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  • TARIQ RAMADAN : L’INCROYABLE TÉMOIGNAGE GLAÇANT DE HENDA AYARI

    La bestialité, la duplicité, les menaces de mort.

    Un entretien qu’il faut regarder en entier.

    http://www.bvoltaire.fr/tariq-ramadan-lincroyable-temoignage-glacant-de-henda-ayari/

  • Un bourreau de DAESH et le commanditaire des attentats du 13 novembre ont touché près de 12 000€/an d’allocations familiales

    Georges Brenier (Service Police TF1) : «Salim Benghalem, qui est l’un des bourreaux de DAESHet qui est aussi l’un des cerveaux présumés des attentats de l’Hypercasher et de Charlie Hebdo, a touché des mois entiers, après son départ en Syrie, des allocations familiales pour 12 485€/an. Ismaël Mostefaï, l’un des tueurs du Bataclan, recevait 290€/mois pendant qu’il décapitait des otages devant une caméra. Dernier exemple sidérant, Jean-Michel Clain touchait 11 095€/an d’aides sociales quand il est arrivé en Syrie pour y commanditer les attentats du 13 novembre. On estime qu’environ un quart des Djihadistes français ont ainsi bénéficié des largesses de l’Etat. Il a fallu chaque fois que les services anti-terroristes alertent l’administration pour que le robinet des allocations soit définitivement coupé une bonne fois pour toutes.»

    – TF1, 26 octobre 2017, 20h00

    (Mirroir : Vid.me)

    Bruno Bilde (FN) : «Nous avions déposé un amendement demandant la suspension des aides sociales aux djihadistes: le gouvernement l’avait rejeté !»

    Nous avions déposé un amendement demandant la suspension des aides sociales aux djihadistes: le gouvernement l'avait rejeté ! 

  • Des nouvelles de la croix de Ploërmel : la réaction s'amplifie

    pape.jpg

    Source Breizh info cliquez ici

    La décision du Conseil d’État de donner raison à la Libre Pensée du Morbihan (une organisation d’extrême gauche laïque et jacobine) dans sa longue croisade afin de faire retirer la croix de la statue du Pape Jean-Paul II à Ploërmel fait réagir, en Bretagne comme ailleurs.

    La commune de Ploërmel a désormais 6 mois pour procéder au retrait de la croix – pas de la statue (NDLR : celle du Pape Jean-Paul 1er), ce qui, font remarquer certains, montre le niveau de cohérence des autorités judiciaires.

    De toute part, des citoyens appellent à s’opposer physiquement au retrait de cette croix, lorsque le jour J arrivera. Sur les réseaux sociaux, le hashtag #MontreTaCroix est particulièrement populaire. 

    La Pologne s’est officiellement élevée contre cette décision : « Le gouvernement polonais tentera de sauver de la censure le monument de notre compatriote, et nous proposerons de le transférer en Pologne, en cas d’accord des autorités françaises et de la communauté locale », a déclaré Beata Szydlo, la Première ministre polonaise, à l’agence PAP.

    « Notre grand compatriote, un grand Européen, est un symbole de l’Europe chrétienne unie. Le diktat du politiquement correct – de la laïcisation de l’Etat – laisse la place libre à des valeurs qui nous sont étrangères culturellement et qui mènent à terroriser la vie quotidienne des Européens » a déclaré Beata Sydlo, Premier ministre de Pologne.

    En Bretagne, plusieurs personnalités politiques ont réagi, et d’abord le maire de Ploërmel, Patrick le Diffon :

    « Le Conseil d’Etat a jugé sur le fond, il a concédé que la statue et l’arche ne posaient pas de problème. Pour la croix, c’est une application stricte de la loi. Une décision que je regrette. Voilà 12 ans que la statue est en place, qu’elle fait partie du paysage de la ville et du Pays de Ploërmel. Il y a le droit et la réalité des choses. (…) Mon souhait est de trouver une solution d’apaisement et que ce dossier se règle dans la sérénité.»

    Paul Anselin, ancien maie de la commune, initiateur de la pose de cette statue offerte par un artiste russe, a expliqué que «  Faire tomber une croix en Bretagne est invraisemblable (…) J’ai eu une peine immense. Comment penser enlever une croix en Bretagne, qui est une terre aux racines chrétiennes ? C’est quand même invraisemblable… Je considère que c’est une amputation de notre mémoire, et je ne l’accepte pas. Il y a une petite croix que j’ai fait ériger à l’endroit où sont tombés deux jeunes de Ploërmel assassinés par les nazis en 1944. On va l’enlever aussi, cette croix ? Mais où on va ? Je suis un homme tolérant, je suis décidé à ne pas reculer sur ce terrain des valeurs. Cette statue est là depuis onze ans, elle fait partie du patrimoine de la ville ! »

    Pour Gilles Pennelle, responsable du Front National en Bretagne, cette décision est « une offense à l’identité de la Bretagne et de la France (…) Alors qu’elle défend le port du burkini islamiste sur nos plages (voir son arrêt du 25 août 2016), cette institution fait preuve d’une rigidité étonnante à l’égard de l’identité chrétienne de la Bretagne et de la France.(…) Cet arrêt est extrêmement inquiétant et ouvre la boîte de Pandore à toute contestation par des

    associations sectaires, de la présence de croix le long de nos routes, sur nos monuments ou sur nos clochers. Nous ne pouvons pas accepter une telle décision.»

    David Cabas, secrétaire départemental de Debout la France, qui rappelle également la décision du Conseil d’Etat à propos du Burkini, « Cette croix fait partie de l’histoire du pays.  Dans un pays aux routes bordées de calvaires qui racontent notre Histoire, est ce que cette victoire d’un groupuscule de l’ultra gauche et de la libre pensée conduira à s’attaquer à tout le patrimoine culturel breton ? ». Ce dernier appelle à participer aux manifestations qui pourraient intervenir .

    Du côté de la droite bretonne, comme de la gauche, c’est le silence radio, tout comme du côté des organisations politiques régionalistes bretonnes.

    L’affaire de la statue du Pape de Ploërmel est toutefois loin d’être terminée, vu les réactions, très nombreuses, qui se multiplient en France et en Europe.

  • I-Média#173 : Prénoms, le palmarès des provocations (correctif)

  • La chute du parti démocrate entrainera-t-elle celle de la presse gauchiste ?

    Charles Gave évoque deux affaires qui ont « explosé » aux USA et dont les conséquences ultimes pourraient être gigantesques et entrainer dans la tourmente non seulement les Clinton mais aussi une bonne partie de l’administration du Président Obama, lui compris. A ce jour, il n'y a eu aucune mention de ces nouveaux développements dans la presse française. Notre presse est en dessous de tout lorsqu'il s'agit d'évoquer l'actualité politique américaine, à l'image de cet article de France Info sur le doigt d'honneur d'un cycliste doublé par la voiture de Trump... Le Monde les évoque très brièvement. Voici ce qu'écrit Charles Gave :

    "Chacun se souvient que quelques semaines avant l’élection US, un « dossier » complètement  ignominieux était sorti sur les relations qu’aurait eu le Donald avec des prostituées à Moscou, ce qui aurait pu rendre le Président Américain extrêmement vulnérable à des chantages menés par le gouvernement Russe. Ce dossier aurait été remis par nul autre que l’ex ambassadeur de Grande-Bretagne à Moscou au sénateur Mc Cain, Républicain, candidat à la Présidence huit ans plus tôt contre le jeune Obama, grand supporter depuis toujours des interventions militaires US un peu partout et ennemi juré de Donald Trump. Mc Cain l’aurait remis alors à James Comey patron du FBI à l’époque et ne s’en serait plus préoccupé (?). James Comey l’aurait montré au Président Obama et à monsieur Trump et presque immédiatement ce gros tas d’ordures aurait « fuité » dans la presse sans que quiconque comprenne comment, ce qui était bien sur très regrettable mais la presse ne faisait que son métier. Ça c’est l’histoire officielle.

    La réalité que nous avons apprise cette semaine est quelque peu différente. Le dossier a en fait été rédigé par un certain Christopher Steele qui n’est pas n’importe qui. Sorti de Cambridge, recruté par le MI6 les services secrets britanniques, socialiste convaincu, il fût en poste à Moscou pendant des années avant de devenir le chef du bureau « Russie » au MI6. Ayant quitté le MI6, il fonda sa propre agence de renseignement « privé » et « quelqu’un » lui demanda de créer un dossier à charge sur le Donald pour  » prouver » que Trump était vendu aux Russes. Et la plupart des faits à charge dans ce dossier venait à l’évidence de sources proches des services secrets russes.

    Et qui est ce « quelqu’un » qui fit cette demande et qui paya la note ? Je vous le donne en mille… Hillary Clinton et les instances centrales du parti Démocrate aux USA ont payé le travail fait par monsieur Steele en passant par l’intermédiaire d’une firme d’avocats qui se chargea ensuite de le diffuser dans les media. Passer par une firme d’avocats est en fait une façon de tourner la loi qui interdit à un candidat de se servir d’étrangers pour intervenir dans une campagne électorale aux USA. Madame Clinton est en fait une spécialiste de ce genre de manœuvres tordues. En 1992, elle avait payé une autre firme d’avocats pour sortir des horreurs sur un certain nombre de femmes qui avaient accusé Bill Clinton de viols, le but étant de les déconsidérer publiquement, ce qui fût fait. [...]

    Mais le plus gaulois est qu’ayant reçu le dossier des mains de Mc Cain, le chef du FBI, monsieur Comey, celui la même que Trump a viré il y a quelques mois, se crut obligé de payer $ 50000 de plus à monsieur Steele pour qu’il continue ses recherches alors même que Trump avait déjà été élu et qu’il suffisait de regarder le dossier pendant cinq minutes pour savoir qu’il était faux. Voila qui met en cause soit la compétence de monsieur Comey, soit son impartialité et qui rappelle les pires méthodes de J Edgar Hoover consistant à accumuler des dossiers compromettants sur les élus pour ne jamais être virés du FBI.

    L’ennui est que faire intervenir des non américains pour influencer le cours des choses en politique aux USA est un crime fédéral passible de trente ans de prison. Si tout ce que je viens de dire était prouvé, toute l’ancienne direction du parti démocrate avec Hillary en tête et monsieur Comey juste derrière pourrait se retrouver en tôle, ce qui serait la meilleure chose qui pourrait arriver aux Etats-Unis."

    Seconde affaire :

    "Une société Canadienne, contrôlée officiellement par un autre ami des Clinton, a réussi en 2009 à prendre le contrôle d’environ 20 % des mines d’uranium situées aux USA et cela après que toutes les autorisations aient été données par le comité spécial chargé de statuer sur les ventes d’actif stratégiques américains à des non américains. Dans ce comité siègent le représentant du ministère de la Justice, voir le ministre lui-même, un représentant du ministère des affaires étrangères ou le ministre, un représentant de la Maison Blanche, des nombreux experts et tout ce beau monde suit les recommandations du FBI présentées au conseil par son chef, qui était alors Mueller, aujourd’hui le juge d’instruction  «spécial» désigné par le Ministère de la Justice pour enquêter sur les liens que le Président Trump pourrait avoir eu avec la Russie.

    On le voit, que du beau monde et tout a dû se passer dans les règles, sans aucun doute. Euh… En fait

    • La société Canadienne n’était qu’un faux nez qui dissimulait une société… russe contrôlée par un ami de Poutine et le FBI avait toutes les preuves que cette société Russe avait cherché à corrompre toute une série de personnalités aussi bien au Canada qu’aux USA …
    • Un agent du FBI était infiltré à l’intérieur de la société et avait fait toutes sortes de rapport à sa hiérarchie sur ce qui s’y passait vraiment.Curieusement, l’ordre lui a été donné de se taire mais fort heureusement le (nouveau) ministre de la justice l’aurait délié de cette obligation, ce qui serait intéressant si l’ordre de se taire lui avait été donné par nul autre que le ministre de la Justice d’Obama (Eric Holder) seul habilité à donner un tel ordre…
    • Le fameux comité était donc parfaitement au courant que la société Canadienne n’était qu’un faux nez et que la société Russe était à l’origine de nombreux crimes commis aux USA.
    • Le ministre des affaires étrangères de l’époque n’était autre que …madame Clinton qui siégeait au conseilet le président de la société « faux nez» dès que l’autorisation de vente fut donnée fit un don de… 145 millions de dollar (excusez du peu),  à …la fondation Clinton dont tout le monde sait aujourd’hui  qu’elle n’était qu’une pompe à fric pour les Clinton, à peine 5 % des dons arrivant aux enfants du tiers monde.
    • L’ex Président des USA, Bill Clinton dès l’autorisation donnée, fut invité à Moscou pour y donner une conférence organisée par l’une des plus grandes banques russes, bien entendu sous le contrôle du Kremlin, au tarif assez remarquable de $ 500000 euro pour une demi-heure, tous frais payés, puis il fut reçu par monsieur Poutine lui-même avant que d’aller rendre visite à des spécialistes de l’industrie nucléaire. On se demande d’où venait cet intérêt soudain de Bill Clinton pour l’uranium… [...]

    Tout cela ne fait que commencer. L’effondrement à venir du parti démocrate est en train d’entrainer un effondrement parallèle de la presse et des media bien pensants ainsi que du magistère moral exercé par les soit disant intellectuels car tous ces gens là savaient.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ROBERT MÉNARD : « VIVE LA CATALOGNE LIBRE ! »

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    « Attention, les peuples se réveillent. Et pas seulement en Catalogne… »

    À la lecture de vos tweets, on sent une certaine sympathie pour les indépendantistes catalans…

    J’ai envie de vous répondre « Vive la Catalogne libre ! » à l’instar de ce que proclamait le général de Gaulle au Québec en 1967 lors de sa visite officielle. Une visite dont il disait que l’atmosphère lui rappelait celle de la Libération… Aujourd’hui, dans les rues pavoisées de Barcelone, un peuple ne réclame, ni plus ni moins, que ce droit à disposer de lui-même, ce droit à l’autodétermination, inscrit dans l’article 1er de la Charte des Nations unies. Même si, bien sûr, parler de Catalogne « colonisée » prête à sourire… Mais je trouve un brin contradictoire d’avoir applaudi aux propos du père de la France libre et de traiter aujourd’hui, comme je l’entends ici et là, les indépendantistes catalans de « chauvinistes », de « xénophobes ».
    Comment ceux-là mêmes qui n’ont à la bouche qu’un seul mot – l’identité – peuvent-ils vouer aux gémonies un peuple – parce qu’il y a bien un peuple catalan, comme il y a un peuple français, un peuple corse, un peuple espagnol – qui veut prendre son destin en main. De plus, il y a dans la revendication catalane la volonté d’inventer une démocratie plus proche, plus vivante. Comment ne pas les entendre alors que nous ne cessons de nous plaindre des rapports distendus entre les simples citoyens et ceux qui sont censés les représenter et en être les porte-parole ?

    Vous accepteriez donc, demain, une Corse indépendante ?

    Il ne s’agit pas d’accepter ou non ! Je dis simplement qu’on n’impose pas indéfiniment à un peuple un projet, un cadre, des institutions dans lesquels il ne se retrouve pas. Si je me sens français jusqu’au plus profond de mon être, je suis prêt à entendre ceux qui partagent une autre identité. Si je ferai tout pour les convaincre de continuer à partager un destin commun, je ne vois pas au nom de quoi je m’opposerais à une volonté majoritaire si elle devait, demain, s’exprimer – à l’issue d’un processus démocratique, bien évidemment – en Corse, par exemple. Plus généralement, il s’agit, me semble-t-il, de concilier la nécessité de protéger ces liens charnels qui nous attachent à un territoire et à son histoire tout en n’enfermant pas chaque individu dans une communauté étouffante, sclérosante. Difficile exercice. Les soubresauts de la Catalogne devraient nous interroger. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la classe politique ne pipe pas mot ou presque. Si ce n’est pour témoigner, comme l’a fait le chef de l’État, de sa solidarité avec Madrid… de peur de la contagion, peut-être.

    Déclaration après déclaration, vous ne cessez de dénoncer ce que vous considérez comme des contradictions, y compris chez vos amis politiques…

    Méfions-nous des idées simplistes. Comme de cette tentation qui existe partout – et je ne m’en exonère pas, bien entendu – de transformer un adversaire en ennemi. De la même façon que je ne pense pas que l’on puisse faire de l’Europe et de sa dérive bureaucratique l’explication de tous nos maux, je me refuse à faire des flux migratoires l’origine de tous nos malheurs ou à réduire nos débats politiques et intellectuels à une guerre de religion. La vie est un peu plus compliquée, n’en déplaise aux idéologues de tout poil. Et les solutions aux questions que chacun se pose – sur son avenir, sur son identité, sur le bonheur, sur la vie – n’appartiennent pas à un seul camp. Les années passées à la tête d’une ville moyenne comme Béziers m’ont appris la complexité des problèmes et la difficulté à mettre en œuvre ce qui semble des réponses. Il ne s’agit pas d’acquiescer à ceux qui nous expliquent qu’on ne peut rien y faire. Il ne s’agit pas de se résigner. Mais, bien au contraire, de refuser de se réfugier dans des slogans, de ressasser le même bréviaire, pour mieux appréhender les problèmes que rencontrent nos concitoyens et tenter – modestement, humblement – de leur rendre leur quotidien plus supportable, leurs lendemains plus enviables.

    Mais comment tout cela peut-il se traduire dans le champ politique ?

    Je suis sidéré de voir comment des hommes et des femmes qui se sont fait élire sur le refus du clivage droite/gauche, sur le rassemblement des bonnes volontés, se sont mués en des sectaires d’une stupidité sans limite. Regardez un peu les débats à l’Assemblée. Il suffit qu’une proposition – fût-elle de bon sens, fût-elle simplement technique – émane d’un autre groupe que La République en marche pour qu’elle soit aussitôt repoussée. Et ils nous parlaient de faire de la politique différemment… La fameuse « société civile » est, en fait, le cache-sexe d’ambitieux sans autre colonne vertébrale que la fidélité aveugle à celui qui les a portés aux responsabilités. Cette dérive me conforte dans ma conviction : il y a la place, en France, pour une force, un mouvement, un rassemblement qui, fort des valeurs communes à la droite – oui, de droite –, serait capable de réinventer la démocratie, de donner toute sa place à la liberté, de chanter le bien commun, d’imaginer un enracinement qui ne soit pas un appauvrissement.

    C’est l’ambition de la plate-forme Les Amoureux de la France que vous avez lancée avec Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Frédéric Poisson et votre épouse, Emmanuelle Ménard, notamment…

    Absolument. Qu’on fasse taire les ego et qu’on écoute le peuple ! À Barcelone comme au fin fond de cette France qu’Emmanuel Macron ne fait pas qu’ignorer, mais qu’il méprise. Plus que le Président des riches, il est celui qui foule au pied, qui se rit de la France de nos campagnes, de nos villes moyennes, de ce peuple qui souffre et qui se tait tant il est inscrit dans sa mémoire que Paris le moque, que Paris se gausse de lui. Mais attention, les peuples se réveillent. Et pas seulement en Catalogne…

    http://www.bvoltaire.fr/vive-catalogne-libre/

  • Suisse : nouvelle initiative anti-immigration de l'UDC

    6a00d83451619c69e201b8d2b945eb970c-800wi.jpgD’ici à deux mois, l’UDC va lancer une nouvelle initiative populaire sur le contrôle de l’immigration. Après de longs mois de discussion, et l’étude de plusieurs variantes, le texte final a été approuvé vendredi par le comité du parti.

    Il ne s’agit plus de renégocier l’accord de libre circulation des personnes, mais de l’abroger. Le Conseil fédéral a douze mois pour convaincre l’Union européenne d’accepter cette sortie partielle des accords bilatéraux. Au terme de ce délai, si aucun accord pour un divorce à l’amiable n’a pu être trouvé, le gouvernement aura trente jours pour résilier l’accord de son propre fait!

    Le nouvel article constitutionnel 121 b précise la nouvelle donne:

    «La Suisse gère de manière autonome l’immigration des étrangers. La Confédération n’a pas le droit de conclure de nouveaux traités de droit international et de prendre des engagements pour accorder la libre circulation des personnes à des ressortissants étrangers.»

    L’immigration liée au travail reste possible pour autant qu’elle réponde aux besoins de l’économie et de la population, lorsqu’il s’agit d’occuper des postes pour lesquels on ne trouve pas de nationaux. Aucun plafond n’est articulé. Le parti estime cependant qu’un solde migratoire de 60 000 à 80 000 personnes par an, soit la moyenne de ces dernières années, est insupportable.

    En lançant cette initiative, l’UDC inscrit la question migratoire à l’agenda des élections fédérales de 2019. Mais ce n’est pas la seule que le parti veut voir davantage débattue. Ce week-end, les délégués ont aussi adopté un document, fort d’une vingtaine de revendications, pour lutter contre l’islam radical. L’UDC veut ainsi fixer des conditions strictes pour la pratique de l’islam en Suisse. Les mosquées doivent être accessibles en tout temps au public et à la police. Les prêches doivent se faire dans une langue nationale. Pas question d’introduire des jours fériés musulmans officiels. Enfin, l’UDC demande de supprimer le travail pastoral des imams dans les prisons et de les remplacer par des psychologues de prison.

    Michel Janva

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