Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • MICHEL HOUELLEBECQ INSPIRÉ PAR LE RENOUVEAU CATHOLIQUE FRANÇAIS ?

    houellebecq-1550x660.jpg

    La religion catholique n’a probablement jamais laissé Houellebecq indifférent. C’est ce que tendent à montrer ses références à Joris-Karl Huysmans.

    « Houellebecq, impressionné par le renouveau du catholicisme français », tel est le titre d’un article d’Aleteia, relayant un entretien du romancier avec Der Spiegel. Fichtre ! Pour impressionner l’éternel blasé Michel Houellebecq, grand misanthrope des temps modernes, il faut pourtant se lever tôt. L’écrivain évoque « le remarquable retour du catholicisme », les manifestations contre le mariage pour tous ayant été, dit-il, « l’un des moments les plus intéressants de l’histoire récente » : « C’était un courant souterrain qui est remonté soudainement à la surface. »

    La religion catholique n’a probablement jamais laissé Houellebecq indifférent. C’est ce que tendent à montrer ses références à Joris-Karl Huysmans – auteur qui a exploré les bas-fonds avant de se convertir – dans Soumission : « Je pense qu’il aurait pu être un ami, pour moi », a-t-il confié un jour.

    De là à penser que notre écrivain visionnaire a l’intention de faire de tout cela le dernier volet de sa trilogie…

    Soumission sonnait comme le tome 2, la suite logique des Particules élémentaires. L’ultime volume, celui par lequel la boucle sera bouclée, s’appellera-t-il Conversion ? Peut-être, après tout, a-t-il l’intuition que le seul terrain sur lequel pourra être combattu l’islam conquérant est spirituel ? Que la laïcité, au mauvais niveau – celui du ras du sol – est inopérante ?

    Pour Michel Houellebecq, le phénomène est donc « souterrain ».

    Il n’a pas tort. Depuis les années 70, la foi catholique, comme une petite flamme tremblante, a été transmise dans les familles hors de tout écran radar, à l’insu même d’une part de l’Église passablement déboussolée. Des réseaux se sont développés, sans bruit. Non par goût du secret, mais parce que les médias ne parlent jamais d’eux – ou si mal, par un prisme si biaisé qu’ils n’en reflètent pas la réalité – et parce que, face à l’hostilité, ils ont pris l’habitude de faire profil bas et de s’adapter. Un handicap dont ils ont fait une force.

    On reproche souvent aux catholiques français d’être « bourgeois ». Il est vrai que c’est surtout dans les familles qui avaient un habitus, comme dirait Bourdieu, de transmission qu’a été conservé cet héritage impalpable, offrant le trésor – sans prix aujourd’hui – d’une colonne vertébrale, une structure mentale, un discernement et une raison en même temps que la foi.

    Michel Houellebecq évoque le renouveau charismatique, il a partiellement raison. Car c’est la part émergée. Il y a aussi, plus underground, les « tradis » ou bien encore l’Opus Dei.

    Un Grand Remplacement s’opère peu à peu dans le paysage catholique (les « tradis » représentent 25 % des vocations, lisait-on, au mois de juin, dans Le Figaro), qui s’explique, aussi, par un taux de natalité parfois proche de celui dénoncé par Emmanuel Macron pour d’autres contrées plus exotiques… cette ribambelle d’enfants, en appauvrissant matériellement, purifie et détourne d’un vice de caste : l’appât du gain. De ce tropisme bourgeois qu’on leur prête, ces familles ont gardé, en revanche, le goût des études.

    Le grand mérite de la Manif pour tous est d’avoir fait tomber les murs et construit des ponts (comme dit le pape), initié une porosité entre les diverses « chapelles » qui se toisaient parfois en chiens de faïence. Sur le pavé, ils ont trouvé leur terrain d’entente : le sociétal… qui de proche en proche, en tirant le fil, les emmène sur tous les grands chantiers de déconstruction : no gender, no mother, no father, no border, no species, etc. Sur la question de l’islam et de l’immigration, les « tradis », catéchisés à l’ancienne, sont plus décomplexés, quand les autres sont en pointe sur l’écologie intégrale. Mais les routes tendent à converger. Voilà donc, pour faire court, des jeunes (presque) unis, diplômés, structurés, armés intellectuellement, capables de s’adapter… et nombreux. Cela devrait finir, un jour, par se voir, non ? Michel Houellebecq peut allumer son ordinateur et faire craquer ses doigts. Le troisième tome est commencé.

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • Le Glyphosate : ennemi public N°1 ou règlement de comptes politico-économiques ?

    Glyphosate-Monsanto-Logo-Cracked-Earth[1].jpg

    Bernard Plouvier

    Une pétition lancée par divers mouvements écologistes d’Europe Unie (plus exactement de l’Europe des économies unies) a pour but déclaré de faire interdire le glyphosate. On s’attend à recueillir un million de signatures… et l’on aimerait savoir qui, parmi ces preux chevaliers de la mobilisation citoyenne, connaît réellement ce produit et les dessous de l’affaire.

    Car, bien plus que de protection de l’environnement, c’est d’une guerre à la fois commerciale et idéologique qu’il s’agit. Les dinosaures éclopés du marxisme et les ex-militants opposés à la guerre du Viêt-Nam repassent le plat, avant de quitter définitivement le théâtre du monde.

    Le glyphosate, c’est ce que tout jardinier connaît, depuis le début des années 1980 en France, sous le nom de Roundup, désherbant cher, mais efficace.

    Au plan chimique, c’est un dérive méthylé & phosphorylé de la glycine (ou glycocolle, soit l’un des acides aminés les plus répandus sur Terre, ubiquitaire dans le monde animal aussi bien que végétal). Il a été synthétisé en 1970, commercialisé timidement en de rares pays l’année 1974, puis aux USA en 1976 et sur l’ensemble de la planète.

    Il s’est très vite imposé comme le meilleur désherbant et le moins toxique. Il a été largement utilisé en épandage aérien pour détruire des plantations de coca.

    Objectivement, aucune étude toxicologique chez l’homme n’a permis de le considérer comme un perturbateur endocrinien ni comme un cancérigène… et au vu de sa formule chimique, l’on n’est guère étonné de ces conclusions.

    Certes, comme une myriade de produits chimiques, cet aminoacide torturé induit des mutations chez les végétaux, déjà exposés aux ultra-violets mutagènes, et chez certaines espèces de bactéries, les rendant moins sensibles à l’une ou l’autre des familles d’antibiotiques.

    L’on n’est pas très étonné qu’un acide aminé méthylé puisse induire des mutations. Les mutations génétiques sont essentiellement liées à l’action des ultra-violets solaires, des corps radioactifs et des agents fixant des radicaux méthyles à l’ADN.

    La très grande majorité de ces mutations s’avèrent neutres : pas plus bénéfiques que nuisibles à l’être animal ou végétal. En outre, la résistance des bactéries aux antibiotiques est un phénomène qui dépend de tant de causes que l’on voit mal pourquoi il faudrait interdire le Roundup plutôt que n’importe quel autre agent à radical méthyle.

    Divers groupes chimiques très puissants, concurrent de celui qui s’est fabuleusement enrichi grâce au Roundup, ont connu d’énormes déboires avec un excellent désherbant qu’il a fallu interdire en 2007 pour cause de toxicité majeure : le Paraquat, commercialisé en 1961. À dire vrai, tous les réanimateurs savaient, dès 1975, que l’ingestion de Paraquat (accidentelle, criminelle ou à but suicidaire) tuait par fibrose pulmonaire aiguë, irréversible. En outre, ce produit (un dérivé de la pyridine) était un toxique du système nerveux central.

    Pourtant, l’on ne fit guère de tapage chez les preux chevaliers de l’écologie et la comparaison entre les deux millésimes – 1975, 2007 – démontre à quel point les directions de la Santé des États ont été très, voire extrêmement, lentes à réagir !

    Le Paraquat était commercialisé par le groupe ICI (Imperial Chemical Industry), puis par le secteur agrochimique (Syngenta) de deux poids lourds : Novartis (groupe suisse, issu de la fusion des groupes Ciba-Geigy et Sandoz) et Astra-Zeneca (Astra, le suédois, et le britannique Zeneca, issu d’ICI)… tous groupes jouissant d’une excellente réputation, d’ailleurs justifiée par la qualité de leurs produits pharmaceutiques.  

    Qui commercialise le glyphosate ? Voilà une bonne question ! C’est, en effet, le galeux Monsanto, ce groupe des USA qui a fabriqué puis vendu à l’US-Army l’Agent orange, défoliant très utilisé durant la guerre du Viêt-Nam, renfermant la même dioxine que celle de l’accident de Seveso qui n’a jamais causé que de l’acné, mais que l’on a accusée de tous les maux, cancers, diabète, mutations… non observés chez les Italiens contaminés, mais qui le seraient chez les Vietnamiens, Laotiens, Khmers, à l’affût de centaines de millions de $ de dédommagements !

    En outre, Monsanto, c’est le groupe spécialisé dans les plantes génétiquement modifiées. On comprend la furie des écologistes professionnels Enfin, et cerise sur le gâteau (empoisonné), Monsanto a été racheté, en 2016, par Bayer, soit un groupe allemand issu du célèbre groupe IG-Farben… qui employa une main d’œuvre en partie tirée des camps de concentration durant le IIIe Reich !

    D’un côté le Paraquat ultra-toxique et toléré sans esbroufe médiatique par nos gentils écolo-verdâtres jusqu’à l’interdiction de 2007. De l’autre, le Roundup, dont la toxicité reste entièrement à démontrer, mais commercialisé par des galeux, des pelés, des maudits !

    Pourtant, il existe une éthique de la science. Ou bien l’on règle de très vieux comptes politiques, ou bien l’on se lance réellement dans une démarche scientifique. Il faut choisir. Le mélange des genres n’a jamais été une bonne affaire pour personne.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Cent ans d'abominations communistes

    Cent ans d'abominations communistes : intervention de Guillaume de Thieulloy

    Après les quelques photos diffusées en direct, voici l'intégralité des interventions, avec, pour commencer, l'introduction de Guillaume de Thieulloy :

    Cent ans d'abominations communistes : intervention de Stéphane Buffetaut

    L'ancien député européen évoque la complicité des intellectuels français envers le communisme :

    Cent ans d'abominations communistes : intervention de Didier Rochard

    Le thème : nazisme et communisme...

    Cent ans d'abominations communistes : intervention de Bernard Antony

    La Terreur rouge et la résistance :

    Cent ans d'abominations communistes : intervention de Marek Jurek

    Cent ans d'abominations communistes : intervention de Billon Ung Bun Hor

    Témoignage émouvant de Billon Ung Bun Hor, veuve du dernier président de l'assemblée cambodgienne :

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Contre la vaccination meurtrière !!!

  • Une député du Front National s’exprime sur la refondation : « Pourquoi changer de nom ? Vive le Front National ! »

    Marie-Christine Arnautu, député européenne du Front National, militante de la première heure, s’exprime sur la question de changement de nom du Front National.

    Elle développe, dans cette vidéo, avec des arguments probants, son souhait de garder le nom de toujours. Et fustige quelques militants de la dernière heure partisans du changement de nom mais ignorants l’histoire du mouvement national, ses fondateurs, ses grands noms !

    Une déclaration forte et courageuse qui remet les choses à l’endroit :

    « Le changement du nom au nom de la dédiabolisation, à quoi cela servirait-il sinon à donner raison à nos détracteurs et à démontrer que nous acceptons l’idée d’avoir été ou d’être des diables, à plier face aux attaques iniques portées contre nous. »

    « Soyons fiers de ce que nous sommes, le Front National, fiers de ce nom qui porte en lui tant d’héroïsme, tant de sacrifices, tant d‘espoir et tant de force. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/une-depute-du-front-national-sexprime-sur-la-refondation-pourquoi-changer-de-nom-vive-le-front-national/82187/

  • Steve Bannon part en guerre politique et électorale

    De Christian Daisug dans Présent :

    6a00d83451619c69e201bb09d15d55970d-800wi.jpg"Steve Bannon part en guerre. Une guerre politique et électorale qui durera près d’un an. Jusqu’aux élections législatives de novembre 2018. Jusqu’au renouvellement de la totalité de la Chambre des représentants et du tiers du sénat. Bannon fut le troisième et dernier directeur de campagne de Donald Trump. C’est lui qui le conduisit à la victoire. Il fut également, pendant sept mois, stratège à la Maison Blanche et l’un des confidents du président. C’est lui qui mit en place l’ossature du populisme gouvernemental, et plus exactement la philosophie du nationalisme économique dont les grands principes touchent à des domaines aussi importants que le commerce extérieur, l’immigration et la sécurité. Bannon est un homme de doctrine. Mais c’est aussi un homme de terrain. Lorsqu’il démissionna en août dernier de son poste de stratège, la presse aux ordres ricana en parlant d’une irrémédiable rupture entre « l’invivable patron et son commis d’extrême droite ». Grosse erreur. Bannon passait simplement de la réflexion doctrinale aux terrains chauds. Sans que soit altérée sa fidélité à Trump. Au contraire.

    8976-20171028.jpg[...] La révolte de Bannon se justifie pleinement lorsqu’on sait que deux dossiers épineux – l’assurance santé et l’immigration – stagnent encore dans les tiroirs sur la colline du Capitole, faute d’avoir reçu suffisamment d’attention et de soutien de la part de ceux qui devraient être leurs fougueux avocats : les élus républicains avec, en tête, McConnell et Ryan. Situation bloquée et dangereuse : les élections approchent. Il faudra bien rendre compte au pays, et surtout à ceux qui ont élu Trump.

    D’où la déclaration de guerre de Bannon. Une guerre contre l’inertie de l’appareil républicain. Une guerre contre les ténors de l’establishment républicain. Une guerre contre la sclérose des fiefs républicains au Congrès. L’objectif de Bannon : éjecter les sortants indésirables dans des primaires où des candidats estampillés populistes pourraient faire merveille. Les champs de bataille sont déjà choisis : la Virginie de l’Ouest, le Mississippi, l’Arizona, le Nevada, le Wyoming… En tout, une dizaine d’Etats.

    [...] Il y a un mois, en Alabama, Roy Moore, candidat national-populiste au sénat, l’a emporté dans une primaire contre Luther Strange, candidat de l’establishment. Mercredi dernier, en Arizona, le sénateur Jeff Flake, globaliste et immigrationniste, sentant sa défaite, a préféré ne pas se représenter. Deux scalps pour Bannon. Il pourrait les accrocher au fronton du sénat car, là aussi, il a marqué un point. Ses menaces ont eu tellement d’effet sur les républicains qu’ils viennent tous – sauf un – de voter les baisses d’impôts dans le prochain budget. Après neuf mois de palabres et d’hésitation. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le gouvernement soutient le financement des terroristes

    6a00d83451619c69e201b7c92e59f3970b-800wi.jpgSébastien Chenu, Député FN du Nord, Conseiller régional des Hauts-de-France, dénonce :

    "Alors que20% des djihadistes français touchaient des allocations envoyées par les familles dans le but de faire « acheminer de l’argent frais » aux djihadistes pour un montant global de 2 millions d’euros, selon un quotidien national, nous avons défendu un amendement visant à supprimer le versement des prestations familiales aux familles des personnes condamnées pour terrorisme.

    Face à ces faits incontestables, la majorité En Marche et le gouvernement sont restés insensibles aux douleurs des victimes et aux conflits sanglants de Daesh considérant que la suppression du versement de ces prestations reviendrait à sanctionner les enfants des hommes partis faire le djihad selon le rapporteur de la loi.

    Alors que les APL baissent, que la CSG et le forfait hospitalier augmentent, et que d’innombrables efforts sont demandés aux Français pour des raisons budgétaires, seuls les élus du Front National étaient présents pour défendre cette mesure d’économie de bon sens."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Hebdo Politique avec le Docteur Gérard Delépine : Agnès Buzyn, VRP des vaccins