisser entendre que le plan d’économies a été purement et simplement enterré, quand des économies de plusieurs dizaines de milliards d’euros ont été réalisées. 

  • Les Européens n’ont pas à subir les bidonvilles – par Gabriel Florent

    Source : Les Identitaires – « Les Européens n’ont pas à subir les bidonvilles « 

    Il paraîtrait que les camps de clandestins qui, après Calais et Grande-Synthe, vont se multiplier sur l’ensemble du territoire Français, sont destinés à durer. Qu’ils sont inévitables. Qu’il faut nous habituer à vivre avec et même les prendre en compte dans le développement de nos villes.
    La Jungle, futur quartier calaisien ? Avec ses bars branchés, son restaurant, ses mosquées ? C’est inévitable, on vous dit ! Impossible de l’empêcher, alors autant l’organiser. Le gérer. Pour que ça se passe au mieux.
    Mais les populations autochtones pendant ce temps ? Qui leur demande leur avis ? Qui se soucie de leurs intérêts ?

    Personne, assurément. Car l’intérêt des Européens, c’est bien de voir ces camps démantelés et leurs occupants expulsés. Regardons plus en détail.

    S’il faut gérer et organiser les camps de migrants clandestins, il faut fournir aux occupants de ces camps un certain nombre de services élémentaires : eau courante, chaude et froide ; tout-à-l’égout ; électricité ; accès aux infrastructures de santé. Bref, des investissements importants, et un coût de fonctionnement conséquent.
    Or, les clandestins peuplant ces camps sont, chacun le sait, des gens miséreux. Ils n’ont aucun revenu, leur épargne éventuelle a été siphonnée par les passeurs, leur famille ne peut leur envoyer d’aide financière. Sauf rares exceptions, ils n’ont pas de compétences à haute valeur ajoutée, et ne pourront au mieux occuper que des emplois précaires et très mal payés.
    Bref, l’ensemble de la facture sera à la charge des pouvoirs publics, c’est-à-dire des Européens, qui paieront soit en voyant leurs impôts augmenter, soit en subissant une baisse de la qualité des services publics et des prestations sociales.

    Les camps de clandestins sont également une problématique en termes de sécurité publique. Cyrille Hanappe le dit lui-même : si la police n’y est pas présente, les mafias s’y développent. Ce qu’il ne précise pas par contre, c’est que les migrants clandestins sont une population où le crime organisé peut opérer comme un poisson dans l’eau.
    Les migrants clandestins sont des déracinés. Ils ont traversés des milliers de kilomètres, sont coupés de leurs familles, de leurs amis, de l’ensemble des structures sociales qu’ils connaissaient et où ils s’inséraient naturellement. Arrivés en Europe, la seule structure qu’ils connaissent est le groupe criminel qui les aura transportés. Ils vont donc, naturellement, avoir tendance à se tourner vers ces groupes criminels pour leur vie quotidienne. Les pouvoirs publics, sauf à consentir des investissements encore plus massifs, ne pourront pas concurrencer efficacement le niveau d’encadrement des groupes criminels.
    Il suffirait que la police se déploie dans ces camps pour empêcher les mafias d’agir ? Voilà une vision bien naïve de la chose. Peu importe la présence policière au sein des camps, celle-ci sera de la pure poudre aux yeux. Coupés de la population environnante, étrangers aux us et coutumes des migrants clandestins, ne parlant pas la même langue que ces derniers, les policiers seront condamnés à patrouiller sans rien comprendre. Ils ne pourront qu’effleurer l’écume de ce qui se passe dans le camp, sans être en mesure d’empêcher mafieux et gangsters de prospérer dans l’ombre.
    Ces camps seront donc de véritables havres de paix pour les mafias. Enracinées, protégées par la population, invisibles aux yeux des forces de l’ordre, elles pourront prospérer et se répandre dans les régions environnantes.

    Quand aux moyens policiers détournés pour assurer l’ordre à l’intérieur des camps, ils manqueront cruellement aux populations autochtones des régions concernées. Car en plus des mafias et des groupes criminels, les clandestins eux-mêmes causeront de l’insécurité supplémentaire à une Europe qui n’en avait vraiment pas besoin.
    Dans leur immense majorité, les migrants clandestins sont des hommes seuls. Sans travail, ils n’ont pas grand-chose à faire de la journée et vont donc traîner dans les rues des villes environnantes. Sans argent, ils ne consommeront pas, ou très peu, et n’apporteront aucune plus-value aux commerces locaux. Par contre, ces regroupements d’hommes seuls aux coutumes et pratiques étrangères créeront un sentiment d’insécurité qui fera fuir les touristes et incitera les locaux à rentrer directement chez eux après le travail sans s’attarder dans l’espace public.
    Les migrants clandestins passeront leurs journées dans les rues des villes et villages environnant. Ils seront entourés de maisons périurbaines laissées sans surveillance, les deux occupants travaillant pendant la journée. Peu importe les moyens policiers engagés, les clandestins n’auront aucune difficulté à pénétrer dans ces maisons pour voler ce qu’ils y trouveront.
    Ces hommes seuls venant de pays où le rapport aux femmes est radicalement différent de l’Europe, ils auront tendance à se comporter avec les Européennes de façon inappropriée (dans le meilleur des cas). Le harcèlement de rue, déjà un fléau dans les grandes villes occupées par la racaille, deviendra le quotidien des femmes vivant à proximité des camps. Il est même à craindre une multiplication des agressions sexuelles, voire des viols : n’oublions pas Cologne ! Mais sans doute les associations d’aide aux clandestins nous expliqueront que les victimes exagèrent…

    Et ne parlons pas du risque terroriste… L’Etat Islamique a largement annoncé qu’il avait envoyé des centaines de ses opérateurs parmi les flux migratoires, avec pour but de commettre des attentats en Europe. Qu’est-ce qui garantit aux Européens que les migrants clandestins qui s’installent dans ces camps ne sont pas des terroristes prêts à frapper dès que l’ordre leur viendra de Syrie ? Ou même qu’il n’y a pas, parmi ces migrants clandestins, d’individus qui décideront un jour, tout seul, de se racheter leur conduite auprès d’Allah en livrant le djihad contre l’infidèle ?
    Il ne s’agit pas, loin sans faut, d’un fantasme ou d’une exagération. Le Pakistanais Riaz Khan Ahmadzai, qui a blessé cinq personnes à la hachette dans un train de Wurtzbourg (Allemagne) avant d’être abattu par la police, était un demandeur d’asile. Mohammad Daleel, le Syrien auteur de l’attentat-suicide d’Ansbach, en Allemagne, était un migrant. Tarek Belgacem, le terroriste tunisien qui a attaqué le commissariat de la Goutte d’Or et a été tué par les policiers en faction, était un migrant. Mohammad al-Mahmod et Ahmad al-Mohammad, kamikazes du Stade de France le soir du 13 novembre 2015, étaient des migrants entrés en Europe par la Grèce.

    Et c’est cette situation qu’on voudrait imposer aux Européens ? Sans leur demander leur avis, sans les consulter, on devrait les faire payer, rogner leur qualité de vie, mettre leur sécurité en danger ? Et tout ça pour quoi ? Au nom de quoi les Européens seraient obligés d’accueillir des gens à qui ils ne doivent rien, avec qui ils ne partagent rien, et qui n’ont rien à leur apporter ? Parce qu’il ne serait pas possible de faire autrement ?
    La vérité c’est qu’il y a une solution aux problèmes causés par la présence massive de migrants clandestins sur le sol européen : il s’agit de les expulser.

    Gabriel Florent
    Directeur national – Les Identitaires

    http://fr.novopress.info/200952/les-europeens-nont-pas-a-subir-les-bidonvilles-par-gabriel-florent/#more-200952

  • Journal du Lundi 10 octobre 2016 - Immigration / La France se rebelle

  • Ils ont choisi de rester fidèles au Christ jusqu’à la mort en refusant d'embrasser l'islam

    Lu ici :

    6a00d83451619c69e201b8d227402b970c-320wi.png"En février 2015, le monde entier était en état de choc au vu des images effroyables de l’exécution de vingt-et-un chrétiens coptes égyptiens sur une plage de Libye. La vidéo qui montre le groupe d’hommes revêtus d’un uniforme orange, sur le chemin de la mort, est devenue un symbole de la cruauté et de la lâche sauvagerie des terroristes de l’État islamique. Les scènes étaient précédées d’un titre menaçant : « Un message signé avec du sang à la nation de la Croix ».

    Selon Jacqueline Isaac, militante des droits de l’homme, les médias du monde ont occulté un message essentiel de la vidéo en la diffusant. Et pas nécessairement pour censurer des scènes d’une violence inouïe, mais pour éviter de montrer le moment où les victimes refusent d’embrasser l’islam par la force.

    Certains des chrétiens martyrs ont récité devant les caméras leur dernière prière. Sur le point d’être décapités, tous ont crié en choeur « Ya Rabbi Yassu », une invocation commune aux chrétiens coptes égyptiens et qui signifie « Oh, mon Seigneur Jésus ». Ce que confirme le répugnant sous-titrage de la vidéo : « Ils supplient celui qu’ils adorent et meurent de leur paganisme. »

    Walid Shoebat, auteur spécialisé dans le terrorisme, résume : « Ils leur ont donné le choix entre se convertir et mourir. Et tous ont choisi de rester fidèles [au Christ] jusqu’à la mort »."

    Philippe Carhon

  • La liberté de la presse en danger de mort

    Menaces sur la liberté de la presse

    TRIBUNE - Les sociétés de journalistes de 24 médias - dont celle du Figaro - s’inquiètent du projet de loi intitulé « égalité et citoyenneté », examiné par le Sénat. Les sénateurs envisagent notamment de supprimer le principe de la prescription des délits de presse, comme la diffamation.

    Les sociétés des journalistes signataires font part de leur vive inquiétude à propos du projet de loi intitulé « égalité et citoyenneté » qui pourrait réduire dangereusement la liberté de la presse.

    Ce texte est examiné par le Sénat depuis mardi. Il entend vider de son contenu la loi du 29 juillet 1881, sous couvert de lutter contre les abus d’Internet. Le Sénat s’apprête à remettre en cause ce texte fondateur sans concertation préalable avec les représentants des journalistes. […]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-liberte-de-la-presse-en-danger

  • L'Ayraultport de Notre-Dame-des-Landes ? Non, non et non...

    Pour ou contre l'aéroport de Notre-Dame des Landes ? Ce Grain de selest contre. Résolument contre. L'affaire est d'importance. Importance régionale et, en un sens, sociétale. Mais faut-il en cette matière particulière avoir une position arrêtée ? Il serait intéressant d'en débattre.  LFAR 

    Nous sommes opposés à l'aberrant projet de bétonisation qu'impliquerait la construction de l'inutile et ruineux aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en plus du désastre écologique qu'il signifierait. Nous sommes donc favorables à toute manifestation ou opposition intelligente et efficace à ce projet insensé.

    Le problème est que l'état d'esprit de certains des opposants, leur façon d'agir et l'essence même de certaines de leurs actions ne peuvent que nous être étrangères.

    Nous dirons donc de l'opposition à l'Ayraultport de Notre-Dame-des-Landes ce que nous avons dit des propos du FLNC aux terroristes islamistes, lors de « l'affaire de Sisco », en Corse.

    Le 1er août 2016, Lafautearousseau écrivait ceci :

    « Non, nous ne soutenons pas l'indépendantisme corse, ni le FLNC. Face au terrorisme, il y a pourtant des choses qui, en certaines circonstances, sont bonnes à dire, qui avertissent les tueurs, qui leur signifient la détermination d'un peuple à se défendre, à répliquer aux agressions. Après tout, peut-être la mise en garde des Corses, dont on sait qu'elle doit être prise au sérieux, évitera-t-elle les drames que nous avons connus, sur le continent. Ou quelques-uns d'entre eux. Cela sera sans-doute plus efficace que les larmes, les fleurs, les bougies et les hommages dont les médias organisent systématiquement et continûment le concert, pour empêcher toute réaction populaire digne de ce nom. »

    On pourrait paraphraser cette prise de position : non, le boboïsme et la violence gratuite de casseurs extrémistes de gauche ne nous conviennent pas; et nous ne les appuyons pas, ne les acceptons pas. Ces groupes ne font plus de la Politique mais ont sombré depuis longtemps dans la voyoucratie, la délinquance et le terrorisme : cet aspect-là des manifestations, non merci ! Très peu pour nous !

    Par contre, la saine révolte et le soulèvement bienvenu de tous ceux qui sont attachés à la Terre - à « leur » terre... - et qui refusent que pour des questions de profits et de gains financiers (qui restent, de toute façon, à prouver, mais c'est une autre histoire...), on bétonne encore et toujours, encore plus et toujours plus la terre de France : cette saine révolte-là, nous la comprenons, nous la partageons, nous l'appuyons...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • [Marseille] Rentrée réussie malgrè les antifas

    En dépit des menaces et agressions, plus d’une centaine de participants à la réunion de rentrée de l’AF Provence. En bonus, un mot du prince Jean.

    Demain nous appartient.

    Soutien à deux de nos camarades toujours à l’hôpital.

    Une petite photo du public présent lors du discours de rentrée.

    Service d’Ordre en place