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  • Génération Poutine : « Contrairement aux fantasmes occidentaux, les Russes de moins de 25 ans sont parmi les groupes les plus conservateurs et pro-Poutine de la société »

    « Ce que l’âme russe exige, » dit Yekaterina Mamay, « c’est qu’il y ait un politicien fort dans le pays qui ressemble à un tsar. »

    Lors de la prochaine élection présidentielle en Russie, l’étudiante de 20 ans, qui sait que le journalisme dans son pays n’est pas libre, votera néanmoins pour réélire Vladimir Poutine. « Le patriotisme est à la mode ».

    Ici, où la forêt de la taïga rencontre la steppe herbeuse, la «génération Poutine» n’est pas différente qu’ailleurs dans l’immensité de la Russie. Les jeunes adultes russes d’aujourd’hui n’ont aucun souvenir de la vie avant Poutine, qui a pris le pouvoir pour la première fois il y a 18 ans. Certains sont descendus dans la rue pour protester, mais les spécialistes des sciences sociales disent que beaucoup d’autres l’ont accepté. Les sondages montrent que Poutine bénéficie d’un plus grand soutien parmi les jeunes que dans le public en général.

    Pour les Occidentaux, les jeunes Russes comme Mamay qui épousent des valeurs libérales mais vénèrent Poutine vivent dans un monde de contradictions. En fait, leur empressement à accepter ces contradictions aide à expliquer l’emprise de Poutine sur la Russie.

    Selon un sondage réalisé en décembre par le cabinet de sondage indépendant Levada Center, 81% des adultes approuvent Poutine comme président – dont 86% des Russes âgés de 18 à 24 ans. Parmi ce groupe d’âge, 67% ont dit à Levada qu’ils croyaient que le pays allait dans la bonne direction, comparativement à 56% du grand public.

    La génération la plus connectée et internationale de l’histoire russe, ayant accès à plus d’informations que leurs aïeux, aide maintenant Poutine à consolider son autoritarisme.

    « Il n’y a pas de masse critique de personnes exigeant un changement radical », écrivent les politologues Ivan Krastev et Gleb Pavlovsky ce mois-ci pour le Conseil européen des relations étrangères. « Contrairement aux fantasmes occidentaux, les Russes de moins de 25 ans sont parmi les groupes les plus conservateurs et pro-Poutine de la société ».

    « Les chars sont stationnés sur nos frontières », a déclaré Rybin. « Nous avons de bonnes troupes qui défendent nos frontières, défendant notre Russie. Si nous élisons un président différent, pouvons-nous nous attendre à ce que ces choses demeurent ? »

    (…) Washington Post

    http://www.fdesouche.com/967607-generation-poutine-contrairement-aux-fantasmes-occidentaux-les-russes-de-moins-de-25-ans-sont-parmi-les-groupes-les-plus-conservateurs-et-pro-poutine-de-la-societe

  • Une politique pour l'an 2000 de Pierre Debray [XXIV]

    Nous poursuivons la publication d'une série qui devrait faire date ; qui forme un ensemble à lire en entier : une étude de Pierre Debray parue en novembre 1985 dans le mensuel Je Suis Français, sous le titre Une politique pour l'an 2000. Nous sommes ici dans la 2ème partie de cette étude. La lecture de ces textes expliquera aux lecteurs qui ne l'ont pas connu le rôle intellectuel important de Pierre Debray à l'Action Française dans les années 1950-2000.  Cette analyse politique, économique, sociologique et historique, menée méthodiquement, à la maurrassienne, comporte de multiples enseignements, utiles aujourd'hui à notre école de pensée. Comme un stimulant de notre réflexion sur la situation présente de la France et sur l'action que nous avons à y mener. Même si le lecteur devra tenir compte des événements et des faits intervenus au cours des trois dernières décennies.  LFAR

    2ème partie : Une révolution copernicienne 

    LES NOUVELLES INVASIONS BARBARES

    Plutôt que de créer en Afrique des pôles industriels qui seraient demeurés compétitifs, en raison du faible coût de la main d'œuvre, les Européens ont encouragé l'immigration qui fournissait des travailleurs réputés dociles pour les tâches dont se détournait leur jeunesse. Les résultats de cette politique à courte vue se sont révélés désastreux. Nous n'avons pas empêché le déclin du textile, des chantiers navals et de la sidérurgie. Nous n'avons pas modernisé à temps la construction automobile. Nous avons pris un retard technologique qui continue de se creuser. L'Afrique n'a pas réussi, au contraire du Sud-Est asiatique, son décollage économique. Nous sommes encombrés d'immigrés, qui ne cessent d'affluer, auxquels nous n'avons plus d'emplois à proposer. Les prêches moralisants n'y changeront rien. Les Africains ont été abandonnés au milieu du gué. Afin de conserver nos marchés, dans cette partie du monde, nous en sommes réduits à prêter à nos clients l'argent dont ils ont besoin pour nous régler leurs achats et pour leur prêter, nous empruntons, tout en sachant qu'il nous faudra rembourser tandis que les créances dont nous disposerons sont, pour le principal, irrécouvrables.

    Se lamenter sur le passé ne sert de rien. Il suffit de regarder lucidement le présent. Le Maghreb et l'Afrique noire entrent dans l'ère des grandes migrations. Il existe un phénomène de vases communicants qu'il conviendrait d'enseigner aux enfants européens, dès l'école primaire. Un territoire qui ne parvient plus à nourrir sa population tend à déverser le trop plein sur un territoire riche, en voie de dépeuplement. La nature historique, elle aussi, a horreur du vide. Il convient donc de s'attendre à une pression croissante des masses humaines qui commencent à se mettre en mouvement. Le temps de l'immigration contrôlée s'achève. Des mesures de police, de plus en plus contraignantes parviendront peut-être, pendant quelques années, à contenir le flux migratoire. Ce n'est même par certain. Outre qu'il faudrait de sérieuses entorses à notre conception des droits de l'homme, ce qui provoquerait de violentes campagnes d'opinion, et sans doute des réactions des Etats arabes, dont nous dépendons, partiellement, pour notre approvisionnement en pétrole, de telles mesures se révèlent, à la longue très coûteuses.

    Bien entendu, des mesures de police s'imposent. En dehors de quelques ecclésiastiques, tout le monde, les socialistes compris, s'accorde pour le reconnaître. Il faudra renvoyer chez eux des travailleurs immigrés. Souhaitons qu'ils le soient de façon honorable et que la France ne se contente pas d'une aumône. Nous avions proposé de fournir aux ouvriers de l'automobile, chassés des usines par la nécessaire robotisation, des taxis, des camions, des ateliers de réparation, à la fois pour aider l'Afrique à résoudre le problème des moyens de transport et pour qu'ils puissent rentrer chez eux la tête haute, représentants de ces marques pour lesquelles ils avaient travaillé. Renault et Peugeot ont des devoirs envers des hommes que leurs sergents recruteurs ont attirés à coup de belles promesses. Le nier serait indigne. Les Européens devront bien, un jour ou l'autre, créer des pôles de développement en Afrique plutôt que de saupoudrer le tiers monde d'aides inefficaces, parfois détournées des fins généreuses qu'elles s'assignent. Sans un redressement rapide et durable de sa natalité, l'Europe, à commencer par la France ne pourra rien. Elle sera condamnée à une colonisation, pacifique du moins dans un premier temps, porteuse pour elle comme pour l'Afrique de sous-développement, d'affrontements sanglants et de désespoir. L'Europe accepte-t-elle de subir de nouveaux temps bar­bares ?

    Les experts nous rassurent, à leur manière. Selon eux, la situation de la France serait meilleure ou moins mauvaise, comme on voudra, que celle de ses principaux partenaires. Ce qui bien sûr, est exact. Si l'on prend le taux net de reproduction, qui mesure le taux de remplacement d'une génération par la suivante, il restait en 1982, de 0,85 en France, ce qui la plaçait devant l'Allemagne, la plus mal partie, (0.67), les Pays Bas (0,73), la Belgique et le Japon (0,80) la Suède (0,79). L'Espagne (0,88), la Grande Bretagne et les Etats Unis (0,89), le Portugal lui-même (0,94) font à peine mieux que nous. Les experts, néanmoins, négligent un élément essentiel. La dépopulation est, en France, un phénomène beaucoup plus ancien que dans les autres pays dont le peuplement (sauf pour les Etats-Unis) demeure plus dense.

    En 1650, l'Europe, Russie comprise, comptait cent millions d'habitants, un sur cinq était français. Ce qui fondait l'hégémonie politique et même culturelle du « siècle de Louis XIV ». En 1800, les vingt-sept millions et demi de Français ne représentaient plus que 17,5 % de la population de l'Europe. C'était assez, pour permettre les victoires ruineuses de Napoléon. En 1900, le nombre des Français était passé à trente-neuf millions. Il avait pratiquement doublé depuis 1650 mais dans le même temps celui des autres européens avait quadruplé. Un sur dix seulement des Européens était français. Le XIXème siècle fut marqué par une chute de la natalité dont « la grande nation  » ne devait pas se relever.

    En 1938, la menace que font peser l'Italie fasciste et l'Allemagne nazie, beaucoup plus peuplées et le fait que pour la première fois le nombre des décès l'emportait sur celui des naissances provoquèrent un réveil brutal mais trop tardif. Le président du conseil, Edouard Daladier a laissé un mauvais souvenir. Il convient, cependant, de reconnaître qu'il a su, dans le domaine démographique, agir avec un esprit de décision, une vigueur et un courage dont il a manqué dans les autres. Les décrets lois de 1938, qui généralisent les allocations familiales, puis « le code de la famille » promulgué le 29 juillet 1939, jettent les bases d'une politique résolument nataliste, que le maréchal Pétain puis le général De Gaulle, en accord du moins sur ce point, poursuivront. De 1900 à 1944, en dépit de plus d'un million de prisonniers de guerre, des déportations, des pertes civiles et militaires, des conditions de vie qui provoqueront, surtout en 1940, l'exode, et en 1944 une forte augmentation de la mortalité infantile, le taux de natalité tombé à 1,36 en 1940 s'élève à 1,61 en 1944. En 1945, ce taux brut de renouvellement des générations atteint 12,12. Malgré l'accroissement de la mortalité, l'excédent des naissances sur les décès est de 2000. Ce solde positif, bien que faible, paraît riche de promesses.

    Elles seront tenues. Les Français avaient pris conscience que le vieillissement de la population avait été l'une des causes de la défaite. Le sacro-saint principe égalitaire fut même battu en brèche par l'institution du « quotient familial ». Le nombre des naissances passera de 612.000 en 1938 à 640.000 en 1946. Le mouvement connaîtra son maximum en 1964 avec 874.000 naissances. L'on est encore loin des « douze millions de beaux bébés » que De Gaulle fixait comme objectif aux familles françaises en 1945. Cependant le redressement paraît bien engagé lorsque, soudain, la courbe s'inverse, lentement jusqu'en 1974, où l'on passe sous la barre de 800.000, brutalement ensuite, avec un bref répit (795.000 naissances en 1980, soit 60.000 de plus qu'en 1978) provoqué par l'allocation au troisième enfant, décidée par le gouvernement Barre. La chute a repris du fait de la politique résolument antinataliste menée de 1981 à 1983, corrigée, de façon insuffisante, en 1984. L'afflux des familles d'immigrés dissimule l'ampleur de cette nouvelle dégradation, d'autant que des milliers de femmes maghrébines viennent accoucher en France, où elles bénéficient de la sécurité sociale de leur mari, puis retournent chez elles, avec leur enfant. Si l'on s'en tenait aux naissances dont l'un au moins des parents est d'origine française, l'on tomberait sans doute au-dessous de la barre des 600.000, en tout cas on reviendrait aux 612.000 naissances de 1938. A suivre  (A venir : La démocratie ou la vie).

    Lire les articles précédents ...

    Une politique pour l'an 2000 de Pierre Debray     

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  • « National Geographic », l’art du masochisme, par Etienne Defay

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    Le célèbre (et très sérieux) National Geographic a publié ce lundi un article hallucinant. Cet article, signé par Susan Goldberg (rédactrice en chef monde), demande pardon pour ses reportages commis « jusqu’aux années 1970 ». Cet article a été écrit dans le cadre d’un numéro spécial consacré aux concepts de « race ».

    Accrochez-vous, cela vaut le détour. Comme si les syndromes de Stockholm et de Münchhausen avaient fusionné pour créer une nouvelle génération de journalistes. Nous sommes le 2 novembre 1930. National Geographic a envoyé un reporter et un photographe couvrir un événement majeur : le couronnement d’Haïlé Sélassié Ier, dernier empereur d’Ethiopie. D’après la rédactrice en chef, ce reportage dépeignait les indigènes d’Ethiopie comme des « sauvages anoblis ». Il est vrai, le terme ne passerait plus en 2018. Parce que nous sommes justement en 2018 et non en 1930.

    Mais notre chère Susan Goldberg va plus loin dans ce miserere nobis. S’ensuit une longue réflexion sur la ségrégation américaine digne de la rédaction inspirée d’un collégien : « Si une telle cérémonie en l’honneur d’un homme Noir avait eu lieu en 1930 aux Etats-Unis par exemple, et non en Ethiopie, il n’y aurait sans doute jamais eu de couverture médiatique. Pis encore, si Haïlé Sélassié Ier avait alors vécu aux Etats-Unis, il n’aurait sans doute pas fait partie des lecteurs de National Geographic dans une ville comme Washington où la ségrégation était très stricte, et n’aurait pas été autorisé à faire partie de la communauté National Geographic ».

    On ne sait pas ce qui est pire, qu’un empereur éthiopien ne puisse pas être couronné aux Etats-Unis ? Ou qu’il ne puisse pas être un lecteur de National Geographic ? Cela rappelle la logique des défenseurs du droit de vote des étrangers.

    Susan Goldberg va plus loin dans son processus d’identification victimaire : « J’en suis la première rédactrice en chef, Juive de surcroît, deux groupes de population qui ont, eux aussi, été discriminés aux Etats-Unis. Il m’est douloureux de partager cet affreux état de fait qui fait pourtant partie de l’histoire du magazine ». Si l’on était pointilleux, on serait tenté de reprocher à cette dame son racisme latent en osant comparer la ségrégation des afro-américains avec celle des femmes mais passons. Ce que démontre cet article en réalité est à double effet. Premièrement il s’inscrit dans cette vague moderniste visant à déclamer que toutes les cultures et toutes les civilisations se valent. Sachez-le : dire que la dynastie Ming était supérieure aux tribus papous au XIIIe siècle fait de vous un odieux raciste. Supputer que l’empire byzantin était de loin plus avancé que le peuple touareg vous range avec ceux qui hiérarchisent les peuples et donc un fasciste en puissance.

    L’autre intérêt d’un tel mea culpa est également économique. Car la culpabilisation a cela de pratique qu’elle fait vivre le racisme, alimente un débat, vous place dans le camp du Bien et donc vous fait gagner de l’argent.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 15 mars 2018

    https://fr.novopress.info/209986/national-geographic-lart-du-masochisme-par-etienne-defay/

  • La France, vice-championne d’Europe des emplois précaires

    L’OCDE a publié via Eurostat la part des emplois précaires dans les 28 pays de l’Union Européenne, la moyenne étant de 2,3 %. La France occupe une peu glorieuse 2e place, derrière la Croatie.

    – Pays à plus de 5 % d’emplois précaires : Croatie (8,4 %)

    – Pays à plus de 4 % d’emplois précaires : France (4,8 %), Espagne (4,7 %), Pologne (4,5 %), Slovénie (4,5 %) et Finlande (4,4 %).

    – Pays à plus de 3 % d’emplois précaires : Suède (3,7 %), Belgique (3,5 %), Italie (3,2 %) et Portugal (3,2 %).

    – Pays à plus de 2 % d’emplois précaires : Slovaquie (2,3 %) et Hongrie (2,2 %).

    – Pays à plus de 1 % d’emplois précaires : Danemark (1,9 %), Grèce (1,6 %), Luxembourg (1,5 %), Lettonie (1,5 %), Estonie (1,2 %), Malte (1,2 %), Pays-Bas (1,1 %) et Autriche (1 %).

    – Pays à moins de 1 % d’emplois précaires : Lituanie (0,9 %), Bulgarie (0,7 %), Chypre (0,7 %), Irlande (0,7 %), Allemagne (0,5 %), Tchéquie (0,4 %), Royaume-Uni (0,4 %) et Roumanie (0,2 %).

    A noter le faible score de l’Allemagne et du Royaume-Uni, en total contradiction avec les descriptions du marché du travail faite dans les médias. L’une des deux parties nous prend pour des jambons. Reste à savoir qui. Il est intéressant de noter que le site syndicaliste internationalIndustriall a une toute autre vision du travail précaire et donne les chiffres suivants à l’échelle mondiale dans un document daté du 24 mai 2016 :

    – Plus de 90 % d’emplois précaires : Pérou, Bolivie, Sénégal, Mali, Cameroun, Ouganda, Mozambique, Pakistan, Inde, Chine et Cambodge.

    – Plus de 75 % d’emplois précaires : République Dominicaine, Guatemala, Honduras, Nicaragua, Equateur, Maroc, Algérie, Ghana, Zambie, Vietnam, Philippines et Indonésie.

    – Plus de 50 % d’emplois précaires : Mexique, Panama, Colombie, Brésil, Paraguay, Chili, Argentine, Finlande, Egypte, Namibie, Botswana, Mongolie et Sri Lanka.

    – Plus de 25 % d’emplois précaires : Canada, Irlande, Portugal, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Roumanie, Turquie, Irak et Afrique du Sud.

    – Moins de 25 % d’emplois précaires : Etats-Unis, Costa Rica, Islande, Royaume-Uni, Norvège, Suède, Belgique, Luxembourg, Suisse, Autriche, Hongrie, Bulgarie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Russie, Japon et Australie.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-vice-championne-deurope-des-emplois-precaires/88047/

  • 150ème anniversaire de sa naissance : Lafautearousseau vous invite au colloque Charles Maurras, l'homme de la politique

    Les modalités d'inscription et de participation suivront dans nos prochaines parutions. Retenez cette date.

    Le 150ème anniversaire de la naissance de Charles Maurras sera par ailleurs commémoré le lendemain dimanche 22 avril. Programme à venir.  

    Manifestations organisées conjointement par Lafautearousseau, la Fédération Royaliste Provençale et Action Française Provence. 

    Lafautearousseau

    Contact

    [Renseignements & Inscriptions]

    lafautearousseau@outlook.fr

    T.  06 08 31 54 97

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • Emmanuel Macron et la PMA sans père : la deuxième condition. #Juste

  • 100 000 manifestants pour la vie en Irlande

    6a00d83451619c69e201b7c9584298970b-250wi.pngThe Independant reconnaît 100.000 participants dans la rue à Dublin pour appeler à dire non au référendum. Or ce journal ne peut être suspecté de sympathies pro-vie…

    Dans le reportage publié par Life Site, les organisateurs n’en reviennent pas eux-mêmes.

    La porte-parole de la campagne « Sauvez le huitième » (amendement), Niamh Uí Bhriain, a déclaré que la proposition du gouvernement a « réveillé un géant endormi » et que maintenant on attendait une « vague de volontaires » pour mener une grande campagne pour le non. Elle a ajouté :

    « Ces chiffres énormes sont un soulèvement du peuple contre les médias et les élites politiques et contre la puissante industrie internationale de l'avortement qui a versé des millions de dollars dans une campagne contre nos lois pro-vie. L'Irlande est à un moment décisif de son histoire, et nous demandons aux gens de rejeter l'industrie de l'avortement et d'exiger une meilleure réponse pour les mères et les bébés. »

    Il y avait là des médecins, dont Maire Neasta Nic Gearailt qui a brandi un bon de 100 euros qu’elle allait envoyer à Catherine Noone, la sénatrice présidente de la commission sur l’avortement, pour qu'elle se paie des lunettes, parce qu'elle a déclaré qu’elle n’avait pas pu trouver un seul médecin favorable au maintien du 8e amendement.

    Parmi les orateurs il y avait Charlotte (Charlie) Fien, la trisomique devenue célèbre après son allocution devant la commission des droits de l’homme de l’ONU en mars 2017.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • JEAN-BAPTISTE LEON : « UN FAUX RETRAITÉ DE 117 ANS INSTALLÉ EN ALGÉRIE PERCEVAIT UNE PENSION DE RETRAITE ! »

    Contribuables associés s’est emparé du rapport de la Cour des comptes révélant une fraude de plus de 200 millions d’euros au niveau des caisses de retraite, au profit de « faux retraités » en Algérie, au Maroc ou en Italie. Un faux retraité de 117 ans installé en Algérie percevait une pension de retraite…

    L’association a été ignorée par Agnès Buzyn, ministre de la Santé et chargée du dossier, mais entendue par le Premier ministre, Édouard Philippe, qui a dit « faire de la lutte contre la fraude sociale une priorité ».

    Mais Contribuables associés continue à suivre le dossier de près.

    http://www.bvoltaire.fr/matraquage-fiscal-subissent-retraites-cette-affaire-de-fraude-de-200-millions-aux-prestations-retraites-intolerable/

  • Les vrais et faux mineurs étrangers coûtent très chers aux pouvoirs publics

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    S’il y a une vraie opacité concernant les chiffres de l’immigration, on a une bonne idée du coût que représente les mineurs isolés étrangers. D’ailleurs l’Etat ne dit plus mineurs isolés étrangers mais « mineurs non accompagnés » – novlangue oblige.

    C’est André Posokhow, du site Polémia, qui a décortiqué les chiffres de ce flux migratoire. Il dénombre environ 50 000 mineurs ou supposés tels, tandis que la Justice n’en comptabilise officiellement que 15 000.

    Et le budget va avec : le coût individuel se situe entre 50 000 et 73 000 euros annuel ! Soit un total de plus d’un milliard d’euros pour les seuls mineurs officiellement pris en charge.

    André Posokhow dénonce plusieurs dérives : l’existence d’une pompe aspirante de l’immigration, le nombre importants d’étrangers trichant sur leur âge, ou encore la lourde responsabilité financière des départements.

    https://fr.novopress.info/