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  • SORTIE DU N°49 (été 2018) DE LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE"

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    AU SOMMAIRE DU N°49 (été 2018) :

    P 2 : ÉDITORIAL  Roland Hélie

    P 4 :  SORTIR DE L’EUROPE ? Arnaud Menu

    P 6 : LA DÉSINFORMATION PAR LE DÉTAIL Bernard Plouvier

    P 11: AFFAIBLIR LES MÉDIAS AUX ORDRES 

    P 15 : LEXIQUE ANTI-SUBVERSIF Éric Delcroix

    P 22 :  QUE DEVIENT SERGE AYOUB ? Rencontre avec Basile Tomé

    P 28 : ENTRETIEN AVEC VINCENT VAUCLIN (DISSIDENCE FRANÇAISE)

    P 33 : LA CHRONIQUE BARBARE Philippe Randa

    P 35 : NON AUX ÉOLIENNES Aristide Leucate

    P 38 : L’AVENIR INCERTAIN DES BLANCS SUD-AFRICAINS Jean-Claude Rolinat

    P 44 : ERDOGAN VOILÀ UN ENNEMI Jean-François Touzé

    P 48 : IL Y A 30 ANS : DÉCÈS DE ROMUALDI ET D’ALMIRANTE Massimo Magliaro

    P 52 : UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE Charles-Henri d’Elloy

    P 58 : UN GRAND ENTRETIEN AVEC JEAN-PIERRE COUSTEAU Clothaire de La Rue

    P 72 : LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    P 75 : LES EXPOS VISITÉES PAR Scipion de Salm

    P 80 : REÇUS, LUS ET APPRÉCIÉS 

    P 82 : LES PAGES LITTÉRAIRES Georges Feltin-Tracol, Daniel Cologne

    P 93 : LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE Activités de l’association

    106 PAGES : 12 € (+ 4 € de port)

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  • Harcèlement de rue : un policier répond à Marlène Schiappa

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    Verbaliser les regards appuyés ? Un projet démonté en exactement deux minutes par un policier. Regardez…

     
  • La Maison Rothschild, puissance financière suprême

    Grâce à ses spéculations juteuses, le Baron Nathan Mayer de Rothschild, comme il se faisait désormais appeler, régna sur Londres en tant que puissance financière suprême. Un jour, lors d’une réception qu’il donnait à son hôtel particulier, il s’était exclamé avec arrogance : « Je me fiche de savoir quelle marionnette est placée sur le trône d’Angleterre pour diriger l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle la masse monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire Britannique, et je contrôle la masse monétaire britannique. » 

         Son frère James, à Paris, avait lui aussi réussi à dominer la finance française. Dans Baron Edmond de Rothschild, David Druck écrit : « La fortune de (James) Rothschild avait atteint la barre des six cents millions. Un seul homme en France possédait plus : c’était le Roi, dont la fortune s’élevait à huit cents millions. La richesse combinée de tous les banquiers de France était inférieure de cent cinquante millions à la fortune de James Rothschild. Celle-ci lui conférait naturellement des pouvoirs phénoménaux, pouvant même aller jusqu’à renverser des gouvernements chaque fois qu’il le décidait. Il est bien connu, par exemple, qu’il renversa le gouvernement du Président du Conseil [Louis Adolphe] Thiers. » 

         L’expansion de l’Allemagne sous Bismarck s’accompagna de sa dépendance envers Samuel Bleichroder, banquier à la cour du roi de Prusse et connu pour avoir été, depuis 1828, un agent des Rothschild. Le Dr von Bethmann Hollweg, qui deviendra plus tard chancelier d’Allemagne, était le fils de Moritz Bethmann de Francfort, qui avait pratiqué l’intermariage avec les Rothschild. L’Empereur Wilhelm 1er se reposait lourdement sur Bischoffsheim, Goldschmidt et Sir Ernest Cassel de Francfort, lequel émigra en Angleterre et devint le banquier personnel du Prince de Galles, devenu plus tard Edouard VIILa fille de Cassel épousa Lord Mountbatten, donnant à cette famille un lien direct avec la couronne britannique actuelle

         Josephson expose que Philip Mountbatten était parent avec les Meyer Rothschild de Francfort à travers les Cassel. La Maison des Windsor avait donc un lien familial direct avec les Rothschild. En 1901, lorsque le fils de la Reine Victoria, Edouard, devint le Roi Edouard VII, il rétablit les liens avec Rothschild. 

    Voici ce que dit Paul Emden, dans Behind The Throne : « La préparation d’Edouard à ce métier était assez différente de celle de sa mère, d’où le fait qu’il fut moins « dirigiste » qu’elle. Par reconnaissance, il conserva auprès de lui des hommes qui s’étaient trouvés à ses côtés à l’époque de la construction du chemin de fer de Bagdad [...] Furent ajoutés à la liste de conseillers, Léopold et Alfred de Rothschild, divers membres de la famille Sassoon et surtout, son conseiller financier personnel, Sir Ernest Cassel. » 

         « L’énorme fortune que Cassel amassa en relativement peu de temps lui conféra un pouvoir immense dont il ne fit jamais mauvais usage. Il réunit la firme Vickers Sons avec la Naval Construction Company et la Maxim-Nordenfeldt Guns & Ammunition Company, une fusion qui fit naître la firme mondiale Vickers Son & Maxim. Dans un registre entièrement différent de celui de Cassel, se trouvaient des hommes d’affaires, comme les Rothschild. Leur firme était gérée sur des principes démocratiques et les divers associés devaient tous être membres de la famille. C’est avec une grande hospitalité et de manière princière qu’ils menaient des vies de grands seigneurs et il était naturel qu’Edouard VII les trouvât sympathiques. Grâce à leurs relations familiales internationales et à des liens d’affaires toujours plus étendus, ils connaissaient le monde entier, étaient bien informés sur tout le monde et avaient une connaissance sûre de sujets qui n’apparaissaient jamais à la surface. Depuis le tout début, cette combinaison de finance et de politique avait été la marque de fabrique des Rothschild. La Maison Rothschild en savait toujours plus que ce que l’on pouvait trouver dans les journaux et même encore davantage que ce que l’on pouvait lire dans les rapports qui arrivaient au Foreign Office. Dans les autres pays, les relations des Rothschild s’étendaient également en coulisse, derrière les trônes. Il fallut un grand nombre de publications diplomatiques dans les années qui suivirent la guerre pour qu’un public plus large apprenne à quel point la main d’Alfred de Rothschild avait fortement affecté la politique de l’Europe Centrale durant les vingt années qui précédèrent la [première] guerre [mondiale]. » 

         Avec le contrôle monétaire arriva le contrôle des moyens d’information. Kent Cooper, à la tête d’Associated Press, écrivait dans son autobiographie, Barriers Down [Bas les masques] : « Les banquiers internationaux subordonnés à la Maison Rothschild acquirent une participation dans les trois principales agences de presse européennes. » 

         Ainsi, les Rothschild avaient acheté le contrôle de l’agence internationale de presse Reuters, dont le siège est à Londres, de l’agence française Havas et de l’agence allemande Wolf, qui contrôlaient la diffusion de toutes les informations en Europe. 

    Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve fédérale

  • Loi anti-fake news ... « Contre la manipulation de l’information »

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    Par Philippe Ménard

    Une prétendue loi de confiance dans l’information. En fait une loi de plus pour penser « correctement », ce qui traduit une profonde crise de confiance.

    La question de l’information est éminemment politique.

    Il ne s’agit pas de remonter à Platon et de revenir sur la justification des mensonges des gouvernants, mais d’examiner la manière dont, aujourd’hui, en France, le pouvoir médiatique s’allie au pouvoir politique. Il y a, d’une part, la concentration des médias les plus répandus aux mains de quelques propriétaires qui, par le jeu des participations, des alliances et des accords commerciaux, sont en situation de contrôler à la fois les « contenus », comme on dit à présent, et leur distribution numérique auprès du plus grand nombre, dans le cadre des bouquets proposés par abonnement. Il y a, d’autre part, une profession clairement positionnée à gauche et qui, avec plus ou moins de sincérité, s’efforce de promouvoir un modèle de société multiculturelle manifestement en opposition avec le cadre de l’État-nation. Il y a, enfin, une opinion publique qui bénéficie de façon inédite de la double capacité de s’exprimer individuellement sans limite et d’empêcher collectivement l’expression des voix discordantes.

    Nous voici donc à un moment où les médias de service public, les médias dits « de référence » et l’État, tant par ses propositions législatives que par sa Justice, forment une coalition de fait pour imposer l’idée que « penser autrement » est dangereux. Vous pensez mal et voilà le danger ! Danger qui va du désagrément moral – la mauvaise odeur de la France moisie – jusqu’à la réelle mise en danger de la vie d’autrui et même jusqu’à la mise en cause de l’honneur et de l’indépendance de la France, soudainement exposée par la seule force de ces mauvaises opinions !

    Mais question : est-ce vraiment à l’État de déterminer ce qui est vrai ? Est-ce vraiment à ses médias de discriminer l’information avec tant de partis-pris que tel scandale est traité en anecdote et tel fait divers haussé au rang d’enjeu de civilisation ? Est-ce vraiment aux juges de dire instantanément, ou presque, ce qu’il est licite de diffuser et ce qui doit être tu, la démocratie étant supposée ne pas supporter, en périodes d’élections, ce qu’elle digère pourtant quotidiennement ?

    Mais quand un ministre parle de rééduquer « les Français réactionnaires », quand la Justice poursuit Georges Bensoussan qui dénonce l’antisémitisme des banlieues mais laisse en paix le CCIC – reconnu d’intérêt général en 2011… –, quand des faits avérés sont niés par les plus hautes autorités, tel Jacques Toubon, Défenseur des droits, quand les journaux expliquent à longueur de colonnes que le peuple pense mal, quand les plateformes numériques décident d’être les arbitres du vrai et du bien et que les politiques restent passifs, quelle confiance les Français pourraient-ils garder envers leurs gouvernants, leurs représentants et même entre eux ? Au fond de la question de l’information se retrouve une fois encore celle de la confiance : confiance que le pouvoir a dans le peuple ; confiance que l’État français a en lui-même ; confiance que les Français mettent dans l’État et ses institutions. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/08/02/loi-anti-fake-news-ccontre-la-manipulation-de-l-information-6070236.html

  • Migrants : l’Italie largue l’Union européenne

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    Devant l'attentisme de l'Europe, certains pays prennent leur destin en main

    Cela passe inaperçu en France mais l’Italie est « sortie » de l’Union européenne en matière de migrations : son nouveau gouvernement met en œuvre sa propre politique migratoire, déconnectée de Bruxelles. Mieux, elle est implicitement approuvée par le patron de Frontex, l’agence européenne garde-frontières et de garde-côtes, qui se félicite de « la fin de la naïveté » des Européens sur la situation migratoire : son directeur, Fabrice Leggeri a déclaré, début juillet sur CNews, que l’Europe n’avait pas une « obligation unilatérale » en matière de sauvetage en mer et que le difficile compromis sur les migrations, lors du sommet européen des 28 et 29 juin, marquait « un tournant de fermeté européenne […] par rapport à la gestion des migrants » et à « l’exploitation par des groupes criminels de la détresse humaine » qui « d’une certaine manière, prennent en otage moralement l’Europe ». Les 28 ont, eux aussi, appelé les ONG à « ne pas entraver les opérations des garde-côtes libyens ».

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  • Le Zoom à la découverte d’Etretat (2ème partie)

    TV Libertés multiplie reportages et documentaires. Franck Tanguy, l’animateur de “Têtes à Clash”, vous invite à visiter un petit joyau de Normandie : Etretat. Pour se faire, il a fait appel à un historien spécialiste de la ville : Jean-Pierre Thomas. Instructif et rendu splendide grâce aux images des drones de TV Libertés.

    Pour Revoir la première partie

     
  • Un rapport sur l’origine ethnique des gangs de violeurs est commandé par le ministre de l’Intérieur britannique

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    Royaume-Uni – Le ministre de l’Intérieur Sajid Javid a commandé un rapport sur l’origine ethnique des gangs de violeurs sévissant en Grande-Bretagne.

    Le ministre de l’Intérieur, lui-même fils d’immigrés pakistanais, a déclaré que l’établissement des « caractéristiques particulières » de ces bandes de violeurs était « essentiel à notre compréhension » des raisons pour lesquelles les hommes reconnus coupables de crimes sexuels commis en bande sont « disproportionnellement d’origine pakistanaise ».

    Le ministre a annoncé la commande de cette enquête dans une lettre à Sarah Champion, parlementaire travailliste de Rotherham, qui a été appelé à démissionner après avoir affirmé dans un article paru dans The Sun l’année dernière que des hommes pakistanais « violaient et exploitaient des filles blanches ».

    Sarah Champion avait reçu des menaces de mort et est mise sous protection depuis qu’elle au le courage de dévoiler l’ampleur de ces faits.

    http://www.medias-presse.info/un-rapport-sur-lorigine-ethnique-des-gangs-de-violeurs-est-commande-par-le-ministre-de-linterieur-britannique/95946/

  • Une politique énergétique fondée, non sur le retour en arrière, mais sur l’innovation

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    Ligne Droite cliquez ici

    Depuis les années soixante-dix la question énergétique s’affirme comme un défi majeur pour notre pays. La France y a répondu jusqu’à présent par le développement du nucléaire. Une démarche audacieuse et bénéfique mais qui est aujourd’hui remise en cause par les écologistes, partisans, de leur côté, de la bicyclette et des éoliennes. Dans ce débat important, Ligne droite considère qu’il est certes nécessaire de lutter contre les gaspillages et de multiplier les mesures d’économie. Mais elle estime que c’est dans l’innovation scientifique et technique que la France et l’humanité trouveront les solutions au problème de l’énergie et non dans un retour en arrière régressif et punitif.

    Le besoin en énergie va croissant

    L’importance de la consommation d’énergie dans le monde représente en effet une réalité incontournable qu’il serait vain de vouloir nier. D’autant qu’elle ne cesse d’augmenter en particulier dans les pays émergents qui, très légitimement, se préoccupent plus de croissance que d’environnement. La part de la Chine dans la consommation mondiale a ainsi doublé en dix ans tandis que le volume de ses rejets polluants annule à lui seul l’ensemble des efforts environnementaux réalisés par les pays européens. Les micros solutions écologistes, comme le développement de la circulation en vélo, sont dès lors dérisoires face à l’ampleur des besoins énergétiques mondiaux. Aussi l’avenir ne passe-t-il pas principalement par la réduction de la consommation d’énergie mais par de nouveaux modes de production énergétique plus respectueux de l’environnement et peu consommateurs de ressources naturelles.

    Les écologistes sont déconnectés des réalités

    Pour autant il convient d’être lucide sur la nature réelle des énergies dite renouvelables. Il est en effet convenu de les opposer aux énergies fossiles dont les ressources connues ne sont pas inépuisables, mais il ne faut pas oublier que la Terre étant finie les énergies renouvelables sont elles aussi limitées. Si elles apparaissent en effet inépuisables c’est parce qu’elles sont pour l’instant utilisées de façon marginale. Mais imaginons par exemple que toute l’énergie mondiale soit produite par des capteurs solaires. Ce serait alors une part significative de la chaleur reçue par la Terre qui serait détournée de son sol avec des conséquences catastrophiques sur la température de la Terre et sur la croissance des végétaux. Il en va de même en ce qui concerne la géothermie dont l’utilisation massive abaisserait la température du noyau terrestre. Quant à l’éolien généralisé, il modifierait le régime des vents ce qui aurait une incidence non négligeable sur la vitesse de rotation de la Terre. Les tenants de ces énergies balaient l’argument en avançant le faible poids de l’activité humaine à l’échelle de la planète. Mais ce sont les mêmes qui, sans crainte de la contradiction, expliquent que c’est cette même activité qui serait à l’origine du changement climatique.
    Lorsqu’il s’agit d’énergie, la rationalité s’efface en effet bien souvent devant l’idéologie et la désinformation politiquement correcte devient quasi systématique. A cet égard, la palme de la fausse solution revient à la voiture électrique. Celle-ci est en effet présentée comme propre alors que l’électricité qu’elle consomme provient essentiellement des centrales que les écologistes voudraient démanteler. Un simple déplacement du lieu de pollution auquel s’ajouteraient les graves difficultés environnementales qui seraient engendrées par les déchets des batteries.

    La solution passe par la science et la technologie

    En réalité les progrès réalisés en matière énergétique n’ont été possibles que par les avancées de la science et de la technologie. Et ce sont de nouvelles innovations qui apporteront les solutions aux problèmes d’aujourd’hui. D’abord, elles assureront une augmentation des rendements énergétiques, amplifiant des améliorations déjà obtenues comme par exemple la réduction significative de la consommation des véhicules à carburant. Ensuite elles rendront possible l’utilisation de sources d’énergie alternatives et abondantes comme l’hydrogène. Autant de domaines où la science européenne est en pointe. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire d’encourager massivement la recherche privée et publique dans tous les secteurs de l’énergétique. La solution passe par le progrès scientifique et technique.

    La sortie du nucléaire a conduit l’Allemagne au désastre

    Pour s’en convaincre il suffit d’observer a contrario l’exemple de l’Allemagne où la fermeture des centrales nucléaires décidée pour des raisons idéologiques a créé une situation qui s’avère catastrophique. Nos voisins d’outre-Rhin ont du en effet relancer les centrales à charbon avec des conséquences désastreuses sur les rejets de gaz à effet de serre. En outre cette politique a provoqué une augmentation considérable du prix de l’électricité au point qu’il représente aujourd’hui le double du prix français. Enfin les allemands ont perdu leur autonomie énergétique et sont contraints d’acheter de l’électricité à l’étranger. Avec cette politique écologiste, les Allemands ont ainsi accru leur dépendance énergétique, augmenté le coût de leur électricité et affaibli leurs positions dans la lutte contre le réchauffement climatique.

    Le nucléaire s’affirme comme la clef de l’avenir

    Ce fiasco allemand apparaît ainsi comme une réhabilitation du nucléaire, lequel s’avère être aujourd’hui la seule ressource inépuisable à l’échelle des besoins mondiaux. Certes cette source d’énergie n’est pas exempte de problèmes environnementaux et de risques pour la sécurité des populations. Mais, c’est une fois de plus la science qui peut résoudre ces problèmes. Pour les déchets, il est envisagé à terme de concevoir des centrales qui les « bruleront ». Et pour le reste, d’autres solutions ne manqueront pas de voir le jour. Encore faut-il que l’activité des chercheurs et des ingénieurs du nucléaire ne soit pas bridée.

    Vers la fusion nucléaire

    A cet égard, il convient de rappeler que la grande ressource d’avenir est celle de la fusion nucléaire. Une source d’énergie encore à l’étude, mais tellement prometteuse qu’elle justifie des efforts de recherche considérables dans lesquels la France joue d’ailleurs un rôle de premier plan. Notre pays est en effet leader mondial de la recherche en la matière que ce soit sur la fusion sous laser ou par confinement magnétique. C’est en France que la communauté internationale a décidé d’implanter le centre de recherche Iter consacré à la fusion nucléaire. Certes de nombreux obstacles sont encore à surmonter mais il ne faut pas douter du succès à terme de nos scientifiques. En réussissant à maitriser cette technique, ils nous apporteront, pour des effets secondaires très faibles, une indépendance énergétique totale et des réserves quasi inépuisables.

    Une telle issue consacrera la prééminence scientifique de l’Europe en tant que grande puissance.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La révolte populiste contre l’Europe de Macron et Merkel a déjà ses leaders, tous chrétiens

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    « Viktor Orbán se pose en recours contre Emmanuel Macron en vue des européennes », s’inquiétait-on dans les colonnes du Monde, le 30 juillet. Pire, encore, le dirigeant hongrois prévenait les Allemands dans un entretien pour le journal allemand Bild : « Les Allemands en particulier doivent se montrer très attentifs » car « l’idée des Français, fondamentalement, c’est d’imposer un leadership français, tout en le finançant par de l’argent allemand. Je rejette un tel projet. Nous ne voulons pas d’une Union dirigée par la France. »

    À force de donner des leçons de morale à droite et à gauche, le Président français est devenu, comme Merkel, l’homme à abattre, et on le sait lui aussi en situation de faiblesse. Sur la chancelière allemande, le Premier ministre hongrois a dit aux journalistes du Bild que s’il avait lui-même la même politique des réfugiés qu’elle, ses concitoyens le mettraient à la porte le jour-même. Il a remis le couvert le lendemain, c’est-à-dire le 28 juillet, devant les Hongrois de Roumanie en critiquant le manque de démocratie en Europe de l’Ouest, où la liberté d’expression est toujours plus restreinte.

    À cette Europe post-soixante-huitarde, Viktor Orbán oppose la nouvelle génération, à laquelle Emmanuel Macron n’appartient que par l’âge biologique, mais pas par l’esprit : « La génération anticommuniste, chrétiennement engagée, de sensibilité nationale arrive maintenant dans la politique européenne. Il y a trente ans, nous croyions encore que l’Europe était notre avenir. Nous croyons aujourd’hui que c’est nous qui sommes l’avenir de l’Europe. »

    Orbán promet, dans un premier temps, une vague populiste aux élections au Parlement européen de mai qui permettra de nommer une Commission européenne moins partiale, moins engagée aux côtés des libéraux-libertaires. « L’élite européenne a fait faillite, et le symbole de cette faillite est la Commission européenne. C’est une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle, c’est que les jours de cette Commission sont comptés », a-t-il promis.

    Matteo Salvini, catholique pratiquant comme Orbán est calviniste pratiquant, a l’ambition de fédérer les populismes en Europe, de créer « une Ligue des Ligues » pour répéter ailleurs son succès en Italie. Il adopte les mêmes accents que le Premier ministre hongrois et que les dirigeants polonais quand il dit, dans une interview publiée le 28 juillet, qu’« un pays qui ne fait pas d’enfants est destiné à mourir » et que la trop faible natalité sert « d’excuse » à la gauche pour « importer des immigrants ».

    Et le ministre de la Famille Lorenzo Fontana, qui appartient aussi à la Ligue de Salvini et est lui aussi catholique pratiquant, d’annoncer des mesures en faveur de la natalité qui ressemblent fort à ce qui se fait en Pologne et en Hongrie, y compris dans le but de réduire le nombre d’avortements. Fontana souligne d’ailleurs, à l’opposé de ce qui existe depuis peu en France, qu’il est le ministre de LA Famille et non pas DES Familles : son rôle est de promouvoir la famille avec un père, une mère et des enfants.

    Steve Bannon, l’ancien rédacteur en chef de Breitbart – également catholique pratiquant – censé avoir fortement contribué à la victoire du populiste Donald Trump aux États-Unis, se voit en Soros de droite et a annoncé, dans le Daily Beast, la création de sa fondation, The Movement, pour contribuer à la révolte populiste à travers tout le continent contre l’imposition par les élites sorosiennes d’une société sans frontières multiculturelle et libérale-libertaire. Il expliquait, le 20 juillet : « Je n’avais pas eu cette idée jusqu’à ce que Marine Le Pen m’invite à prendre la parole à Lille au Front national. Je lui ai dit : que voulez-vous que je dise ? » Et Marine Le Pen lui aurait alors répondu : « Tout ce que vous avez à dire, c’est que nous ne sommes pas seuls. »

    http://www.bvoltaire.fr/la-revolte-populiste-contre-leurope-de-macron-et-merkel-a-deja-ses-leaders-tous-chretiens/