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  • Marine Le Pen ne sera pas tête de liste aux Européennes

    marine-le-pen-embarras-300x148.jpgVendredi dernier, Nicolas Bay, vice-président du Front National et responsable au sein de son mouvement des Affaires européennes, a annoncé que Marine Le Pen ne conduira pas la liste aux élections européennes de 2019.

    Sur Franceinfo, il a précisé que la présidente du FN

    « a dit elle-même qu’elle ne le souhaitait pas (être tête de liste, ndlr) parce que maintenant elle est élue à l’Assemblée nationale où elle mène en première ligne le combat pour la défense des Français dans cet hémicycle-là ».

    Aucune indication n’a transpiré quant à la future tête de liste.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-ne-sera-pas-tete-de-liste-aux-europeennes/84357/

  • Le dégagisme en question…

    « Les 234.000 électeurs corses étaient appelés à voter pour choisir les 63 élus d’une nouvelle instance inédite, la Collectivité territoriale unique (CTU) qui se substituera à compter du 1er janvier 2018 aux conseils départementaux de Corse-du-Sud et de Haute-Corse et à la collectivité territoriale de Corse (ex-région). La participation, à 52,17%, est en recul par rapport aux élections de 2015 (59,88%)» rapportait l’AFP. Le premier tour des élections territoriales en Corse ce dimanche s’est traduit par ce que de nombreux médias ont appelé un raz-de-marée en faveur des nationalistes Corses. Ces derniers, réunis au sein d’une liste de coalition des soutiens de  Jean-Guy Talamoni et Gilles Simeoni  ont obtenu plus de 45% des voix (la fusion des listes Talamoni et Siméoni n’avait totalisé que 35,34% au deuxième tour il y  a deux ans). Score  auquel il faut ajouter les 6,89% obtenus par les ultras du parti indépendantiste U Rinnovu,  qui fait plus que doubler son score 2015. Les listes de LR et d’En marche sont balayées, le candidat du FN,  Charles Giacomi (3% des suffrages) n’a pas été en mesure de capter les ressort identitaire de ce vote, très prégnant sur l’île de Beauté,  qui a notamment placé Marine en tête lors du premier tour de la présidentielle. 

    Dans Le Point,  le politologue Jérôme Fourquet relève en effet que le vote traditionnellement « très élevé pour le FN à la présidentielle s’accompagne de scores beaucoup plus faibles lors des élections locales, comme aux régionales. On peut alors faire l’hypothèse que lors des scrutins locaux, les notables insulaires et les natios  captent une partie significative de l’électorat frontiste, soit grâce à des logiques clientélistes ou de proximité pour les notables, soit sur un aspect programmatique : la défense de l’identité corse, pour les nationalistes. Il est d’ailleurs intéressant de constater que, lors des dernières régionales, le FN a fait ses meilleurs scores dans les communes où la proportion d’électeurs originaires du continent était la plus importante. Tout se passe donc comme si le FN pouvait compter aux élections locales principalement sur son électorat continental, et qu’à ce noyau dur venaient s’agréger à la présidentielle les voix de très nombreux électeurs  autochtones , c’est-à-dire nés en Corse. »

    Reste à savoir si la très grande majorité des Corses qui sont  attachés bien légitimement à leurs racines,  qui entendent défendre une culture insulaire célébrée,  non sans ambiguïtés, par MM. Siméoni et Talamoni,  suivent totalement ces derniers. Jean-Guy Talamoni justement, qui a beaucoup durci son discours sur l’immigration ces dernières années pour gagner des voix , affirmait hier soir: «au deuxième tour, nous allons demander aux Corses de nous placer le plus haut possible.  De façon à avoir une légitimité pour obtenir l’ouverture de négociations sur des sujets essentiels : la coofficialité de notre langue, le statut de résident pour protéger les électeurs, l’amnistie pour les prisonniers et les recherchés. ».

    M.  Fourquet explique aussi que que les nationalistes corses ont tiré profit d’un  « dégagisme » dans l’air du temps.  Dégagisme ou Grande braderie des bijoux de famille,  que l’on voit à l’oeuvre pour le pire au sein de ce gouvernement constate Emmanuel Lévy dans Marianne, qui s’arrête sur le vœu réitéré par Emmanuel Macron  de céder « deux vaches à lait. »  En l’espèce, « deux entreprises nationales, Aéroports de Paris (ADP) et La Française des jeux (FDJ) (qui) s’attendent à se retrouver bientôt sur la liste des sociétés privatisables. »  « Entre 2014 et 2016, Emmanuel Macron, alors ministre de l’Economie, avait tenté de lancer la cession de Aéroports de Paris (ADP) et La Française des jeux (FDJ). Il s’était heurté à la résistance de ses collègues socialistes du Budget et des Transports. Et François Hollande l’en avait empêché. Parvenu à l’Elysée, le nouveau président s’apprêterait à remettre ça. »

    Dégagisme qui est aussi le mot d’ordre au sein du groupe  France télévisions, contraint de faire des économies drastiques, peut-être sur le dos de l’employé  mâle blanc de plus de cinquante ans, avançait, caustique,  Gilles-William Goldnadel sur twitter. Dans les faits, explique le JDD, Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, « est sous la menace d’une motion de défiance des journalistes. Ils s’inquiètent d’un plan d’économies visant à réduire la place de l’information sur France 2 et à amputer les magazines d’investigation de la chaîne, Envoyé spécial et Complément d’enquête, d’une partie de leurs effectifs, ce au nom des contraintes budgétaires (75 millions d’euros au total) décrétées par l’Etat. Delphine Ernotte peaufine un vaste plan d’économies qu’elle présentera devant son conseil d’administration le 21 décembre (…) . Matignon (…)  réclame des efforts de gestion (et) dans le même temps, exige le maintien de l’investissement dans la création (420 millions d’euros par an). Vous me placez dans une situation impossible, avait lancé la dirigeante (au) ministre de la CultureFrançoise Nyssen, qui l’informait de cette amputation budgétaire le 7 septembre, lors d’un déjeuner. »

    Ce sont surtout  les téléspectateurs que Mme Ernotte,  comme ses prédécesseurs à ce poste, placent  dans une situation impossible, constate Bruno Gollnisch, celle de regarder des chaînes publiques qui diffusent un grand nombre de séries et d’émissions dites de divertissements, souvent très médiocres.  Et qui, cerise sur l’indigeste gâteau,  servent de supports ou de prétextes à une propagande antinationale, cosmopolite et de de culpabilisation du gaulois, de très bas étage. Bien sûr, le service public est capable de  produire des émissions culturelles, d’investigations ou  de reportages de qualité. La semaine dernière par  exemple, l’émission Pièces à convictions sur France 3,  dénonçant les liaisons dangereuses entre les élus des partis du Système et les associations,  était très éclairante et  riche en révélations pour le citoyen lambda…

    Pour autant, comme le rapporte aussi le site d’E&R,  la  déontologie et la rigueur journalistique ne sont pas  toujours  de mise dans les reportages à charge  - dixit les nombreux  Envoyé spécial et autres Complément d’enquête consacrés à la bête immonde… Il s’agirait aussi de dégraisser ce Mammouth là. « La rédaction de la télé publique à elle seule, est-il rappelé,  représente une armée mexicaine de 1 340 journalistes, oui, vous avez bien lu, mille trois cent quarante. Et les effectifs de tout le groupe public comprenant télé et radio se montent à 10 000 personnes. »

    Ces journalistes en question sont-ils des parangons d‘indépendance, de résistance face aux forces du Marché, incarnent-ils  la noblesse du métier, la défense du petit contre le fort ?… « Comment voulez-vous qu’on soutienne confraternellement ces pseudo-journalistes ? (…). Que cela serve de leçon à tous les collabos : après avoir bien servi, vous finirez dans la fosse, car ceux qui vous utilisent vous méprisent ; seuls ceux que le pouvoir attaque et que vous attaquez de manière injuste et lâche survivront…»  Attendons, et travaillons ardemment  à  rendre possible le moment, très proche, espérons-le, ou les Français siffleront la fin de la récréation, au nom d’un dégagisme qui soit enfin parfaitement cohérent avec leurs aspirations profondes. 

    https://gollnisch.com/2017/12/04/le-degagisme-en-question/

  • Qu'est-ce que le « printemps des droites » ?

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    Robert Ménard explique à Boulevard Voltaire :

    "Qu’il nous faut faire preuve d’audace, d’imagination. Ne pas hésiter à être iconoclaste. Pas seulement à l’égard des idées, des propositions des autres, mais vis-à-vis de nos propres analyses, de nos propres propositions. Il ne doit pas y avoir de tabous. Un exemple : les vagues migratoires auxquelles doivent faire face notre pays et plus généralement toute l’Europe. Se contenter d’expliquer qu’il faut y mettre fin ou, du moins, les réduire de façon drastique n’est pas suffisant. Que faire de ces garçons et de ces filles de la deuxième, voire de la troisième génération, qui sont aujourd’hui des Français à part entière – pas forcément de cœur mais du moins de papiers – et qui sont bien moins intégrés que leurs parents ou leurs grands-parents ? Comme maire, je suis confronté à cette question tous les jours ou presque. Et de réponses, je n’en ai pas.

    En finir avec le laxisme généralisé, vous répondra-t-on…

    Un peu court ! Parce que cela va bien au-delà des seuls problèmes de délinquance. Une bonne partie de cette jeunesse issue de l’immigration, sensible à un islam plus rigoriste, plus identitaire, affiche des comportements qui sont vécus comme des affronts par le reste de la population. Et qui, bien souvent, le sont. Un problème d’éducation ? Bien sûr mais, encore une fois, pas seulement. Il y a chez certains un vrai rejet de notre mode de vie, de ce que nous sommes. Du coup s’installe dans nos villes une sorte d’apartheid ethnique. L’Office des HLM, dans ma ville, en est à ne pas mélanger Maghrébins et Turcs. À chacun sa cage d’escalier ! Cela ne peut pas durer. Et dans ce domaine encore, je ne sais que faire, j’avance à tâtons…

    D’autres champs d’investigation pour ce laboratoire d’idées que vous appelez de vos vœux ?

    Les médias, bien entendu. J’en suis convaincu, je le constate jour après jour, ils sont – dans leur grande majorité, et notamment les médias de « service public » – les principaux obstacles à une prise de conscience, les avocats quotidiens de l’ordre établi, les thuriféraires de cet « empire du bien » décrit – avec quel talent – par le regretté Philippe Muray. Ils terrorisent ceux qui seraient tentés de faire un pas dans notre direction. Ils excommunient tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Ils sont, comme le dit Michel Houellebecq, « les grands prêtres moralisateurs d’une époque sans religion, ni morale », l’ultime bastion d’un moralement correct qui fait l’impasse sur le réel au profit d’un discours idéologique. Sans eux, sans cette emprise qu’ils exercent encore, bien des digues, comme on dit, auraient sauté. Regardez le milieu intellectuel : on y discute, on y débat sans exclusive. Michel Onfray est interviewé par Alain de Benoist dans Éléments. Alain Finkielkraut prend la défense de Renaud Camus… [...]

    Il n’y aura pas de Grand Soir électoral si nous ne faisons pas un travail à la base, via les communes.Il faut apprendre à diriger des collectivités, à maîtriser des dossiers toujours très complexes. On ne peut pas se contenter de slogans, de « y a qu’à », de « faut qu’on ». Quand François Ruffin explique, à propos de La France insoumise : « Je ne suis pas sûr que les gens nous donnent les clés du pays volontiers pour le gouverner », je ne suis pas loin de penser la même chose pour ce qui est de notre sensibilité politique. Et quand il ajoute : « Je ne nous sens pas prêts [à gouverner] », je partage également son analyse nous concernant…

    Et maintenant ?

    On relève les manches et on bosse. Le pouvoir ne nous tombera pas dans les mains comme un fruit mûr. Et puis, on arrête de manier l’exclusive, de condamner le moindre propos un tant soit peu dissident par rapport aux dogmes qui font loi dans notre partie de l’échiquier politique. Nous avons le droit de penser que l’Europe comme civilisation – à ne pas confondre avec les institutions bruxelloises et ses ronds-de-cuir – peut être un rempart contre l’américanisation de notre continent, de nos modes de vie. Même si cela ne colle pas avec le catéchisme en vigueur dans nos rangs… Pour tout vous dire, j’en ai ras le bol, de ces apprentis censeurs qui ne cessent de se plaindre d’être caricaturés par les « grands médias » et se comportent comme des gardes-chiourme de la pensée étiquetée « droite nationale ». Je n’ai pas envie de devoir choisir entre les idéologues de France Info et les maîtres penseurs d’un parti quel qu’il soit… [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • À vos plumes !! La connerie insondable de nos élites qui ne voient pas la famine arriver !! Explications

    Charles Sannat, entrepreneur et analyste économique, est rédacteur en chef de la page internet économie-financière Insolentiae (décryptage impertinent, satirique et humoristique de l’actualité économique) ♦ Mes chères impertinentes, mes chers impertinents, il va encore falloir écrire au président et au premier ministre qui semblent avoir la « comprenette difficilette » ces derniers temps !! Je vous redonne tout de suite les adresses et pour le reste vous allez très vite saisir l’importance de la chose. Pour écrire au président c’est iciPour écrire au premier ministre c’est ici. En effet, les Chinois viennent à nouveau de frapper en rachetant, au nez et à la barbe de nos pandores, de la terre agricole de la SAFER, 900 hectares dans l’Allier pour un montant de 10 millions d’euros.

    La société Hongyang avait déjà réussi il y a deux ans l’acquisition de 1 700 hectares et cela avait défrayé la chronique. Pas d’intervention possible de la SAFER pour bloquer la vente car la loi n’est toujours pas adaptée !

    Après les premiers cas de rachat par des Chinois de nos terres arables, une notification pour toutes les transactions a été rendue obligatoire avec un changement de la loi début 2017 mais la SAFER, une fois de plus, n’a pas pu intervenir, la loi « sur l’accaparement des terres agricoles », adoptée par le gouvernement Hollande, ayant été partiellement invalidée par le Conseil constitutionnel en mars… Et depuis, rien n’a été fait pour empêcher de tels rachats.

    « Leur notaire nous avertit qu’il y avait une vente de parts sociales, mais comme elle ne se fait pas sur la totalité des parts, la SAFER n’a pas pu intervenir, car le droit de préemption ne peut s’appliquer que sur la totalité des terres vendues. »

    « Les mêmes investisseurs chinois, avec les mêmes pratiques contournant le droit de préemption de la SAFER sur les terres agricoles, ont acquis 98% des parts sociales de sociétés agricoles, leur permettant de mettre la main sur 900 hectares de terres à blé et à maïs dans l’Allier », a expliqué mercredi à l’AFP le président de la Fédération nationale des Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (FnSafer), Emmanuel Hyest.

    Voilà donc le petit contournement auquel se sont livrés nos amis chinois pour mettre la main sur 900 hectares de plus. Il suffit de ne racheter que 98% des parts sociales de l’entité (en général une entreprise agricole de type GAEC ou autre) qui est elle-même propriétaire des terres !

    Vous ne rachetez pas des terres, mais des parts sociales de terres agricoles.

    Pourquoi les Chinois rachètent-ils des terres agricoles ?

    Deux chiffres. Deux chiffres à retenir pour comprendre la gravité de la situation chinoise.

    1,3 milliard d’habitants et seulement 7% des terres arables du monde…

    En gros, les Chinois ne sont pas en mesure d’être autosuffisants en termes d’alimentation. Alors que font-ils ? Ils achètent des terres ailleurs, et c’est très grave car ces achats n’ont pas pour objectif de cultiver chez nous du blé qui sera vendu aux Français, mais bien de cultiver du blé en France, sur des terres françaises, qui sera exporté en Chine.

    Tant que tout va bien, tout va bien, sauf que rien n’ira bien très longtemps et cela ne va déjà pas très bien !

    De la pénurie de beurre à la famine !

    Décidément, il faut vraiment être énarque pour ne pas faire le rapprochement immédiat entre la pénurie de beurre, qui n’est pas une pénurie mais une augmentation significative du prix du beurre qui, si nous en souhaitons encore dans nos rayons, devra être payé plus cher par la grande distribution qui a refusé de renégocier ses accords-cadres du début d’année malgré les tensions internationales sur le marché du beurre.

    Au-delà de ce rapport de force commercial, c’est évidemment la demande étrangère et en particulier chinoise qui fait bondir le prix du beurre.

    Vous aurez le même phénomène avec tous les autres produits alimentaires dont le blé, car les Chinois, avec l’élévation de leur niveau de vie, mangent désormais plus que juste un petit bol de riz quotidien… et notre blé… ce qui veut dire que plus cela va, d’ailleurs, et plus nous mangerons leur riz si nous ne faisons rien !

    En rachetant nos terres agricoles, les Chinois vont alimenter la Chine, pas la France !

    En ne faisant rien aujourd’hui, alors que nous avons une paysannerie vieillissante et des difficultés de rentabilité pour nos paysans, mais que le prix des terres, lui, s’envole au niveau de la planète, nous préparons la famine de demain dans notre pays et les conditions de problèmes diplomatiques majeurs.

    Explications !

    Si nous laissons les Chinois (ou autres, on s’en fiche de la nationalité) racheter nos terres, et qu’un jour c’est la famine, l’État n’aura pas d’autre choix que de saisir les productions et de spolier celui qui est le propriétaire des terres.

    Cela provoquera colère et mesures de rétorsions déjà prévisibles 10 ans à l’avance.

    En conclusion, il faut impérativement changer les lois.

    L’alimentation est trop stratégique pour répondre aux règles classiques du libre-échange

    Il faut donc être Français pour acheter des terres.

    Il faut donc être résident fiscal en France et y payer ses impôts pour acheter des terres.

    Celui qui achète plus de 10 hectares doit obligatoirement exploiter la terre et en tirer l’essentiel de ses revenus.

    Toute transaction sur une exploitation, qu’elle soit partielle ou totale, portant sur des parts sociales ou du foncier en direct doit être validée par la SAFER.

    La SAFER doivent être dotées des fonds suffisants pour préempter les terres à chaque fois qu’elles seront dans des mains étrangères.

    En un mot, aucun étranger, aucune société étrangère ne doit pouvoir avoir le droit d’acheter des terres en France.

    Ne pas le comprendre aujourd’hui et ne pas préparer notre nation aujourd’hui à le faire, c’est encore un exemple cruel de la connerie insondable de nos élites qui ne verraient pas un éléphant dans la Dordogne, comme on disait chez ma grand-mère !

    En ne faisant rien, nous préparons les conditions de notre propre famine. Alors à vos plumes !!

    Alors mes chères impertinentes, mes chers impertinents, faites passer cet article et écrivez à l’Élysée et à Matignon pour que, là-haut, la lumière puisse s’allumer, et vite !

    Enfin, certains vous diront que ce n’est pas possible en raison des lois, de la mondialisation, du libre-échange !

    Mes amis, en dehors de toute idéologie, si le libre-échange et la mondialisation c’est crever de faim, alors peut-être vous souviendrez-vous qu’il fut un temps, pas si lointain, où notre pays disposait de ce que l’on appelait sa souveraineté. Une idée qui consiste à dire et proclamer (ce qu’il y a d’ailleurs d’écrit dans notre constitution) que nous avons le droit de décider de notre destin.

    Alors quand vous aurez faim, peut-être que le peuple se souviendra de ce temps où il pouvait décider ce qui était bon pour lui, et il est bon de pouvoir manger à sa faim, croyez-moi.

    Vive la France.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles Sannat
    24/11/2017

    N.B. : « Insolentiae » signifie « impertinence » en latin.

    Pour m’écrire charles@insolentiae.com
    Source : INSOLENTIAE du 24/11/2017

    https://www.polemia.com/a-vos-plumes-la-connerie-insondable-de-nos-elites-qui-ne-voient-pas-la-famine-arriver-explications/

  • La Commission européenne appelée à couper les fonds à la Hongrie : pour lui faire payer sa gestion des migrants ?

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    La Hongrie dénonce une attaque politique. L’objet de sa colère, c’est une lettre, dans laquelle la Commission européenne est appelée à couper les fonds à Budapest.

    Dans ce courrier, une demande surprenante : la Commission européenne est appelée à couper les fonds à Budapest, jusqu’à ce que “les libertés démocratiques fondamentales soient rétablies et la corruption combattue.” La correspondance, datée du 23 novembre, est signée par un ancien ministre des Finances allemand, et trois ex-commissaires européens.

    Janos Lazar, porte-parole du Premier ministre, s’insurge :

    C’est une attaque politique de la gauche. Les libéraux et les socialistes, les opposants du Fidez et les chrétiens-démocrates l’ont réclamée à la Commission européenne. Ca n’a rien à voir avec la vraie vie et la réalité.

    Il semble surtout que Bruxelles souhaite faire payer la Hongrie pour son refus d’accueillir plus de migrants…

  • OBAMACRON

    866182083.jpgLe billet de Patrick Parment

    Guignol est donc venu à Paris ! Pardon, l’ex-président des Etats-Unis qui avoue que l’Amérique adore la France. Et pour cause… depuis le temps qu’elle la saigne. Barack Obama donc, pour 400 000 dollars a fait le déplacement à Paris où l’agence qui l’a invité avait retenu rien moins que la Maison de la radio, Quai Branly, pour que l’afro-américain s’exprime. Au final, un tissu de banalités voire de lapalissades.

    Obama a abordé trois thèmes : l’économie, le changement climatique et le terrorisme. Et ce devant un parterre qui comptait des ministres, des politiques et des chefs d’entreprise. Et non des moindres, tel Stéphane Richard, patron d’Orange, qui a réglé l’addition. 400 000 dollars pour entendre un tissu de banalités, avouez que ça fait chère la séance de masochisme. Mais que ne ferait-on pas pour voir le sourire béat de Jack Lang, Roselyne Bachelot, Anne Hidalgo et consorts.

    Pour commencer, on rappellera les propos de François Mitterrand, « avec l’Amérique nous sommes en guerre ». Sur deux fronts au moins. Culturel où l’on est envahi par la musique et le cinéma américains qui véhiculent des valeurs qui ne sont pas toujours les nôtres. En économie surtout, où les Américains sont prêts à tous les coups bas pour éliminer les entreprises françaises des marchés convoités ou nous couper l’herbe sous le pied comme avec Peugeot en Iran. Sans compter le racket bancaire. Enfin, une économie réelle qui « profite à tous » passe nécessairement par l’éradication du capitalisme financier et boursier. Nous sommes loin du compte et les gogos dans la salle ont becqueté ça tout cru avec le sourire béat de l’idiot du village. Le seul à réellement se marrer, c’est Obama.

    Deuxième thème abordé, le réchauffement climatique. Il y a beaucoup à dire sur le sujet. Mais plutôt que de s’en prendre au sempiternel climat – contre lequel on ne peut pas grand-chose – on ferait mieux de se concentrer sur les énergies renouvelables et les solutions dont on dispose afin d’arrêter de détruire tous nos écosystèmes, notre faune et notre flore. De tout cela, Obama n’a soufflé mot.

    Troisième thème enfin : le terrorisme. Alors là, on se marre franchement. Car ce sont les Etats-Unis et leurs désastreuses interventions en Afghanistan et au Moyen Orient qui ont déclenché les vagues terroristes dont Europe fait trop souvent les frais, ce qui n’aura échappé à personne. Je ne parle même pas des dommages collatéraux du conflit israélo-palestinien. Pas plus que du financement des Frères musulmans par la CIA depuis des décennies. On pourrait ajouter la vassalisation de l’Arabie saoudite qui finance les différents mouvements terroristes et à la pointe du combat contre Bachar al-Assad en Syrie. J’en passe et des meilleurs. Si l’on doit dresser un rapide bilan, l’Europe n’a rien à gagner d’une amitié avec l’Amérique. A moins d’être aveugle, on se demande bien ce qu’un Macron et un Obama ont pu à se raconter, vu que l’un n’est plus aux manettes et que l’autre, mis à part un coup de pub, n’a rien à y gagner.

    Le seul dans cette affaire qui a fait une bonne opération, c’est bien Obama qui moyennant une somme illimitée de niaiseries pseudo géopolitiques et économico-délirantes a enflé une bande de guignols de 400 000 dollars ? Chapeau l’artiste !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/