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  • Richard Ferrand vous demande de choisir : l’Europe de Macron et Merkel ou celle d’Orban et Salvini ?

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    Richard Ferrand, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, considère les prochaines élections européennes comme un choix entre deux visions opposées de l’Europe, celle de Macron, Merkel et Sanchez ou celle d’Orban et Salvini.

    « Donc au fond, les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orban, Salvini et compagnie. Au fond c’est Macron, Merkel, et Sanchez en Espagne si je résume, c’est-à-dire ceux qui se disent que nous avons un avenir européen, que ce soit la gestion de l’immigration, sur la politique de défense, sur les convergences fiscales et sociales, sur la capacité de recréer une Europe de puissance, sur tous les enjeux d’éducation avec Erasmus, la recherche etc, ou ceux qui disent non, il faut se recroqueviller sur soi parce que tout seul on va y arriver mieux », a-t-il déclaré dimanche.

    A résumer ainsi l’enjeu des élections européennes, Richard Ferrand risque bien de se prendre une sérieuse claque électorale.

    http://www.medias-presse.info/richard-ferrand-vous-demande-de-choisir-leurope-de-macron-et-merkel-ou-celle-dorban-et-salvini/97059/

  • Avortement : on ne peut pas forcer un médecin à supprimer la vie

    Les médecins pro-vie seront-ils obligés de disséquer des petits d'hommes dans le  sein de leur mère ?

    "Depuis janvier 2018, le Centre le centre hospitalier du Bailleul de la Flèche ne pratique plus d’interventions volontaires de grossesse.

    La sénatrice socialiste de la Sarthe, Nadine Grelet-Certenais, a jugé « intolérable que les femmes ne puissent pas exercer leur droit essentiel parce que des médecins, au mépris de l’accès aux soins, font valoir des réticences d’ordre personnel ou éthique ». Interpelée, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, « a promis un retour à la normale pour septembre ».

    Cependant, la réaction de la sénatrice a suscité une prise de position du Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) qui, dans sa réponse, souligne que « la réalisation de l’avortement n’est pas un acte de soins ordinaire » et qu’elle « nécessite des médecins à qui la loi reconnaît le droit d’avoir une liberté de conscience »Et le syndicat juge « intolérable » que cette liberté ne soit pas reconnue par la sénatrice : « Prétendre que les médecins ont le mépris de l’accès aux soins, alors qu’ils sont au contact direct avec la souffrance de leurs patientes, c’est ne pas connaître leur vie ».

    Les gynécologues s’inquiètent des récentes remises en question de la clause de conscience spécifique liée à l’avortement : tout d’abord au cours des discussions sur la loi Santé de 2016, « dont plusieurs articles concernaient l’IVG », ensuite début 2017, quand le Haut Conseil à l'égalité a aussi réclamé sa suppression. Or pour le Dr de Rochambeau, qui regrette la disparition du délai de réflexion obligatoire et la suppression de la notion de détresse,« retirer la clause de conscience dans le cadre de l’IVG, c’est contraindre les médecins à en faire ». Il ajoute qu’« on ne peut pas forcer [un médecin] à supprimer la vie »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La faute aux riches

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    Premier Conseil des ministres pour une « rentrée à risque. » Deux mots clés : « Cohérence et intensité ». C’est l’heure du choix : libéral ou social. Le cap est maintenu : 60 milliards d’économies. Bercy a revu ses prévisions de croissance dans un souci de « sincérité » : non plus 1,9, voire 2, mais 1,7. C’est la faute à l’économie mondiale, au Brexit, à l’Italie, au prix du pétrole, à Trump (ah ! celui-là, avec son America First), à l’exception française et son train de vie social d’un autre âge.

    Baisse de croissance structurelle (toujours elle), faiblesse de notre commerce extérieur (encore lui), guère de compétitivité (comme toujours) : ajoutez la désindustrialisation (qui date d’aujourd’hui !) et vous aurez un tableau de la start-up France bien mollasson. Sans compter la dette souveraine, tant on est habitué à vivre à crédit depuis des décennies (et si les taux d’intérêt montaient ?). Ce n’est pas une mort clinique, mais tout comme. Peut-on vivre en dessous de 3 % de déficit ? Tenir sans croissance ? That is the question.

    Les chiffres du chômage ne sont pas bons. Cercle vicieux : pas de croissance, pas de créations d’emplois. À cause de notre « culture du chômage », beaucoup préfèrent des indemnités à un salaire faible. Plus grave : dans bien des secteurs, il y a du travail mais pas les compétences requises. La copie est donc à revoir avec détermination car il s’agit d’une vraie révolution.

    Il y a, en revanche, des choses positives : moins de morts sur les routes (vraiment ?), le dédoublement des classes de CP, la baisse des cotisations sociales. Une très bonne nouvelle, enfin : le redressement de notre marché de l’automobile grâce aux deux Carlos.

    Les « réformes structurelles » sont donc attendues (un scoop !) dont la loi PACTE de Bruno Le Maire et la loi Pauvreté. Le Président a des cartes en main. Alors, où le bât blesse-t-il ? À qui la faute de la croissance en berne ? C’est tout simple : aux riches. Macron a-t-il perdu son pari ?

    La suppression de l’ISF semble un échec. Le « pognon de dingue », on l’avait pourtant libéré pour que les riches créent des entreprises en France. Eux, ils préfèrent Dubaï ou Singapour ! Mieux : ils ne donnent plus aux associations ! Cette année, Sauvetage en mer a été en difficulté. On imagine Emmanuel Macron, accroché à une bouée, dérivant sur la grande bleue, et les riches aux lunettes noires, allongés dans leurs transats, à le regarder sombrer, de la plage ! Non-assistance à Président en danger : on en est là ! Où sont les emplois promis par Gattaz ? Où sont les premiers de cordée ? La vérité, c’est que les riches se sont débinés.

    Pour cette rentrée, « la discrétion était de mise ». Heureusement, la robe de madame Belloubet illuminait de son jaune joyeux les marches de l’Élysée. Cela nous consolait de la théorie sans effet du ruissellement.

    À Lisbonne, en revanche, ça boume du feu de Dieu. Une vraie Silicon Valley, grâce aux 500.000 emplois de Google ! Et notre Président si jeune, si dynamique, n’arrive pas à booster la start-up France ? Les GAFA sont venus à Versailles, pourtant !

    Bientôt les élections européennes. L’Europe des pères fondateurs n’est plus. Au lieu de brandir l’épouvantail du « populisme » pour occulter les problèmes, construisons une nouvelle Europe avec ambition et lucidité. Avec pragmatisme.

    Marie-Hélène Verdier

    http://www.bvoltaire.fr/la-faute-aux-riches/

  • Zoom – Jean-Paul Chayrigues de Olmetta : “Mon rétroviseur de droite”

  • Uli Henkel, candidat sur les listes de l’Alternative pour l’Allemagne

    Uli-Henkel.jpgLe 14 octobre 2018, un scrutin clé se déroule en Bavière. Au sein de cet État du sud de l’Allemagne, le parti patriotique AfD doit entrer au Parlement et constitue une menace pour la majorité absolue en nombre de sièges que détiennent les sociaux-chrétiens de la CSU. Lionel Baland a interrogé pour EuroLibertés Uli Henkel, candidat sur les listes de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD). Cette formation politique dispose de 92 députés au niveau national et siège au sein de 14 des 16 parlements régionaux.

    Uli Henkel, qui êtes-vous ?

    Âgé de 63 ans, je vis à Munich, la capitale de la Bavière, depuis 61 ans. Je suis marié depuis 30 ans. J’ai un fils de 13 ans. Je suis juriste de formation, spécialisé dans le droit international. J’ai travaillé durant de nombreuses années dans le secteur privé en tant que gestionnaire et dirigeant. Depuis 2002, je suis conseiller indépendant pour les Petites et Moyennes Entreprises (PME).

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  • Migrations et réalité démographique de l’Afrique

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    7,6 enfants par femme, 13,6 par homme.

    Ces chiffres ne sortent pas du chapeau d’un prestidigitateur, mais d’une étude de l’INED (Institut national des études démographiques) publiée le 18 octobre 2017. Il s’agit du taux de fécondité au Niger, l’écart hommes/femmes s’expliquant par la différence d’âge entre époux et la polygamie, dixit le rapport. Le Niger est le champion du monde de la fécondité, sa population devrait passer de 21,5 millions actuellement à 55 millions en 2050 !

    Selon les critères de la Banque mondiale, le Niger fait partie des dix pays les plus pauvres du monde avec un revenu par habitant de 360 euros par an.

    Prenons un peu de recul avec deux chiffres.

    284,9 millions d’habitants en 1960, 1,25 milliard en 2017.
    C’est la population de l’Afrique, dont 40 % est âgée de 0 à 14 ans et 19 % de 15 à 24 ans. En 2018, 418,8 millions de personnes y vivent dans des conditions d’extrême pauvreté, soit le tiers de la population.
    Comment alors, avec de tels chiffres, s’étonner de la « pression migratoire » ?

    Il est clair que tant que les États africains n’auront pas mis en place des politiques de planning familial efficaces, notamment par l’éducation des femmes à la contraception, on voit mal comment limiter les flux massifs de populations voulant légitimement fuir une misère inévitable.

    Ouvrons les yeux !

    Le Rwanda a réussi à le faire puisque son taux de fécondité est passé de 8,2 enfants à 4 entre 1980 et 2015.

    Et il est temps de relancer très énergiquement le développement économique de ce continent qui, en 2007, comptait 60 % des terres arables non exploitées dans le monde. Un continent qui a tout pour réussir et qui, ne l’oublions pas, est le berceau de l’humanité. C’est là qu’est né l’Homo sapiens ! Sapiens, cela veut dire « sage ». Aurons-nous la sagesse de traiter le problème à sa source au lieu d’en subir les effets, alors même que ces effets sont parfaitement connus ?

    Tout l’enjeu est là, à moins que ce ne soit volontaire. Mais c’est une autre histoire.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/migrations-et-realite-demographique-de-lafrique/

  • Un coupe-gorge nommé France – Journal du lundi 27 août 2018

    Insécurité / Un coupe-gorge nommé France
    C’est la bêbête qui monte qui monte ! Les violences gratuites n’en finissent plus d’augmenter. Avec plus d’un millier par jour, l’insécurité apparaît de plus en plus comme un fléau impossible à juguler…

    Économie / La rançon de la retraite

    International / Le belliciste Mc Cain a enfin rendu les armes
    L’ancien candidat à la présidence américaine John McCain est mort… celui qui avait affronté Barack Obama était le symbole d’un parti républicain belliciste et aligné sur une vision du monde proche des néoconservateurs.

    Actualité en bref

    Lien dailymotion


    Lien rutube

    https://www.tvlibertes.com/

  • Commandant Aubenas, vous connaissez ?

    unnamed.jpgLa chaine du

    Commandant Aubenas : cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Peine de mort pour les pédophiles en Inde : deux violeurs d’une fillette de huit ans seront exécutés

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    Inde – Loin des convenances laxistes de l’Europe, deux hommes de 20 et 24 ans ont été condamnés a mort pour le viol collectif d’une fillette de 8 ans, qui a suscité une vive émotion dans le pays et entraîné des manifestations de colère.

    Le jugement est l’un des premiers à être prononcé en vertu d’une nouvelle loi permettant l’accélération des procédures judiciaires et de la peine de mort pour les viols d’enfants. Au moment des faits il y a deux mois, des foules de manifestants avaient défilé aux cris de « mort aux violeurs ! » après l’agression de la fillette, qui est toujours à l’hôpital dans un état critique. Les violeurs l’avaient attendue devant son école à Mandsaur, dans l’État de Madhya Pradesh (centre), pour l’emmener dans un endroit isolé, la violer et lacérer son cou, la laissant pour morte. Elle a eu la vie sauve grâce à des habitants qui l’ont conduite d’urgence à l’hôpital.

    Suite aux vives protestations autour de cas précédents, l’Inde a rendu le viol d’enfant jusqu’à l’âge de huit ans punissable de la peine de mort. La dernière exécution pour viol dans le pays date d’il y a 14 ans à Kolkata, dans l’est de l’Inde. Dhananjay Chatterjee, gardien d’un bâtiment, avait été pendu pour le viol et le meurtre d’une jeune fille de 18 ans en 1990.

    Près de 40.000 plaintes pour violences sexuelles ont été déposées en 2016, certaines associations soupçonnant que ce chiffre ne soit que la partie émergée de l’iceberg. Le viol collectif et meurtre d’une étudiante dans un bus de Delhi en 2012 avait entraîné des manifestations dans tout le pays et mis en évidence l’omniprésence des violences sexuelles en Inde.

    http://www.medias-presse.info/peine-de-mort-pour-les-pedophiles-en-inde-deux-violeurs-dune-fillette-de-huit-ans-seront-executes/97045/