Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 37

  • CONGRÈS DU FN : ET MAINTENANT QUE FAIRE ?

    29178322_352535198592169_1904124186759004160_n.jpg

    Arnaud Malnuit

    Que faire ? Question lancinante, phrase totémique depuis qu'elle est le titre du bréviaire d'action de Lénine, le que faire hante le monde militant surtout lors qu'on subit des échecs et que l'on souhaite rebondir, analyser les causes de ces échecs, les motifs d'espérance, les clés pour rebondir. C'est ainsi le moteur de « Pour une critique positive » attribué à Dominique Venner et publié au début des années 1960. C'est surtout la question qui vient à l'esprit suite au congrès du FN prochainement ou probablement Rassemblement national d'ici quelques mois...

    En effet, on pourrait continuer à constater la fausse refondation, la schizophrénie du discours du rassemblement alors que la nouvelle direction se resserre encore plus loin de la ligne plus ou moins encore « marioniste » du comité central devenu conseil national... A croire que la culture d'acceptation de sensibilités préalable à toute forme d'alliance est toujours inconnue au FN... On passera également sur le mauvais sketch du nouveau nom entre savoir à qui il appartient, la rappel de la grande époque du FN version JMLP dans les années 80 (on se demandera en quoi on se modernise alors), ou le mauvais rappel du RNP de Déat. On pourra aussi oublier l'absence de dynamisme, de relance militante du FN depuis les législatives.

    On pourrait se demander à quel moment on aurait dû agir pour sauver le FN de JMLP, trouver une autre vie pour éviter les résultats de 2017, etc. Et donc voir passer le train de l'histoire une fois de plus... Avec moult regrets nostalgiques.

    Entendons-nous bien, la nostalgie n'est pas une tare, la fidélité au militantisme est une chose saine, pour preuve les queues lors des séances de dédicace du premier tome des mémoires de JMLP.

    Mais il importe de trouver et mettre en place cette autre voie, d'acter que le FN futur RN n'est plus un mouvement de la droite nationale populaire et sociale, que nous devons ne plus nous préoccuper de son avenir, tendre la main à ses militants sincères attachés à une vraie droite nationale, populaire et sociale.

    Mais surtout construire la droite nationale du XXIe siècle qui ne reproduirait un FN bloqué dans les années 1980 et 1990. Bien entendu, le PdF doit être le fer de lance électoral de cette droite nationale, mais il faut aussi raisonner avec souplesse et diplomatie avec d'autres structures qui gardent leurs spécificité, être dans notre temps, parfois avoir quelques accents « modernes » sans pour autant se renier, en parallèle avec des branches plus traditionnelles. En fait, peut-être créer la dynamique d'En marche au service de la droite nationale et donc de la France. Les élections européennes de 2019 pourraient même être une première phase de cette nouvelle droite nationale.

    Ce n'est qu'un début, continuons le débat !

    Source Parti de la France cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Grand remplacement et enfants musulmans : Robert Ménard encore une fois relaxé !

    Après l'affaire des affiches sur Midi libre, Robert Ménard est à nouveau relaxépour ses propos sur les musulmans dans sa ville de Béziers :

    "La cour d’appel de Paris a relaxé, mercredi 14 mars, le maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, condamné en 2017 pour avoir déclaré qu’il y avait trop d’enfants musulmans dans les écoles de sa ville. La cour a ainsi infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné M. Ménard à 2 000 euros d’amende pour « provocation à la haine et la discrimination ».

    Les juges d’appel ont justifié ce revirement par un changement de la jurisprudence de la Cour de cassation, qui exige désormais que les propos incriminés contiennent « une exhortation éventuellement implicite » à la haine ou à la discrimination pour que le délit de « provocation » soit constitué, ce qui n’est ici, selon eux, pas le cas.

    L’élu était poursuivi pour avoir publié sur Twitter, le 1er septembre 2016, le message suivant : « #rentréedesclasses : la preuve la plus éclatante du #GrandRemplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe. » Il était également jugé pour avoir déclaré sur LCI, le 5 septembre 2016 : « Dans une classe de centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Evidemment que c’est un problème. »"

    Lire la suite

  • MACRON ET BELLOUBET FONT PIRE QUE TAUBIRA : AU SECOURS !

    6a00d8341c86dd53ef01b7c957faa8970b-800wi.jpeg

    On a le droit de rêver de révolutions impossibles.

    En l’occurrence d’un service de l’exécution des peines qui aurait pour vocation et pour principe de faire exécuter intégralement les peines.

    Je ne joue pas au faux naïf ni au provocateur, mais il me semble qu’en énonçant cette banale injonction, je devrais être qualifié de roi du poncif tant, pour une démocratie à la fois digne et vigoureuse et pour une Justice cohérente, une telle exigence d’application pleine et entière des sanctions devrait être la règle.

    Pourtant, avec cette assertion, je suis le fauteur de trouble. Parce que, réclamant la normalité, je ne vois aucune raison de la battre en brèche sur le plan pénitentiaire.

    À peine, dans un précédent billet, avais-je eu le bonheur de relever quelques éléments réalistes qui mettaient un peu de substance et de vigueur dans le discours convenu et sulpicien contre la prison en tant que telle, à peine avais-je dénié que ce fût la réapparition de Christiane Taubira parce qu’Emmanuel Macronme paraissait éloigné d’une idéologie compassionnelle qui constituait le délinquant comme victime et la société comme coupable, que je suis obligé d’en rabattre.

    Il ne faut jamais se réjouir trop vite puisqu’on constate que, pour les peines d’emprisonnement égales ou inférieures à cinq ans, nous avons un président de la République et, donc, un garde des Sceaux qui ont formé le projet d’aller plus loin dans la mansuétude que Christiane Taubira, pourtant difficilement dépassable sur ce plan.

    En effet, aux deux tiers de la sanction, la libération sous contrainte (bracelet électronique, obligation de pointer, par exemple) devra devenir systématique et, je cite car c’est le comble, « le juge de l’application des peines ne pourra refuser l’octroi de la libération sous contrainte qu’en constatant, par ordonnance spécialement motivée, qu’il est impossible de la mettre en œuvre »

    Les magistrats auront donc à justifier les raisons qui les poussent à récuser une exécution laxiste de la sanction.

    C’est le monde à l’envers. Je sais bien que notre système est aberrant qui a adopté comme règle l’anormalité : le partiel d’une exécution plutôt que la normalité et la cohérence – la totalité de celle-ci. Fallait-il aller jusqu’à cette absurdité de contraindre des juges à dénaturer leur mission en leur imposant le contraire de la rigueur souhaitable ? Des magistrats devront, en quelque sorte, aller à Canossa parce qu’ils auront, pour un condamné à cinq ans, eu la faiblesse de considérer qu’il aurait à les purger alors que les portes seront naturellement et largement ouvertes aux deux tiers de la peine.

    Les détenus qui se retrouveront plus vite que prévu à l’extérieur (avec un contrôle dont on peut douter de l’efficacité) seront heureux de n’avoir accompli que les deux tiers d’un crime ou d’un délit et leurs victimes seront évidemment compréhensives puisqu’elles ne l’auront été qu’aux deux tiers.

    Ce délire de bonne conscience proche d’un humanisme égaré est d’autant plus choquant qu’il contredit le retour au bon sens que le Président a favorisé en refusant que, dorénavant, un jugement correctionnel de condamnation puisse être immédiatement aménagé. En récusant que le décret de l’autorité judiciaire puisse être dénaturé par la « cuisine » qui le suit.

    C’est exactement ce qui va se produire, par exemple avec une condamnation de quatre ou cinq ans qui sera amputée, sans aucune nécessité, aux deux tiers pour sa part carcérale.

    Il paraît que cette démission permettra d’éviter les sorties « sèches » comme si, pour les sanctions allant de un à cinq ans d’emprisonnement, la société et les citoyens victimes n’avaient été confrontés qu’à des infractions minimes rendant intolérable une logique pénitentiaire accordée avec la décision judiciaire.

    Je me suis peut-être trompé. Je pensais qu’Emmanuel Macron, si lucide sur les erreurs de François Hollande – celle, notamment, d’avoir maintenu Christiane Taubira trop longtemps à un poste prestigieux où l’oralité ne pouvait se substituer à l’action -, nous éviterait la restauration du pire de celle-ci. Mais sa philosophie, qui est classiquement de gauche, quand on quitte l’économique et le social, au contraire ne nous ménage pas.

    Christiane Taubira revient et c’est un cauchemar pour ceux qui espéraient un Président du nouveau monde, répudiant les conformismes et brisant des lances contre le judiciairement convenu – le politiquement stéréotypé.

    Extrait de : Justice au Singulier

    http://www.bvoltaire.fr/macron-belloubet-pire-taubira-secours/

  • L’Etat va donner 140 millions pour que Presstalis se restructure

    6a00d83451619c69e201bb09fb2986970d-200wi.pngDe Francis Bergeron dans Présent :

    "La presse écrite se trouve actuellement prise en tenailles entre La Poste et Presstalis, le distributeur en kiosque. En dernière analyse, c’est le lecteur, abonné ou acheteur au numéro, qui est pénalisé.

    Que se passe-t-il à La Poste ? Jacques Myard, le maire de Maisons-Laffitte, tirait le signal d’alarme, le mois dernier : dans sa commune et dans celle du Mesnil-le-Roi, la réorganisation des services de La Poste a créé des retards qui ont fortement pénalisé les entreprises et les particuliers. Jacques Myard, qui n’a pas la langue dans sa poche, s’indignait d’avoir été mis devant le fait accompli. Il a obtenu des réponses de La Poste sur cette situation dégradée : c’est la délocalisation de site qui a effectivement pu entraîner « des débuts chaotiques », lui a-t-on répondu, et aussi des retards de distribution.

    Mais à l’autre bout de la région parisienne, à Villeneuve-le-Roi ou à Ablon-sur-Seine, cela ne va pas forcément mieux : il semble que des secteurs de distribution aient été étendus à l’excès. Daniel Guérin, le vice-président du conseil départemental du Val-de-Marne, constatait lui aussi, il y a peu, une détérioration : par exemple des usagers ne recevant leur courrier que deux ou trois fois par semaine.

    Les plus anciens se souviennent d’une époque où La Poste opérait deux distributions… par jour, une le matin et une l’après-midi. Cette distribution biquotidienne a disparu en 1975. On oublie aussi que jusqu’en 1941, La Poste, en vrai service public, fonctionnait sept jours sur sept.

    Internet réduit le courrier papier, mais des formes de concurrence sont apparues : les gros titres de la presse quotidienne utilisent le portage et les entreprises préfèrent de plus en plus souvent confier leur courrier à des coursiers. Les tarifs sont plus élevés, mais la fiabilité est meilleure. Globalement La Poste a péché par manque d’anticipation.

    Pour les journaux, l’autre forme de distribution est la vente en kiosque. Là aussi les difficultés s’accumulent. Presstalis accuse un résultat d’exploitation 2017 négatif à hauteur de 20 millions d’euros. L’Etat va donner 140 millions pour que Presstalis se restructure. Mais les éditeurs de journaux sont aussi mis à contribution, et ceci pour une durée de quatre ans et demi. Aucune concertation n’a précédé ces mesures. Cinq opérateurs de la coopérative des magazines ont donc décidé de porter plainte contre Presstalis devant le Parquet national financier. Ils accusent Presstalis d’avoir établi de faux bilans. Ces journaux se sentent menacés dans leur existence même et veulent riposter.

    Présent est-il concerné par cette situation ? Oui, bien évidemment. Les abonnés nous signalent des zones de fort retard dans la distribution du courrier. Quant à la vente en kiosque, elle souffre d’une réduction annuelle de 1 500 points de vente, alors que l’achat d’un quotidien, comme l’achat de sa baguette, est d’abord un achat de proximité. Et d’autre part, en nous ponctionnant, Presstalis nous met en danger, comme les autres titres de taille moyenne ou petite.

    Des solutions ? Elles sont d’abord à chercher du côté de nos lecteurs : souscrire un abonnement mixte papier + numérique, c’est devenu la seule formule qui met à l’abri des aléas de distribution."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Poutine candidat pour mettre en œuvre un nouvel équilibre des puissances

    poutine.jpg

    RUSSIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les Russes votent ce dimanche pour le 1er tour de l’élection présidentielle. Candidat pour un quatrième mandat, Vladimir Vladimirovitch Poutine devrait l’emporter dès le 1er tour. Son maintien en fonctions devrait garantir la stabilité de la politique étrangère russe et donc la pérennité du retour de la puissance russe sur la scène internationale.

    Le candidat Poutine a d’ailleurs adressé des messages forts à la communauté internationale sur le plan militaire et stratégique

    Le président russe a prononcé le 1er mars un discours remarqué devant l’Assemblée fédérale. Un discours-programme de 2 heures, principalement consacré aux questions intérieures mais avec un volet de politique de défense important. Il a notamment exposé la réaction de la Russie au renforcement de l’arsenal nucléaire américain et au déploiement du bouclier antimissiles américain en Pologne et désormais en Roumanie. Ainsi, les capacités de défense antimissiles de la Russie ont été renforcées. Et, sur le plan offensif, une nouvelle génération de missiles, baptisée « Sarmat », a été conçue pour déjouer les boucliers antimissiles.

    Les prouesses technologiques vantées par Vladimir Poutine ne s’arrêtent pas là…

    On notera aussi, je cite, un « missile furtif volant à basse altitude transportant une ogive nucléaire, avec une portée presque illimitée (…) [et] invincible ». Ou encore un sous-marin sans pilote capable de transporter des ogives – nucléaires ou conventionnelles – à travers les océans. Sans compter un missile hypersonique baptisé Kinzhal et volant à Mach 10 et d’autres innovations technologiques.

    Poutine a clairement appelé les Etats à l’origine de cette course aux armements tactiques et stratégiques à renouer le dialogue.

    Il vise ainsi notamment les Etats-Unis, qui ont dénoncé en 2000 le traité ABM de 1972. Il les invite à renoncer au déploiement de systèmes qui deviennent inefficaces contre la Russie. Poutine a également souligné que ces nouvelles armes avaient été développées dans le respect des traités internationaux.

    Le chef de la Fédération de Russie a enfin réagi à la révision de la doctrine nucléaire américaine.

    Les Etats-Unis ont récemment étendu les cas d’emplois de l’arme nucléaire, y compris en réaction à des cybermenaces graves ! Poutine a rappelé la doctrine nucléaire russe – très proche de la doctrine française – qui est de répliquer par l’arme nucléaire à toute agression nucléaire contre la Russie ou ses alliés, ainsi qu’à toute agression conventionnelle mettant en jeu l’existence de l’Etat.

  • "Légal ou illégal, l’avortement tue"

    6a00d83451619c69e201bb09fb2bd2970d-250wi.jpgC’est ce qu’on pouvait lire le 7 mars sur les banderoles de la manifestation organisée à Buenos Aires (Argentine) au moment où le Parlement s’apprête à se prononcer sur un projet de loi visant à légaliser l’avortement dans le pays.

    Ce sont plusieurs centaines de personnes qui ont manifesté leur opposition au projet de loi, rassemblées sous le slogan : « Oui à la vie ».

    « C'est un débat qui ne devrait pas avoir lieu, car il s'agit de faire le choix entre la vie et la mort ».

    Sur certaines banderoles on pouvait lire « Légal ou illégal, l'avortement tue ».

    En Argentine, l'avortement n'est autorisé que dans des circonstances particulières, comme en cas de viol ou de risque grave pour la santé de la mère - ce qui reste un mal car il n'est jamais permis de tuer directement l'innocent.

    La proposition de loi devrait commencer à être débattue le 20 mars en commission, puis environ deux mois plus tard dans l’hémicycle, où les positions des 257 députés restent très incertaines. Selon les analystes, le Sénat est encore plus réticent à légiférer sur le sujet.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Qui veut la peau de Vladimir Poutine ? - Journal du Mercredi 14 Mars 2018