Gabriele Adinolfi, Projet Lansqenets
Alban d'Arguin, Eoliennes un scandale d'Etat
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Gabriele Adinolfi, Projet Lansqenets
Alban d'Arguin, Eoliennes un scandale d'Etat
Stéphane Ravier, sénateur-maire du 7e secteur de Marseille (regroupant les XIIIe et XIVearrondissements), a décidé de rendre hommage à l’ancienne gloire du football français Jean-Pierre Papin en donnant son nom au stade des Mourets fraîchement rénové grâce à un financement à hauteur de 500.000 euros de la mairie de secteur et un ajout de 38 500 euros par la réserve parlementaire du sénateur frontiste, actée par le conseil d’arrondissements en octobre 2016 puis du conseil municipal quelques semaines plus tard. Dernier acte de maire de Stéphane Ravier qui laisser sa place à un autre élu frontiste le 1er octobre, gardant son siège de sénateur.
En effet, il est prévu une remise des « Papin d’or » aux meilleurs buteurs des clubs de foot du secteur le 22 septembre et la nomination du stade à son nom. Stéphane Ravier est un inconditionnel de « JPP », et on le comprend, d’autant plus qu’il a été élu « meilleur joueur de l’Olympique de Marseille du 20e siècle ». Papin, ballon d’or (meilleur footballeur du monde) 1991, c’est 375 buts en 714 matchs, dont 30 en 54 sélections avec l’équipe de France, et un palmarès qui se passe de commentaires : avec l’Equipe de France, 3e place lors de la Coupe du Monde 1986 et deux buts (contre le Canada et la Belgique) ; dans le championnat de France, 5 fois meilleur buteur d’affilé et seul joueur à avoir marqué un triplé dans le temps réglementaire en finale de Coupe de France (en 1989, victoire contre Monaco 4-3), 4 titres de champion, 1 coupe de France et 2 finales, plus une finale de la Coupe d’Europe des Clubs Champions (perdue aux penalties contre l’Etoile Rouge Belgrade) avec Marseille et deux finales de coupe de la Ligue avec Bordeaux ; dans le championnat belge, une coupe de Belgique avec le FC Bruges ; dans le championnat italien, deux titres de champion, une Supercoupe d’Europe, une Supercoupe d’Italie, une Ligue des Champions (gagnée contre Barcelone 4-0) et une finale (perdue contre Marseille 1-0), le tout avec le Milan AC ; et dans le championnat allemand, une Coupe de l’UEFA avec le Bayern de Munich (gagnée contre Bordeaux 2-0/3-1).
Evidemment, la presse d’extrême gauche s’en étrangle de colère. Sur les Cahiers du Football, officine d’extrême gauche déjà évoquée, on épluche la carrière et les déclarations de JPP pour voir s’il n’est pas un « facho » à bruler en place publique. Avec succès. Jean-Luc Etourdi (un jeu de mot sur l’ancien portier vedette de l’AS Monaco Jean-Luc Ettori) rappelle que « Il y a une dizaine d’années, j’étais tombé (via le forum Footnostalgie il me semble) sur une déclaration empreinte de candeur de Basile Boli, expliquant que si JPP n’était absolument pas hostile à la présence de joueurs noirs à l’OM, il tenait un discours tout à fait inverse à propos des arabes. Cet événement aurait tendance à accréditer le propos ». Accusation complétée par un autre rouge, Moravcik dans les prés (un jeu de mot sur l’ancien meneur de jeu vedette de l’AS Saint-Etienne, le Slovaque Lubovir Moravcik) : « De mémoire, la phrase de JPP à Boli était beaucoup plus claire, du genre : « Vous les noirs vous êtes supers, mais les arabes je peux pas les supporter », phrase rapportée par le Basilou dans une interview pour l’Equipe ou France Foot. Ensuite, je crois me souvenir que Boli disait qu’il avait expliqué à Papin que c’était très con comme raisonnement, et qu’il pensait avoir réussi à faire évoluer sa vision des choses (mais qu’il lui restait quand même un peu de boulot…) ». Notons que la chaîne Canal Plus via les Guignols de l’Info ont toujours détesté Papin qu’ils ont fait passé pour un attardé mental dans une sorte de duo très Laurel et Hardy avec son coéquipier Eric Cantona, d’extrême gauche, donc forcément « intellectuel ». Peut-être payait-il le fait de venir d’une petite famille de ch’tis, d’être resté fidèle à sa femme et d’avoir une fille handicapée pour laquelle il fonda une association caritative, « 9 de cœur ».
Et ce, malgré le démenti de JPP refusant toute récupération politique : « Je ne fais pas de politique. Moi, je suis là pour le sport. De suite, vous faites des raccourcis, il faut arrêter de tout mélanger. ». Il sait ce que ça coûte d’être de droite nationale dans le foot, Paolo di Canio, son successeur à la pointe de l’attaque du Milan AC, pourrait lui expliquer…
Toujours dans le cloaque extrêmement de gauche, notons l’article délirant de La Marseillaise, torchon local du PCF, paru le 16 septembre. Dans un style propre à la littérature communiste, une sorte d’emphase tombant à plat et d’indignations surjouées aussi crédible d’une promesse de virement caucasienne (genre l’Azéri Hafiz Mammadov au RC Lens ou le Tchétchène Bulat Chagaev au Xamax Neuchâtel), l’article minimise la présence de Papin, ne pouvait pas la nier comme un vulgaire crime stalinien, et se lance dans l’article sur un vaste délire sur une mutuelle communale choisie par la Mairie du secteur pour ses employés, chose ayant autant de rapport avec l’événement que le couscous avec la gastronomie alsacienne… Le tout en jouant les Zola du pauvre (« Aussi clair que le discours en façade est simpliste. Qui plus est pour un élu qui refuse de faire voter toute mesure sociale dans sa mairie : les Marseillais sont abandonnés, ils ne peuvent plus se soigner. Et bien, la mairie aide les ménages les plus fragiles en leur proposant une mutuelle peu chère… »), devant probablement confondre Marseille et la Bulgarie communiste (et puisqu’on parle de Marseille, de communisme et de santé, une pensée pour feue l’épouse d’Hubert Fayard, Lituanienne morte à 36 ans et laissant 4 enfants à cause du manque de médicaments dans la Lituanie occupée par l’URSS). L’article de la Marseillaise est de fait instructif, car il montre le manque total d’ouverture d’esprit des élus de gauche : « La mairie aurait pu prendre en charge l’intégralité des travaux. Il s’agissait d’une instrumentalisation à des fins personnelles de la réserve parlementaire, à quelques mois d’une échéance électorale » se souvient Stéphane Mari (PS). Ce dernier, avec Samy Joshua (Front de gauche) et l’ensemble des élus d’opposition, exception faite de Florence Masse, avait refusé de participer au vote. « Je ne souhaitais pas prendre part à cette opération de com, même si en tant que citoyen, j’habite à côté de cet équipement et mon fils va y jouer régulièrement… »
En tout cas, Bienvenu à Jean-Pierre Papin, honoré dans la cité qui fit de lui le meilleur footballeur français de la décennie. On ne sait pas si le Cacolac coulera à flot…
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/le-front-national-honore-jean-pierre-papin/80284/
André Versaille publie en ce moment un feuilleton sur le site du Monde, intitulé: « Les musulmans ne sont pas des bébés phoques »
Des jeunes musulmans des banlieues se sentent victimes – et nombre d’entre eux le sont certainement. Mais le sont-ils du « système français » ? Depuis des années, on met en cause l’abandon des cités par les gouvernements successifs, ainsi que des réductions drastiques des aides à l’intégration. Malika Sorel-Sutter s’inscrit en faux contre cette accusation. « Peut-on ainsi dire que les 43 milliards d’euros injectés en dix ans dans la rénovation urbaine, ce n’est rien ? Peut-on considérer comme négligeables les près d’un milliard d’euros qui sont investis chaque année dans l’éducation prioritaire […] ? Peut-on balayer d’un revers de main tout ce qui a été injecté dans tous les programmes ZFU, ZUS, Halde, plan égalité des chances, ACSÉE, préfets à l’égalité des chances, cordées de la réussite, internats d’excellence, Commissariat à la diversité, Plan espoir banlieues, Contrats d’accueil et d’intégration, et à présent les emplois dits “d’avenir” ? […] Autant on aurait pu dire que l’État n’avait pas fait grand-chose pour venir en aide aux immigrés des précédents flux migratoires – d’origine intra-européenne –, autant on ne peut pas le dire pour les flux migratoires extra-européens. »1
Hugues Bouchu,
Les Amis franciliens de Synthèse nationale
Philippe Randa, directeur de EuroLibertés
Vincent Vauclin, Président de la Dissidence française
Ces images ont fait le tour du monde. Des membres de la Guardia civil en train de rentrer de force dans un bureau de vote de Gérone. C’est ici que Carles Puigdemont, le président de Généralité de Catalogne devait voter dimanche. Mais les policiers sont arrivés avant et ont confisqué les urnes.
À travers toute la Catalogne les interventions très musclées de la police nationale ont laissé des traces. Au moins 92 personnes ont été blessées dont deux gravement. Selon les chiffres des services d’urgence de Catalogne plus de 760 personnes ont été l’objet d’une assistance médicale.
Ces images de femmes, de jeunes, de familles molestées par la guardia civil ont été reprise en boucle à la télévision et sur les réseaux sociaux et ont suscité les réactions en Europe.
Selon La Vanguardia, ces scènes de violence entre citoyens et policiers auraient eu lieu dans plus de quarante endroits en Catalogne. En grande majorité à Barcelone et à Gérone mais également dans des communes de moindre importance de la région.
Qu’importent les violences, l’interdiction du référendum….ils étaient des milliers dimanche soir à attendre les résultats du vote sur la Plaça de Catalunya à Barcelone. Quelques heures après la fermeture des bureaux de vote, les organisateurs du scrutin revendiquent 2,2 millions de votants. 90% d’entre eux aurait dit oui à l’indépendance.
Après l’attentat de Marseille, Stéphane Ravier réagit au micro de Boulevard Voltaire.
L’homme aurait été arrêté pour une dizaine de faits de délinquance mineurs, notamment des vols et des infractions à la législation sur les étrangers. Il s’agit d’un Algérien ou d'un Tunisien en situation irrégulière.
L'Etat islamique a revendiqué l'attaque.
Jean-Sébastien Ferjou (atlantico.fr) :
«Regardons les origines … Ce sont principalement des maghrébins, il y a eu 1 malien et tous les autres étaient maghrébins.»
Damien Givelet : «Il peut y avoir des tas de raisons aussi, psychologiques, et autres …»
«Si ça vous semble plus confortable de penser que c’est psychologique, très bien. Il me semble qu’il y a gens de personnes qui souffrent de problèmes psychologiques, j’ai pas l’impression qu’ils se jettent tous dans les gares ou ailleurs en criant “Allah Akbar” ! (…) Il faut arrêter d’avoir peur de stigmatiser. Quand on n’aborde pas les choses de front, c’est là où on laisse les choses pourrir.»
L'auditorium de l'Espace Jean Monnet de Rungis était comble hier après midi lorsque Jean-Marie Le Pen, invité à la 11e journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale, a prononcé son discours de rentrée. Près de 1 500 amis de notre revue, une affluence record, sont en effet venus assister à cette réunion.
Très attendue, l'intervention du Président d'honneur du Front national a été précédée par celles d'Alain Escada (Civitas), Pierre Vial (Terre et peuple), Massimo Magliano (ancien dirigeant du MSI venu de Rome), de Carl Lang (Parti de la France) et, bien sûr, de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale.
Avant, plusieurs tables rondes s'étaient tenues au cours desquelles une quinzaine d'intervenants purent s'exprimer sur le combat pour l'identité ou encore sur les initiatives militantes. Plus de cinquante stands étaient dressés dans les halls, ce qui donna l'occasion au public de rencontrer les différentes maisons d'éditions non conformistes, les artistes et les associations, mouvements et partis qui font la richesse de notre camp.
Nous reviendrons rapidement sur cet événement fondamental qui, quelques mois après la Présidentielle, marque le retour des forces nationales sur le terrain politique.